Commandée lors de la Paris Games Week 2013, j’ai reçu mon pack Xbox One + Call of Duty Ghosts le jour de sa sortie mondiale et n’aimant tester ce genre de produit à la va vite après 1h d’utilisation où l’on n’a pas le temps de tester les choses en profondeur, j’ai préféré prendre mon temps afin d’avoir un peu de recul.

Déballage

Le package contient les éléments suivants :

– La console Xbox One

– Le capteur Kinect 2.0

– Une manette

– Un micro casque filaire

– Un câble HDMI

– Un câble d’alimentation

– Un bloc d’alimentation

– Le code de téléchargement du jeu Call of Duty Ghosts

– Un code pour un abonnement de 14 jours au Xbox Live

Premier constat : les dimensions imposantes. Que ce soit la Xbox en elle-même, le capteur Kinect ou le bloc d’alimentation, on est bien loin de la taille du modèle d’avant, la Xbox 360 Slim. J’ai même bien cru à un instant qu’elle ne rentrerait pas dans mon étagère !

Xbox One : un design carré et massif

Son design est plutôt massif, carré et entièrement noir, alternant brillance et mât. Exit le tiroir du lecteur dvd, on alimentera maintenant le lecteur Blu-ray de la console par une fente située en façade.  Les grilles d’aérations sont situées sur la moitié du dessus et sur les côtés pour assurer une ventilation optimale.

La manette a quelque peu évoluée. Design et matériaux retravaillés, la manette s’adapte parfaitement à ma main et est très agréable au toucher. J’avais déjà eu l’occasion de l’avoir en main et de la tester lors de l’événement Area One à Paris et je retrouve exactement le même plaisir. Elle est un cran au-dessus de la manette 360.

Concernant la connectique, on retrouvera sensiblement la même que sur la Xbox 360 à quelques ajouts prêts :

– Port d’alimentation

– Port HDMI Out

– Port S/PDIF

– 2 ports USB à l’arrière et un sur le coté

– Port pour le capteur Kinect

– Port pour un capteur infrarouge déporté

– Port RJ45

– Port HDMI IN

Xbox One : une connectique complète

Ce dernier port est la grande nouveauté, il permet de brancher un décodeur TV pour l’afficher et le piloter directement depuis la console. C’est pratique lorsque l’on veut tout au même endroit mais l’inconvénient c’est que pour regarder la TV, il faut impérativement allumer la console.

Pour 530€, on notera que le package est tout à fait correct et on est en présence d’un produit d’une grande qualité. J’aurais néanmoins beaucoup apprécié qu’il contienne les éléments suivant à la vue de son prix tout de même élevé :

– Un abonnement de 6 mois ou un an au Xbox Live en lieu et place de la période d’essai de 14 jours… C’est du contenu numérique et ça ne coûte rien en termes de production.

– Une manette avec une batterie rechargeable d’origine. Cela aurait permis d’entrée de jeu de s’affranchir des piles et d’éviter d’avoir à acheter un kit play and charge à 20€…

Le branchement des divers éléments est aisé et en 10 minutes, la console est prête à être mise sous tension.

 

Déballage

Microsoft a conservé le petit son de mise sous tension, la console démarre et elle commence par télécharger et installer la mise à jour promise par Microsoft. Avec la fibre, il faut environ un petit quart d’heure pour télécharger et installer le patch mais de nombreuses personnes disposant d’un accès ADSL à faible débit se sont plaintes de la durée de mise à jour…

Place à la configuration initiale avec les options habituelles et quelques innovations concernant le mode de fonctionnement de la Xbox One. En effet, afin de rendre les mises à jour du système transparentes et nous éviter un temps d’attente avant utilisation, Microsoft a eu la bonne idée de nous proposer de choisir le mode de fonctionnent de notre console en nous proposant 2 choix :

– Mode éco : démarrage plus lent avec interruption pour appliquer les mises à jour

– Mode instantané : Démarrage plus rapide, téléchargement et installation des mises à jour automatique

Le choix du deuxième mode est parfait pour ceux qui ne souhaitent jamais attendre mais risque d’alourdir (légèrement) la facture électrique, obligeant la console à rester sous tension en permanence.

Après quelques minutes passées à régler les options de la console, me voici enfin sur l’interface de démarrage… Au final, il m’aura fallu environ 45min du déballage à l’arrive sur le dashboard ce que je trouve plutôt rapide pour une mise en route initiale (merci la fibre…).

 

Prise en main

Lorsque l’on est habitué à l’interface de la 360, cette nouvelle interface basée sur celle de Windows 8 fraichement sorti est un peu déroutante.

Pour l’interface à proprement parler, je ne me fais pas trop de soucis. Je dirais qu’elle est encore en phase de développement, peu d’options pour la personnaliser à notre guise et certaines fonctionnalités sont encore manquantes. Mais il s’agit d’une partie entièrement logicielle qu’il est facile de faire évoluer lors de mises à jours futures, ce qu’a déjà commencé à faire Microsoft lors de son dernier patch.

A l’heure actuelle, il n’est pas possible de paramétrer dans les moindres détails les tuiles que l’on souhaite afficher ni d’affecter un code couleur personnel ou encore un fond d’écran. J’espère que ces possibilités de customisation nous seront offertes dans le futur afin que chacun puisse adapter SON profil à SA personnalité.

Je configure ensuite rapidement mon compte Xbox Live et on me propose de paramétrer Kinect.

 

Kinect, ce big brother

Le fameux Kinect, celui qui a fait couler tant d’encre et levé tant de boucliers… Big Brother is watching me ! (au même titre que Facebook, Google et cie…)

Xbox One : Kinect is watching you !

Trêve de plaisanterie, la caméra s’allume et me demande de me placer devant elle afin qu’elle puisse me reconnaitre. J’ai également droit à un petit cours accéléré concernant les différentes vocales permettant d’effectuer les tâches courantes telles qu’allumer ou éteindre la console, lancer une application, se rendre dans le magasin Xbox…

Parlons-en justement de cette reconnaissance vocale. Je vois beaucoup de tests « minute » (ceux publié 2h après le déballage de la console) qui vantent les méritent de Kinect et sa reconnaissance vocale.

Je ne suis pas de cet avis malheureusement. Trop souvent, j’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois avant que ma console ne daigne démarrer grâce à la commande qui lui est associée. En revanche, pour naviguer dans le dashboard, lancer un jeu ou même dans certains jeux, je dirais que cela fonctionne plutôt bien… Lorsqu’on prend la peine le bien prononcer chaque commande avec une voix calme et posée.

En revanche, dans les jeux, l’interaction vocale via Kinect est assez bluffant ! On peut invectiver les boss, attirer l’attention des ennemis, etc… Au début, je n’ai pas vraiment utilisé cette fonctionnalité car j’avais peur d’être ridicule à parler à ma TV, et puis je me suis pris au jeu. L’inconvénient de cette fonctionnalité se rencontre en revanche le soir, lorsque la maison dort, il est alors difficile de parler à voix haute…

Et pour mémoire : il n’est plus nécessaire d’avoir Kinect connecté à la console pour que celle ci fonctionne (cela fait partie des nombreux revirements parmi les décisions de Microsoft).

 

Mais Kinect ce n’est pas que cela.

Le capteur est également capable de reconnaitre les QRCode. Inutile me direz-vous ? Pas tant que ça… En effet, les cartes d’abonnements, les jeux ou contenus à télécharger vendus sur de petites cartes en cartons, disposent non seulement d’un code à 25 caractères que l’on peut entrer caractère par caractère sur le site ou le dashboard, mais également d’un QRCode. Ce code, une fois placé devant l’œil de la caméra, est lu, analysé et permet de lancer le téléchargement du contenu qui lui est associé. Simple, rapide, efficace !

Comme je le disais plus haut, le capteur est également capable de nous reconnaitre (aller arrêtez de flipper un peu… vous traversez la route tous les jours !) et dans ce domaine, je dois avouer qu’il est vraiment redoutable.

Reconnaissance initiale : en tee shirt sans lunette, sans barbe.

Première tentative : en sweat, sans lunette, sans barbe. Succès !

Deuxième tentative : en sweat, avec lunette, sans barbe. La console m’a demandé de confirmé que c’était bien moi. Elle m’a reconnu, mais a préféré me demander la confirmation. Pas mal !

Troisième tentative : en sweat, sans lunette, avec barbe. La console ne m’a pas reconnu et j’ai été obligé de lui indiquer que c’était moi.

Depuis, elle me reconnait sans problème, quelle que soit ma tenue, mon port de lunette ou la taille de ma barbe. On sent que la caméra Kinect 2.0 a un très gros potentiel, espérons juste que les développeurs en tirent parti dans leurs prochains titres.

 

Silence !

Alors que j’étais habitué à une 360 ayant tendance à souffler fort pour expulser l’air chaud (très chaud ?) et à faire vrombir régulièrement le lecteur de DVD pour ses accès en lecture lorsque l’on n’installe pas les jeux sur le disque dur, j’ai été plus que surpris d’être obligé de tendre l’oreille tout prêt de la console pour l’entendre ronronner.

Je me suis tout d’abord dis qu’étant sur le dashboard, il était normal qu’elle ne peine pas trop. Je passe donc mon QRCode Call of Duty Ghosts, patiente pendant le téléchargement et l’installation du jeu et c’est parti pour une petite tuerie !

A ma grande surprise, la console reste silencieuse. Même après quelques heures, elle ne bronche pas. Vraiment plaisant !

Niveau température, elle ne chauffe pas outre mesure. Le flux d’air doit être assez bien optimisé et l’air chaud est expulsé par la grille supérieur, celui-ci allant toujours vers le haut, l’emplacement de la grille et l’orientation du flux d’air est donc plutôt bien pensé (nombre de boitiers PC ne proposent toujours pas de grille en haut de leurs boitiers…).

Et le lecteur Blu-ray dans tout ça ? Lui aussi, il se révèle plutôt silencieux que ce soit lors de l’installation initiale d’un jeu ou lors d’une partie. N’ayant pas de disque Blu-ray à disposition, je n’ai malheureusement pas pu tester la lecture d’un film.

 

Une console multimédia

La possibilité de connecter le décodeur TV sur la console permet d’avoir la TV sur la console de jeu, concentrant tout sur un seul et même périphérique. L’ancrage TV ravira ceux qui veulent garder un œil sur la TV tout en jouant mais ne sera pas ou peu utilisé par les gros gamers qui au fond s’en fichent de la TV…

L’ancrage ne se limite pas qu’à la TV car il est également possible d’ancrer Skype et de poursuivre sa partie tout en tchatant vocalement avec un ami ou sa famille.

Skype est une composante importante dans le système de Microsoft. Racheté par la firme de Redmond, le logiciel de visioconférence tire parti de Kinect pour la partie audio et vidéo. Lors de discussions vidéo, le capteur de la caméra va suivre l’interlocuteur pour qu’il soit en permanence au centre de l’image. Si c’est un groupe de personnes qui est face à l’écran, Kinect est non seulement capable de s’adapter pour afficher l’ensemble du groupe, mais il fera également parfois le focus sur la personne ayant pris la parole.

La possibilité de connecter un décodeur TV et la présence de Skype par défaut sur la Xbox One lui confère déjà une bonne dimension multimédia mais Microsoft ne doit pas en rester là pour continuer de conquérir les foyers. Pour ma part, je n’utilise encore que très peu les fonctionnalités multimédia qui se résument à une session Skype de temps à autre.

 

Verdict

La Xbox One est un peu massive, au design réussi avec des accessoires ayant une finition excellente. Niveau performance, on sent qu’elle en a sous le capot mais que ce potentiel ne sera pas exploité pleinement dans l’immédiat. Kinect est assez précis, aussi bien pour la reconnaissance vocale que vidéo et dispose d’un potentiel que les développeurs devront plus exploiter dans le futur.

La dimension multimédia, déjà présente avec l’ancrage de la TV lors d’une partie est un plus qui devrait séduire les foyers qui ne cherchent pas qu’une console de jeu et sera d’autant plus renforcé à la fin de l’année lors de l’arrivée de Netflix en France.

Pour son prix, on aurait aimé avoir une manette incluant par défaut une batterie rechargeable, cela aurait évité des frais supplémentaires (environ 20€) pour un kit play & charge. Mais forcément, cela aurait fait moins de ventes d’accessoires pour Microsoft.

Tout ce qu’on attend maintenant, ce sont des jeux qui exploitent beaucoup plus les possibilités de la Xbox One et qui dévoileront pleinement son potentiel.

Si vous ne vous êtes encore décidé ni pour la Xbox One ni pour la PS4, patientez encore un peu, presque tous les jeux sortant sur la next gen sortent aussi sur l’ancienne génération, Xbox 360/PS3. Pour ma part, je suis satisfait de mon achat mais j’attends tout de même de vrais jeux next gen.

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Il y a quelques semaines, EA et Mythic, une filiale de EA Games à l’origine du développement de Dark Age of Camelot, ont décidé de ressusciter un titre du célèbre Peter Molyneux : Dungeon Keeper !

Développé à l’époque par Bullfrog et édité par EA, ce jeu, avec son univers heroic-fantasy, vous permettait d’incarner le gardien maléfique des souterrains d’un donjon (d’où le nom Dungeon Keeper : Gardien du Donjon) qui doit gérer l’intendance, l’aménagement, la population et bien entendu la protection de son domaine.

Les graphismes ont été retravaillés pour s’adapter aux nouvelles technologies et nous offrir ainsi un jeu somme toute assez joli, bien loin de l’univers pixelisé d’il y a 15 ans. Vous aurez la possibilité de recruter des diablotins pour effectuer vos basses besognes telles que la construction, l’évolution ou le minage et devrez par la même occasion leur rappeler régulièrement qui est le maître en les tabassant pour qu’ils gagnent en efficacité (oui, je sais, c’est paradoxal). Le temps de construction ou de minage dépend de la nature de l’objet à construire ou à miner et bien sûr, plus vous ferez évoluer vos bâtiments, plus chaque évolution prendra du temps (et des ressources) !

Dungeon Keeper sur Android et iOS

Mines d’or, carrières de pierre, pièces aux trésors et ateliers divers ne manqueront malheureusement pas d’attiser les convoitises, c’est pour cela qu’il faudra également construire des défenses pour repousser l’envahisseur. Quand je parle d’envahisseur je fais bien sûr allusion aux autres joueurs qui pourront vous attaquer quand bon leur semblera, à vous de faire ce qu’il faut pour vous protéger. Vous pourrez par exemple construire des tourelles, des portes ou encore des herses, mais également recruter tout un tas de serviteurs plus ou moins coriaces pour veiller sur votre trésor.

Outre le « PvP », vous aurez également le loisir de réaliser la quarantaine de missions qui composent la campagne du jeu et qui deviendront de plus en plus dangereuses et lucratives à mesure de votre progression. Vous devrez pour cela impérativement entraîner une petite troupe capable de défaire n’importe quel équipement du donjon attaqué ou de protéger farouchement le votre en fonction du type de mission.

Enfin, pour ceux qui n’ont pas le temps d’attendre mais qui ont de l’argent, vous pourrez vous ruer sur les micro-transactions pour acheter des gemmes, sésame magique qui vous permettra de terminer les constructions, les évolutions ou encore le minage instantanément.

Proposé gratuitement sur Android et iOS, je vous recommande chaudement ce jeu qui m’a fait passer dernièrement quelques heures sympathiques. Compatible smartphone et tablettes.

Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.ea.game.dungeonkeeper_row&hl=fr

Apple Store : https://itunes.apple.com/ca/app/dungeon-keeper/id659212032?mt=8

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Ayant récemment reçu un Samsung Galaxy Note 3 dans le cadre du programme Samsung Reporter, il fallait impérativement que je le protège afin de le garder en bon état. J’ai décidé de tester une coque au choix parmi le catalogue de Mobilefun.fr et mon choix s’est orienté vers une coque Spigen « Neo Hybrid ».

Dès ouverture du colis, on voit tout de suite qu’il s’agit d’un produit haut de gamme. Emballage ultra soigné en plastique rigide, son ouverture confirme la première impression avec la présence d’un certificat d’authenticité ! 

 Coque Galaxy Note 3 Spigen : Emballage

Le certificat ne sert pas à enregistrer le produit auprès du fabricant, seulement à vérifier que le produit que nous avons entre les mains n’est pas une contrefaçon :

 Coque Galaxy Note 3 Spigen : Certificat d'authenticité

La coque Spigen « Neo Hybrid » est livrée en 2 parties à assembler. La première partie est le contour, constitué de polycarbonate et décliné en différentes couleurs (Champagne, Rouge, Blanc, Metal, Jaune et Argent), il est assez rigide et protégera sans aucun doute le téléphone en cas de chute involontaire. La seconde partie, le dos, est en TPU, un élastomère thermoplastique de polyuréthane, un plastique souple moulé qui rend la coque insensible aux changement de température, l’empêchant ainsi de se déformer sous l’effet de la chaleur.

L’arrière de la coque est d’un noir mat, peu sensible aux traces de doigts ou aux rayures et très agréable au touché. Il confère au téléphone une touche classe et sobre tout en le protégeant efficacement.

La mise en place de la coque sur le smartphone est aisée, s’ajustant parfaitement au téléphone. Les boutons et les trous correspondant aux différents connecteurs sont bien positionnés et ne gênent en rien le branchement de l’alimentation secteur ou des écouteurs, ou encore la sortie du stylet. De plus, la finesse de la partie arrière de la coque Spigen, dégageant bien l’objectif du téléphone, ne risquera pas de créer d’ombre ou d’effet bizarroïde sur les photos prises.

Coque Galaxy Note 3 Spigen : Emplacement de la connectique

Après une semaine d’utilisation, je dois dire que je suis très content de mon choix de coque. Pour environ 25€, vous aurez une coque qui n’alourdit et n’agrandit pas trop un Galaxy Note 3 déjà imposant tout en le protégeant parfaitement. Ayant déjà recommandé le produit à une collègue de boulot, je ne peux qu’en faire de même avec vous !

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J’ai testé pour vous un dock pour tablettes et smartphones qui m’a été proposé par la boutique en ligne mobile fun (toutes les photos sont en bas de l’article).

C’est la marque Gumbite qui propose un dock « Docki » accompagné de son stylet « Styli ». Le dock est livré en kit et ne demande que quelques minutes à monter ce qui est un excellent point. Une fois monté, le dock ne présente pas de jeu dans sa structure et supporte sans problème une tablette 10.1 pouces comme ma Galaxy Note 10.1 par exemple.

L’encombrement sur le bureau n’est pas trop handicapant, voici ses dimensions exactes :

Largeur : 22.5 cm

Profondeur : 11 cm

Hauteur : 6 cm

Le docki permet d’accueillir une tablette 10.1 pouces à l’horizontale ou bien à la verticale avec un smartphone ou encore 2 smartphones côte à côte. L’espace à l’arrière du dock permet de ranger quelques accessoires de petite taille (câbles enroulés, chargeur…) ou bien de la monnaie, des clés, des tickets de métro…

 

La rainure permet de passer les câbles pour mettre les périphériques en charge lorsqu’on les pose sur le dock pour les mettre en charge ou les connecter à l’ordinateur. C’est ce qui fait la différence entre un support et un dock et c’est un bon point. Hélas, cet avantage est aussi un inconvénient… En effet, la prise du câble une fois connectée à notre périphérique ne permet pas à celui-ci de reposer sur le dock et il reste donc en équilibre appuyé sur le câble de charge :

Dock smartphone et tablette : problème de cable

Et le stylet dans tout ça ? Le Styli est agréable avec une bonne tenue en main. D’un diamètre plus important que celui du stylet livré avec ma Galaxy Note, je le préfère à ce dernier pour son confort d’utilisation.

La pointe n’est pas faite d’un plastique dur comme celui d’origine. Elle est constituée d’un caoutchouc très souple et est également beaucoup plus épaisse. Cette matière est assez déroutante lors de l’utilisation car on est bien loin du touché d’un stylet classique ou bien d’un stylo et on se rapproche de celui d’un pinceau assez raide.

Pour l’écriture comme la prise de note, il n’est pas aussi précis qu’un stylet à pointe raide et pose quelques problèmes d’adaptation à la sensation lors de l’écriture. En revanche, et bien que je ne sois pas un excellent dessinateur loin de là, je trouve qu’il est beaucoup plus pratique pour dessiner, colorier ou encore esquisser, et permet notamment plus de nuances de teintes et de densités sans avoir à les modifier dans le logiciel.

Bien que ce dock présente quelques points négatifs, je pense qu’il vaut son prix d’environ 20€ et rempli parfaitement son rôle, bien qu’aujourd’hui il me serve plus de support que de dock à proprement parler.

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Ce soir, vendredi 10 janvier 2014 à 18h, démarre la BETA fermée du prochain jeu de Bethesda et Zenimax : The Elder Scrolls Online, un MMORPG se déroulant dans le monde de Tamriel.

Si comme moi vous avez eu la chance de recevoir une clé d’accès, je vous propose que nous explorions les contrées hostiles ensemble et que nous nous retrouvions sur Teamspeak pour discuter. J’ai déjà quelques amis qui devraient me rejoindre donc plus on est de fous plus on rit !

Exe's Teamspeak Server TeamSpeak Viewer

Le mot de passe du serveur est : exeserveur1337

Le serveur vocal est un serveur Teamspeak 3 et les canaux dédiés aux joueurs de la BETA sont protégés par mot de passe pour respecter le NDA de Bethesda (je suis en train de voir avec eux si je dois les laisser ou non). Je serais probablement connecté une grosse partie du week end, donc n’hésitez pas à m’envoyer un petit message sur Teamspeak pour que je vous switch de canal.

Si vous souhaitez que nous jouions ensemble (sans forcément passer par Teamspeak), je vous invite à me contacter par Twitter : @exeprod.

Pour vous repérer dans le monde, voici la carte virtuelle du jeu : http://elderscrollsonline.com/fr/map/tamriel

A très bientôt, sur les plaines de Cyrodiil…

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Aujourd’hui, j’ai testé pour vous le répéteur Wifi NetGear WN3000RP…

Qu’est-ce qu’un répéteur wifi ?

C’est un équipement, qui une fois branché et connecté à votre réseau local, vous permet d’étendre la couverture sans fil de votre routeur wifi. Cela permet d’avoir une meilleure qualité du réseau wifi au sein d’un appartement ou d’une maison et de fournir dans des zones de l’habitation qui ne serait pas couvertes par votre box Internet. Ce type d’équipement est universel et fonctionne avec quasiment tous les routeurs wifi disponibles sur le marché.

Répéteur Wifi NetGear WN3000RP étend le réseau

 

Son design est sobre, tout blanc avec ses deux antennes wifi. On aurai pu peut être espérer un équipement un peu plus compact mais c’est de l’ordre du détail. Il est muni de 4 voyants (statut de la connexion avec la box, mise en tension on/off, statut de la connexion avec le PC et le voyant d’état du WPS), de 3 boutons (on/off, connexion WPS et Reset) et d’un port Ethernet.

Les LEDs permettent d’avoir une indication sur la puissance du signal wifi source, changeant de couleur en fonction de l’éloignement de la box internet. Plus vous serez loin ou vous capterez mal le signal, plus le voyant deviendra orange.

Mise en place

La mise en place est très simple ! A quelques détails prêts… Pour que le répéteur wifi fonctionne, il suffit de le brancher à une prise électrique dans une zone couverte par le wifi de votre box internet. Pas besoin de câble réseau supplémentaire, le répéteur wifi se connecte et se synchronise automatiquement au wifi de votre box internet. Une fois la synchronisation effectuée, vous pouvez constater que le signal wifi disponible est plus fort qu’auparavant et que vous captez maintenant le signal dans des zones plus éloignées de votre box internet.

Le répéteur wifi NetGear WN3000RP à l'oeuvre

 

Le boitier NetGear WN3000RP dispose également d’une prise réseau permettant de connecter un équipement directement sur le répéteur wifi, le faisant ainsi fonctionner en mode bridge. Vous aurez dans ce cas précis un débit identique à celui du wifi.

Répéteur wifi NetGear WN3000RP

 

Au niveau du débit, c’est tout a fait correct et cela permet d’approcher la vitesse maximale proposée par le module wifi de la box internet donc très peu de perte sur le signal original. Sur le screenshot qui suit, on peut clairement voir que l’extension de réseau a un signal plus fort que celui de la box internet :

Le répéteur NetGear WN3000PR en action

 

L’inconvénient de cet adaptateur, c’est l’obligation d’utiliser le mode WPS de votre box. Pas bien gênant pour la plupart des utilisateurs me direz-vous, mais pour ceux qui veulent garder le contrôle des équipements qui se connectent à leur réseau, ils devront réaliser une réservation par adresse MAC au niveau de leur box internet !

Parlons maintenant du prix de l’équipement : une trentaine d’euros ce qui est dans la moyenne de prix de ce type d’équipement ou même dans la moyenne de prix des équipements réseaux grand public (switch, plug CPL…) ce qui est tout à fait raisonnable !

Si vous cherchez à couvrir une partie hors limite de box de votre domicile, je ne peux que vous conseiller ce petit boitier.

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Alors que le roi Loeb a laissé son trône cette année à son successeur, Milestone se dresse face à la Next Gen et nous sort WRC4 sur Xbox 360, PS3 et PC…

Ayant reçu une copie du jeu, je me devais d’en faire le test, surtout que j’avais bien accroché lors de la preview en septembre.

 

Des modes de jeux variés mais…

WRC4 ne propose pas que des enchainements de courses bien au contraire. On peut distinguer 4 modes principaux.

Le mode « Spéciale rapide » est clairement fait pour les joueurs pressés. Une spéciale est choisie au hasard parmi toutes celles disponibles et c’est parti ! Aucun réglage, aucune préférence à choisir, vous sélectionnez ce mode et vous atterrissez directement derrière le volant.

Le mode « Rallye » vous permet déjà plus de largesses. Vous pouvez sélectionner d’effectuer une seule spéciale, un rallye complet ou encore un championnat complet et avez le choix du pilote parmi tous ceux engagés sur la saison WRC 2013, ce qui laisse pas mal de possibilités différentes !

Le mode multijoueurs vous permet d’affronter en ligne jusqu’à 16 adversaires ou 4 chez soi dans son canapé en hot seat (jeu à tour de rôle). Ce mode permet d’allonger considérablement la durée de vie du jeu.

Je vais terminer par le mode « Carrière », la partie « histoire » de WRC4. Vous commencez par sélectionner votre nom, votre photo de profil et votre agent. Ce dernier vous propose vos premiers contrats pour débuter en WRC Junior. En fonction de votre résultat pendant la saison, votre agent pourra vous proposer d’autres contrats plus ou moins prestigieux, vous permettant ainsi d’évoluer sur les différentes catégories : WRC Junior, WRC3, WRC2 et enfin la consécration ultime, le WRC. Championnat est reproduit à l’identique du circuit officiel et vous pourrez donc arpenter les 13 rallyes officiels.

WRC4

Hélas, je me suis beaucoup ennuyé lors de cette carrière pourtant prestigieuse. Les rallyes se suivent et se ressemblent, chaque rallye étant composé de 6 courses réparties sur 3 jours, avec possibilité de réparer et de régler sa voiture entre chaque journée. Monotone ! D’autre part, bien que les circuits ne soient pas identiques, j’ai trouvé qu’ils se ressemblaient fortement si on fait abstraction du changement de décors lié au pays, ce qui a installé chez moi un certain ennui.

Pour pigmenter un peu le jeu et tenter d’enrayer la monotonie, j’ai désactivé tout de suite toutes les aides à la conduite. Malgré cela, mes adversaires pourtant renommés n’ont rien pu faire et j’ai déchu le roi Sébastien Loeb de son trône en balayant le résultat officiel du circuit et en m’imposant à la première avec une avance plus que confortable sur le deuxième au classement.

 

Des graphismes corrects

Parlons des graphismes du jeu. Comme bien souvent, les éditeurs doivent faire un choix entre la qualité graphique et le réalisme de leurs jeux de simulation. J’ai réalisé une carrière complète, des débuts de pilote jusqu’à la consécration, et j’ai donc pu expérimenter tous les terrains, les changements climatiques ainsi que les différentes heures de la journée.

Commençons par l’aspect général des graphismes. Il ne faut pas se le cacher, l’environnement est correct, rien d’exceptionnel et on sent bien que la priorité n’était là. En revanche, la voiture pilotée est reproduite au pixel prêt et surtout très soignée.

Ce choix de priorités pour les graphismes est d’après moi payante. En effet, la seule chose qui ne bouge pas vraiment pendant les spéciales c’est la voiture. Le décor défile tellement vite que l’on ne prête pas attention à la qualité, à moins de s’arrêter pour contempler le paysage (genre quand on se prend un rail de sécurité ou que l’on se retrouve dans le fossé…).

Les cinématiques sont des vidéos enregistrées lors de la saison WRC2013 par conséquent, leur qualité est parfaite. L’intégration de vidéos « réelles » en tant que transitions sont plutôt un bon point.

Vous l’aurez compris, WRC4 ne transcendera pas le genre par ses graphismes car la priorité n’a clairement pas été mise ici. On peut espérer qu’un titre futur édité sur une console next gen pourra se permettre de ne faire aucun compromis.

Une petite vidéo pour vous montrer la qualité graphique du jeu :

 

Et le réalisme dans tout ça ?

Comme nous l’avait indiqué le game director de chez Milestone, le fer de lance de WRC4 c’est son réalisme. Mais qu’en est-il réellement ?

Toutes les marques engagées sur le circuit officiel en 2013 ainsi que les écuries, les voitures ou encore les pilotes sont présents dans le jeu. Les voitures sont extrêmement bien modélisées et les photos et vidéos diffusées entre 2 étapes sont également tirées de la saison WRC écoulée pour plus d’immersion.

Les réglages sont nombreux et précis, et les temps de réparation des différentes parties de la voiture correspondent au temps nécessaires aux mécaniciens œuvrant pour les pilotes dans les ateliers. Attention, si vous dépassez le crédit temps qui vous est alloué pour réparer votre véhicule, vous subirez une pénalité !

Tous les sons du jeu ont été enregistrés en conditions réelles d’après les informations du game director et j’avoue que le résultat est vraiment immersif. Si vous avez un système audio avec de bonnes basses, un siège et un volant et vous vous y croyez !

L’évolution de carrière dépendante de nos résultats est également une bonne idée là où de nombreux jeux de voiture ne proposent pas au joueur de choisir lui-même quelle carrière il souhaite embrasser ! Vous pouvez faire WRC Junior > WRC2 > WRC ou bien WRC Junior > WRC3 > WRC2 > WRC ou bien rester plusieurs saisons dans la même catégorie si vous le désirez : c’est VOUS qui avez le choix !

 

Quelques défauts et bugs

Aucun jeu n’y échappe, il y a forcément quelques défauts et bugs. Le bug qui m’a le plus dérangé, c’est l’arrêt des indications visuelles du co-pilote. A moins d’écouter attentivement sa voix, il devient alors difficile d’anticiper les virages. J’ai également été surpris dans certains virages, lorsque l’indication du co-pilote ne correspondait pas au virage ! Ça m’a fait tout drôle d’arriver pleine balle dans des virages en épingles indiqués comme virage « moyen ».

Un gros défaut pour moi : les temps de chargement. Quelle perte de temps ! Je n’ai pas chronométré sur un rallye complet combien de temps de chargement il y avait, mais sur la fin de ma carrière, j’avais quasiment atteint le fond de ma réserve de patience.

 

Pari réussi

Compte tenu de ce qui nous a été annoncé lors de la preview, je dirais que le pari de Milestone sur WRC4 est réussi.

Le jeu est relativement beau, assez réaliste avec une durée de vie correcte (compter une bonne dizaine d’heures pour une carrière expresse WRC Junior > WRC2 > WRC) et vous permettra de passer un bon moment. Malgré tout, les personnes à l’aise sur les jeux de course automobile risquent de s’ennuyer rapidement à cause du manque de difficulté évident (battre Loeb sur ses terres Alsacienne avec 1min d’avance, cela relève du miracle !).

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J’ai eu l’occasion de tester une enceinte Bluetooth Veho 360° M4, un des rares accessoires dont je ne disposais pas encore pour agrémenter mon smartphone ou bien ma tablette.

 

Le packaging est plutôt compact mais l’essentiel y est. Voici le contenu de la boite :

–          Une enceinte VEHO

–          Un câble USB/Mini USB

–          Un câble jack

–          Une housse de transport

–          Le manuel d’utilisation

 

Enceinte Bluetooth Veho 360° M4

 

L’enceinte prend la forme d’un cylindre de 6 cm de hauteur et de diamètre identique. Les 2 hauts parleurs sont situés dos à dos et sont protégés par une grille en métal peinte en noir encadrée en bas par une base en aluminium brossé et en haut par un cerclage de plastique noir.

Les commandes sont situées sur le dessus et permettent d’allumer/éteindre l’enceinte, de passer à la piste suivante/précédente et de monter/baisser le son. Lorsque l’enceinte est en fonction, le panneau de commande s’allume en bleu, plutôt esthétique dans la pénombre ou l’obscurité.

Outre la possibilité de connecter son enceinte à un autre matériel via le Bluetooth, elle dispose également d’un port MicroSD pouvant accueillir une carte mémoire remplie de notre musique préférée. Cela permet alors d’utiliser l’enceinte en stand alone, posée sur le bureau sans pour autant être obligé de laisser le Bluetooth activé en permanence sur son smartphone nous permettant au passage d’économiser la batterie de ce dernier. La batterie de l’enceinte est alors également préservée puisque le bluetooth est désactivable grâce à un bouton permettant de basculer entre les modes Bluetooth et MicroSD.

Enceinte Bluetooth Veho 360° M4

La connexion avec le smartphone est un jeu d’enfant et ne prend que quelques secondes. Ensuite, tout est très simple, le changement de piste et de volume s’effectue directement sur l’enceinte ou bien sur le smartphone et cela fonctionne à merveille. 

L’autonomie est correcte mais le temps de charge est un peu petit peu long. Il faut compter presque une heure et demi pour une charge complète via USB. Et quid de la qualité me direz vous ?

La qualité est plutôt bonne pour un appareil de cette taille. Bien sûr, lorsque l’on pousse l’ensemble des volumes à fond, on sature mais si vous cherchez un son de discothèque, vous vous êtes trompé de produit ! L’écoute à volume raisonnable reste très agréable et je me suis surpris a la laisser tourner en fond sonore, délaissant pour l’occasion mon casque (ce qui est extrêmement rare, je ne le quitte même pas quand je n’écoute rien !).

Enceinte Bluetooth Veho 360° M4

J’ai failli oublier de vous parler de son prix, autour de 35€. Le reste des photos est en bas de cet article.

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La société Magix, développeur de logiciels de création numérique, m’a une fois de plus sollicité pour que je test la dernière mouture de leur logiciel de montage vidéo : Magix Video Deluxe 2014

Une installation simple

A l’instar des logiciels Magix Music Maker 2013 et Magix Photo and Graphic Designer 2013, Video Deluxe 2014 est très simple à installer. Il suffit d’exécuter le logiciel récupéré sur le site de l’éditeur et l’intégralité des fichiers est alors téléchargée et installé sur votre disque. Une fois l’étape d’enregistrement passée, vous pouvez commencer à utiliser le logiciel. 

Une interface professionnelle

L’interface respecte le design type des autres logiciels de la marque : grise, sobre et sans fioriture. On retrouve une organisation similaire à celle d’une Adobe Première, la prévisualisation du projet en cours à gauche, la liste de vos fichiers importés à droite et la timeline en bas. Tous les outils nécessaires sont à portée de main ce qui rend le logiciel globalement assez intuitif, même si il est encore possible de faire mieux.

Magix Video Deluxe : Interface

 

De nombreuses fonctionnalités

La timeline gère jusqu’à 32 pistes différentes et l’on peut retravailler les couleurs, la luminosité, appliquer des filtres, etc… sur chacune d’entre elle. Même l’effet HDR (High Dynamic Range) est pris en charge ! Les transitions audio/vidéo sont celles que l’on retrouve dans tout bon logiciel de montage vidéo et la prise en charge du mode tactile (que je n’ai pu tester) de certains écrans / tablettes permet apparemment de piloter le logiciel du bout des doigts.

Magix Video Deluxe : Transitions

Une pléthore de titres différents est également mise à notre disposition et il y en a pour tous les goûts et tous les styles, avec bien évidemment les effets qui vont avec !

Magix Video Deluxe : Titres et effets

Le logiciel supporte les fichiers Full HD mais également les fichiers 4K et permet d’exporter ses montages directement vers YouTube, Vimeo, Facebook et également au format de votre choix.

 

Mais une ombre au tableau…

Forcément, il ne pouvait pas y avoir que des points positifs. Une fonctionnalité du logiciel représente pour moi un point faible du logiciel : il s’agit de la gestion des transitions vidéo. En effet, je n’ai pas trouvé l’utilisation de ces dernières aussi intuitive que le reste du logiciel. Il m’aura fallu un certain temps pour comprendre comment cela fonctionnait c’est dommage car cela gâche un peu le ressenti que j’ai pu avoir au final (mais je suis peut-être pas doué hein).

 

Un bon logiciel mais perfectible

Bien que rassemblant toutes les fonctionnalités d’un logiciel tel qu’Adobe avec certes une ergonomie peut être encore un peu perfectible sur certains point, Magix Video Deluxe 2014 n’a pas grand-chose à envier à la concurrence et a déjà tout ou presque d’un grand… sauf son prix ! En effet, la version standard du logiciel est proposée au prix de 70€ sur le site de l’éditeur.

Pour plus d’informations : http://www.magix.com/fr/montage-video/

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Vendredi soir, Margxt m’avait missionné pour la représenter à la soirée PS4 qui se déroulait à l’Appartement 4 près de Bastille à Paris…

[Vous retrouverez toutes les photos en bas de l’article. Elles ne sont pas libres de droits.]

19h00 pile, j’arrive à l’appartement presque en même temps que l’ami Liryc-sama que moi.

Appartement 4

A peine entrés, premier couac : photos des écrans interdites ! Etrange quand on sait que dans la soirée du concurrent, c’est no limite sur les photos (excepté pour Battlefield4), je me suis même fait reprendre pour une photo d’ensemble ! Bref… C’est parti pour les tests !

Appartement 4 : un décor sympa

On a commencé avec Drive Club, un jeu de simulation automobile et permettant de participer à divers défis en multijoueur avec un système de club permettant par exemple des courses à 3 contre 3.

Drive Club

1 circuit et 2 voitures disponibles, une fois le choix du bolide effectué, la course démarre. Le jeu est joli sans plus, pas de réel coup de cœur ou de choc émotionnel pour autant, il rivalise avec les jeux de la génération actuelle. Outre faire la meilleure performance au chrono possible, il faut également remplir des objectifs (drifts, trajectoires parfaites, vitesse…) pour accumuler des points de réputation qui détermineront également notre classement.

Jusque-là tout va bien, le feu passe au vert, j’enquille la première ligne droite et premier vira… a ben non le mur. Je retente ma chance sur le second vira… hop le bas-côté… Et bien sûr à chaque fois, dès qu’on fait une légère ou rapide sortie de piste, un compte à rebours irritant de 3s s’enclenche et nous replace automatiquement sur la route une fois écoulé… Pénible (surtout pour un jeu qui se veut être une simulation) !

Le freinage est très mal dosé, même en appuyant sur le bouton avec une grosse anticipation, impossible d’avoir une vitesse adéquate pour ne pas se foutre en l’air dans le virage. Du coup, j’ai dû modérer ma vitesse tout au long de la course. Idem dans les virages, on a beau jouer du stick, la voiture donne l’impression de tourner au ralenti…

Loin des sensations de course ressenties lors du test de WRC4, je m’étais engagé à fournir un avis presque objectif sur la soirée à Margxt (je suis plutôt Microsoft au cas où vous n’auriez pas remarqué) donc j’ai lancé une seconde course avec le deuxième bolide disponible mais même conclusion… Lyric-sama m’a un peu rassuré en ayant eu le même ressenti. Next !

Le deuxième jeu proposé était Hohokum, un jeu indépendant où l’on incarne un serpent que l’on doit diriger dans des niveaux ultra colorés.

Hohokum

Le but ? J’ai eu du mal à le saisir. J’ai juste compris qu’il fallait ramasser des pommes de pin permettant de déverrouiller certaines zones interactives de la map grâce à des pingouins situés sur notre dos. Un jeu zen mais qui ne nous à pas accroché plus de 10 minutes… Next !

Le jeu suivant est une bonne surprise. Il s’agit du jeu « Contrast » où vous incarnez Aube, une jeune femme énigmatique explorant le monde de Contrast. Il faut improviser avec les décors et les jeux d’ombres et de lumières pour avancer dans les niveaux qui nous permettront d’avancer dans l’histoire.

Contrast

J’ai testé ce jeu avec les lunettes que Sony est en train de développer et la démo en elle même était plutôt sympa avec des graphismes qui m’ont beaucoup comme l’ambiance où l’ombre est aussi importante que la lumière.

L'Oculus Rift version Sony

Si j’ai bien accroché avec le jeu, malheureusement les lunettes ne m’ont pas séduit loin de là. Lourdes, inconfortables avec une image tout juste moyenne, elles m’ont explosé les yeux ce qui a un peu gâché mon expérience de jeu. Contrast devrait être disponible sur Steam, Xbox 360, PS3 et PS4. Next !

Au premier étage, je tombe sur un jeu qui avait retenu mon attention lors de l’E3 : Knack.

Knack

On y incarne un petit bonhomme de bric et de broc qui doit ramasser des matériaux qui lui permettent de grandir mais son chemin est semé d’embuches et d’ennemis qu’il va falloir combattre grâce à des attaques plus ou moins dévastatrices.

La caméra non orientable nous a un peu dérangés au départ mais une fois la période de prise en main passée, cette gène s’est estompée et nous avons pris un réel plaisir à parcours le niveau disponible. Les graphismes sont plutôt réussis, l’ambiance à la sauce cartoon et le gameplay m’a beaucoup fait penser à un Fable par moment. Très plaisant ! Next !

Vous l’attendiez, le voilà… Je parle bien sûr d’Assassin’s Creed 4 : Black Flag.

Liryc-sama concentré sur Assassin's Creed 4

Ubisoft Montreuil avait fait le déplacement pour conseiller / surveiller les joueurs (rayez la mention inutile) ce qui nous a permis d’en savoir un peu plus sur le jeu. N’ayant pas encore joué à Assassin’s Creed 3, j’appréhendais la gestion des combats naval tant au niveau de l’intérêt pour la trame du jeu que pour la maniabilité. La démo commençant par l’attaque d’un fort en bateau, je vais avoir ma réponse très rapidement  !

N’étant pas habitué à la manette Playstation, il m’a fallu un petit temps d’adaptation avant de maitriser mon navire et ses canon mais je me suis ensuite vite rattrapé en coulant tout ce qui passait à portée et je suis ensuite passé à l’attaque du fort.

J’ai trouvé la maniabilité lors des phases de combats navals très bonne voir excellente, le système de visée pour les canons est assez simple, les graphismes sont magnifiques malgré une démo datant de plusieurs mois et j’ai trouvé l’ambiance pirate vraiment très plaisante. En plus de nos armes et combots habituels, de nouveaux enchainements ont fait leur apparition ce qui donne encore plus d’intérêt aux combats !

Coté IA, les ennemis ne sont plus aussi courtois. J’ai été souvent attaqué par plusieurs ennemis simultanément alors qu’auparavant ils ne nous attaquaient qu’un part un. Un bon point pour l’IA donc qui semble avoir subit une cure de jouvence et permet d’avoir des combats présentant une difficulté plus élevée !

J’ai également testé le mode « Open world » dans lequel Ubisoft a reconstitué la mer des Caraibes avec ses iles, ses épaves, ses requins et ses pirates ! On peut y naviguer, prendre les forts qui s’y trouvent, couler ou piller les bateaux ennemis et faire de la plongée pour explorer les épaves. J’ai adoré !

J’ai dû passer plus d’1h30 sur cette borne tellement j’ai accroché à ce nouvel opus… ^^’ Next !

La Playroom, j’ai fait l’impasse. J’ai regardé 3 min à quoi cela ressemblait et n’ayant pas du tout accroché, j’ai préféré passer mon chemin… Next !

Nous voilà arrivé sur Fifa14. L’ayant déjà testé sur PC je savais grosso modo à quoi m’attendre.

FIFA14 : au plus proche de la réalité

Bien que n’étant pas un grand amateur de ce genre de jeu (j’ai pris un joli 3-0 dans les dents), j’ai trouvé les graphismes et la modélisation des joueurs plutôt réussis, la maniabilité m’a semblé satisfaisante et du coup j’ai regardé lyric-sama et un autre pote s’affronter dans des matchs sans merci (il pleuvait des cartons) pendant une heure. Les stades sont vivants, la gestions de ralentis au top, cette petite session m’a presque donné envie de me le prendre !

Il y avait aussi une démonstration de Killzone Shadowfalls. Je dis démonstration car c’était bel et bien une démonstration : un mec jouait pour nous montrer les graphismes et les effets soignés ainsi que les possibilités. Désolé, je ne pourrais malheureusement pas vous en dire beaucoup plus car nous n’avons pas eu la chance d’avoir la manette en main.

Killzone Shadow Falls

J’ai presque failli oublier de vous parler d’un truc important : la console !

Le design est sobre et pas trop imposant et qui plus est, bien qu’il y avait quand même un peu de bruit dans l’appartement, la console m’a paru plutôt silencieuse. L’effet mat + brillant est du plus bel effet et devrait s’intégrer sans problème dans la plupart de nos salons.

Playstation 4

La prise en main de la manette Playstation m’a toujours posé un réel problème, peut-être trop habitué à celle de Microsoft que je trouve bien plus agréable à l’usage. J’ai trouvé que les sticks avaient tendance à être glissants. Un bon point lorsque l’on joue à plusieurs, par exemple à FIFA, l’éclairage de la manette change pour s’adapter à la couleur d’équipe ce qui permet de savoir qui est qui d’un seul coup d’œil.

Manettes Playstation 4

Le point noir : l’éclairage émis par la manette se reflète dans l’écran. Sur un jeu aux graphismes clairs, cela ne pose pas trop de problème lorsque l’on joue mais dès que l’image s’assombrit, dès que l’on bouge un peu la manette, la tâche de lumière projetée sur l’écran a tendance à attirer notre œil. Lorsqu’on est juste spectateur d’une partie, comme c’était mon cas pour FIFA par exemple, on a l’impression de ne voir que ça ce qui m’a vraiment dérangé pour ma part.

Pour conclure, mis à part AC4, Knack et Contrast, je n’ai pas été plus impressionné que ça par le contenu présenté lors de cette soirée organisée dans un lieu atypique de Paris. A la vue des photos et des tweets qui ont fusés, ça avait l’air d’être d’un tout autre niveau chez Microsoft !

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