Avec la folie Star Wars de la fin d’année, on a pu voir déferler toutes sortes d’objets. Des bodies pour bébés aux sabres lasers factices ou aux bonbons Pez aux couleurs de Dark Vador sans oublier les figurines PoP, c’est une véritable tempête d’objets dérivés qui nous est tombée dessus ! Je me suis pour ma part procuré mon véhicule préféré reconverti pour l’occasion en enceinte Bluetooth, je vous parle bien entendu du Faucon Millenium !

1. Packaging

Niveau packaging tout est fait pour faire vibrer la corde sensible du geek fan de Star Wars qui sommeille en vous. L’emballage est bariolé de références à la saga et pour vous encourager encore un peu plus à dégainer votre carte bleue, vous pouvez même appuyer sur le bouton pour lancer la musique d’introduction du film !

Enceinte Bluetooth Faucon Millenium : un packaging de taille !

L’emballage contient le strict minimum :

– l’enceinte Faucon Millenium

– le support transparent

– un câble permettant la recharge et le connexion d’un périphérique audio

Pas de surplus dans ce carton, on va vraiment à l’essentiel.

 

2. Design et qualité

Niveau design on est au top avec une reproduction plutôt fidèle du vaisseau de Han Solo et Chewbacca si on a pas le nez collé dessus. Les enceintes ont été judicieusement placées en dessous du Faucon et de ce fait ne se voient pas du tout. On soulignera la bonne idée d’avoir choisi un support transparent qui permet de donner une certaine illusion de lévitation.

Enceinte Bluetooth Faucon Millenium : un design au top

Le bouton de contrôle du mode (Eteint / Aux / Bluetooth), la prise Aux et la prise micro USB sont situés sur un des coté légèrement sur l’arrière tandis que le bouton de « test » est situé lui sur le dessus.

Enceinte Bluetooth Faucon Millenium : le bouton de controle

Le plastique n’est pas d’une qualité exceptionnelle malheureusement, plutôt bas / moyenne gamme et c’est dommage car cela donne un aspect un peu cheap à l’ensemble.

 

3. Mise en route et utilisation

La mise en route est plutôt simple et rapide puisque le Faucon Millenium dispose du Bluetooth de série et s’appaire au téléphone en quelques secondes. Là je dois vous avouer qu’à cet instant c’est la grosse hype car l’arrière du Faucon Millenium s’allume en bleu comme si il avait activé l’hyper propulsion !

Enceinte Bluetooth Faucon Millenium : HYPER PROPULSIIIIOOOOONNN

Rien que pour ça :

 Enceinte Bluetooth Faucon Millenium : Et ça, j'achète !

En revanche, au niveau du son il ne faut pas être très exigeant car dès que l’on pousse un peu le volume, la qualité se dégrade rapidement et c’est bien dommage… Même constat à l’activation du bouton de test qui balance le thème d’introduction du film a fond avec un son assez moyen, mais qui fait tout même dresser les poils des bras.

 

4. Conclusion

Vous l’aurez compris, cette enceinte Bluetooth Faucon Millenium est plus un objet décoratif qu’une enceinte digne de ce nom et fera son petit effet une fois posée sur votre étagère. Rien que pour son look ravageur, certains dégaineront sans soucis leur carte bleue mais pour la fonction enceinte, on trouvera beaucoup mieux niveau qualité pour le même prix voir parfois moins cher… Car oui, la folie Star Wars a un prix : environ 60e.

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Début mars, je vous avais parlé de mon SSD Samsung au format M.2 : le 950 Pro. Aujourd’hui, je vais vous présenter un autre SSD de la même marque, beaucoup plus abordable au niveau tarif : le 850 Pro en version 512Go !

1. Packaging

Comme la plupart des SSD Samsung, le 850 Pro ne déroge pas à la règle et est livré dans un emballage à peine plus gros que lui :

SSD Samsung 850 Pro : un package réduit

Qu’importe l’emballage du moment que le contenu est au niveau me direz vous, et je dis oui ! Parce qu’il faut savoir que pour faire jouer une garantie, l’emballage d’origine est bien souvent obligatoire lors du renvoi et qu’à force, ça prend une place monstre ! Le SSD est livré avec un guide de démarrage rapide que je n’ai même pas ouvert, à force on fini par savoir comment cela fonctionne.

SSD Samsung 850 Pro : un SSD petit mais costaud

SSD Samsung 850 Pro : un SSD petit mais costaud

 

2. Caractéristiques

Capacity* 128 GB, 256 GB, 512 GB, 1 TB (1,024 GB), 2 TB(2,048 GB)
Dimensions (W x H x D) 100 x 69.85 x 6.8 (mm)
Interface SATA 6 Gb/s (compatible with SATA 3 Gb/s and SATA 1.5 Gb/s)
Form factor 2.5 inch
NAND flash memory Samsung 3-core MEX controller
DRAM cache memory 256 MB (128 GB) or 512 MB (256 GB & 512 GB) or 1 GB (1 TB) LPDDR2 or 2 GB LPDDR3
Performance** Sequential Read Max. 550 MB/s
Sequential Write** Max. 520 MB/s (256 GB/512 GB/1 TB/2 TB)
Max. 470 MB/s (128 GB)
4KB Random Read (QD1) Max. 10,000 IOPS
4KB Random Write (QD1) Max. 36,000 IOPS
4KB Random Read (QD32) Max. 100,000 IOPS
4KB Random Write (QD32) Max. 90,000 IOPS
Weight Max. 66g (1 TB/2 TB)
Reliability MTBF : 2 million hours(125GB/256 GB/512 GB/1 TB), 1.5 Million Hours Reliability (2 GB)
TBW 128 / 256 GB : 150 TBW (Terabytes Written), 512 GB / 1 TB : 300 TBW (Terabytes Written)
Warranty 128GB/256GB : 10 Years or 150 TBW, 512GB/1TB/2TB : 10 Years or 300 TBW (Whichever comes first)

Retrouvez les caractéristiques complètes des 850 Pro sur le site officiel Samsung.

 

3. Installation

Pour mettre en place le Samsung 850 Pro dans votre boitier, vous aurez besoin d’un emplacement 2.5 pouces et d’un port SATA libres. Pour ma part, dans mon boitier In Win 909 les emplacements pour les disques au format 2.5 se situent au fond du boitier :

 SSD Samsung 850 Pro : mise en place dans le In Win 909

La mise en place du disque ne m’a pris que quelques minutes et je me suis un peu plus attardé sur le câblage, cable management oblige il fallait que cela soit propre !

SSD Samsung 850 Pro : mise en place dans le In Win 909

Le SSD a été immédiatement reconnu par Windows 10, rien à toucher dans le BIOS pour qu’il soit reconnu, vraiment très simple pour une mise en route et sans aucun accroc.

 

4. Environnement de test

Le test de ce SSD a été réalisé sur la configuration suivante :

– Processeur : Intel i7 5960x @ 3.0 GHz

– Carte mère : MSI X99A Godlike Gaming

– Mémoire vive : 4 x 8Go G.Skill Ripjaws 4 DDR4 3000MHz CL15

– OS : Microsoft Windows 10 64bits Professionnal Edition

Toutes les mesures de vitesses ont été réalisées à l’aide du logiciel Crystal Disk Mark. Comme vous pouvez le constater, la configuration de test n’a pas du tout changée depuis le test du 950 Pro ce qui va nous permettre d’avoir une vraie comparaison au niveau des performances.

 

5. Performances

Les performances annoncées par Samsung sont plutôt situées dans le haut du panier par rapport à ce qui se fait aujourd’hui parmi les SSD de ce format, performances confirmées lors de mes tests sous Crystal Disk Mark :

SSD Samsung 850 Pro : de très bonnes performances !

 Comparé à la gamme EVO du même constructeur, les débits sont légèrement supérieurs mais rien de fou :

SSD Samsung 850 Pro : comparaison entre gamme Pro et EVO !

SSD Samsung 850 Pro : comparaison entre gamme Pro et EVO !

6. Conclusion

Le SSD Samsung 850 Pro dans sa version 512Go est vraiment très véloce pour ce qui est de lancer des applications ou des jeux. Pour ma part, il accueille mon dossier Steam et je dois dire que ce soit pour le téléchargement des jeux, leur démarrage ou le temps de chargement en cours de jeu, c’est le jour et la nuit par rapport à un disque dur classique. Sa grosse capacité permet d’accueillir une quantité convenable de données et devrait vous mettre à l’abri du manque de place pendant quelques temps. Décliné en 128Go / 256Go / 512Go / 1To ou même 2To, il y en a pour toutes les bourses et tous les besoin avec un tarif qui s’échelonne de 85€ à un peu plus de 900€ sur Amazon.

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Mon vieux Logitech G35 ayant fait son temps, je l’ai remplacé il y a quelques mois par un micro-casque d’une autre marque : un Plantronics RIG Surround 7.1. Après l’avoir éprouvé dans toutes les situations, voici mon avis, assez mitigé…

1. Packaging

Le packaging est à la hauteur de ce que l’on attend aujourd’hui d’un produit orienté gaming. Il est haut de gamme, tape à l’oeil et protège très bien le produit.

Plantronics RIG Surround : un emballage plein de promesses

A l’intérieur on découvre :

– le casque Plantronics RIG Surround

– un micro perche

– le mixer USB

Plantronics RIG Surround : Le casque solidement calé

Le contenu m’a quelque peu étonné car je ne m’attendais pas à avoir un micro indépendant du casque. De plus, le boitier de commande a tout de suite attiré mon attention par les diverses options qu’il propose et par le fait que ce soit une option qui n’est pas systématiquement livrée avec les micro-casques gaming, même parmi les plus haut de gamme.

 

2. Design et Qualité

Le Plantronics RIG Surround est constitué entièrement de plastique pour sa structure, noir et de très bonne qualité en apparence. L’arceau de tête est recouvert d’une protection en tissu, de type velours pour la partie en contact avec les cheveux, la partie supérieure de la protection étant un tissu en mailles polyester noir brillant plutôt classe que l’on retrouve également sur l’extérieur des oreillettes.

Plantronics RIG Surround : un casque design, confortable et de bonne qualité

Le coussin des oreillettes est recouvert de velours noir tandis que celui de l’oreillette en elle même est de couleur orange, tranchant avec le noir du reste du casque et lui donnant ainsi la touche de couleur chère aux périphériques gaming en général.

A l’arrière de l’oreillette gauche, on retrouve une prise jack dans laquelle vient s’insérer le micro perche. Pour ma part, je trouve ce choix de la part du constructeur assez discutable. En effet, je ne vois pas quelle est la plus-value de ce système sachant qu’aucun autre câble n’est livré en standard pour remplacer ce micro perche. On aurait pu imaginer avoir un câble pour l’utilisation sur PC (micro perche inclus) et un câble pour une utilisation dans la rue (avec un genre de kit piéton). Malheureusement, ce dernier n’est pas inclus de base et doit être acquis séparément… Si tant est qu’il existe. Dommage.

Plantronics RIG Surround : la connexion du micro perche

Le mixer USB est également tout en plastique noir. Il dispose d’une prise jack femelle pour connecter le casque, d’un câble avec prise jack (en rouge) pour connecter un smartphone et d’un câble USB pour le raccordement à l’ordinateur. On retrouve également tous les boutons nécessaires au contrôle des différents réglages dont je parlerais plus en détail un peu plus bas dans cet article.

Dans l’ensemble, la Plantronics RIG Surround semble de très bonne qualité et possède un design clairement orienté gaming. Cette bonne première impression va-t-elle se confirmer ?

 

3. Installation, configuration et utilisation

Le mixer dispose de tout un panel de commandes. Un interrupteur permet de basculer entre le mode PC et le mode téléphone, l’anneau cranté permet d’allumer, d’éteindre et de régler le volume du casque, 2 boutons permettent de gérer l’égaliseur et le Dolby et 2 potentiomètres sont dédiés au réglage du volume voix / global.

Plantronics RIG Surround : Le mixer audio !

L’installation n’est pas vraiment compliquée puisqu’il suffit de connecter le micro perche sur le mixer d’un coté et sur le casque de l’autre, puis de connecter le mixer au PC sur un port USB libre. Sous Windows 8 / 8.1 / 10, le Plantronics RIG Surround est détecté et installé automatiquement sans aucune action à faire de la part de l’utilisateur.

Le système n’installe non pas un périphérique audio mais bien 2 périphériques différents : le RIG Audio Chat et le RIG …. Cela permet d’avoir une gestion séparée de la partie audio générale (jeux, vidéos, musiques, etc…) et de la partie voix (Teamspeak, Skype, Mumble…) et c’est là que le mixer dévoile tout son intérêt. Ce dernier se révèle vraiment très pratique et permet d’avoir toutes les commandes du casque à portée de main. Les potentiomètres, un pour la partie PC et l’autre pour la partie appel, permettent de régler la part des 2 sources audio (générale et voix) et donc d’augmenter le volume du jeu par rapport à celui de la voix ou inversement, à la volée directement en utilisant le mixer.

Plantronics RIG Surround : le mixer audio, cette killer feature

Pas besoin donc de s’embêter à naviguer dans les menus pour effectuer ces réglages qui peuvent différer en fonction des jeux ou applications utilisées, à condition bien sûr que vous ayez pris le temps de bien régler les différentes cartes audio dans vos logiciels / jeux.

L’interrupteur de bascule entre le mode PC et le mode téléphone est vraiment top car il donne la possibilité de prendre un appel sans avoir rien à faire que basculer l’interrupteur et décrocher l’appel sur le téléphone. Si vous étiez déjà sur Skype ou Teamspeak, vos interlocuteurs ne vous entendront plus, et vous ne les entendrez plus non plus ! En revanche, vous continuerez à entendre la partie audio générale du PC que vous pourrez régler grâce au potentiomètre dédié.

Plantronics RIG Surround : la connexion de ce micro perche n'est pas la meilleure idée des concepteurs

J’ai eu un petit soucis avec une application tierce (Movescount de Suunto) qui coupait le son pendant 1 à 3s toutes les quelques dizaines de secondes… Assez pénible lorsque l’on regarde un film, que l’on joue ou que l’on écoute de la musique. Une fois le lancement au démarrage de l’ordinateur désactivé et le logiciel quitté, le casque s’est remis a fonctionner parfaitement !

Un gros point négatif en revanche, c’est la solidité de la connexion du micro perche. Après quelques mois d’utilisation, il m’arrive souvent d’avoir des coupures sons si je touche légèrement le micro et que cela le fait bouger dans la prise. Et bien que je dois souligner la compétence du SAV Plantronics qui m’en a renvoyé un en remplacement, le problème revient systématiquement. Cela est dû au type de connexion du micro perche sur le casque et c’est vraiment un gros défaut de conception. Un câble fixe n’aurait probablement pas occasionné ce type de problème.

Plantronics RIG Surround : la connexion de ce micro perche n'est pas la meilleure idée des concepteurs

Coté son, la qualité est au rendez vous avec un son propre et net même lorsque l’on pousse un peu le volume. Le bouton Dolby permet de monter encore d’un cran dans la qualité sonore particulièrement lorsque l’on regarde un film ou que l’on joue à un jeu qui est compatible. Le rendu est alors vraiment au top et c’est un réel plaisir d’avoir ce casque sur les oreilles. Le micro est lui aussi d’une bonne qualité, les interlocuteurs sur Teamspeak, Skype ou même téléphone m’ayant fait un bon retour de la qualité de ma voix lors de l’utilisation du Plantronics RIG Surround.

4. Conclusion

Avec un package d’excellente qualité, un produit design, bien fini, aux fonctionnalités nombreuses et très bien pensées, et avec une très bonne qualité sonore, ce Plantronics RIG Surround a tout pour être un excellent produit et être incontournable. Le mixer USB est pour moi la meilleure idée que Plantronics ai eu avec ce casque, permettant aux joueurs d’avoir tous les réglages à portée de la main et justifiant presque à lui seul l’achat du casque. Malheureusement, le micro perche et sa connexion beaucoup trop fragile pour ce type de périphérique vient entacher un si beau tableau et c’est vraiment dommage. 

Vous pouvez retrouver le Plantronics RIG Surround sur Amazon aux alentours de 80e.

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Il y a quelques temps, je vous ai fait part de mes impressions sur le volant Thrustmaster T150 Ferrari Edition. Aujourd’hui, c’est au tour du levier de vitesse TH8A de la même marque de passer sur le grill…

L’écosystème Thrustmaster

Pour ceux qui l’ignorent, Thrustmaster ne fait pas que sortir périphériques après périphériques. En effet, ils ont pris le parti de créer un véritable écosystème dédié aux sports automobiles virtuels dont chacun des composants peut interagir avec les autres.

Je vous ai concocté un petit schéma pour que vous compreniez facilement le principe.

Thrustmaster : l'écosystème

Comme vous pouvez le constater, Thrustmaster a décidé de contenter le plus de monde possible. Pour se faire, ils ont pensé leur écosystème en fonction des attentes et du budget de chacun. Vous voulez vous faire plaisir à moindre coût ? Le T150 est fait pour vous. Vous voulez quelque chose de plus haut de gamme ? Les T300 / TX Wheel sont disponibles avec la possibilité de choisir le volant qui vous conviendra, entre le cuir, l’Alcantara ou bien la réplique parfaite d’un volant de F1, mais également le pédalier avec les T3PA et T3PA-PRO… Vous avez déjà acheté un T150 et vous souhaitez remplacer le pédalier ou y ajouter un levier de vitesse en H ? C’est possible aussi.

En gros, vous pouvez entièrement personnaliser votre installation en fonction de vos moyens et de vos envies et ça c’est unique et propre à Thrustmaster.

 

1. Packaging du TH8A

La boite du levier de vitesse TH8A est plutôt conséquent et pèse son poids.

Thrustmaster TH8A : un emballage conséquent

A l’intérieur, on découvre :

– le levier de vitesse TH8A monté avec la grille en H

– le câble pour branchement sur port USB

– le cable pour branchement sur volant (prise DIN)

– la grille pour le passage de vitesse séquentiel

– la clé permettant le démontage de la grille

Thrustmaster TH8A : un packaging au top 

L’ensemble est parfaitement calé dans le carton ce qui évite de recevoir son matériel en vrac et à première vue, la qualité est au rendez vous.

 

2. Conception

Conformément à ce qui est annoncé, le Thrustmaster TH8A est bel et bien composé à 90% de métal. La boite du levier de vitesse, le levier de vitesse et son pommeau sont presque entièrement métalliques ce qui explique le poids du périphérique.

Thrustmaster TH8A : une conception à 90% en métal

L’utilisation de métal lui donne un aspect très réaliste et ultra classe. Du coup, mon T150 fait un peu tâche à coté car pas du tout dans la même gamme de qualité (ni de prix d’ailleurs !).

Thrustmaster TH8A : la qualité au rendez vous

La fixation, elle aussi en métal, permet d’installer solidement le levier de vitesse sur le support de son choix sans risque qu’il ne bouge ou se décroche pendant l’utilisation.

Thrustmaster TH8A : une fixation solide

Le démontage de la grille à l’aide de la clé fournie est simple et permet donc de passer d’une boite séquentielle à une boite en H en quelques minutes.

Thrustmaster TH8A : la grille séquentielle

Pour les adeptes du tuning, sachez que le pommeau du levier de vitesse TH8A se dévisse et peut donc être remplacé par n’importe quel pommeau que vous trouverez dans le commerce car le filetage utilisé est conforme aux standards des équipementiers automobiles !

Thrustmaster TH8A : le pommeau démontable

 

3. Mise en route et utilisation

Pour tester le shifter Thrustmaster TH8A, je l’ai connecté en USB à mon PC et il a été immédiatement reconnu par le logiciel Thrustmaster. Ni une ni deux, j’ai lancé Project Cars pour aller faire un petit tour de piste.

Au niveau réglage, il faut prendre le temps de paramétrer chaque vitesse indépendamment dans les commandes du jeu pour que le levier de vitesse fonctionne. C’est plutôt simple et rapide à faire mais cela dépend du jeu sur lequel on utilise l’accessoire.

Thrustmaster TH8A : chaque rapport se configure indépendamment

Sur les conseils de mon pote Sandrock, j’ai décidé de me frotter à un tracé du Nürburgring : la Nordschleife, aussi appelé « l’enfer vert ». Plus de 20km de piste, 154 virages bien souvent sans visibilité, un parcours sur lequel j’ai opté pour une voiture « à l’ancienne » : une BMW 320 Turbo Gr.5

Thrustmaster TH8A : la Nordschleife dans toute sa splendeur

J’avoue que le premier tour m’a demandé un peu de concentration pour passer les rapports mais ensuite, ça va tout seul et conduire avec une boite en H procure beaucoup de plaisir. Le circuit dévoile alors un nouveau visage, insoupçonné lorsque l’on utilise seulement les palettes séquentielles du volant.

Thrustmaster TH8A : le plaisir de la boite en H

J’ai également fait le test du Thrustmaster TH8A sur un circuit un peu plus classique au volant d’une voiture récente et là par contre, c’est beaucoup moins intuitif, probablement à cause de la vitesse qui est beaucoup plus importante et par conséquents des changements de rapports bien plus fréquents, ce qui pousse à faire beaucoup plus de fautes de passages de rapports.

 

4. Conclusion

Proposé à un tarif de 160€ sur le shop Thrustmaster ou de 145€ sur Amazon, le levier de vitesse Thrustmaster TH8A est à la hauteur de son prix de part sa qualité de conception et les matériaux utilisés. Compatible avec n’importe quel volant de la marque et n’importe quel système (PS4 / PS3 / PC / Xbox One), il est à mon avis plus orienté courses de voitures « anciennes » ou courses de rallye plutôt que courses de F1 ou de GT.

Le TH8A est l’accessoire indispensable à toute installation racing haut de gamme et pour qui veut avoir les sensations du passage de vitesse sur une boite en H !

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Depuis que les tout premiers sont sortis sur le marché, j’ai toujours possédé un SSD que ce soit dans ma tour ou mon portable. J’en possède maintenant 4 au total rien que dans ma tour et je vous propose aujourd’hui le test de l’un d’entre eux, un des tout premiers modèles de SSD exploitant le port M.2 : le Samsung 950 Pro M.2 dans sa version 512Go !

Contrairement, à la plupart des SSD disponibles à l’heure actuelle, la série des 950 Pro de chez Samsung n’utilise plus de port SATA et n’est pas au format 2.5″. Les SSD de cette série sont d’un format très réduit, ressemblent plus à une barrette de RAM qu’autre chose et se connectent directement sur le port M.2 de la carte mère, un dérivé du port mSATA, souvent présent dans les PC portables.

Avec ce nouveau type de SSD, Samsung nous annonce des débits complètement hallucinants. Mais qu’en est il en pratique ? La réponse dans ce test !

1. Packaging

Le SSD Samsung Pro 950 512Go est livré dans une petite boite qui ne contient que le SSD en question et une notice très sommaire.

SSD Samsung 950 Pro 512Go : mon précieeeuuuuxx

On comprend rapidement la taille réduite de l’emballage lorsque l’on découvre le matériel.

SSD Samsung 950 Pro 512Go : un format très réduit

En effet, le SSD 950 Pro est de très petite taille, à peine plus petit qu’une barrette de RAM, mais Samsung annonce qu’il en a dans le ventre… Voyons cela !

 

2. Caractéristiques

  MZ-VKV256 MZ-VKV512
General Feature
Capacity 256 GB (1GB=1 Billionbyte by IDEMA) 512 GB (1GB=1 Billionbyte by IDEMA)
Form Factor M.2 (2280)
Interface PCIe 3.0 x4 (up to 32 Gb/s) NVMe 1.1
Dimension (LxWxH) Max. 80.15 x 22.15 x 2.38 (mm)
Weight Max. 10g (512GB)
NAND Type Samsung V-NAND
Controller Samsung UBX controller
Cache Memory Samsung 512 MB Low Power DDR3 SDRAM
Special Feature TRIM Support TRIM Supported (Required OS support)
S.M.A.R.T Support S.M.A.R.T Supported
Data Security AES 256-bit for User Data Encryption
TCG Opal Family Spec and eDrive(IEEE1667) to be supported by FW update
Performance Sequential Read Up to 2,200 MB/sec Up to 2,500 MB/sec
Sequential Write Up to 900 MB/sec Up to 1,500 MB/sec
Environment Power Consumption Active average/maximum: 5.1 W/6.4 W (256 GB), 5.7 W/7.0 W (512 GB),
Idle : 70mW, DEVSLP(L1.2 mode) : 2.5mW
Reliability (MTBF) 1.5 Million Hours Reliability (MTBF)
Operating Temperature 0 °C to 70 °C (Measured by SMART Temperature. Proper airflow recommended)
Humidity 5% to 95%, non-condensing
Vibration 20~2000Hz, 20G
Shock 1500G , duration 0.5m sec, 3 axis
Warranty 5 Year Limited Warranty or 200 TBW Limited Warranty 5 Year Limited Warranty or 400 TBW Limited Warranty

Retrouvez les caractéristiques complètes des 950 Pro sur le site officiel de Samsung.

 

3. Installation

Pour pouvoir installer un SSD sur votre carte mère, cette dernière doit être assez récente et disposer d’un port de type M.2. Le processus d’installation est très simple puisque le SSD s’insère dans le port sans forcer et est ensuite maintenu en place à l’aide d’une petite vis à resserrer délicatement. Voilà l’emplacement dédié au SSD sur ma carte mère :

SSD Samsung 950 Pro 512Go : un tout petit emplacement comparé à la taille de la carte mère

Le format de ce SSD est vraiment atypique car il est à peine plus grand qu’un SSD au format mSATA, à peine plus petit qu’une barrette de RAM et l’interface qu’il utilise pour le connecter à la carte mère permet de s’affranchir d’un câble SATA, d’un câble d’alimentation et d’un emplacement 2.5″, détail qui devrait séduire bon nombre de moddeurs !

SSD Samsung 950 Pro 512Go : la puissance et l'élégance

Ensuite, tout se passe dans le BIOS si par malchance le port n’est pas activé par défaut car pour pouvoir profiter de toute la puissance du port M.2, votre carte mère doit désactiver d’autres ports qui seront alors inutilisables. Pour ma part, je n’ai rien eu à modifier car à peine branché, le SSD a tout de suite été reconnu au démarrage de l’ordinateur ! En effet, ma carte mère a détecté qu’un disque était branché sur le port M.2 et a donc automatiquement désactivé 2 ports SATA 3.0 bien identifiés dans la documentation.

L’intérêt du port M.2 c’est qu’il exploite le bus PCI Express 3.0 qui fonctionne à 10Gbit/s là où un bus SATA 3.0 n’atteint qu’une vitesse de maximale de 6Gbit/s. Un écart plus que conséquent qui devrait donc se ressentir pendant les tests.

 

4. Environnement de test

Le test de ce SSD a été réalisé sur la configuration suivante :

– Processeur : Intel i7 5960x @ 3.0 GHz

– Carte mère : MSI X99A Godlike Gaming

– Mémoire vive : 4 x 8Go G.Skill Ripjaws 4 DDR4 3000MHz CL15

– OS : Microsoft Windows 10 64bits Professionnal Edition

Toutes les mesures de vitesses ont été réalisées à l’aide du logiciel Crystal Disk Mark.

 

5. Performances

Comme indiqué dans la section précédente, j’ai effectué toutes les mesures à l’aide du logiciel gratuit Crystal Disk Mark. Il faut savoir que le Samsung 950 Pro est actuellement utilisé pour mon système d’exploitation et les installations de logiciels.

SSD Samsung 950 Pro 512Go : des performances à la hauteur des annonces constructeur

Afin d’avoir un point de comparaison, j’ai également effectué des tests identiques sur un SSD Samsung 850 EVO 256Go et sur un SSD Samsung 850 Pro 512Go et voici les résultats :

SSD Samsung 950 Pro 512Go : une vitesse de lecture assez ahurissante !

SSD Samsung 950 Pro 512Go : une vitesse d'écriture tout aussi impressionnante !

Comme vous pouvez le constater, le Samsung 950 Pro est largement devant les 850 Pro et 850 EVO avec un rapport de 3 sur certains tests en écriture et jusqu’à 5 fois plus rapide en lecture qu’un SSD en SATA 3.0 ! Quoi qu’il en soit, les performances annoncées par le géant coréen sur le papier sont atteintes et ce SSD est clairement l’un des plus rapides du marché.

 

6. Conclusion

On ne peut nier l’évidence sur les performantes ahurissantes de ce SSD qui pulvérise littéralement les scores par rapport à des SSD classiques tout en prenant un minimum de place dans le boitier. Si vous comptez y loger votre système d’exploitation et vos logiciels, sachez que les délais de démarrage sont quasi inexistants !

Si vous ne cherchez pas la performance ultime et que vous souhaitez simplement donner un coup de fouet à votre bécane vieillissante, je ne peux que vous conseiller de passer votre chemin car ce type de SSD est plus onéreux qu’un SSD standard. Décliné en 2 capacités, vous pourrez trouver la version 256Go aux alentours de 200e sur Amazon et la version 512Go autour de 330e toujours sur Amazon.

 

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Rico Rodriguez revient dans une toute nouvelle aventure, Just Cause 3 qui va le ramener sur sa terre natale : Medici.

Je l’avais testé à la Paris Games Week 2015 lors de la soirée réservée aux VIP et à la presse et j’avoue avoir été assez emballé par cette petite partie « hands on » d’une dizaine de minutes. Voyons maintenant si le jeu tient les promesses faites lors du salon…

1. Scénario :

Rico a quitté l’Agence et revient sur sa terre natale : l’archipel de Medici afin de mettre un terme à la dictature du général Di Ravello.

Comme vous pouvez le constater, le pitch est assez basique : un méchant, un héros et une armée entre les 2. A peine débarqué sur Medici, on est au coeur de l’action et des explosions et de vieilles connaissances viennent nous prêter main forte. Le but du jeu est simple : suivre les missions données, libérer une à une les différentes provinces de l’archipel pour débloquer de nouvelles missions, défis et réduire l’influence de Di Ravello. Une impression de déjà vu ? C’est normal, tous les Just Cause sont basés sur le même principe et c’est sans grande surprise que ce 3e volet des aventures de Rico Rodriguez s’engouffre dans les traces de ses 2 grands frères.

Just Cause 3 : Cet hélico, tu t'en sers vraiment ?

Je suis un peu déçu qu’il n’y ai pas vraiment d’envie d’innover ou de se renouveler de la part du développeur Square Enix et c’est bien dommage… Envie de passer une soirée pas trop prise de tête ? Le scénario de Just Cause 3 est fait pour toi ! Et cerise sur le gâteau : la quantité d’objectifs secondaires devrait vous tenir en haleine pendant de nombreuses soirées !

2. Gameplay :

Just Cause 3 est une vue à la 3e personne comme ses prédécesseurs et votre personnage évolue au sein d’un open world : l’archipel de Medici. Pour mener à bien votre mission, une foule de gadgets est à votre disposition dès le début du jeu avec au programme :

– un grappin : l’outil multifonction par excellence puisque vous pourrez rivaliser d’ingéniosité lors de son utilisation et faire s’envoler des voitures, des hommes, faire tomber des éléments du décors…

– un parachute

– une wingsuit pour vous prendre pour un oiseau (plutôt type B52 l’oiseau, vu l’arsenal que vous transportez)

– des armes en tout genre

– des véhicules divers et variés tels que le scooter des mers, l’hélicoptère de combat, le vespa ou encore le bus scolaire…

Tout cet arsenal n’est là que pour une seule et unique raison : concurrencer Michael Bay en faisant tout exploser, car niveau explosions, Rico en connait un rayon… Un coup de lance roquette par-ci, un coup de bonbonne de gaz attachée au cul d’un camion lancé à toute allure par-là, une hélicoptère de combat réquisitionné en plein vol achèvera de nous convaincre que Just Cause 3 c’est tout sauf subtil.

Just Cause 3 : BOOOOOM

Les missions ne sont là que pour servir de prétexte à notre soif de destruction et pour nous recadrer lorsque nous nous égarons dans l’open world, vacant de bases militaires en villages en semant le chaos sur notre passage, perdant ainsi complètement la trame narrative du jeu, si tant est que cette dernière soit importante… Des défis sont à débloquer pour customiser les capacités et le matériel de votre héros.  

Qui dit open world dit forcément map gigantesque mais heureusement, en plus de la pléthore de véhicules terrestres, aériens ou maritimes, vous avez également à votre disposition le voyage instantané qui vous permettra de vous « téléporter » à l’endroit de votre choix pour peu que vous l’ayez déjà visité au moins une fois.

3. Graphismes :

Graphiquement, Just Cause 3 n’est clairement pas à la hauteur de ce que l’on est en droit d’attendre de la génération actuelle de consoles. Certes, les paysages sont sympas et il m’est arrivé de m’arrêter pour contempler un panorama, mais dès qu’on recommencer à défourailler dans tous les sens, la qualité graphique a tendance a être beaucoup moins bonne. 

Just Cause 3 : la wingsuit est un réel plaisir !

Le clipping est vraiment trop présent et voir le décor s’afficher au fur et à mesure que l’on avance est assez agaçant. Malgré tout, les temps de chargement infinis sont clairement beaucoup trop longs et il m’est arrivé de changer de jeu car j’en avais marre d’attendre que l’écran de chargement.

Bref, on est loin d’un Rise of the Tomb Raider malheureusement mais encore une fois, c’est la faute à l’open world (mais probablement pas que) !

4. Conclusion :

Certes, Just Cause 3 souffre de beaucoup de défauts qu’on est en droit aujourd’hui de ne plus vouloir voir dans les jeux qui sortent sur XBox One / PS4 / PC. Néanmoins, il reste un excellent défouloir dont les nombreuses scènes d’explosions rappelleront sans problème celles de gros blockbusters qui tachent ! Le grappin combiné avec les éléments du décors environnant vous permettra de mettre votre créativité à l’épreuve pour réaliser des cascades ou des destructions un peu originales. On regrettera toutefois que le jeu perdre énormément de son intérêt au bout de quelques heures de jeu car beaucoup trop répétitif.

Ce test a été réalisé à partir d’une version Xbox One fournie par l’éditeur

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Dans la forêt des objets connectés, les constructeurs dégainent les uns après les autres leurs montres, de toutes formes, de toutes les couleurs, de toutes les tailles… Samsung a présenté il y a quelques mois sa toute dernière création : la Samsung Galaxy Gear S2, une montre connectée pas comme les autres.

La montre se décline en 2 séries, une série Sport comme celle que j’ai choisi et une série Classic. La série sport ne peut supporter que les bracelets officiels Samsung (vendus autour de 40e l’unité), tandis que la série Classic peut recevoir les bracelets achetés n’importe où dans n’importe quel magasin du moment qu’ils sont de la bonne largeur au niveau de l’attache.

 

1. Packaging

A l’image du package du Samsung Galaxy S6, celui de la Galaxy Gear S2 est vraiment haut de gamme. On sent bien à la vue de la boite que le constructeur coréen souhaite donner un coté un peu luxe à ses produits un peu à l’image de la marque à la pomme et c’est tant mieux !

Samsung Galaxy Gear S2 : le package est haut de gamme

Dans la petite boite circulaire on retrouve :

– la montre Samsung Galaxy Gear S2

– un bracelet court

– un chargeur secteur

– la station d’accueil de la montre

Samsung Galaxy Gear S2 : contenu de la boite

On appréciera que Samsung fournisse un bracelet long et un bracelet court pour permettre à n’importe quelle morphologie de porter cet accessoire sans avoir à débourser quelques euros supplémentaires.

 

2. Spécifications

La montre Samsung Gear S2 est un petit concentré de technologie.

Ecran cirvculaire sAMOLED 1.2″ (360 x 360 / 302ppi)

512Mo de RAM / 4Go de stockage (dont 50% utilisés par le système)

Etanche (certifiée IP68)

Connexions WiFi, Bluetooth 4.1 et NFC

Accéléromètre, gyroscope, Cardio-fréquencemètre, baromètre, lumière ambiante

 Ajoutez à cela la possibilité d’installer des applications depuis le store dédié et on a un véritable ordinateur de bord au poignet ! Bon, les spécifications sont une choses, voyons maintenant la qualité du produit.

 

3. Conception du produit

Contrairement au premier modèle de la Gear et à beaucoup de modèles développés par la concurrence, la Samsung Galaxy Gear S2 est ronde, un design que j’apprécie tout particulièrement. La montre a plutôt un look de montre sportive, bien loin d’un aspect plastique, bas de gamme ou prototype.

Samsung Galaxy Gear S2 : un look sobre et sportif

La montre ne dispose que de 2 boutons de commande et la navigation s’effectue soit grâce à l’écran tactile, soit en faisant tourner l’anneau entourant le cadran. Cet anneau est vraiment une très bonne idée du constructeur car c’est intuitif, rapide et précis avec ses crans.

Le capteur cardiaque est situé sou la montre et prend votre pouls de temps en temps dans la journée sans que vous n’ayez rien à faire.

Samsung Galaxy Gear S2 : le capteur cardiaque

Dans l’ensemble, les matériaux utilisé pour la fabrication de la montre sont d’excellente qualité, y compris le bracelet en caoutchouc qui n’a pas bougé d’un poil après quelques mois d’utilisations (utilisation au travail, à la maison, sous la douche, pendant le sport…). Vraiment un excellent point car pour avoir testé plusieurs bracelets connectés, je dois dire que c’est souvent le bracelet qui pèche…

La montre se recharge grâce à un socle sur lequel la Gear S2 vient se poser. Pas de clip, pas de prise particulière, le chargement se fait sans contact.

Samsung Galaxy Gear S2 : charge sans contact

 

4. Utilisation

A l’utilisation cette montre connectée est vraiment ultra agréable. La navigation dans les différents menus grâce à la molette est très intuitif et les 2 boutons suffisent pour effectuer toutes les actions possibles, même si l’on peut largement s’en passer les 3/4 quarts du temps grâce à l’écran tactile.

En quelques tours de molette on accède rapidement à nos notifications ou nos applications telles que la météo, l’agenda ou encore l’application de contrôle de la musique et la prise en main est vraiment très simple et rapide !

Samsung Galaxy Gear S2 : des applications accessibles en un clin d'oeil

L’application Gear sur le smartphone permet de configurer les principaux paramètres de la montre comme bon nous semble. Il est ainsi possible de gérer quelles notifications on souhaite recevoir, le design du cadran, l’ordre des différents écrans, etc.

Samsung Galaxy Gear S2 : une application pour les controler toutes

Je l’ai testé lors de mes séances de course et bien que le résultat soit assez fiable, la Gear S2 ne remplace pourtant pas une montre vraiment orientée sport comme la Suunto Ambit 2 par exemple, mais c’est tout à fait normal. Elle n’est pas conçue pour ça à la base et elle conviendra parfaitement aux adeptes du footing dominical.

L’autonomie est plus que correcte puisque j’arrive à tenir 48h sans recharger la batterie et en optimisant les différentes notifications que je reçois dessus, ce qui est plutot honorable pour un produit de ce type. En revanche, le store est à l’heure actuelle beaucoup trop vide d’applications intéressantes et j’espère que dans les semaines à venir l’offre logicielle va s’étoffer.

 

5. Conclusion

Proposé à un tarif de 350e sur Amazon, cette Samsung Galaxy Gear S2 fait partie des modèles les plus abordables du marché, la qualité de sa conception et le caractère intuitif de son utilisation lui conférant un excellent rapport qualité/prix. En revanche, à l’heure actuelle le store est vraiment vide si l’on retire les différents cadrans personnalisés réalisé par Samsung et d’autres développeurs. J’espère vraiment voir débarquer plus d’applications dans les mois qui viennent même si celles déjà présentent nativement dans la montre suffisent la majeur partie du temps.

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D’ordinaire, je joue sur mon écran de PC ou ma TV et c’est largement suffisant. Mais j’ai eu l’occasion il y a peu de tester un vidéoprojecteur Full HD de chez Viewsonic, et voici ce que j’en pense…

1. Package

Le package du vidéoprojecteur Viewsonic est assez complet et le protège bien des chocs, une excellente chose vu la fragilité de la lampe (et surtout son coût !).

Viewsonic PJD7830 : Packaging

On retrouve donc à l’intérieur du carton :

– le vidéoprojecteur Viewsonic PJD7830

– une sacoche de transport

– un câble d’alimentation 220v

– un câble d’alimentation avec prise UK

– un câble VGA

– une télécommande

Ce package est donc vraiment complet mais de mon point de vue, Viewsonic aurait pu économiser le câble VGA car pour ce type de matériel, on préférera utiliser une connectique HDMI. De plus, le vidéoprojecteur n’étant bien souvent pas à coté de la source vidéo, on préférera acquérir un câble assez long. Pour ma part, j’ai fais l’acquisition de 2 câbles de 5m (HDMI/HDMI et HDMI/DVI) sur Amazon et ils sont impeccables.

Viewsonic PJD7830 : Packaging

Le Viewsonic PJD7830 est également fourni avec un cache arrière se fixant au moyen de 4 vis. Cela permet de cacher la connectique disponible et de protéger l’arrière du produit, un bon point.

 

2. Présentation

Le vidéoprojecteur Viewsonic PJD7830 possède une résolution Full HD 1080p avec une luminosité de 3200 lumens et un contraste dynamique de 22000:1. L’affichage peut s’étendre de 30″ à 300″, soit une diagonale de plus de 7m ! Son rapport de projection permet en outre de diminuer le recul nécessaire pour avoir une image de grande taille et c’est plutôt une bonne chose pour ceux qui n’habitent pas un palace.

Viewsonic PJD7830 : la lentille de projection 

Coté connectique, le vidéoprojecteur a juste ce qu’il faut avec :

– 1 entrée VGA

– 1 entrée HDMI

– 1 sortie VGA

– 1 port RS232

– sortie audio 3.5

– 1 port S-Video

– 1 port USB Type A

On aurait apprécié avoir 1 port HDMI supplémentaire car aujourd’hui cela fait partie des standards vidéo et pourquoi pas un port DVI qui tend peu à peu à remplacer définitivement ce bon vieux VGA.

Viewsonic PJD7830 : la connectique

Coté dimensions, le Viewsonic PJD7830 est tout de même assez imposant avec ses 36cm de large, 23cm de profondeur et 11cm de hauteur pour un poids d’un peu moins de 3kg.

Fait d’un mélange de plastique blanc brillant et gris d’excellente qualité, ce vidéoprojecteur est vraiment haut de gamme de part ses finitions, ce qui est très encourageant pour la suite du test !

 

3. Mise en route et utilisation

Pour tester ce vidéoprojecteur, je l’ai connecté à ma console de jeu Xbox One et à mon PC afin de pouvoir avoir un aperçu global des performances du matériel sur 2 supports différents. Pour ce faire, j’ai utilisé les 2 câbles mentionnés plus haut.

La connexion est aisée et le vidéo-projecteur est immédiatement détecté sur PC comme un 3e écran. J’ai pris un peu de temps pour régler du mieux possible le Viewsonic PJD7830 et obtenir l’image de la meilleure qualité à l’aide du pavé de commande situé sur le dessus.

Viewsonic PJD7830 : le panneau de commande

Un des gros avantages de ce vidéo-projecteur est que l’on est pas obligé de le mettre tout a fait en face du support sur lequel on projette. Par le biais des réglages, il est possible d’ajuster le parallélisme de l’image pour obtenir un rectangle parfait ou presque. Combiné à un recul plus faible que la moyenne pour obtenir une diagonale équivalente, ce vidéo-projecteur est tout indiqué pour les pièces de petite taille !

Viewsonic PJD7830 : Une grosse diagonale avec un recul assez faible

Pour vous donner une idée le zoom était au minimum et par conséquent, j’aurai pu obtenir une image beaucoup plus grande sans augmenter mon recul d’un seul centimètre ! (mon image fait environ 3.5m sur la photo)

Une fois les réglages terminés, j’ai pu commencer le test sur PC ! A moi les joies de Hearthstone et d’Overwatch sur écran géant ! Avec les réglages graphiques au maximum, l’image est vraiment très propre et assez fluide. Le constat est le même sur Xbox One que ce soit pour jouer à Unravel et Rise of the Tomb Raider ou alors pour regarder un film ou une série sur Netflix. Si on s’approche vraiment prêt, on peut observer les pixels formant l’image, mais avec le recul adapté à la diagonale de l’image, aucun problème pour une image net.

Viewsonic PJD7830 : les pixels

Cette image représente le coin inférieur gauche de l’encart « Unravel », le cliché a été pris à environ 25cm de distance.

Coté son par contre, c’est là que le bas blesse un peu car oui, il y a un système sonore embarqué. Si on souhaite avoir le son de la vidéo projetée, sans trop pousser le volume : pas de soucis. En revanche, dès qu’on monte un peu le niveau on sent bien que ce n’est pas du tout le point fort du vidéo-projecteur. Mais la fonctionnalité a le mérite d’être là.

Une fonctionnalité que je n’ai pas testé : la 3D. Sachez que ce modèle la supporte pour peu que vous ayez une paire de lunettes compatible. 

 

4. Conclusion

Commercialisé autour de 800e, ce vidéo-projecteur Viewsonic présente un nombre d’atouts non négligeables tels que le faible recul nécessaire pour obtenir une grande diagonale, sa résolution assez exceptionnelle ou sa fonction 3D. En revanche, on lui reprochera son système sonore embarqué faiblard et le son produit en fonctionnement qui, si l’on est pas équipé d’un home cinéma qui crache les watts, pourra éventuellement nous incommoder. Si vous avez envie d’équiper votre salle de cinéma privée à un coût raisonnable, je ne peux que vous conseiller ce produit qui joui d’un bon rapport qualité / prix.

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Nombreux sont ceux qui préfèrent jouer a des jeux de simulation automobile avec un volant plutôt qu’avec une manette par soucis de confort et de réalisme. Malheureusement, ce type d’accessoires se révèle en général assez onéreux compte tenu des technologies qu’ils embarquent. Mais comme il existe toujours une exception, je vais vous présenter un volant de chez Thrustmaster : le T150.

1. Packaging

Le carton du Thrustmaster T150 est plutôt imposant. A l’intérieur, on découvre les éléments suivants :

– le volant Thrustmaster T150

– le mécanisme de fixation du volant

– le pédalier

– les câbles de connexion

– une notice

Thrustmaster T150 : un gros carton pour protéger le volant

Tout est très bien emballé et donc protégé des chocs éventuels dus au transport ce qui donne un bon point au fabricant. Tout les accessoires sont donc là pour profiter au mieux de son périphérique.

 

2. Design et qualité 

L’ensemble du volant, palettes de changement de vitesse exceptés, est en plastique d’excellente facture bien loin des plastiques chinois ou des accessoires gaming bas de gamme. Au premier coup d’oeil, on peut tout de suite constater que les finitions du Thrustmaster T150 sont excellentes et qu’il dégage une impression de robustesse.

Thrustmaster T150 : un volant aux finitions excellentes

Dans sa livrée Ferrari, le Thrustmaster T150 se présente tout en noir, le grip du volant apportant la touche de rouge rappelant la célèbre écurie Italienne. Le logo chevalin est situé au centre du volant où l’on retrouve les différents boutons.

Thrustmaster T150 : la licence Ferrari à l'honneur

Le pédalier est également constitué du même plastique que le volant sans aucune partie métallique. Certains se poseront surement la question de la solidité si on appui dessus comme un sauvage pied au plancher mais qu’ils se rassurent, les pédales sont très solides ! Les talons reposent sur la plaque de maintient au sol imitant un antidérapant.

Thrustmaster T150 : le pédalier

Pour se fixer sur un support, le volant Thrustmaster est équipé d’une partie en plastique qui vient serrer la partie inférieure du support à l’aide d’une visse. J’ai trouvé pour ma part que ce système de fixation peut se révéler un peu light si on tire un peu sur le volant même involontairement mais dans l’ensemble le volant est plutôt bien maintenu.

Thrustmaster T150 : un système de fixation efficace

Dans son ensemble, je dirais donc que le Thrustmaster T150 Ferrari Edition est d’assez bonne qualité malgré une conception tout en plastique et qu’il retranscrit très bien l’identité de la marque sous laquelle il est licencié.

 

3. Caractéristiques

Bien évidemment, le T150 embarque un système de retour de force permettant de retranscrire assez fidèlement les détails de la course comme le relief, le freinage, les chocs ou bandes d’arrêt, la perte d’adhérence… Pour ceux qui trouveraient que le retour de force est un peu fort dans sa version standard, il est possible de le régler pour l’ajuster à votre envie.

Le volant fait 28cm de diamètre et dispose d’un ange de rotation là encore paramétrable pouvant couvrir de 270° à 1080°. Il doit sa précision à une lecture optique de 12 bits de résolution et est actionné par un mécanisme mixte à base de courroie et d’engrenages.

Egalement compatible PS3/PS4, le volant T150 dispose de tous les boutons que l’on peut retrouver d’ordinaire sur une manette (PS / Share / Options / Croix / Carré / Triangle / Rond / L1/L2 / R1/R2) avec en supplément 2 palettes séquentielles de grandes tailles et les 2 pédales.

Le firmware peut être mis à jour assez simplement grâce à l’utilitaire Thrustmaster qui sert également à modifier certains paramètres, la plupart des configurations étant à faire dans chaque jeu. Le volant se connecte en USB sur une console PS3 / PS4 ou un PC.

 

4. Utilisation et sensations

Je ne vais pas vous le cacher, au départ j’ai un peu galéré avec les configurations. D’une part, le logiciel n’a pas reconnu tout de suite le modèle du volant à cause d’un problème lors de l’installation des drivers. j’ai donc dû désinstaller complètement les drivers, redémarrer l’ordinateur, rebrancher le volant et patienter pendant l’installation jusqu’à ce qu’il reconnaisse enfin le T150. je n’incriminerais pas Thrustmaster, je pense simplement que je n’ai pas eu de bol. L’autre partie qui m’a posé problème c’est en jeu lors de la configuration du volant car je ne suis pas du tout familier de ce genre de périphérique. Le temps de trouver mes marques et je lançais la première partie sur Project Cars. (NDLR : depuis que j’ai testé le jeu pour la première fois, un profil dédié au T150 a été intégré à Project Cars).

Thrustmaster T150 : setup prêt à rouler !

Les sensations sont plutôt bien retranscrites. Une perte d’adhérence et le retour de force devient quasi inexistant, un petit tour dans l’herbe et le volant se met à frémir, une bosse ou un chaos dans la route et on ressent tout de suite un à-coup. C’est assez déroutant comme sensations au départ car lorsque l’on est habitué aux sensations procurées par une manette de console, ça change du tout au tout !

Conduire sur une route virtuelle avec le Thrustmaster T150 est vraiment une excellente expérience après seulement quelques heures de jeu et les sensations sont plutôt réalistes (bien que variant en fonction du jeu sur lequel vous êtes). Bien évidemment, les sensations ressenties ne sont pas à la hauteur de celles fournies par un T300 ou un TX Wheel mais compte tenu du tarif, c’est tout a fait normal et le T150 est vraiment d’un excellent rapport qualité prix.

Proposé à un tarif maximum de 200e, vous pouvez le trouver sur le site officiel de Thrustmaster (200e), sur Amazon (179e) ou encore LDLC (150e) et vous équiper sans vous ruiner pour prendre beaucoup plus de plaisir qu’avec une simple manette.

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J’ai reçu il y a quelques jours un accessoire pour mon Samsung Galaxy S6 Edge : le chargeur à induction rapide officiel et voici mon avis ! (désolé pour les photos, j’ai supprimé celles que j’avais fait involontairement…)

 

1 . Packaging

Le package est réduit à sa plus simple expression puisque seul le socle est fourni ! Si vous souhaitez avoir un chargeur nomade supplémentaire en permanence dans votre sac, vous devrez passer par la case achat…

Chargeur à induction rapide Samsung

Vu le prix du socle, Samsung aurait pu faire effort de fournir un adaptateur secteur avec…

 

2. Design

Le socle existe en 2 coloris : blanc ou noir. Pour ma part j’ai opté pour la version blanche, plus discrète sur mon bureau.

Le socle est fait d’une alliance de plastique blanc et de plastique transparent. Il est surmonté d’un cercle de caoutchouc faisant office d’antidérapant sur lequel vient reposer le smartphone. 

Chargeur à induction rapide Samsung

Ce socle est plutôt joli et de haute qualité et s’intégre parfaitement quel que soit l’endroit où il est posé.

 

3. Utilisation

La mise en route est simplissime puisqu’il suffit de raccorder le socle à un chargeur secteur Samsung pour qu’il soit opérationnel. Une fois le smartphone posé dessus, une LED s’allume en bleu pour indiquer que la charge est en cours, elle passe au vert une fois la charge effectuée.

Chargeur à induction rapide Samsung

Au niveau temps de charge, compter 2 à 4 fois moins de temps qu’avec le chargeur à induction classique ! Il faut environ entre une heure et une heure et demi pour charger totalement mon Galaxy S6 Edge, c’est toujours moins rapide qu’un chargement filaire mais beaucoup plus rapide que le chargeur à induction standard.

 

4. Conclusion

Proposé à un tarif situé autour des 60e, le chargeur à induction rapide Samsung aurait mérité pour ce prix là d’être livré avec son adaptateur secteur. Sa simplicité d’utilisation et son design sont en revanche à la hauteur de son prix et ses performances tout à fait correctes. Si vous possédez un Samsung Galaxy S6 / S6 Edge / S6 Edge+ / Note 5, vous pouvez sans problème vous orienter vers cet accessoire !

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