Bonsoir à tous, un petit article pour vous annoncer que les solutions aux défis de base de Magic 2014 sont en ligne sur ma chaine YouTube !

Je vous invite donc à aller visiter ma chaine pour obtenir toutes les informations nécessaires à la réalisation de ces défis. Bientôt, je posterais également d’autres vidéos à propos de la réalisation de certains défis ou encore à propos du mode paquet scellé !

 

 

 

 

 

Bon jeu à tous !

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Un article pour vous présenter quelques composants indispensables à votre blog propulsé par le CMS Joomla!, qu’ils soient gratuits ou non ! Je les ai tous testés et approuvés, si vous connaissez des composants qui sont mieux que ceux présentés ici, n’hésitez pas à en parler en commentaire.

 

La plupart des composants cités ci-dessous sont sur ce blog, donc n’hésitez pas à vous y promener pour en découvrir les différents visages. D’autre part, quasiment tous les sites des éditeurs de ces composants Joomla! proposent des versions de démonstration. Très pratique pour vous faire une idée dans le cas d’une extension payante. C’est parti pour les présentations…

 

Composant K2 : Permet d’enrichir votre contenu pour une utilisation orientée 100% bloguing, il remplacera votre gestionnaire d’articles et de catégories nativement intégré à Joomla. J’ai découvert ce composant très tardivement dans mon utilisation du CMS et aujourd’hui, j’aurai vraiment du mal à m’en passer. La gestion des tags, les modules complémentaires, la gestion de l’affichage des catégories et des articles, les commentaires, etc… tout est vraiment très pointu et vous permettra de fournir à vos visiteur un blog digne de ce nom. Ce composant est entièrement gratuit et je l’utilise sur ce blog. Couplé à d’autres modules (auto publication sur les réseaux sociaux ou composant externe de commentaires par exemple), il révèle alors l’étendu de ses capacités. Un must have (n’oubliez pas son pack de traduction FR) !

Lien du site : http://getk2.org/ (Gratuit)

 

Composant JaComment : Ce composant permettra à vos visiteurs de laisser des commentaires sur votre blog. Facilement paramétrable et compatible avec K2, vous pouvez choisir d’auto publier ou de valider manuellement les nouveaux commentaires. Sécurisé grâce à un système de Captcha, il vous permettra de garder le contrôle sur les commentaires de vos visiteurs. Vous pouvez également établir une liste de mots à censurer et indiquer si les utilisateurs doivent s’enregistrer ou non pour poster leur commentaire. Tout simplement le meilleur composant de commentaires que j’ai pu trouver à ce jour ! Seule ombre au tableau, vous devrez enregistrer un compte payant sur le site pour pouvoir accéder à toutes leurs extensions…

Lien du site : http://www.joomlart.com/ (Payant)

 

Composant Kunena : Un forum gratuit et complètement intégré à Joomla. Il se basera sur les comptes Joomla pour permettre aux utilisateurs de s’authentifier donc pas de double authentification comme avec un PhpBB par exemple. Vous y retrouverez toutes les fonctionnalités ou presque d’un PhpBB directement sur l’interface d’administration du CMS. Simple d’utilisation, de nombreux thèmes existes si vous ne vous sentez pas capable de créer le votre à partir de ceux fournis de base !

Lien du site : http://www.kunena.org/ (Gratuit)

 

Composant JomSocial : C’est le composant par excellence pour créer une communauté pour ses membres. Profils, photos, vidéos, commentaires tout y est ! Couplez le avec K2 et Kunena et vous avez de quoi créer un Facebook-Like en mieux (la confidentialité pour vos membres !). Le composant est un peu technique au niveau de la configuration mais avec un peu de temps devant vous, c’est une machine bien huilée et de nombreux add-ons existent pour l’enrichir encore plus. La grosse ombre au tableau : son prix malheureusement assez élevé…

Lien du site : http://www.jomsocial.com/ (Payant)

 

Composant JAchievements : A classer dans la catégorie « Petit plus », ce composant n’est pas forcément un must have pour votre blog si vous n’avez pas de communauté mais dans le cas contraire, il sera juste indispensable ! En effet, JAchievement vous permettra d’intégrer à votre site tous les succès que vous voulez. Tout ce que vous avez à faire, c’est choisir quel est l’objectif à atteindre et lui attribuer une image. Ensuite, à vos utilisateurs de débloquer ces succès. Pour certains c’est totalement inutiles, pour d’autres cela représente un attrait supplémentaire, un de ces petits plus qui font que votre blog se démarquera un peu plus des autres. Malheureusement payant.

Lien du site : http://shop.progmist.com/products/jachievements/jachievements (Payant)

 

Composant VirtueMart : Vous possédez un commerce et souhaitez développer votre activité en ligne ? C’est possible grâce à Joomla et au composant VirtueMart. Très complet, il vous permettra de vendre des objets réels mais également numériques, tels que des logiciels par exemple. Vous pourrez créer différents rayons, insérer des photos, des descriptions, créer des coupons de réductions (permanents ou temporaires)… Pour le paiement, vous n’aurez que l’embarras du choix : que ce soit via un paiement sécurisé Paypal ou directement par l’interface de votre banque tout est possible !

Lien du site : http://virtuemart.net/ (Gratuit)

 

Composant Akeeba Backup : Parce que votre contenu est important, ce composant vous permettra d’effectuer des sauvegardes de l’ensemble de votre site, base de données et fichiers compris ! Exportez le tout au format d’une archive qui vous permettra de réinstaller l’ensemble de votre site comme si c’était une installation toute propre de Joomla. Un modèle de simplicité ! Il est gratuit dans sa version de base mais payant si vous souhaitez lui ajouter quelques fonctionnalités (encryptage, transfert vers serveur ou ftp distant, etc…)

Lien du site : https://www.akeebabackup.com/ (Gratuit)

 

Composant AutoTweet NG Pro : Publier du contenu sur son site c’est bien, le relayer sur les réseaux sociaux c’est mieux ! AutoTweet NG Pro vous permet de créer des publications automatiques sur vos réseaux sociaux favoris ! Que ce soit Facebook, Twitter ou encore Linkedin, vous pourrez personnaliser les messages postés comme bon vous semble ! La version Pro (donc payante) est obligatoire car la version de base vous limite à un seul réseau social. L’astuce pour contourner cette limitation : créer un compte Twitter dédié à votre blog, le configurer pour poster automatiquement les tweets sur Facebook et régler AutoTweetNG pour publier sur Twitter et le tour est joué !

Lien du site : http://www.extly.com/autotweet-ng-pro.html (Payant)

 

Composant CK Forms : Un gestionnaire de formulaires entièrement personnalisable ! Vous pouvez créer de multiples formulaires, avec de multiples champs, paramétrer la réponse lors de la validation, si le formulaire enregistré reste sur l’interface d’administration ou si il doit être envoyé par e-mail. Protégé par CAPTCHA et entièrement gratuit, pourquoi s’en priver ?

Lien du site : http://www.joomlatutos.com/ck-forms-formulaire/extensions-joomla/ck-forms-formulaires (Gratuit)

 

Ce sera tout pour cet article, je pense que vous avez déjà suffisamment à vous mettre sous la dent pour le moment. N’hésitez pas à fouiller les sites que je vous ai mis en lien car ils répertorient pas mal de modules et plug-ins en rapport avec ces composants (notamment pour K2).

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Bonjour à tous, ce tutoriel s’adresse aux possesseurs d’appareils dédiés au sport de la marque Suunto. En effet, nous allons voir comment paramétrer un nouvel exercice pour nos séances de sport…

Tout d’abord, il vous faut un compte Movescount et un équipement rattaché à ce compte. Voici ensuite les différentes étapes à suivre pour paramétrer votre appareil :

1ère étape : 

Dans le menu tout en haut de la page, dans l’onglet « Equipement », sélectionnez l’appareil que vous souhaitez paramétrer.

Movescount Menu Equipement

Vous devriez voir cette page se charger :

 

 

2ème étape :

Faites défiler la page, pour trouver l’onglet « Personnalisation » et cliquez pour afficher les options :

 

Sélectionnez l’activité que vous souhaitez ajouter à votre montre dans le menu déroulant. Vous pouvez afficher les paramètres avancés en cliquant sur le lien « Afficher les paramètres avancés » :

 

 

3ème étape :

Chaque petite montre correspond à un écran de votre montre que vous pourrez afficher en appuyant sur la touche « Next » (sur la Suunto Ambit) :

 

Il vous suffit alors de sélectionner les informations que vous souhaitez afficher sur chaque écran, dans la limite de 8 écrans. La ligne supérieur et celle du milieu n’accueillent qu’un paramètre par écran, tandis que la ligne du bas peut en accepter jusqu’à 5 maximum. Cliquez sur chaque option pour afficher l’écran de sélection du paramètre que dont vous souhaitez effectuer le suivi pendant vos séance :

 

 

4ème étape :

Une fois que la configuration des écrans vous convient et correspond à vos attentes, sauvegardez la. Elle apparaîtra alors dans la liste des modes de votre montre :


Une petite synchronisation via le câble prévu à cet effet et vous serez prêt pour votre séance de sport !

Petit conseil pour ceux qui ne sauraient pas vraiment quoi afficher :

Déterminez bien quels sont les paramètres importants à vos yeux, et ceux qui sont secondaires. Affichez les paramètres importants sur la ligne du milieu (la plus grosse) afin de pouvoir visualiser d’un coup d’oeil le chrono, la distance, votre vitesse…. Et ensuite, vous pouvez inclure les paramètres secondaires sur les lignes du haut et du bas comme bon vous semble. 

Sportivement.

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Bonjour à tous !

Voici un petit article pour vous parler d’une chaîne Youtube originale : CreerUnjeuVideocentrée sur la création de jeux vidéo amateurs.

 

Jean Charpentier, son principal contributeur, fait découvrir aux amateurs, différents outils qui leur permettrons de créer leurs propres jeux. Il utilise un maximum d’outils gratuits, en français et en anglais, pour parvenir à ce but.

Le choix du format vidéo est simplement justifié. Nous voyons les actions directement sous notre nez, et il est du coup plus facile de suivre les indications.

Voici une liste non-exhaustive des outils utilisées sur cette chaîne :

UDK : Outil de création utilisé entre autre pour des jeux tels que Gears of War, Borderlands, Mirror’s Edge
Construct 2 : outils de création de jeux 2D pour le web, les smartphones, et PC
PyxelEdit : Outil de design « PixelArt »
Super MMORPG Maker Box : Outil de création de MMORPG 2D, en français
Raycasting Game Maker : Outil de création de jeux 3D en Raycasting, donant à vos jeux un bon look oldschool

Alors pourqui je vous parle de cette chaîne aujourd’hui ? Et bien simplement car Jean vient tout juste de publier un gros tutoriel sur la création d’une arme pour UDK. Ce tutoriel est attendu depuis les débuts de la chaîne, car il n’en existe pas en français, et très peu en anglais. Après plus de 3 jours de boulot non-stop, les vidéos sont là, pour le plus grand plaisir des créateurs en herbe !

Si vous voulez vous essayer à la création de jeux vidéo, rendez-vous sur la chaîne CreerUnjeuVideo ! Et si vous en voulez encore plus, il existe aussi un Wiki français qui présentera encore plus d’outils : www.creerunjeuvideo.fr (dont j’ai déjà parlé sur le blog d’ailleurs)

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Après avoir mis mon NAS/HTPC en test pendant 2 semaines, je me suis enfin décidé à le configurer aux petits oignons et à le mettre en pré-production en attendant de commander les disques. Je vous détaille donc aujourd’hui le choix du système d’exploitation et les différents réglages que je lui ai appliqué…

Résumé de mes articles sur le sujet :

1. A la recherche de mon futur NAS

2. Mon NAS : Cahier des charges

3. Mon NAS/HTPC : Choix matériels

4. Mon NAS/HTPC : Montage et premiers tests

5. Mon NAS/HTPC : Configuration du système

Bonus : Choisir son serveur NAS

 

Conformément à ce que j’avais commencer à indiquer dans l’article précédent, je me suis orienté vers un Windows 8 Pro. En effet, après un mois de test, il s’est avéré que le dernier système d’exploitation de la firme de Redmond soit assez stable et assez peu gourmand en ressources ce qui est un vrai changement. De plus, la possibilité d’utiliser RDP pour l’administration à distance et les différentes commandes système avancées sont un réel plus qui me faciliterons la vie lors de la maintenance.

Je n’ai finalement pas pris le temps de tester avec une distribution Ubuntu pour voir ce que cela pouvait donner mais si quelqu’un a fait un article dessus, qu’il me le signale que je l’ajoute à l’article ! D’autre part, pour ceux qui voudraient tenter l’aventure, sachez qu’il est possible d’installer le système d’exploitation embarqué sur les NAS Synology : le DSM 4.2. Pour cela, je vous invite à vous rendre sur le site suivante : http://astrolabo.fr/?p=6179

 

1) Installation du système d’exploitation :

J’ai fais une installation basique de l’OS en partageant le disque de 500Go en 2 partitions de 250Go. Ce choix de partitionnement permet d’avoir suffisamment d’espace pour le système d’exploitation et également une seconde partition pour y stocker des fichiers tels que les drivers, les fichiers de configuration ou encore les différents fichiers (pochettes d’albums, de DVDs, etc…) d’XBMC. 

Infos système Windows 8

Pour la gestion des comptes utilisateurs, la grosse nouveauté de Windows 8 c’est de pouvoir s’y connecter en utilisant un compte « Microsoft », en gros une adresse hotmail, outlook, msn, etc… L’intérêt, c’est de pouvoir retrouver sa configuration lorsque l’on se promène d’un poste à un autre. Dans mon cas, l’intérêt de ce mode de connexion est nul, par conséquent je me suis orienté vers un compte « Classique ». L’avantage dans notre cas du compte local, c’est d’une part la possibilité d’utiliser la connexion RDP (via la connexion bureau à distance) et d’autre part de pouvoir avoir 2 comptes : un utilisateur et un administrateur. Pourquoi 2 comptes ? Tout d’abord, XBMC n’a pas besoin de droits administrateurs pour fonctionner et nous permettre de lire des vidéos. D’autre part, le NAS/HTPC est destiné à rester allumer H24, je ne serais pas tout le temps chez moi (je bosse de temps en temps quand même) et si quelqu’un d’autre souhaite y jeter un oeil, je ne risque pas de retrouver toutes sortes de logiciels installés alors que je ne l’avais pas décidé. D’autre part, cela me permet également d’affiner les réglages des différents services afin de ne donner par exemple que les droits en lecture sur certaines parties du serveur, mais nous y reviendrons plus tard.

 Comptes utilisateurs

Une fois l’installation terminée, j’ai installé tous les drivers pour mon matériel et également un antivirus, Kaspersky dont il me restait une licence sur mon contrat 5 postes. L’installation de base est terminée, nous pouvons maintenant passer à toute la partie configuration.

 

2) Configuration du système d’exploitation :

Dans cette partie, je vais aborder toute la partie configuration de l’OS, c’est à dire la configuration de l’espace de stockage (provisoire car je n’ai pas encore acheté les disques finaux), des comptes utilisateurs et administrateurs et du FTP.

a) L’espace de stockage :

L’espace de stockage est un des points crucial de notre installation, c’est pourquoi il est très important de bien définir ses besoins lors de la rédaction du cahier des charges. Dans mon cas, j’ai choisi le RAID5 afin d’avoir à la fois de la redondance et un maximum d’espace de stockage utile. Nous allons voir ici les notions de pools de stockage et d’espaces de stockage qui, quand on ne connait pas bien, sont un peu déroutantes, pour toute question, laissez moi un commentaire et j’essaierai de vous éclairer (si il y a beaucoup de demande je ferais un tutoriel la dessus).

Pour gérer l’espace de stockage, rendez vous dans le panneau de configuration et choisissez l’option « Espaces de stockage » :

 Configuration du stockage

 

Choisissez l’option « Créer un nouveau pool et un nouvel espace de stockage » dans la fenêtre qui vient de s’afficher :

 Configuration du stockage

 

Vous arrivez maintenant sur une fenêtre qui vous propose de sélection l’ensemble des disques que vous souhaitez inclure à votre Pool de stockage. La capacité totale du pool de stockage est l’addition des capacités respectives de chacun des disques que vous allez lui attribuer (si vous lui attribuez 2 disques de 2To et 1 de 3To, sa capacité sera de 7To). Vous pouvez utiliser des disques de capacités différentes si vous le désirez, cela ne pose aucun problème.

 Création d'un pool de stockage

 

 

Sélectionnez les disques que vous voulez intégrer à votre pool, cliquez sur « Créer un pool » et patientez pendant sa création. L’utilitaire vous propose maintenant de créer un espace de stockage au sein de votre pool. Nous allons donc créer un espace de stockage qui va occuper la totalité du pool :

 

Vous pouvez le nommer, lui attribuer une lettre de votre choix, sélectionner le type de résilience et sa taille. Je ne vais expliquer que le choix du type de résilience, car le reste coule de source. Nous allons choisir la résilience de type « Parité » qui équivaut au RAID5. Nous allons alors être amputé d’environ 30% de notre pool de stockage pour le calcul de parité mais nous aurons alors de la redondance avec une perte minimale d’espace (pour rappel : miroir double > 50% de la capacité totale en mois, miroir triple > près de 70% en moins !) :

 Miroir Double  Miroir Triple Parité 
     

 

Cliquez sur « Créer un espace de stockage » et patientez jusqu’à la fin du processus. Notre espace de stockage est maintenant créé, pour contrôler le bon déroulement du processus, un rapide coup d’oeil sur l’explorateur Windows suffit :

 Vérification de la création d'un espace de stockage

 

Passons maintenant à la configuration des comptes utilisateurs…

 

b) Les comptes utilisateurs :

Comme je l’ai indiqué au début de l’article, j’ai créé 2 comptes avec mot de passe. Nous allons maintenant configurer l’ensemble afin que lors d’un redémarrage du NAS/HTPC, il se reconnecte automatiquement avec le bon utilisateur.

Faites un « Windows +R » et saisissez la commande suivante :

control userpasswords2

 Commande d'accès à la gestion des utilisateurs

 

Décochez l’option « Les utilisateurs doivent entrer un nom d’utilisateur et un mot de passe pour utiliser cet ordinateur », cliquez su « Appliquer » et saisissez l’identifiant et le mot de passe de votre compte utilisateur (celui qui n’a pas de droit administrateur) avant de valider.

Gestion des comptes utilisateurs

Saisie des identifiants

 

La partie comptes utilisateurs est finie, lors du prochain redémarrage, Windows ouvrira directement la session de votre utilisateur standard. Passons aux options d’alimentation.

 

c) La gestion de l’alimentation :

Nous sommes actuellement en train de monter un NAS/HTPC. Le HTPC peut être éteint (ou mis en veille) et rallumé à la demande alors qu’un NAS doit être accessible à tout moment. Par conséquent, c’est sur ce principe que nous allons baser la configuration de l’alimentation. Cette partie de la configuration est à réaliser avec le compe « utilisateur » donc déconnectez le compte « Admin » et reconnectez vous avez le compte « utilisateur ».

Dans le panneau de configuration, ouvrez la « Options d’alimentation » et configurez comme ceci :

 Options d'alimentation

 

Certains diront que ça va consommer à mort vu qu’on est sur une base de PC desktop mais les photos parlent d’elles mêmes (5 disques dur installés et branchés à l’intérieur). 

Consommation au repos Consommation en activité
Consommation au repos Consommation en activité

 

La plupart du temps, lorsque que le NAS/HTPC est au repos, il ne consomme que 30w (dans la configuration actuelle) et le double lorsque l’on le sollicite (transfert FTP, lecture de vidéo…) donc pas non plus énormément et à peine le double « en charge ». Passons à la mise en place du FTP !

 

3) Mise en place du FTP :

La mise en place du FTP est assez simple lorsque l’on sait comment le paramétrer, mais il faut utiliser le compte « administrateur » pour effectuer l’ensemble de ces modifications.

Ouvrez le champ « Exécuter » avec un « Windows + R » et entrez la commande suivante :

appwiz.cpl

Installation du FTP

 

Cela va ouvrir la fonctionnalité « Ajout / Suppression de programmes », sélectionnez alors « Activer ou désactiver des fonctionnalités Windows » :

Installation du FTP

 

Ensuite, cochez les fonctionnalités « Internet Information Services (IIS) » en prenant soin de vérifier que le « Service FTP » et la « Console de gestion IIS » sont bien cochés :

Installation du FTP

 

Validez et patientez pendant l’installation des nouvelles fonctionnalités, l’ordinateur va devoir redémarrer. Attention, compte tenu de la configuration effectuée sur les comptes, il va redémarrer avec le compte utilisateur. Déconnectez vous et reconnectez vous avec le compte administrateur pour terminer la configuration du FTP.

 

4) Configuration du FTP :

On approche de la fin du tutoriel avec la configuration du FTP. Sur la page d’accueil de Windows 8, vous pouvez voir que l’icone du gestionnaire IIS est apparue, cliquez dessus : 

Icone Gestionnaire IIS

 

L’interface du gestionnaire est ouverte, je vous invite à faire un clic droit sur le site d’exemple et le supprimer. L’interface devrait ressembler à ça :

 

Je ne vais pas détailler l’ensemble des configurations, je mets les screenshots des différentes zones à configurer, je détaillerais plus dans la vidéo qui vient. Les configurations portent sur les options suivantes :

 

Authentification FTP : 

Authentification FTP

 

Exploration des répertoires FTP : 

Exploration des répertoires FTP

 

Filtrage des demandes FTP : On ne touche rien

Journalisation FTP :

Journalisation FTP

 

Messages FTP : On ne touche rien

Paramètres SSL FTP : On ne touche rien

Prise en charge du pare-feu FTP : On ne touche rien

Règles d’autorisation FTP :

 Règles d'autorisation FTP

Restrictions de tentatives de connexion FTP : On ne touche rien

Restrictions liées au domaine et à l’adresse IP FTP : 

Restrictions liées au domaine et a l'adresse IP FTP

 

Maintenant que la configuration de base est faite, il ne nous reste plus qu’à créer notre FTP !

Cliquez droit sur le répertoire « Sites » et ensuite sur « Ajouter un site FTP » : 

Créer site FTP

 

Sur la fenêtre qui s’affiche, indiquez un nom et un chemin d’accès physique. Ce chemin défini la racine de votre FTP et cela peut être un disque dur (ou espace de stockage précédemment créé) entier ou juste un répertoire situé sur cet espace de stockage. Pour ma part, j’ai sélectionné un disque entier : 

Créer site FTP

 

Sur la page suivante, ne touchez pas à la configuration IP, nous n’avons qu’une carte réseau donc le FTP choisira automatiquement la bonne. En revanche, si vous avez 2 cartes réseaux et que vous utilisez les deux (une pour les flux vidéos et une pour les transferts FTP par exemple), il sera judicieux d’indiquer quelle adresse (carte) il doit utiliser. Laissez ensuite cocher « Démarrer automatiquement le site FTP » et sélectionnez l’option « Pas de SSL » : 

Créer site FTP

 

Pour l’authentification, cochez l’option « De base » et cliquez sur terminer. Vous pouvez voir que nous n’avons pas défini d’autorisation particulière car cette configuration a été réalisée précédemment : 

Créer site FTP

 

Créer site FTP

 

Une fois que vous aurez valider, sur un autre PC de votre réseau local, lancez votre logiciel FTP favoris et testez une connexion vers votre serveur. La connexion devrait s’établir sans problème, votre serveur FTP est alors prêt à fonctionner : 

Créer site FTP

 

Ce tutoriel est à présent terminé, une vidéo complète est en cours de montage et sera ajoutée dans les jours qui viennent.

Prochaine étape : la configuration d’XBMC !

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Seulement 3 jours après ma commande, j’accuse livraison de tout le matériel nécessaire pour monter mon HTPC/NAS… Voici ce qu’il en est et les premiers tests !

Résumé de mes articles sur le sujet :

1. A la recherche de mon futur NAS

2. Mon NAS : Cahier des charges

3. Mon NAS/HTPC : Choix matériels

4. Mon NAS/HTPC : Montage et premiers tests

5. Mon NAS/HTPC : Configuration du système

Bonus : Choisir son serveur NAS

 

Rappel de la configuration commandée :

– Boitier : Lian-Li PC-C60 Gris

– Processeur : AMD – A6 – 5400K Black Edition (3.6GHz)

– Carte mère : ASRock FM2A85X Extreme 4 (ATX)

– Mémoire vive : G.Skill NS Series 4Go DDR3 PC3-12800

– Disque dur : Seagate Momentus 5400.6 500Go

– Alimentation : Corsair CX430M 80PLUS

 

1) Déballage et montage :

J’ai passé commande de l’ensemble des pièces sur @LDLC donc pas de surprise au niveau du colis, c’est nickel. J’ouvre sans attendre le carton (le boitier est un colis à lui tout seul) contenant tous les composants et je découvre donc les différentes boites des différentes pièces.

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Le boitier tout aluminium est un poids plume, ce qui m’a vraiment surpris lorsque je l’ai sorti du carton. D’une finition impeccable (vu le prix c’est un minimum), l’alu brossé est juste magnifique et l’ensemble des ouvertures/ports/baies externes sont très bien intégrés et ne jurent pas avec le reste.

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L’intérieur est très bien pensé. On retrouve nos 2 racks modulables pouvant accueillir chacun 3 disques de 3.5 pouces et 1 de 2.5 et un rack pour les lecteurs 5.25 pouces. Bien sûr l’ensemble est démontable facilement mais uniquement avec un tournevis, pas de montage sans vis c’est dommage mais cela évite aussi les éventuelles vibrations. 

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Je ne vais pas vous faire une description détaillée du reste des composants car ils se ressemblent tous plus ou moins. Le montage s’est passé sans accro, la place dans le boitier est largement suffisante pour installer la carte mère au format ATX (après un démontage complet des 3 racks) avec une alimentation de taille standard. L’espace à l’intérieur du boitier est largement suffisante au niveau du processeur pour ceux qui voudraient changer le système de refroidissement vendu de base.

{rokbox}ressources/nas/interieurmonte.jpg{/rokbox}

La machine est montée, passons maintenant à l’allumage et à la première installation de l’OS provisoire (je ne me suis pas encore totalement décidé sur le système d’exploitation final).

Pour plus de photos, voir tout en bas de cet article !

 

2) Installation et premiers tests de performances :

 J’appuie sur le bouton, je vois les lumières s’allumer, ça y est c’est parti ! Mais !? C’est quoi cette turbine ? Le bruit s’atténue un peu après la passage du BIOS, mais c’est toujours bien présent. Après une rapide investigation, si j’arrête le ventilo d’origine du processeur, c’est un silence quasi total, je verrais donc pour remplacer le ventirad par une solution plus silencieuse (et performante ?).

Pour le premier OS en test, j’installe donc un Windows 8 Pro. J’en entends déjà rigoler sur le choix de l’OS mais pour l’usage que je vais en avoir, ce choix n’est pas si dénué de sens… En effet, la gestion de l’espace de stockage sous Windows 8 est un pur bonheur et je vous ferais un petit article là dessus. De plus, si c’est l’absence de menu « démarrer » qui pourrait rebuter, pour une NAS/HTPC quelle utilité a-t-il ? L’installation est assez rapide sur le disque Seagate qui se révèle très silencieux, conformément aux différents commentaires sur le site du revendeur.

Je ne prends pas énormément de temps pour la configuration, le but est de tester la stabilité de l’OS avec un XBMC, donc j’installe les quelques drivers nécessaires et un XBMC de base. Après un paramétrage rapide du logiciel, j’ai laissé la bécane tourner pendant 24h en lançant de temps en temps un film et en navigant dans les menus. La mémoire utilisée n’est jamais montée à plus de 1.3Go / 4Go !

Les performances après quelques jours de fonctionnement en mode normal (vidéo + météo le matin et vidéo + tests de configuration le soir) :

Performances

De plus, la configuration matérielle du NAS/HTPC a extrêmement bien encaissé la lecture de gros fichiers HD avec son processeur graphique intégré à la carte mère et au CPU donc jusque là tout se passe comme prévu ! Si ce n’est le bruit du processeur bien évidemment…

Les premiers tests sont donc très prometteurs avec un Windows 8 Pro, passons maintenant à la revue des différents OS envisageables.

 

3) Les différentes possibilités de systèmes d’exploitations :

a) Windows 8 :

Système assez peu gourmand en ressources systèmes. Outils de gestion du stockage adapté à nos besoins et notre utilisation. Tous les outils sont intégrés et disponibles de base sans surcouche supplémentaire (FTP/WEB/STOCKAGE…). Interface agréable pour un HTPC.

b) Windows Serveur 2012 :

Comme Windows 8 mais beaucoup d’autres fonctionnalités supplémentaires qui nous ne seront pas vraiment utiles pour l’utilisation que nous souhaitons en faire.

c) Windows 7 :

Inutile de présenter l’OS, il ne dispose malheureusement pas de la même gestion de stockage que 2012 Server et Windows 8.

d) Windows Home Server 2011 :

Basé sur un Windows Server 2008 R2, c’est une distribution serveur orientée grand public avec une interface et une gestion simplifiée.

e) FreeNAS :

Distribution Linux orientée 100% NAS, lui ajouter les fonctionnalités qui nous intéressent risque d’être compliqué voir impossible. Distribution parfaite pour ceux qui ne souhaitent monter qu’un NAS !

f) Ubuntu :

Distribution qui semble très bien fonctionner avec XBMC, parfait pour ceux qui souhaitent réduire les coût en ne dépensant pas d’argent dans une licence système. Seul problème qui pourrait éventuellement se poser : la compatibilité matérielle.

 

Maintenant que la revue des différents OS est faite, il ne me reste plus qu’à passer ceux retenu au banc d’essai pour rendre un verdict dans les prochaines semaines ! A très bientôt pour un nouvel épisode.

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Bonjour à tous ! 

Aujourd’hui je vais vous présenter une méthode simple et très rapide pour créer une clé USB bootable avec un OS Linux ou Windows embarqué dessus ! Suivez le guide…

Tout d’abord, il faut récupérer l’utilitaire de création de clé USB : Universal USB Installer (Site Officiel).

Une fois téléchargé et exécuté, UUI vous propose alors de sélectionner le type d’OS que vous souhaitez mettre en place sur votre clé et là, il n’y a que l’embarras du choix ! Ubuntu, Debian, CentOS, Mint, BackTrack, Fedora… ou encore des OS Rescue tels que Kaspersky Rescue Disk, BitDefender Rescue CD… et même des Windows (7/8) ! Bref, vous pouvez tout mettre sur votre clé, donc sélectionnez la distribution qui vous plait :

Selection de l'OS

 

Une case à cocher (« Download the ISO ») vous permet même de récupérer directement la version sélectionnée sur Internet sans avoir à lui courir après, un vrai plus pour une application de ce type. Pour peu que vous ayez un OS « perso », vous pouvez également tenter votre chance avec l’option qui convient (« Try Unlisted Linux ISO »). Si vous avez l’image ISO de votre OS quelque part sur votre disque, vous pouvez également directement l’ajouter dans le logiciel via le champ parcourir :

Sélection de l'image ISO

 

La 3ème étape consiste dans le choix du périphérique de destination. La petite astuce, si le votre n’est pas détecté, c’est de cocher l’option « Show All Drives » mais faites bien attention à ne pas vous tromper de disque de destination ! Cochez également la case pour formater le disque :

Pret pour l'installation

 

Cliquez sur « Create » pour lancer la création de votre clé USB bootable et acceptez l’avertissement (pensez à vérifier les différentes étapes avant !) :

Confirmation

 

Patientez pendant le processus de création :

Création de la clé bootable

 

Une fois l’opération terminée, vous pouvez vérifier la présence des fichiers sur votre clé et la tester sur votre machine ou sur une autre :

Processus terminé

 

Pratique pour s’affranchir des CD/DVD d’installation ou bien pour installer ou réinstaller une machine qui ne dispose pas d’un lecteur CD/DVD (eeePC ou NAS par exemple). Amusez vous bien !

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Après bientôt 3 ans de bons et loyaux services, l’espace de stockage disponible sur mon NAS Synology D210j commence à se faire rare et comme je me rends compte que lui chercher un remplacement risque de demande un certains travail de recherches et de réflexion, j’ai décidé de vous faire partager l’avancée de mes découvertes et de mes tests…

Résumé de mes articles sur le sujet :

1. A la recherche de mon futur NAS

2. Mon NAS : Cahier des charges

3. Mon NAS/HTPC : Choix matériels

4. Mon NAS/HTPC : Montage et premiers tests

5. Mon NAS/HTPC : Configuration du système

Bonus : Choisir son serveur NAS

 

Tout d’abord, faisons le point sur ces quelques années d’utilisation de mon Synology et sur les points positifs et négatifs qui en découlent.

Il faut saluer la simplicité de mise en oeuvre du NAS, une fois les disques en place et la baie mise sous tension, la configuration fût très aisée. L’interface est sobre, intuitive et le tout est administrable via une interface Web donc que demander de plus ?

Au niveau matériel, l’ensemble s’est révélé très fiable. Aucune panne du boitier à déplorer ce qui n’est pas le cas d’un des 2 disques que j’ai du remplacer en urgence suite à une défaillance. Heureusement, j’ai eu le temps de sauvegarde l’ensemble des données avant qu’il ne me lâche complètement (j’avais installé 2 disques Western Digital Green). Mis à part ce petit incident sans gravité, il n’y a eu aucune fausse note !

L’autre point négatif trouvé est la présence de 2 slots. A l’époque, avec 2 disques de 2To chacun en RAID 0 (pas de redondance !), cela me suffisait amplement. Presque 3 ans plus tard, il faut bien se rendre à l’évidence : les données stockées ont « grandies » et mes besoins ont évolués, je cherche à avoir une sécurité en cas de crash d’un des disques.

Du coté logiciel, l’OS des Synology (DSM version 4.2 à l’heure actuelle) fait très bien son travail. Il permet de gérer son espace de stockage et propose également des fonctionnalités (DNS, DHCP, LDAP, Serveur Mail, FTP, Web, etc…)  que l’on retrouve sur des OS comme Windows Server 2008/2012 ou sur des distributions Linux en version serveur. Hélas, seules les applications proposées dans le catalogue sont disponibles. Impossible d’héberger d’autres logiciels ou fonctionnalités ce qui constitue à ce niveau là une grosse restriction et un manque de flexibilité.

{rokbox}ressources/nas/Capture4.png{/rokbox}

Mes besoins ayant évolués, il faut maintenant que je cherche quelque chose qui corresponde à ce que je recherche, et si possible que cela ne me coûte pas un bras !

Ce qu’il est important de se poser comme question c’est par exemple :

– quelle capacité de stockage me faut il ? (anticiper un éventuel besoin grandissant futur)

– mes données ont elles besoin d’une sécurité avec un RAID 1 ou 5 (les photos de famille, ça n’a pas de prix…)

– une solution clé en main type Synology ou alors une installation perso avec une mini baie de disque ?

– quel est mon budget ? est ce que j’achète la totalité du NAS en une fois ou alors j’y vais par pallier en faisant évoluer l’espace de stockage ?

– de quelle connectivité ai-je besoin ?

Bref, de nombreuses questions sont à se poser pour ne pas se tromper dans le choix de notre nouveau jouet car c’est représente un investissement conséquent.

Aujourd’hui, après m’être posé un certain nombre de questions, voici mes besoins : 

– sécurité des données (RAID / Antivirus)

– capacité de stockage supérieure à 4To (capacité actuelle de mon Synology)

– évolutivité

– partage multimédia (UPnP/DLNA)

Enfin, quant à savoir si je veux une solution clé en main ou une solution HomeMade, je dirais que peu importe. Je choisirais ce qui me correspond au mieux et surtout c’est le prix qui fera toute la différence.

Dans les prochains articles, je vous ferais partager l’avancée de mes recherches et tests qui vont m’aider à déterminer les fonctionnalités, la capacité, le modèle, etc… qui caractériseront mon futur NAS.

A très bientôt !

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Ayant passé mon laptop sous Windows 8 il y a quelques mois maintenant, j’ai rencontré quelques soucis de connexion à mon compte Mojang lors de l’utilisation du launcher Minecraft : Feed The Beast. Je vous ai donc préparé un petit tutoriel pour vous indiquer la marche à suivre pour résoudre ce problème…

Tout d’abord voici ma configuration logicielle : Windows 8 + Kaspersky Internet Security 2013 + Java + FTB Launcher. Kaspersky Internet Security étant installé, le pare feu de Windows 8 n’est donc pas utilisé, malgré tout, si vous ne disposez que du pare-feu Windows 8 de base, j’ai eu quelques remontés d’autres utilisateurs qui ont rencontré un problème similaire donc adaptez le tutoriel à votre configuration.

Lorsque j’ai essayé de lancer FTB (n’importe quel pack de mods), j’ai eu droit à un joli message d’erreur m’indiquant que les serveurs Mojang sont éteints :

{rokbox}ressources/ftb_k/FTB_login_error.PNG{/rokbox}

Après vérification avec le Minecraft de base, je constate bien qu’il n’en est rien. Du coup, en analysant un peu les phrases en rouge, j’ai l’idée de désactiver temporairement Kaspersky et là tout fonctionne… Le pare-feu se remet en route, pas de déconnexion des serveurs, c’est donc bien un problème de liaison avec les serveurs d’authentification. 

J’ai donc édité les paramètres de mon pare-feu comme suit :

– ouvrez Kaspersky Internet Security et cliquez sur « Configuration en haut à droite ».

– ensuite, dans le menu de gauche sélectionnez « Contrôle des applications ».

Kaspersky Configuration

 

– Puis allez dans « Applications », sélectionnez « Toutes les applications » et cherchez « Oracle » puis « Java(TM) Platform SE Binary ».

Kaspersky Oracle Java

 

– Allez ensuite dans « Exclusions » et cochez « Ne pas analyser le trafic réseau ». A ce stade là, si vous validez, votre problème est résolu mais nous allons limiter cette règle pour la rendre moins permissive.

Kaspersky Regles

 

– Cliquez sur « N’importe quelles adresses IP distantes » puis sur « ajouter » et entrez l’adresse suivante : 23.21.145.38. Il s’agit de l’IP du site minecraft.net.

Kaspersky URL Minecraft

 

– Validez l’ensemble des fenêtres ouvertes, relancez le FTB Launcher, tout devrait à nouveau fonctionner.

Bon jeu !

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Bonsoir à tous, un petit article avant de rattaquer une nouvelle semaine pour vous parler d’une petite astuce qui permet d’empêcher les lags avec VLC quand vous souhaitez lire des .mkv volumineux sur un PC doté d’une faible puissance…

C’est quand ma copine a voulu regarder un film sur son mini PC portable (peu de puissance et de ressources disponibles donc) que le problème est apparu. Le film saccadais comme pas possible, il était donc impossible de le regarder dans de bonnes conditions. Après quelques recherches, j’ai fini par trouver la solution. L’astuce est toute simple et devrait convenir à toutes les machines de faibles puissances rencontrant des soucis de lags. Pour résoudre le problème, il suffit de décocher une option dans les réglages du logiciel et voici comment procéder :

Dans le menu « Outils », cliquer sur « Préférences » puis aller à la rubrique « Lecture et Codecs ». Décocher ensuite l’option « Précharger les fichiers MKV qui sont dans le même dossier » et enfin enregistrer.

{rokbox}ressources/vlc-prechargermkv.jpg{/rokbox}

La lecture des .mkv devrait à nouveau avoir retrouvé sa fluidité d’antan !

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