Aujourd’hui nous sommes le premier août et comme tous les mois depuis le mois de juin, Microsoft a décidé de nous offrir 2 jeux par mois. Voici ce qui vous attend ce mois ci…

Crackdown est un jeu vidéo d’action et de course automobile développé par Realtime Worlds et édité par Microsoft Games Studios en 2007.

Crackdown

Le joueur y incarne un représentant de la loi génétiquement modifié qui évolue selon 5 critères : la force, la maîtrise des explosifs, la capacité de tir, la conduite et l’agilité. Le personnage est capable de sauter d’immeubles en immeubles, de monter des gratte-ciels, d’envoyer des véhicules au loin par sa simple force, etc. Le personnage doit se battre contre 3 gangs : Les Los Muertos, Les Volks et La Shai-Gen et nettoyer les rues de la vermine qui s’y est installée !

 

Et comme un bonheur ne vient jamais seul, sachez que ce mois ci, Spartacus Legends est également gratuit !

Spartacus Legends

Spartacus Legends vous permet de vivre tout ce dont vous avez rêvé dans le monde des gladiateurs en tant qu’entraîneur, le fameux Lanista, mais aussi de construire votre propre caserne de gladiateurs, le Ludus. Bien que la gloire éternelle se trouve sur le champ de bataille, Spartacus Legends se montrera bien plus complexe que ça. Comment allez-vous gérer, entraîner et équiper vos gladiateurs pour emporter la victoire ?

N’hésitez pas et foncez les acheter (gratuitement bien sûr) !

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Voila maintenant quelques semaines que Magic 2014 est sorti sur Steam, soit quelques semaines avant que l’édition Core Set 2014 ne soit disponible. Cette nouvelle édition apporte son lot de nouveautés que je vous propose de découvrir dans cet article…

Magic numérique, j’y ai adhéré depuis la toute première version Steam/Xbox c’est à dire Magic : Duels of the Planeswalkers 2012. C’est donc avec une certaine impatience que j’attendais l’édition 2014 qui promettait de nombreuses nouveautés.

L’interface a été totalement repensée. Fini les écrans à faire défiler de gauche à droite pour afficher l’information qu’il nous faut, nous avons maintenant un vrai menu comme dans la majorité des jeux qui sortent aujourd’hui et déjà rien que ça c’est une bonne évolution. En effet, l’ancienne configuration du menu manquait réellement d’ergonomie et de praticité, nous faisant perdre du temps ne serait ce que pour quitter le jeu (du coup je jouais en mode fenêtré pour pouvoir cliquer sur la croix rouge…).

 

Le plateau de jeu n’a quant à lui pas vraiment évolué. Le design n’est que légèrement différent mais de nouvelles fonctionnalités ont fait leur apparition. Les développeurs ont en effet eu la bonne idée d’intégrer un bouton qui vous permet de déclarer toutes vos créatures comme attaquant d’un seul coup et ça c’est déjà une énorme évolution ! Pour rappel, dans la version 2013 du jeu, il fallait sélectionner chaque créature une par une lorsque vous souhaitiez attaquer. Peu dérangeant si vous jouiez un deck essentiellement basé sur les sorts, bien plus embêtant pour un deck basé sur la quantité de créature où sélectionner à chaque tour nos 23 créatures devenait rapidement pénible…

 

Les slivoïdes font leur grand retour dans le monde de Magic à ma grande joie. Ces petites créatures sont infernales, plus y’en a plus c’est incontrolable et surtout destructeur dans les rangs de l’ennemi. J’adore !

Au niveau des modes de jeu, outre le mode duel personnalisé, nous retrouvons toujours une campagne solo composée de 20 duels divisés en 5 chapitres avec 6 duels contre des Planeswalkers en bonus, d’un mode défi proposant 5 défis standards et 5 défis avancés ainsi que d’un mode Vengeance où l’on ré-affronte l’ensemble des Planeswalkers rencontrés lors de la campagne mais cet fois-ci dotés de decks boostés. Pas de grosse nouveauté donc me direz vous… Et bien si ! Je gardais le meilleur pour la fin.

     

 

Aujourd’hui, dans toutes les salles de jeu, le mode paquet scellé est très présent lors des tournois et c’est pourquoi l’éditeur a décidé de l’intégrer au jeu ! Le principe est simple : vous disposez de 6 boosters à ouvrir. Avec les cartes que vous aurez découvert dans ces boosters, il vous faudra créer un deck de 40 cartes minimum (terrains compris) et ensuite vous devrez affronter les différents adversaires proposés par le jeu.

     

Certaines victoires vous permettront de remporter de nouveaux boosters afin éventuellement d’étoffer votre deck. La grosse ombre au tableau : vous ne disposez que de 2 slots pour decks scellés ce qui est très peu. En revanche, pour quelques euros, vous pourrez en débloquer jusqu’à 20. Certes le jeu n’est qu’à 10€ sur Steam mais si vous choisissez d’acheter la totalité des slots supplémentaires, il faudra tout de même compter pas moins de 33€ supplémentaires (soit plus de 3 fois le prix du jeu !). Quand on aime on ne compte pas, mais du coup l’addition a quand même un peu de mal à passer.

 

Il est à noter que nous avons perdu le mode Planechase qui était plutôt divertissant dans l’édition 2013. C’était surement le prix à payer pour avoir le mode scellé…

Côté multijoueur on retrouve le mode Free For All, le Troll à 2 têtes ainsi que le mode scellé. Pas de grosse évolution si ce n’est qu’en jouant en mode scellé, vous pourrez affronter des adversaires qui ne connaîtront pas du tout la composition potentielle de votre deck (l’inverse est également vrai)…

Et la difficulté dans tout ça ? J’ai été assez déçu par la difficulté. J’ai résolu la totalité des défis du premier coup (a un ou 2 près), les modes campagne et vengeance m’ont paru être une simple formalité mais le mode scellé s’est révélé être une bonne surprise. Il faut faire preuve de technique, de réflexion, ne pas hésiter à ajuster son deck avec de nouvelles cartes ou en réglant le nombre de terrains, un vrai plus ! La durée de vie de la partie solo est comme dans la plupart des jeux actuels, très courte mais très largement compensée par le nombre d’heures que vous passerez à affronter d’autres joueurs sur le net.

Cerise sur le gâteau, jusqu’à présent Magic n’était disponible que sur Steam, Xbox 360 et Playstation 3. Il est aujourd’hui également disponible sur tablettes fonctionnant sous Android et iOS et propose l’intégralité du jeu excepté le mode multijoueur, parfait pour les nomades où les passionnés de Magic qui n’ont pas de PC ! (les screenshots sont en bas de cet article !)

 

Pour plus d’informations :

Steam : http://store.steampowered.com/app/213850/

Xbox Live : http://marketplace.xbox.com/Magic-2014-Duels-of-the-Planeswalkers/

PSN : https://store.sonyentertainmentnetwork.com/magic-2014

Android : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.stainlessgames.D14

iOS : https://itunes.apple.com/us/app/magic-2014

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Bonjour à toutes et à tous, le jour que l’on attendait tant est enfin arrivé ! Lara Croft est (enfin) de retour pour un reboot de la saga, mais est il à la hauteur de nos attentes ? Voici mon test et point de vue !

Il y a près de 2 ans (oui oui c’était en Juin 2011) sortait le trailer de Tomb Raider, annonçant un reboot de la saga où nous allions découvrir les origines de Lara Croft :

Synopsys :

Tomb Raider part à la découverte des origines de Lara Croft : comment cette jeune femme peu sûre d’elle a-t-elle bien pu devenir la combattante que l’on sait ? Avec pour seules armes son instinct et sa capacité à repousser les limites de son endurance, Lara va devoir se battre pour déjouer les sombres mystères d’une île oubliée et échapper à son emprise.

Test :

L’ayant pré-commandé sur Steam, je me suis empressé de l’installer hier sur mon SSD afin de pouvoir tester ce qu’il avait dans le ventre. Tout d’abord, il faut savoir que l’installation représente environ 12Go d’espace sur le disque et qu’il vous faudra une machine relativement musclée pour faire tourner le jeu dans de bonnes conditions. Voici quelques indications concernant les réglages et la vitesse d’affichage dans mon cas, tous les tests ont été réalisés avec l’outil intégré au jeu. 

Tout d’abord voici ma configuration : 

Processeur : Intel Core i7 2600k @ 3.4GHz

Mémoire vive : 16Go DDR3

Carte Graphique : Asus Radeon HD5870

SSD : OCZ Agility 4 256Go

Il faut savoir que le jeu propose 5 pré-réglages + 1 mode personnalisé pour les paramètres d’affichages. Voici les valeurs obtenues dans chaque pré-réglage (excepté le « bas ») :

  FPS Mini FPS Maxi FPS Moyen
Normal 54.4 60.3 59.9
Elevé 38.8 60.3 55.8
Ultra 1.6 40.9 34.5
Ultime 1.0 28.2 20.3

Le FPS chute légèrement entre Normal et Elevé alors qu’il se prend une grosse claque de Elevé à Ultra. On cherchera donc à avoir une configuration matérielle beaucoup plus violente que la mienne (mais bon juste pour jouer à un jeu c’est un peu onéreux) soit on utilisera le réglage personnalisé pour conserver de la fluidité sans pour autant détruire totalement les graphismes… Ingame, les graphismes et les environnements sont tout simplement sublimes, les jeux d’ombres et de lumières sont correctement dosés même si la météo m’a parfois fait penser à une scène de fin du monde, mais ça reste dans le thème (je vous laisse découvrir quelques screenshots en bas de l’article).

Bon, passé les quelques minutes à peaufiner les réglages graphiques, j’attaque la partie configuration des touches. Bonne surprise, les développeurs ont pris le parti de limiter le nombre de touches nécessaires, une douzaine environ pour le mode solo et un peu plus pour le mode multijoueur, tout est à porté de main et ne pose aucun problème de jouabilité. Ceux qui sont psycho du clavier-souris (pourquoi vous jouez sur PC ? ^^’) peuvent se réjouir puisque les manettes sont compatibles avec le jeu. Le petit plus : on peut alterner Clavier / Manette en cours de partie sans avoir à toucher aux configurations (les 2 sont actifs en même temps) ce qui permet de changer de contrôleur suivant les différentes phases de jeu.

La cinématique de début de partie correspond en fait au trailer. Progressivement, le jeu nous donne le contrôle de Lara et nous initie aux différents contrôles et mouvement dans un didacticiel bien lien de ce qui se fait ailleurs. C’est tout en finesse et parfaitement inclus dans le scénario de départ. Idem pour les nouveaux mouvements ou nouvelles techniques débloqués au fil de l’aventure, à chaque étape nous avons le droit à une très brève initiation la encore bien intégrée. Très plaisant, la jouabilité demande une petite adaptation mais ensuite c’est que du bonheur. Les mouvements sont fluides et Lara réagit bien lorsqu’on agite le clavier ou la manette. Du côté des mouvements, sauter, marcher, courir, glisser, grimper… C’est diverse et varié et vous permettra d’explorer les ruines, carcasses de bateaux ou d’avions, bunkers, etc… sans encombre.

Au fur et à mesure que l’on progresse dans l’aventure, on récupère des matériaux, de l’expérience, etc… L’expérience permet de passer des niveaux et à chaque niveau, un point de compétence nous est attribué, prêt à être dépensé dans votre arbre de talent qui se divise en plusieurs catégories telles que Survivant, Chasseur ou Castagneur, chacun nous permettant de déverrouiller de nouvelles capacités. Les matériaux eux nous permettent d’améliorer les armes à notre disposition afin d’augmenter leur puissance, précision ou leur solidité. Afin de profiter de nouveaux points de talents et pour améliorer notre arsenal, il faudra découvrir un feu de camp. Chaque feu de camp permet également un voyage rapide vers n’importe quel autre feu de camp déjà découvert, impeccable pour explorer des lieux où nous sommes déjà passé pour découvrir les nombreux objets cachés.

En effet, Lara, comme toute bonne archéologue qui se respecte, cherche en permanence de nouvelles reliques. Les ruines et objets cachés disséminés un peu partout dans le jeu sont donc fréquents, plus ou moins bien cachés. Des défis sont également au rendez vous, donnant quelques objectifs secondaires assez sympa et plus ou moins difficiles à réaliser suivant le lieu où l’on se trouve. Bien sûr de nombreux ennemis (loups, humains, etc…) se dresserons sur notre chemin. Il faudra les combattre grâce à de nombreuses armes allant du pistolet à la mitrailleuse, de l’arc au piolet sans oublier les grenades. Le système de visée est plutôt bien fait, je craignais un peu l’utilisation de l’arc et des flèches mais finalement cela reste mon arme préférée : efficacité et discrétion !

Et le scénario dans tout ça ? Et bien après quelques heures de jeu passées à explorer les moindres recoins des zones où je suis passé, j’avoue ne pas avoir vu grand chose du scénario. Notre bateau a fait naufrage sur une île perdue, nous ne sommes pas les seuls sur l’île, nous devons envoyer un signal de détresse pour que l’on vienne nous secourir mais en même temps explorer les ruines. Vous l’aurez compris, c’est un scénario pour le moment « basique » qui se démarque des autres scénarios du même type grâce à une progression scénarisée. Au fur et à mesure que l’on avance dans l’aventure, des petites cinématiques ponctuent notre progression pour nous apporter des transitions ou des informations supplémentaires. Les différents journaux que nous trouveront lors de notre progression nous donnerons également plus d’indications sur ce qui se passe sur l’ile et sur les réelles personnalités de chacun des protagonistes.

Le dernier point que je souhaitais aborder dans ce test : le multijoueur. Je ne m’y suis pour le moment pas trop attardé, juste le temps de faire 2 maps (6 manches au total) histoire de voir en gros à quoi m’attendre. Peut être que je n’ai pas eu de chance ou alors est ce pour l’instant le seul mode disponible, je n’ai eu droit qu’à un scénario de type capture de drapeau. 2 équipes s’affrontent, l’une doit ramasser une trousse de médicaments et la ramener dans son camp et l’autre doit les en empêcher. Basique mais efficace, les maps sont grandes, en ruines et regorgent de cachettes. Espérons que d’autres modes de jeu sont prévus.

En conclusion, je dirais que ce reboot de la saga Tomb Raider est une parfaite réussite puisqu’il a réussi à me réconcilier avec la franchise. Les graphismes sont juste magnifiques, le scénario bien que « standard » est assez complet et dispose de nombreux objectifs secondaires. Le titre devrait autant plaire à ceux comme moi qui aiment explorer à fond comme à ceux qui préfèrent tailler dans le vif et foncer vers l’objectif final. Faites vous plaisir, c’est un excellent titre !

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Aujourd’hui, s’abonner au XBox Live de Microsoft coûte environ une cinquantaine d’euros par an. J’en entends déjà dire que c’est beaucoup trop cher pour ce que c’est et pour son contenu. Je vais aujourd’hui vous présenter un moyen de réduire le coût de votre abonnement de 30 à 40% !

 

En effet, le site internet : « Abonnement Xbox Live » vous propose des cartes d’abonnement Xbox Live Gold à des prix défiants toute concurrence !!

Abonnements Xbox Live

Le principe est simple, vous choisissez la durée pour laquelle vous souhaitez vous abonner, vous procédez au paiement et dans la minute qui suis la validation de votre commande, vous recevez le code d’activation à entrer directement sur le site de Microsoft. Rapidité, simplicité, efficacité et fiabilité !

Voici un extrait des tarifs :

Tarifs Abonnements Xbox Live

 

Pour ne rien gâcher, le site propose régulièrement des offres spéciales et des concours sur Twitter et Facebook afin de faire gagner à ceux qui les suivent des codes pour le Xbox Live (4 codes par mois, 2 codes donnant 800 MSPoints et 2 codes donnant 12 mois d’abonnement).

Le site est fiable, rapide et très simple d’utilisation. Une fois ma commande validée, j’ai reçu mon code d’activation directement dans ma boite mail dans les 5 min qui ont suivi, et l’activation sur le site de Microsoft s’est déroulée sans aucun problème !

N’hésitez pas à y faire un tour si vous souhaitez faire quelques économies !

http://www.abonnement-xbox-live.com/

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Voici l’ensemble du matériel que j’utilise au quotidien pour mes loisirs graphiques, photos et vidéos.

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