Aujourd’hui, je vais vous parler de PokerStars.net, l’appli mobile du célèbre site de poker gratuit PokerStars.

Ce n’est pas une nouveauté en soi dans le paysage du jeu en ligne, mais à la vue du nombre croissant d’utilisateurs et des commentaires que l’on rencontre ici et là dans les forums, j’ai cru intéressant de vous faire part de mes impressions sur cette appli.

Il faut savoir que Bertrand Grospellier, alias Elky (Pro gamer sur StarCraft et l’un des meilleurs joueurs mondiaux de poker) a commencé sa carrière sur cette plateforme ! A l’époque, quand il s’ennuyait du manque de compétitivité dans les tournois StarCraft, il se laissait tenter par des tournois en ligne et c’est bien comme ça qu’il est devenu joueur pro de poker.

 

Téléchargement et prise en main

Pokerstars : test de l'application

Une fois l’application lancée, vous aurez à choisir entre plusieurs options :

« Ring Games / Hold’em / No Limit » et « Play Now« 

Ne vous inquiétez pas, même si vous ne comprenez pas de quoi il s’agit, des explications sont fournies pour mieux vous orienter.

Le plus simple serait de cliquer sur le premier pour démarrer une partie. Ce faisant, vous aurez le choix entre plusieurs modes de jeu comme le “Sit & Go” et le  “Zoom” (qui sont des tournois de poker). C’est bien ce mode qui vous permettra de jouer illico.

Chose surprenante, en vous connectant la première fois, vous serez étonnés de voir le nombre de tables actives. Selon Pokerstars, la plateforme réunirait quelques 10 millions de comptes et plus de 600.000 tournois joués chaque semaine ! Des tournois mêlant à la fois des professionnels mais aussi des amateurs et des newbies.

J’ai choisi une table au hasard entre un millier de table proposé. En sélectionnant l’option “Afficher les parties”, l’on peut assister à une partie en cours, palper son niveau et apprendre les combinaisons de poker (pour ceux qui ne maîtrisent pas encore le poker).

 

Game play

Pokerstars : test de l'application mobile

L’un des points forts de cette appli est que le temps de latence est réduit au minimum même à la vue du nombre important de joueurs connectés. En clair, ça ne lag pas même si vous êtes en période de grand rush. Toutefois en week-end, vous devrez patienter parfois quelques minutes avant de prendre part à un tournoi.

Aussi, le temps que prennent les autres joueurs d’une table avant de prendre la main est bien affiché. Par contre, si vous avez une connexion défectueuse, il vaudra mieux commencer par jouer avec de l’argent fictif avant de vous lancer dans les parties avec de l’argent réel. Ceci est également recommandé pour les novices.

 

Ergonomie

L’application reste fidèle à la charte graphique du site : sombre, épurée avec deux codes de couleurs présents tout au long des phases de jeu, le noir et le rouge. Les développeurs ont pu retranscrire avec brio l’expérience de jeu du site sur Smartphones.

Quelques effets sonores sont même ajoutés offrant plus de réalité et de convivialité.

 

Verdict

Une application complète qui séduira non seulement les professionnels et les amateurs de poker mais aussi les quelques curieux qui aimeraient juste passer du bon temps devant leurs Smartphones.

Testée sur un Samsung S5 et sur tablette Galaxy tab 3, l’expérience de jeu n’a rien à envier à celle du site web, je pense même qu’elle reste plus agréable que sur ordinateur.

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J’ai reçu il y a quelques semaines une manette bluetooth de la marque Ipega, compatible Android et iOS, l’occasion pour moi de vous en proposer un petit test.

Le package est assez réduit et contient les éléments suivants :

– La manette bluetooth

– le cordon de recharge

– une notice 

 

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

La manette semble d’assez bonne facture au premier coup d’oeil. Assez légère, elle tient bien en main, le pad directionnel et les boutons A, B, X et Y sont autant espacés que le stick analogique gauche et les boutons A, B, X et Y d’une manette de Xbox 360, coïncidence ? Je ne crois pas ^^ On trouve également 2 boutons LB et RB, 3 boutons Select, Start et Home ainsi que 2 sticks analogiques. Puisqu’on parle des sticks analogiques, il ne faut pas s’attendre sur ce point à des sticks qu’on pourrait retrouver sur une manette de console de salon car ils sont vraiment cheap…

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

Au niveau de la notice, on nous invite d’emblée à installer un logiciel. J’ai tenté le coup malheureusement, il est tout en chinois et demande des tonnes d’autorisations… Dans le doute, j’ai refusé et réinitialisé entièrement mon smartphone ^^. Pour choisir le mode de fonctionnement, il suffit de presser un des 4 boutons A, B, X ou Y et d’appuyer en même temps sur le bouton Home servant à l’allumage de la manette. L’appairage est ensuite rapide et facile comme tout bon produit connecté en bluetooth.

Le maintien sur le smartphone se fait grâce à un bras rétractable de 7cm de long qui permet de maintenir sans problème les smartphones de grandes tailles, y compris mon Galaxy Note 3 ! Une fois en place, rien ne bouge et l’ensemble est suffisamment équilibré pour ne pas avoir à trop forcer pour tenir l’écran dans une position confortable.

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

J’ai pu tester la manette sur Modern Combat et Asphalt, deux jeux Android. J’ai trouvé sur Modern Combat que la maniabilité était perfectible, dûe au fait des sticks « analogiques » trop bas de gamme qui accrochaient régulièrement lors de la visée. En revanche, dans Asphalt ils se sont révélés suffisants pour diriger les divers bolides à disposition. J’ai testé un ou deux autres jeux tels que BattleBears qui se sont révélés non compatibles… Dommage !

Proposé habituellement à un prix avoisinant les 35€, je ne peux vous recommander cette manette qui souffre malheureusement d’une maniabilité insuffisante de mon point de vue.

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J’ai eu la chance d’être sélectionné (au rattrapage il faut bien le dire) pour participer à cette 5e saison de testeur Sosh (pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, cet article n’est PAS sponsorisé). J’ai donc reçu début juin l’enveloppe contenant le fameux smartphone estampillé Sosh : le Soshphone 4G.

Le package :

La boite est colorée, à 100 lieues des emballages Samsung ou Apple.

Soshphone 4G : contenu du package

La boite contient :

le Soshphone
le chargeur et son cable micro-usb
la notice de base
l’outil pour extraire l’emplacement de la carte micro-SIM
des écouteurs main libre

 

 

Le design et l’affichage :

Bien avant de s’attarder sur le design, ce qui surprend avec ce téléphone c’est son poids… Au premier abord il est très léger. On se demande alors où se trouve la batterie… Pour preuve, ma copine a voulu l’avoir en main pour comparer avec le sien et a peine s’en était elle saisi qu’elle me demandait « mais si tu insères la batterie c’est plus lourd non ? » (j’ai ri). On retiendra donc sa légèreté qui est un excellent point pour ce smartphone.

Soshphone4G : un design sobre

Le design quand à lui est classique et sobre. Entièrement noir, le téléphone est dépourvu de tout bouton, même le « Home », sur la face écran. Il est entièrement fait de plastique qui est de bien moins bonne qualité que le plastique employé par Samsung par exemple ce qui lui confère un aspect un peu cheap… C’est dommage. Le plastique arrière est affublé d’un trompe l’oeil de carré qui donne un petit effet sympa :

Soshphone4G : le design arrière en trompe l'oeil

Dans l’ensemble, l’aspect général du téléphone, le côté cheap écarté, me plait beaucoup ! Ses dimensions (14cm de haut, 7 de large et 1 d’épaisseur) lui confère une taille idéale pour la prise en main. Concernant l’emplacement des prises, j’aurai pour ma part préféré avoir la prise casque en haut et celle pour le chargeur en bas mais c’est une question de goût… Malgré son coté un peu cheap, je trouve tout de même le design assez réussi.

Etant maintenant habitué à mon Galaxy Note 3, j’avais oublié ce qu’étais un écran de 5 pouces. D’une taille parfaite pour être manipulé sans problème d’une seule main, l’écran qui équipe le Soshphone 4G nous gratifie d’une résolution de 720*1280 qui permet d’afficher correctement la plupart des applications. Je dis bien la plupart car j’ai rencontré un petit soucis d’affichage avec Spotify lorsque le téléphone est verrouillé avec une image légèrement écrasée en largeur. En revanche pour la lecture de vidéo embarquée ou sur YouTube, j’ai été surpris de la très bonne qualité d’affichage du Soshphone qui pour le coup n’a rien à envier à la concurrence (dans le même ordre de prix). Les couleurs sont tout à fait correctes, assez vives et l’image agréable à regarder lors du visionnage de vidéos. Petit point positif d’un affichage de base plus sombre : l’autonomie préservée de la batterie, je vous en parle un peu après !

L’affichage est réactif malheureusement, je n’en dirais pas autant du tactile avec lequel je dois régulièrement reprendre les mots que je tape car il n’a pas pris en compte certaines des lettres que j’ai frappé… Contrairement à une dalle de smartphone haut de gamme, je trouve que l’écran du Soshphone « accroche » plus le doigt.

 

L’appareil photo : 

Correct mais pas exceptionnel, l’appareil photo se débrouille mieux en basse lumière que dans des endroits très lumineux mais laisse rapidement apparaitre du grain. Malheureusement, les couleurs restent tout de même bien plus froides celles rendues par d’autres capteurs. Voici une photo de mon chat prise le soir vers 19h sans lumière artificielle et sans flash, l’image reste vraiment lumineuse comparée au rendu d’autres capteurs :

Soshphone 4G : un capteur à l'aise en basse lumière

On a le choix entre 6 modes différents (Normal / HDR / Panorama / Portrait / Nuit / Paysage) et l’on peut appliquer des filtres artistiques (une dizaine de différents). La mise au point n’est pas toujours au mieux de sa forme et il faut souvent s’y reprendre à une ou deux fois pour obtenir une photo bien nette.

Fournissant des photos d’une résolution maximale de 3264*2448, l’appareil photo est en accord avec le prix du smartphone, pour dépanner il fera l’affaire mais ne remplacera pas un compact par exemple… Ci-après, un comparatif d’un panoramique fait avec le Samsung Galaxy Note 3 et du même panoramique fait avec le Soshphone4G :

Soshphone 4G : comparaison du mode panoramique

 

 

Les jeux :

Une autre partie importante d’un smartphone aujourd’hui : le jeu. Que ce soit dans les transports ou les salles d’attente, il n’est pas rare de voir quelqu’un dégainer son smartphone pour une petite partie de Candy Crush ! Voyons donc comment se débrouille le Soshphone…

Le jeu Sky Force passe nickel, pas de lags ni ne problème d’affichage ce qui est donc un excellent point pour ce smartphone à prix plancher ! Les couleurs sont belles et vives, seul petit point à soulever : le téléphone a tendance à chauffer un peu lors de l’utilisation de ce jeu mais j’ai le même ressenti sur mon Note 3.

J’ai également testé Daily Kitten, une sorte de tamagoshi félin qui nous a été recommandé par Sosh. La encore ca passe tranquille sur le smartphone mais vu le jeu, c’était à prévoir ! 

Les jeux semblent passer sans problème sur le Soshphone4G, un bon point pour Sosh donc qui a un argument de plus pour vendre son produit !

 

Autonomie et performances :

Concernant son autonomie, le Soshphone 4G est plutôt endurant !

Il tient sans problème une journée en utilisation intensive si l’option « Eco » est activée. En revanche, dès que l’on désactive l’option éco et le réglage automatique de la luminosité, la durée d’utilisation fond comme neige au soleil comme sur la plupart des smartphone. Puisque l’on parle de la batterie, j’en profite pour souligner qu’elle n’est pas amovible et que le jour où elle ne tiendra plus la charge (ce qui arrivera fatalement un jour ou l’autre), le smartphone sera bon à changer.

Après un petit test de la 4G parisienne sur ce Soshphone réalisé avec 4G Mark les débits sont tout a fait corrects et même plutôt bons pour de la 4G. Le Soshphone 4G n’a donc pas grand chose à envier aux grands de ce secteur sur ce point là car il tient parfaitement la route face à mon Galaxy Note 3 (test réalisé au même endroit).

Je profite de ce benchmark 4G pour partager avec vous le benchmark du smartphone en lui même réalisé avec Antutu Benchmark :

Soshphone : Benchmark Antutu

Le résultat est sans appel : le Soshphone 4G arrive à peine au niveau d’un Samsung Galaxy S3 par exemple, pourtant sorti il y a maintenant 2 ans et proposé aujourd’hui autour de 250€ neuf.

 

Conclusion : 

Dans l’ensemble, le Soshphone 4G reste quand même un smartphone intéressant pour toute personne ne souhaitant pas le tout dernier téléphone à la mode ni un monstre de puissance. Avec des performances correctes mais pas non plus exceptionnelles, le Soshphone 4G bénéficie d’un rapport qualité prix imbattable qui devrait conquérir le créneau des personnes cherchant un téléphone pour téléphoner mais qui permet de jouer occasionnellement et prendre quelques photos si besoin. Son atout principal est son prix qui le met à la portée de quasiment toutes les bourses puisqu’il sera proposé au tarif de 170€ !

Parmi les petits défauts que Sosh pourrait corriger, je verrais bien pour ma part l’ajout d’un port micro-SD, un écran tactile plus réactif mais surtout une finition moins cheap, quitte à friser les 200€.

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Comme je possède une Xbox One depuis maintenant quelques mois et que je suis un adepte des sessions de jeux tardives, l’achat d’un casque était donc obligatoire. Après quelques recherches sur le net, je me suis dirigé vers un casque Turtle Beach XO Seven, spécialement conçu pour la Xbox One et les périphériques mobiles tels que smartphones ou tablettes. Voici mon test du matériel.

1 – Un package au top :

Dès l’ouverture du colis, j’ai entre les mains une boite d’emballage d’excellente qualité et à l’intérieur tout est bien calé pour éviter toute dégradation pendant le transport, le colis venant des Etats Unis, c’est un point important selon moi…

Le coffret contient les éléments suivants :

– le casque Turtle Beach XO Seven

– le câble du casque

– le câble spécial mobile avec micro intégré

– le micro

– l’adaptateur pour la manette

– la notice d’utilisation

N’ayant jamais eu de casque Turtle Beach auparavant, je ne peux donc comparer avec un autre produit de la marque. En tout état de cause, je suis agréablement surpris par la qualité du package. Passons maintenant en revue la qualité du matériel en lui même.

 

Turtle Beach XO Seven : Package

 

2 – Un matériel haut de gamme  :

Depuis sa réception il y a presque 3 mois, le casque a été utilisé de manière intensive, tous les jours. En effet, chaque jour il m’a accompagné sur le chemin du travail afin que je test sa qualité sonore mais également la qualité du mode kit main libre car oui, il peut servir à recevoir des appels grâce au câble dédié ! 

Le plastique qui compose sa structure est de très bonne qualité puisqu’il n’a pas pris une rayure depuis que je l’ai. L’arceau et les écouteurs sont correctement fixés les uns à aux autres ce qui n’est pas toujours le cas sur les différents casques que j’ai pu tester par le passé où bien souvent j’avais l’impression que j’allais décrocher une oreillette rien qu’en le manipulant.  En revanche, ce que gagne le casque en robustesse, il le perd malheureusement un petit peu en légèreté mais on ne peut pas tout avoir. L’arceau de tête et les écouteurs sont rembourrés avec de la mousse recouverte de cuir. Au niveau des oreillettes, cela permet d’être bien isolé du bruit ambiant, un excellent point lorsque l’on voyage en transport en commun. Le cuir de l’arceau est estampillé du nom de la marque « Turtle Beach » et quelques touches de vert « Xbox » rappellent que le casque est dédié à la nouvelle console de Microsoft.

Le micro est amovible. Cela permet de l’enlever lorsque vous souhaitez vous servir du casque sur votre smartphone. Il faudra alors connecter le bon câble ayant le micro intégré afin de pouvoir répondre aux éventuels appels reçus. Le micro est entièrement articulable afin de pouvoir l’orienter comme bon nous semble et surtout l’avoir tout près de la bouche. Les câbles fournis avec le casque sont tous les deux tressés pour éviter qu’ils ne s’emmêlent, aujourd’hui c’est pratiquement devenu quelque chose de standard que l’on retrouve également sur les souris orientées gaming ou certains claviers.

Turtle Beach XO Seven : Plaques amovibles

Le petit plus : la possibilité de retirer les coques des écouteurs pour pouvoir les remplacer par d’autres, aux couleurs ou motifs proposés sur le site internet de Turtle Beach (mais qu’on ne trouve malheureusement nul par ailleurs) ! Un petit détail qui ravira les geeks et fera peut être apparaître des versions personnalisées par les joueurs eux même pour peu qu’ils aient une petite fibre artistique.

 

3 – Une qualité audio excellente mais… :

J’ai utilisé le casque à 80% du temps pour écouter de la musique ou passer des appels, les 20% restant ayant été dédiés au jeu sur Xbox One. La qualité en écoute est excellente. Les graves et les aigus sont bons et même à forte puissance la qualité ne se dégrade pas outre mesure. Lors des appels téléphoniques, mon interlocuteur m’entendait parfaitement clair et de mon côté, les coussinets à isolation phonique m’ont permis de suivre des conversations même en milieu bruyant sans avoir à faire répéter la personne à l’autre bout du fil. L’isolation phonique des coussinets promise par le constructeur est au rendez vous, une fois sur la tête on n’entends (presque) plus l’environnement qui nous entoure ce qui est vraiment génial quand vous fréquentez les transports en commun au quotidien.

En jeu, même constat (le contraire aurait été étonnant). Le son est impeccable et le module qui permet de brancher le casque sur la manette de la Xbox One met à disposition les boutons de contrôle du volume, de coupe micro et les boutons pour amplifier le son du jeu ou celui du chat en fonction des situations. 

Turtle Beach XO Seven : Micro

Néanmoins, bien que je fasse l’éloge de sa qualité sonore, ce casque présente un défaut assez désagréable si on ne prends pas le temps de le résoudre. Lorsque l’on marche dans la rue, les articulations des oreillettes ont tendance à grincer ce qui est totalement insupportable même avec la musique en cours de lecture. Pour palier au problème, j’ai juste pris le temps de trouver la position sur ma tête qui fait que le casque ne grince presque plus du tout. Défaut de conception ou défaut non découvert lors des tests pré-commercialisation, je ne sais pas en revanche si je suis le seul à avoir rencontré ce problème.

 

4 – Conclusion :

Face à une qualité de fabrication très haut de gamme et une qualité audio remarquable en jeu, en conversation téléphonie ou bien en lecture de fichier multimédia, le seul petit défaut que j’ai pu soulever et je ne peux que recommander ce casque Turtle Beach XO Seven qui ravira les gamers aussi exigeants que moi. Mais qu’en est il du prix ? Suivant les magasins, vous pourrez trouver ce casque à un prix compris entre 150 et 200€. L’ayant payé 155€ frais de port compris (il venait des USA n’oubliez pas…) je trouve que c’est un prix justifié à la vue de la qualité proposée par le constructeur. Si vous ne trouvez pas un prix qui vous satisfasse en France, n’hésitez pas à vous tourner vers la plateforme US d’Amazon car même avec les frais de port et les taxes, il y a de fortes chances pour que le prix soit plus attractif.

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Gros fan de la licence (j’ai joué des années durant à Diablo 2 et son extension), j’avais acheté Diablo 3 en mai 2012 à sa sortie et l’avait farmé pendant un an. 4 des 5 classes montées au niveau max et stuffées, des centaines d’heure de farming d’items légendaires et des milliers de mobs pourfendus plus tard, je me suis lassé.

Le 25 mars 2014, Blizzard nous a offert Reaper of Souls, la première extension à son blockbuster Diablo 3. Il aura donc fallu patienter près de 2 ans avant d’avoir un ajout massif de contenu et de fonctionnalités. Une telle attente était elle justifiée ? Voici mon verdict.

Un scénario déjà vu ?

Pour ceux qui ignore tout du scénario de Reaper of Souls (voir même de Diablo 3), voici le synopsis des 2 opus :

Diablo 3

Deux décennies se sont écoulées depuis que les seigneurs démons, Diablo, Mephisto et Baal, ont silloné le monde de Sanctuaire, semant mort et désolation pour plier l’humanité à leur volonté impie. Pourtant, la mémoire de ceux qui ont combattu les Démons primordiaux s’estompe difficilement, et les blessures de l’âme brûlent encore.

 

Diablo 3 : Reaper of Souls

Les seigneurs des enfers hurlent leur rage au sein de la pierre d’âme noire. Mais avant que ce sinistre artefact ne soit scellé à jamais, Malthael, l’archange déchu de la Sagesse, s’incarne dans le monde des mortels pour mettre en œuvre son funeste dessein : voler la pierre d’âme noire afin d’asservir la puissance des Enfers à sa volonté.

 

Le scénario de cette extension m’a tout de suite laissé sur une impression de déjà vu, impression qui s’est vite confirmée lorsque j’ai parcouru le synopsis de l’extension de Diablo 2… Petit rappel pour ceux qui ne s’en souviendraient pas :

« Suite à la défaite de Mephisto et Diablo dans Diablo II, Baal le seigneur de la destruction, parvient à s’emparer de sa pierre d’âme et se dirige vers les hautes terres du nord avec l’intention de corrompre la pierre éternelle protégeant le monde des hommes contre les forces du mal. Celle-ci, caché dans le mont Arreat, est défendue par les barbares habitants la région et Baal lance ces troupes à l’assaut de leur cité, Harrogath. »

Le scénario des 2 extensions est tout de même très similaire, dans les 2 cas nous avons droit à un démon qui débarque pour voler une pierre d’âme dont le destin de l’humanité dépend… Bon soit, la nouvelle pierre est noire (sûrement de l’Onyx ou de l’obsidienne…) et c’est pas le même démon mais tout de même, un peu d’originalité n’aurait fait de mal à personne.

Mise à par ce point là, le scénario est bien ficelé, nous découvrons petit à petit quels sont les sinistres projets de Malthael et sa bande au travers de dialogues, de livres et d’événements divers et si l’on prend le temps de les lire et de regarder les cinématiques, on se retrouve rapidement plongé dans l’histoire.

 

Un nouveau mode de jeu

Le mode « Aventure » fait son apparition avec cette première extension dès que vous en aurez terminé le mode Histoire ! Il s’agit d’un mode de jeu qui vous replonge dans les mondes que vous avez traversé en mode Histoire mais sans les quêtes. A leur place, le jeu propose aléatoirement 5 « Primes » dans chacun des 5 actes, primes qui vous donneront de l’expérience et de l’or. Il s’agira en général de tuer un monstre élite et une centaine de ses congénères, de nettoyer certains donjons du jeu ou encore de pourfendre certains boss. Une fois les 5 primes d’un même acte remplies, Tyrael vous récompensera avec de l’or, des points d’expérience et une cache Horadrique content des items, des composants, des fragments de failles ou encore des cristaux de sang.

Diablo 3 : Primes 

Autre différence du mode Aventure par rapport au mode Histoire, la possibilité de ramasser des fragments de failles en tuant des monstres rares ou élites, des boss ou en remplissant des primes. Ils sont indispensables pour pouvoir ouvrir les failles néphalem, un monde parallèle composé de plusieurs niveaux (jusqu’à 10) dans lequel il faut tuer des ennemis pour remplir une jauge qui une fois pleine fera apparaître le gardien de la faille. 

 Diablo 3 : les failles

Ces deux nouveaux modes de jeu permette de donner un peu plus d’intérêt au farming puisqu’il y a des bonus à la clé. Bien sûr, plus vous augmenterez la difficulté et plus les récompenses seront intéressantes. Pour ma part, depuis que j’ai achevé le mode histoire de Reaper of Souls, je ne fais que du mode Aventure, c’est rapide et efficace, il faut compter une trentaine de minutes pour faire les 5 primes ou une faille néphalem si vous allez assez vite.

 

De nouvelles têtes

Dans notre camp de base, nous retrouvons bien sûr Tyrael, nos compagnons (le templier, l’enchanteresse et le bandit) ainsi que nos amis les artisans (le forgeron et le joaillier). Ce petit groupe est à présent rejoint par de nouveaux PNJ.

La mystique arrive dans les rangs des artisans au cours de votre progression dans l’extension. Experte des arcanes, elle vous donnera la possibilité, moyennant finances et composants, de modifier les caractéristiques et l’apparence de votre équipement. La première option est de loin la plus intéressante car bien souvent lorsque vous ramassez un item légendaire (ou pas), il ne possède pas toujours que des caractéristiques qui vous sont utiles, et ce malgré la mise en place du loot 2.0. Et bien là, vous aurez la possibilité d’en modifier une et une seule à volonté pour obtenir celle que vous désirez, le coût augmentant à chaque tentative.

Diablo 3 : le système d'enchantement 

Deux autres PNJ débarquent avec Reaper of Souls. Tout d’abord Orek, le maître du portail néphalem. Il est là uniquement pour vous expliquer le principe des failles néphalem et de valider la quête de fin de faille. L’autre PNJ est Kadala, une marchande qui en échange de cristaux vous permettra de parier sur des items.

Diablo 3 : Kadala, pourvoyeuse de matériel aléatoire 

En gros, vous misez une certaine quantité de cristaux de sang pour obtenir un item d’une certaine catégorie. Une fois dans votre inventaire, vous découvrirez de quelle qualité est l’objet et quelles sont ses caractéristiques. C’est donc complètement la loterie concernant ces objets, la plupart du temps vous vous retrouverez avec des objets jaunes mais avec de la persévérance vous pourrez obtenir des objets légendaires plutôt pas mal ! Une façon supplémentaire de rassembler des composants de craft ou bien de se stuffer.

 

Le Croisé, ce parfait mageladin

Le croisé est la nouvelle classe qui est disponible avec Reaper of Souls. Capable de porter des armures lourdes lui permettant d’encaisser d’énormes dégats, le Croisé manie également les sorts du sacré à la perfection. Aussi à l’aise en monocible qu’en multicible, le Croisé est un réel plaisir à jouer car il allie à la fois corps à corps et dégâts à distance ce qui fait de lui un parfait mageladin.

Diablo 3 : le croisé 

Il dispose de sorts variés qui en fonction de leurs combinaisons vous permettront de progresser plus ou moins rapidement mais également de vous débrouiller tout seul ou bien de soutenir votre groupe en lui apportant des buffs ou des soins. Il y en a donc pour tous les goûts !

Sa puissance peut néanmoins paraître un peu abusée par rapport aux autres classes de personnage. En effet, j’ai pu effectuer toute la phase de montée de niveau 1 à 70 en difficulté Calvaire et j’ai donc atteins le niveau maximum en moins de 20h sans me presser :

Diablo 3 : le pex 

Depuis que j’ai mon croisé au niveau 70, je ne joue que lui ! C’est un régal d’annihiler les hordes de monstre en 3 clics, même si pour l’instant, je n’ai ni l’équipement ni le niveau Parangon nécessaires pour me frotter à une difficulté supérieur au Tourment 3…

Bref, l’essayer c’est l’adopter !

 

Une nouvelle zone

La nouvelle zone de jeu est apparue avec l’extension de Diablo 3. Ce nouveau « monde » se divise en 8 zones aux ambiances différentes. De nombreux donjons secondaires sont disséminés ça et là et chacun apportent son lot d’informations secondaires qui vous immergerons un peu plus dans l’histoire qui compose le scénario de Reaper of Souls.

Certaines zones comme les Communs de Ouestmarche ou la Forteresse de Pandemonium sont extrêmement linéaires et ne présentent qu’un dédale de couloirs, d’autres au contraire, comme les Voies des Noyés ou le cimetière Briarthorn sont ouverts et vous permettront d’explorer sans trop de contrainte. Globalement, vous rencontrerez tout de même plus de zones linéaires que de zones libres., à mon grand regret.

 

Les nouveautés habituelles

Comme à chaque nouvelle extension, le niveau maximum augmente et passe de 60 à 70 obligeant ainsi les joueurs à monter leurs personnages déjà existant de 10 niveaux. Cette hausse de niveau est accompagnée par l’apparition de nouveaux sorts et de nouvelles compétences propres à chaque personnage, permettant ainsi aux joueurs de varier les façons de jouer leurs personnages.

Les caractéristiques des items ont été très largement réhaussées et de nouvelles affixes sont apparues. Certains items sont maintenant dotés de capacités spécifiques comme faire apparaître un groupe de monstres élites ou rares lorsque vous prenez un sanctuaire par exemple. 

Pour pigmenter un peu vos explorations, vous rencontrerez également des coffres ou des sanctuaires maudits qui vous demanderont de pourfendre les monstres qu’ils feront apparaître pour pouvoir accéder au contenu des coffres ou pour pouvoir bénéficier des bonus des sanctuaires.

 

Verdict

Diablo 3 : Reaper of Souls est une extension du jeu de bonne qualité avec une durée de vie conséquente grâce au nouveau mode aventure et à la hausse du niveau maximum. La nouvelle classe jouable est très plaisante à jouer malgré peut être un peu de surpuissance et les sorts débloqués entre les niveaux 60 et 70 pour les autres personnages permettront de varier le gameplay.

Avec cette extension, on sent que Blizzard essaye de nous apporter une expérience de jeu enrichie avec un contenu toujours plus important. Néanmoins, j’espère beaucoup que nous n’aurons pas à attendre encore 2 ans pour une autre extension car j’ai peur, sauf grosse mise à jour, que le contenu proposé avec Reaper of Souls ne nous tienne pas en haleine aussi longtemps…

La seule grosse ombre au tableau, c’est pour moi les lags omniprésents certains soirs. On pourrait se dire que ma connexion ou ma config sont en cause mais je pense qu’avec un i7 4770k / 16Go / GeForce GTX 760 et une connexion fibre Orange qui envoie du lourd, le soucis ne vient pas de chez moi…

Connexion Fibre d'Orange

Cela fonctionne presque mieux sur mon laptop vieux de 4 ans avec une connexion adsl 12Mega. Espérons que Blizzard fasse quelque chose pour ce problème qui ne touche pas que moi malheureusement…

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Sosh lance régulièrement une nouvelle saison de son programme #TesteurSosh qui permet à 50 heureux élus ayant déposé candidature de tester gratuitement pendant une période de 15 jours un smartphone mystère !

Pour cette 5e saison, j’ai eu la chance d’être sélectionné (au repêchage) pour faire partie du panel de #TesteurSosh et ainsi pouvoir éprouver le smartphone envoyé par l’opérateur. Pour faire monter le suspense, le smartphone qui nous sera remis n’a pas encore été dévoilé et ne devrait pas l’être avant le 2 juin, date de démarrage de la période de test, à moins que certains décident de briser le secret à la réception du contrat de prêt…

Ayant été sélectionné pour faire partie de cette saison 5, je ne manquerai pas de vous faire partager mon expérience sur mon compte Twitter et posterais également un article de test sur le blog.

Pour vous faire patienter jusqu’au 2 juin, je vous livre maintenant l’échange que j’ai eu par mail avec le CM chargé de l’envoi des mails aux candidats sélectionnés, preuve qu’ils ont de l’humour chez Sosh ^^ :

Testeur Sosh 

 Testeur Sosh

Testeur Sosh

Testeur Sosh

Testeur Sosh

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Après avoir testé le dock Samsung et la coque de protection Spigen dédiés au smartphone Samsung Galaxy Note 3, je m’attaque aujourd’hui au test de la protection d’écran SPIGEN GLAS.t Premium, un accessoire indispensable pour tout possesseur d’un smartphone un peu onéreux.

Galaxy Note 3 Spigen Screen Protector GLAS.t

La coque de protection est livrée dans une boite type boite de dvd. Elle comprend les éléments suivants :

– le film de protection

– une lingette à l’éthanol

– un chiffon microfibre

– une spatule en plastique

– un autocollant décliné en 3 couleurs

– le certificat d’authenticité

Le packaging est haut de gamme comme à l’habitude de la marque Spigen qui a le don de soigner non seulement ses produits, mais également l’emballage qui les accompagne.

La notice est déclinée en plusieurs langues dont le français ce qui permet tout de suite de savoir quelle est la marche à suivre pour positionner correctement le film de protection sur l’écran.

Le film de protection est assez épais, rigide et sa surface semble très résistante.

Une fois appliqué, le film couvre parfaitement l’intégralité de l’écran, lui offrant ainsi une excellente protection. Bien qu’ayant suivi le mode d’emploi à la lettre, quelques poussières se sont incrustées au moment d’apposer la protection et ont formé 3 petites bulles, guère gênantes à l’utilisation. Malgré l’épaisseur de la protection, le tactile de l’écran répond bien et je n’ai rencontré aucune gène lors de l’utilisation.

Sa surface est traitée pour être oléophobique, facilitant ainsi son nettoyage et diminuant également sa vitesse de salissure. D’autre part, couplée avec la coque de protection Spigen dédiée au Samsung Galaxy Note 3, cette protection d’écran protégera intégralement votre smartphone.

 Galaxy Note 3 protégé avec la coque et la protection d'écran Spigen

Au niveau du prix, il faut tout de même compter une trentaine d’euros pour s’offrir une telle protection. Cher me direz vous ? Attendez que j’ai fini avant de vous faire une idée… Il y a 2 semaines, mal réveillé un matin, mon Galaxy Note 3 m’échappe des mains et tombe coté écran sur le coin de ma table basse.

Bilan de la chute : la protection d’écran a encaissé le choc a la place de l’écran et c’est elle qui s’est fissurée sous l’impact. Le téléphone lui est intact et je n’ose pas imaginer le prix qu’il aurait fallu que je débourse pour procéder au changement de l’écran…

Galaxy Note 3 : protection Spigen explosée 

Moralité : j’en ai commandé une toute neuve dans la foulée, même à 30€, la qualité de cette protection d’écran pour le Samsung Galaxy Note 3 est tout simplement incomparable.

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J’ai reçu il y a quelques semaines maintenant mon Samsung Galaxy Note 3, l’occasion pour moi de tester quelques accessoires qui sont dédiés à ce smartphone. J’ai déjà testé il y a quelques temps une coque Spigen, je m’attaque cette fois-ci au test de quelques accessoires qui sont dédiés à ce smartphone en commençant par : le dock officiel Samsung.

Dock Samsung Galaxy Note 3

Le package est relativement simple :

– un dock

– un câble d’alimentation

– un bloc d’alimentation

 

Dock Samsung Galaxy Note 3

En moins d’une minute, le dock est en place sur le bureau prêt à accueillir le Galaxy Note 3. Compact, il n’occupe qu’une faible surface de 8 par 8 cm et reste bien loin de l’encombrement du dock Docki. Hélas, j’ai rencontré un petit problème. En effet, comme je l’ai indiqué au début de cet article, j’ai en ma possession une coque Spigen qui malheureusement ne permet pas au smartphone de s’enclencher correctement sur le dock et l’empêchant ainsi de charger la batterie. L’épaisseur de la coque est trop importante et le connecteur ne s’enfonce pas jusqu’au bout, empêchant ainsi le contact permettant la charge de la batterie.

Pour y remédier, je dois, à chaque fois que je souhaite recharger mon Galaxy Note 3, lui retirer sa coque pour pouvoir le poser comme il faut sur le dock. N’ayant pas à ma disposition de coque officielle Samsung, je n’ai pas pu en réaliser le test mais je suppose qu’elles sont prévues pour s’adapter parfaitement au dock.

Lorsque le smartphone est sur sa base, il affiche en permanence l’heure, la date, l’emplacement et la météo. Le dock est également doté d’une prise jack 3.5 mm qui permet de brancher une chaîne hifi, un casque ou encore des enceintes de bureau.

Vendu une quarantaine d’euros, la finition et la simplicité d’utilisation en font un accessoire avec un bon rapport qualité prix bien qu’il faille être vigilant sur la coque de protection associée, toutes n’étant pas compatibles.

Rendez vous prochainement pour le test d’un second accessoire.

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Fin janvier, j’ai eu la chance d’être sélectionné par Samsung pour rejoindre le programme SamsungReporter. Pour me permettre de mener à bien ma mission en tant que Samsung Reporter, Samsung m’a équipé d’un smartphone dernière génération : le Galaxy Note 3.

J’en entends déjà faire référence au reportage qui est passé récemment dans Capital et je les invite à laisser un commentaire, je me ferais un plaisir de leur répondre (si la question reste pertinente, constructive et correcte bien évidemment).

Comparé à mon Galaxy S3, on voit nettement la différence au niveau de la taille, 5.7 pouces c’est même presque trop grand ! En revanche, malgré sa taille plus imposante, son poids n’est que de 30g supérieur à celui du S3 mais cela ne se ressent pas tellement une fois en main, c’est grâce à cette conception plastique qu’il peut conserver un poids raisonnable. Le dos du Galaxy Note 3 est une imitation cuir assez réussie visuellement.

La Samsung Galaxy Note 3 est livré en version 32Go de base. En effet, pour ce modèle il n’y a pas 36 capacités différentes, seulement une version 32Go, déclinée en 3 couleurs : Noir, Rose et Blanc. Fort heureusement, bien que n’ayant pas eu le choix de la couleur, j’ai eu la chance d’être doté de la version blanche (celle que j’aurai choisi) ! 

 Samsung Galaxy Note 3 White

Sous le capot, on trouve les spécifications suivantes :

Processeur : Snapdragon 800 Quad-Core 2.3 GHz
Mémoire vive : 3 Go
Stockage/mémoire interne : 32 Go
Mémoire extensible : Prise en charge des cartes micro-SDHC/SDXC jusqu’à 64 Go
Ecran Super AMOLED tactile Full HD (1080×1920 pixels) 5.7″ 
APN : 13 MP avec auto focus, flash LED, caméra frontale 2 MP
Réseaux mobiles : 4G LTE/3G+/2G
Connectivité : NFC, DLNA, Bluetooth 4.0, GPS, Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/acmicro-USB 3.0, jack 3.5mm, MHL 2.0
Batterie : 3200 mAh

Le système de base est toujours Android, une version Jelly Bean 4.3 avec la surcouche TouchWizz Samsung, tant détestée par de nombreuses personnes. Cette version du système d’exploitation a été récemment remplacée par Android Kit Kat 4.4 lors qu’une mise à jour. Pas vraiment dépaysé donc par rapport à mon ancien smartphone donc et la prise en main est donc très rapide. En quelques minutes, la configuration du Galaxy Note 3 est faite et les applications indispensables réinstallées, on va pouvoir commencer à voir ce qu’il a dans le ventre.

L’interface, bien qu’équipée de la surcouche Touch Wizz, est réactive et fluide. L’écran est très lumineux et d’une excellente qualité ce qui donne un confort d’utilisation optimal notamment lors de la navigation web, la lecture de fichiers multimédias ou bien les jeux.  si l’on ne pense pas à activer le mode économie d’énergie ou à baisser la luminosité de l’écran, on se retrouvera vite à cours de batterie. A propos de l’autonomie, il faut compter sur une journée complète en utilisation intensive (Twitter, navigation web, jeu, wifi…) avec l’option économie d’énergie activée, c’est donc tout à fait honorable pour un smartphone avec un écran de cette taille. Avec une utilisation modérée, il est possible de d’augmenter significativement l’autonomie du Galaxy Note 3 pour la pousser à 36 voir 48h maximum.

Samsung Galaxy Note 3 Autonomie

Un des gros plus du Galaxy Note 3 par rapport aux autres smartphones, c’est l’intégration du stylet. Précis, il permet de prendre rapidement des notes ou de remplacer notre doigt lors de l’utilisation du tactile du téléphone. Certaines applications exclusives au Galaxy Note 3 car dépendantes du stylet sont directement intégrées comme Scrapbook qui permet de récupérer des morceaux d’écrans (screenshots) grâce au stylet et d’y apposer des notes manuscrites :

Samsung Galaxy Note 3 Scrapbook

Autre application intéressante, Ecriture sur écran permet d’apposer des notes directement sur l’écran courant, de rogner pour ne conserver que ce que l’on souhaite pour ensuite l’envoyer par mail, mms ou sur les différents réseaux sociaux :

 Samsung Galaxy Note 3 Ecriture sur écran

Pour ceux qui seraient soucieux de leur ligne, l’application SHealth, que l’on retrouve également sur le Galaxy S4, sera leur compagnon d’exercice, comptera chacun de leurs pas et leur indiquera leur progression vers l’objectif qu’ils se sont fixé :

Samsung Galaxy Note 3 SHealth

Malheureusement, cette application ne gère (pas encore) les programmes d’entrainement poussés ou la fréquence cardiaque, poussant les plus sportifs à lui préférer un matériel plus adapté comme une montre Suunto Ambit 2 par exemple.

Puisqu’on parle capacité, les 32Go embarqués de base vous permettront d’être à l’aise au niveau contenu, que ce soit application, musiques, photos ou vidéos, et si par hasard vous vous retrouviez à l’étroit, le port MicroSD volera à votre secours vous permettant d’augmenter la capacité de 64Go supplémentaires au maximum !

Du coté de l’appareil photo, le Samsung Galaxy Note 3 se débrouille plutôt pas mal avec une qualité plus qu’acceptable même en basse lumière, en voici quelques exemples :

Journée ensoleillée aux jardins du Luxembourg :

Samsung Galaxy Note 3 Photo journée ensoleillée

 

Spectacle de Michael Gregorio :

Samsung Galaxy Note 3 Spectacle de Michael Gregorio

 

Soirée Samsung Launching People :

Samsung Galaxy Note 3 Launching People

Comme vous pouvez le constater, les photos sont de bonne qualité quelle que soit les conditions. Attention toutefois, il ne faut pas hésiter à jouer avec les modes et les réglages pour obtenir des clichés satisfaisant, malheureusement encore très loin en qualité d’un compact, d’un hybride ou qu’un réflex, mais ce n’est pas le même usage.

Un des plus gros points faibles de ce téléphone : c’est sa taille. Plus grand qu’un smartphone standard mais néanmoins plus petit qu’une phablette, le Samsung Galaxy Note 3 reste imposant et ne tient pas dans toutes les poches. Cette taille, bien que caractéristique de ce type de smarphone, est difficile à manier d’une seule main. Ayant l’habitude d’un smartphone de la taille d’un Galaxy S3 par exemple, j’ai manqué de faire tomber plusieurs fois mon Note 3 en voulant le manier d’une seule main.

Pour conclure, je dirais que ce smartphone est très bien conçu pour le secteur commercial qu’il vise avec des applications dédiées au stylet permettant de gagner en productivité lorsque l’on sait les exploiter correctement. Néanmoins, si vous cherchez un téléphone qui vous permet d’être nomade et qui ne vous gênera ni dans votre poche ni lors de l’utilisation à une main, passez votre chemin, vous serez déçu.

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A deux semaines de la sortie du FPS Titanfall, développé par Respawn Entertainment, il faut bien se rendre à l’évidence que le jeu fait partie de l’un des plus attendus de ce début d’année.

La beta organisée la semaine dernière a été une véritable réussite. D’abord disponible pour ceux qui s’étaient inscrit sur le site de Titanfall durant 4 jours, l’accès a ensuite été ouvert à tous dans le but de tester la stabilité des serveurs et dans le même temps, la beta a été prolongée de 24h.

Sur les réseaux sociaux, l’arrivée de cette beta a fait déferler une pluie de messages. Mais peut-on dire que Titanfall est le prochain FPS Killer ?

Pas de graphismes next gen

Basé sur le moteur graphique Source Engine sorti en 2004 et utilisé notamment par Half Life 2, Titanfall n’est clairement pas la claque graphique que l’on attend d’une next-gen, Respawn étant pourtant associé EA, détenteur du moteur graphique Frostbite3 (utilisé pour Battlefield 4).

En termes de qualité graphique, je l’ai d’abord testé sur la Xbox One. Comme la plupart des jeux déjà sortis sur la dernière console de Microsoft, les graphismes sont ceux que l’on peut retrouver sur une Xbox 360. Pas moches, mais pas exceptionnels, la taille d’image reste cantonnée à du 720p (792p d’après de nombreux sites sur internet) avec une version définitive capable d’afficher du 900p. On est donc encore loin du 1080p.

Pour vous donner une idée des graphismes, je vous laisse découvrir cette vidéo que j’ai enregistrée via le boitier d’acquisition AverMedia GameCapture HD2 :

Ayant eu également la chance de récupérer un accès beta sur PC grâce à @Zouzouil782, j’ai pu tester Titanfall sur PC également. Ma configuration matérielle est la suivante :

Processeur : Intel i7 4770k

Mémoire vive : 16Go DDR3 PC12800 G.Skill Ripjaws X

Carte graphique : MSI GeForce GTX760 Twin Frozr 2Go

SDD : SSD Samsung 840 Pro 256Go

Au niveau des réglages du jeu, je ne me suis pas posé de question et j’ai tout mis à fond pour voir ce que le jeu pouvait envoyer. Un détail des réglages m’a amusé, c’est celui du niveau d’affichage des textures. Comme d’habitude, celui-ci s’étend de low à high en passant par middle, mais propose en plus un mode « Insane » !

Lors des parties, cela reste globalement fluide avec de temps à autres quelques lags que je ne saurais attribuer à mon PC ou aux serveurs hébergeant la partie. La qualité est également meilleure que sur Xbox One mais en dessous de ceux fournis par Battlefield 4 et son moteur Frostbite 3. En comparaison, je dirais qu’on doit être à un niveau équivalent à celui de COD, un peu déçu donc concernant les graphismes… Vous pourrez vous faire un avis sur les 3 prochaines vidéos de l’article.

 

Une maniabilité remarquable

La maniabilité, c’est quelque chose qui m’a séduit dans cette beta de Titanfall. Chacun le sait, les FPS sur console, ce n’est pas ça comparé à la vitesse et la précision de visée d’un combo clavier + souris. Sauf que là, s’en est presque facile.

Comme je l’ai dit, j’ai commencé par tester le jeu sur Xbox One et donc à la manette. Le jeu se révèle très maniable à la manette passé les quelques minutes nécessaires à accomplir le tutoriel.

En comparaison, j’ai eu l’impression de me retrouve sur un COD MW2 ou BO au niveau maniabilité. Depuis longtemps, j’ai pris du plaisir avec un FPS, le dernier en date étant bien Call of Duty Black Ops, et ça, c’est révélateur d’un gros travail fait par Respawn Entertainment pour proposer une expérience la plus plaisante possible.

Sur PC, le constat est le même, tout comme le plaisir que j’ai pris à jouer à cette beta. Le plaisir est le même que celui rencontré sur Xbox One, la précision en plus. Le nombre de raccourcis n’est pas non plus énorme ce qui permet de ne pas s’emmêler les pinceaux lors des périodes de rush.

 

Et le gameplay dans tout ça ?

Côté gameplay, Titanfall reste un FPS. Ça tire, ça explose, ça pétarade, en clair c’est la guerre ! Exclusivement prévu pour être multijoueur, le jeu présentait 3 modes différents pendant sa phase de beta test, opposant des teams de 6 vs 6 accompagnées d’une multitude de minions pour vous assister, qui se révéleront plus idiots et incompétents que des poules.

Le premier mode est l’Attrition. Mode bien connu des joueurs de FPS sous le nom de Team Deathmatch, le but dans ce mode est d’être la première équipe à atteindre le score limite pour remporter la partie :

Le second mode est l’Hardpoint Domination. Dans ce mode, le but est de capturer 3 points de la carte et de les conserver le plus longtemps possible pour espérer accumuler le nombre de points nécessaires pour remporter la partie :

Et enfin le dernier mode, le Last Titan Standing. Vous commencez directement dans un Titan, l’objectif étant d’être la première équipe à éliminer TOUS les titans adverses, le respawn n’étant pas permit :

Puisqu’on parle des titans, j’avoue que c’était ma plus grosse appréhension avant de tater cette beta. Ma grosse crainte : un titan trop facile à avoir et qui serait invincible ou presque. Il n’en est heureusement rien.

Excepté en mode Last Titan Standing, vous démarrez la partie sans votre titan et ne pourrez faire appel à lui qu’au bout de quelques minutes. Pour réduire ce timer, vous devrez tuer des pilotes de titan ennemis ou des minions. Une fois appelé, le titan atterri à l’endroit que vous lui aurez indiqué et vous pourrez décider d’embarquer à l’intérieur et de le contrôler vous-même, ou bien lui ordonner de vous couvrir et il se promènera alors à vos côtés, allumant tout ce qui se présentera dans sa ligne de mire.

Le titan est extrêmement puissant s’il est correctement utilisé. Il dispose d’une arme principale, d’une arme secondaire et d’un bouclier capable de renvoyer les balles à l’expéditeur. En combinant l’arsenal à notre disposition, abattre un titan ennemi n’est pas chose impossible au contraire mais cela marche dans les 2 sens. Il faut savoir se mettre à couvert pour garder son titan en vie le plus longtemps possible, bourrin mais pas trop !

Face à un titan, on est en droit de se dire qu’un pilote à pied n’a que peu de chances d’en réchapper. Détrompez-vous ! Les pilotes ont quelques atouts à leur disposition. Coté arsenal, ils sont dotés d’une arme principale, d’une secondaire et de grenades pouvant annihiler pilotes ennemis, minions et titans !

En tant que pilote, tuer un titan n’est certes pas chose aisée, mais pas impossible non plus loin de là. Pour aurez la possibilité de sauter sur les titans et de vous poster sur leurs épaules. Sur un titan allié, vous pourrez vous en servir comme moyen de transport. Sur un titan ennemi, vous pourrez mitrailler le « cerveau » jusqu’à faire tomber le titan sous vos balles… mais le pilotes assailli pourra descendre de son titan pour le protéger !

Pour ma part, j’ai trouvé que jouer son titan se révèle plus tactique que bourrin, obligeant à se mettre régulièrement à couvert pour éviter de se faire éclater en 2s.

Le pilote peut sauter de toit en toit grâce à son double saut, courir sur les murs et ne subit pas les dégats de chute. Déroutant au départ, courir sur les murs est assez déroutant pour moi mais une fois passé les 3 ou 4 premières parties, c’est un régal !

 

FPS Killer ?

FPS Killer. Non, Titanfall n’a pas été développé pour ça. Je pense qu’il serait plus juste de parler de COD-Killer.

De mon point de vue, Battlefield 4 n’a rien à craindre de Titanfall. En effet, Battlefield oppose des équipes d’une taille bien supérieure à 6 joueurs et demande bien plus de stratégie pour remporter la victoire. De plus, le titre développé par DICE et édité par la même maison que Titanfall n’est encore que trop peu représenté sur la scène de l’e-sport. Et ce n’est pas dans les intentions de EA de saborder un de ses titres phare !

Counter Strike est un pilier du FPS sur PC. Le premier opus est sorti il y a maintenant près de 15 ans (première beta sortie en juin 1999) et aura eu 2 successeurs qui continuent d’occuper une place très important en ESL. Peu menacé donc.

Call of Duty par contre est en revanche bien plus menacé selon moi. En effet, le nombre de joueurs par équipe est similaire et les possibilités de customisations de son matériel se ressemblent. De plus, la série COD semble avoir du mal à se renouveler et commence à lasser certains joueurs en quête d’une nouvelle fraicheur que l’on pourra retrouver dans le gameplay de Titanfall qui devra faire ses preuves au niveau de son contenu pour conquérir sa place en e-sport.

Ce qui est sûr, c’est que cette beta de Titanfall a ravi tous ceux qui s’y sont essayés et ne manquera probablement pas d’exploser les ventes.

Nous serons fixés le 13 mars prochain, date de la sortie de Titanfall, sur PC, Xbox One et le 27 mars sur Xbox 360.

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