Bonjour à toutes et à tous. Comme à l’accoutumée, Sony dévoile quelques jours après sont rival Microsoft les jeux offerts aux abonnés Plus du Playstation Network.

Ce mois-ci nous avons donc droit à 6 jeux, 2 sur PS4, 2 sur PS3 et 2 sur PSVita !

PS+ : les jeux offerts de mars 2015

 

Oddworld: New ‘n’ tasty (PS4)

Soldats Inconnus : Mémoires de la Grande Guerre (PS4)

Sherlock Holmes : Crimes and Punishments (PS3)

Papo and Yo (PS3)

OlliOlli2 : Welcome to Olliwood (Cross-buy PS4 / PSVita)

CounterSpy (Cross-buy PS4 / PS3 / PSVita) 

Si vous souhaitez connaitre mon avis sur CounterSpy, un test est disponible sur le blog !

 

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On ne présente plus Telltale Games, spécialisé dans l’adaptation de franchises connues telles que The Walking Dead ou Game of Thrones sous forme de jeux vidéo par épisodes. JV le Mag leur a d’ailleurs consacré un dossier entier dans le numéro 15 dont je vous conseille fortement la lecture d’ailleurs (ainsi que de prendre un abonnement au magazine) !

JV Le Mag 15 Telltale Games

Aujourd’hui, je vous propose donc le test d’une des dernières créations Telltale Games : Tales from the Borderlands.

Tales from the Borderlands est directement tiré de l’univers de Borderlands, un jeu vidéo créé en 2009 par Gearbox software et qui a connu depuis 2 suites à succès : Borderlands 2 et Borderlands : The Pre-Sequel. Tout comme avec Retour vers le futur, Jurassic Park ou plus récemment The Walking Deads, Telltale Games nous sert une fois de plus non pas un jeu vidéo par épisode tiré d’une oeuvre cinématographique mais une toute nouvelle aventure, basée sur le monde et les personnages de la franchise vidéo-ludique Borderlands. Vu le succès rencontré par la franchise, l’enjeu est élevé pour le studio. Défi relevé ?

Tales from the Borderlands : timeline

Tales from the Borderlands se déroule après les événements de Borderlands 2 (et donc par extension après ceux de Borderlands et de Borderlands The Pre-Sequel). Vous incarnez Rhys, un employé cyborg de la firme Hyperion (vous savez, ceux qui ont fabriqué une partie de l’arsenal disponible dans les autres opus) dont le rêve est de devenir le nouveau Beau Jack. Mais vous incarnerez aussi Fiona, une escroc de Pandore qui rêve de l’arnaque de sa vie. Rhys descend sur Pandore avec son acolyte, Vaughn, pour acheter une clé de l’arche au nez et à la barbe de leur nouveau patron : Vasquez. Pour l’acquérir, ils rencontrent August, un personnage un peu louche de la planète Pandore qui détient une clé de l’arche mais tout ne se passe pas comme prévu… Les deux héros, Rhys et Fiona, seront bientôt lancés à la poursuite de la mallette d’argent, tous deux convaincus qu’elle leur revient de droit. Malheureusement, la récupérer ne va pas se révéler être l’opération la plus facile…

 Tales from the Borderlands : August, Vasquez, Fiona, Sasha, Rhys, Vaughn

Dès les premières minutes du jeu, on reconnait tout de suite la direction artistique en cel shading façon bande dessinée chère à la franchise Borderlands. Les graphismes sont assez soignés bien que parfois perfectibles et on est tout de suite replongé dans le monde de Pandora. Peut être à déplorer, la maniabilité de certaines phases d’exploration n’est pas toujours au rendez vous mais elles sont si peu nombreuses que l’on s’en accommodera (mais c’est la dernière fois hein !).

L’intrigue démarre avec Rhys dont nous avons le contrôle des décisions qui vont planter le décors de l’intrigue. Les choix s’enchainent à un bon rythme, ni trop présents ni trop peu, et à chaque demande d’action, 4 choix différents s’offrent à nous sous forme de QTE. Chacune de vos décisions modifiera la perception que les autres ont de vous alors prenez garde de ne pas vous mettre tous le monde à dos ! L’histoire est donc très bien rythmée et cela s’enchaine parfois assez vite lors des combats où il faudra appuyer rapidement sur la bonne touche du pad au risque de se voir renvoyé au dernier checkpoint ! De temps à autres, vous pourrez explorer certaines petites zones grâce à l’oeil bionique de Rhys et bien que ces explorations n’ont pas vraiment d’utilité ni d’intérêt et auraient même tendance à couper un peu le rythme du jeu, il faut admettre qu’elles permettent d’en savoir un peu plus sur l’environnement qui nous entoure et le monde de Pandora.

Tales from the Borderlands : le choix de la tactique du Loaderbot

Vous pourrez également contrôler Fiona en alternance avec Rhys mais ce ne sera pas vous qui déciderez quand contrôler l’un ou l’autre des personnages. En effet, c’est le jeu qui fera la transition entre chaque personnage en modifiant l’interface de QTE, plutôt Steampunk futuriste avec Rhys et Far West pour Fiona. Les compagnons respectifs de chacun des deux protagonistes seront présents au départ mais beaucoup trop peu exploités par la suite. Dommage, le jeu aurait gagné en épaisseur. Les personnages rencontrés tels que Vasquez ou bien August sont tous haut en couleurs et totalement dans l’esprit déjanté de l’univers Borderlands.

Avec sa durée de vie d’environ 1h30 (j’ai bien pris mon temps), ce premier épisode avait comme un goût de trop peu et j’attends la suite avec impatience tout en espérant qu’elle sera cette fois ci au moins sous titrée en français, la version actuellement disponible étant en VOST Anglaise. L’épisode 1 est actuellement disponible sur Xbox 360, PS3, Xbox One, PS4 et PC, ainsi que sur iOS et Android, les 4 autres sont à paraitre.

Ce test a été réalisé a partir d’une version commerciale.

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Seulement 3 jours après Microsoft et son Xbox Live Games with Gold, Sony dégaine à son tour les jeux offerts à ses abonnés PS+pour le mois de février !

PS+ : les jeux offerts en février 2015 !

Et ce mois ci nous avons le droit à 6 jeux, soit 3 sur Playstation 3 et Playstation 4 et 2 sur PS Vita (1 jeu commun aux trois consoles du géant nippon)  :

– Apothéon (PS4)

– Transistor (PS4)

– Thief (PS3)

– Yakuza 4 (PS3)

– Rogue Legacy (PS3 / PS4 / PSVita)

– Kick & Fennick (PS Vita)

 

Rien de fou mais quelques bonnes pépites pour patienter dans les bouchons sur la route des vacances pour ceux qui possèdent une PS Vita ou pour occuper les longues journées à regarder tomber la neige pour les autres ! Profitez en, ces 6 titres seront disponibles gratuitement tout le mois de février pour les abonnés du Playstation Network, foncez tout schuss !

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Développé par Dynamighty, CounterSpy est un jeu d’action/espionnage disponible sur PS4, PS3 et PSVita (cross-buy), mais aussi sur iOS et Android.

CounterSpy : un jeu d'espionnage et d'infiltration

Scénario

L’action de CounterSpy prend place pendant la Guerre Froide, alors que Socialistes et Impérialistes se livrent à une course à l’armement dans le seul but est d’envoyer une bombe nucléaire sur la Lune, vous, espion membre de l’agence secrète C.O.U.N.T.E.R., devez tout mettre en oeuvre pour les empêcher d’arriver à leurs fins.

Votre mission sera donc de collecter des fragments de plans qui une fois assemblés dévoileront une partie du missile nucléaire destiné à détruire la Lune. Vous découvrirez également pendant vos explorations des fragments de plans d’armes qui déverrouilleront petit à petit un arsenal que vous pourrez alors acheter pour mieux vous équiper.

L’ambiance Guerre Froide est parfaitement retranscrite avec les affiches de propagande, les spots « publicitaires » et l’ambiance Est vs Ouest, on se croirait dans un James Bond comme Dr. No ou Bons Baisers de Russie !

CounterSpy : la propagande est partout ! 

 

Gameplay

Pour CounterSpy, l’éditeur a pris le parti de faire un jeu de plateforme à défilement horizontal. Vous pourrez avancer et reculer dans les niveaux pour les explorer dans les moindres détails, à la recherche des précieux plans ou objets qui vous rapporteront de l’argent.

Les niveaux sont assez vastes, truffés de passages cachés et vous aurez bien souvent plusieurs chemins possibles pour atteindre le bouton validant le niveau. Malheureusement, les niveaux se suivent et finissent par se ressembler malgré le fait qu’ils soient générés en procédural, donnant ainsi un aspect un peu répétitif au jeu. L’IA elle aussi souffre d’un réel manque d’originalité puisque les ennemis réagiront quasiment tous et tout le temps de la même manière. Dommage…

Le maitre mot dans CounterSpy est la discrétion. En effet, votre personnage n’encaisse pas bien les balles, il ne faudra donc pas compter vous la jouer Rambo ou John McClane, cela ne fonctionnera jamais ! De plus, en attaquant les ennemis de front, vous risquez que ces derniers déclenchent une alerte, augmentant ainsi le niveau de vigilance qui s’échelonne de 5 à 1, 1 étant le plus élevé. Si jamais vous atteignez le plus haut niveau d’alerte, la superpuissance concernée déclenchera une guerre nucléaire et signera la fin de votre aventure.

CounterSpy : la tension est à son paroxysme

Les munitions ne sont pas illimitées, vous serez donc contraint d’utiliser votre arsenal avec parcimonie au risque de vous retrouver à vous battre à main nue. Certes, vous pourrez trouver de temps en temps une caisse de munitions mais votre moyen le plus sûr pour refaire votre stock sera sans aucun doute l’achat entre 2 missions grâce à l’argent récolté dans les niveaux précédents. Il vous faudra alors choisir entre des bonus, des munitions, des nouvelles armes ou bien les 3 à la fois en fonction du budget donc vous disposerez, vous contraignant ainsi à explorer chaque niveau dans ses moindres détails pour en accumuler un maximum.

 

Maniabilité

CounterSpy est plutôt maniable, le système de visée ou de combat bien pensé. Parfois, il arrive que la visée soit un peu imprécise mais cela reste minime. Enchainer les ennemis dans les différents niveaux à coups de headhost ou d’uppercuts est assez facile et permet de progresser rapidement dans les complexes ultra secrets.

Dans l’ensemble, le jeu est agréable à manipuler et je n’ai pas eu le sentiment que mon personnage ne faisait pas ce que je lui demandais. Le tactile est quant à lui un peu trop sous exploité mais d’un autre coté je ne vois pas vraiment comment les développeurs auraient pu le rendre plus présent.

 

Graphismes

Les graphismes de CounterSpy sont un mix de bande dessinée, de cartoons, d’affiches et de spots télévisuels de propagande des années 60. Ce mélange donne un rendu esthétique très réussi à mon goût, renforcé par une palette de couleurs bien particulières composée de teintes plutôt pastelles. Le design a été volontairement épuré pour donner des décors et des personnages avec des arrêtes très prononcées et dénués de milliers de détails.

CounterSpy : Prenez vos ennemis par derrière...

Bref vous l’aurez compris, si CounterSpy brille par son scénario, son ambiance, ses graphismes et sa bande son, il pèche en revanche sur la répétitivité qui viendra s’installer sur le dernier quart de l’aventure. Un point noir qui, si il avait été gommé, aurait pu faire monter le jeu encore d’un cran en terme de qualité.

Proposé au tarif de 12.99€ sur le Playstation Store (version Cross-buy PS4, PS3, PSVita), le jeu vous fera tout de même passer entre 4 et 6h sympathiques si vous n’êtes pas un aficionado du Platine.

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On démarre bien l’année chez Sony avec encore de très bons jeux offerts pour les abonnés au PS+ en ce mois de janvier :

– inFAMOUS First Light (PS4)

– The Swapper (Cross-buy PS4 / PS3 / PSVita)

– Prototype 2 (PS3)

– Duck Tales (PS3)

– Duke Nukem 3D : Megaton Edition (PS3 / PSVita)

– Woah Dave! (PSVita)

PS+ : Jeux offerts de Janvier !

De bonnes heures de jeu en perspective !

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Comme chaque année, Pro Evolution Soccer et FIFA, les 2 franchises ennemies sur le créneau des simulations footballistiques, se livrent à une guerre sans merci. Bien qu’il soit extrêmement rare que je tâte du ballon rond avec la manette, je me suis pour une fois laissé tenter par la franchise de Konami, j’ai nommé : PES2015, édité depuis 1995 par la société Konami.

Alors que certains annoncent déjà le retour du Roi de la simulation, qu’en est il vraiment ? Vous allez découvrir dans les lignes qui vont suivre l’avis d’un quasi néophyte du genre…

Pro Evolution Soccer (PES pour les intimes) est donc un jeu de simulation de football qui était un peu retrait ces dernières années comparé à FIFA, son rival de toujours. Avec cette mouture 2015, Konami entends frapper de plein fouet son concurrent et donc reconquérir le trône. 

 

1 – L’interface :

Grand habitué et fan de Windows 8, j’ai tout de suite fait un rapprochement entre l’interface Metro de Microsoft et celle de PES.

PES2015 : Une interface claire

Des carrés et rectangles de différentes tailles nous permettent tout de suite d’accéder aux principales possibilités de match. Moi qui n’y connais pas grand chose en jeux de foot, je dois dire que j’ai pu rapidement démarrer une Champions League ou un tournoi de Ligue 1 sans avoir à chercher pendant des heures.

Lors du démarrage des matchs, il est possible de customiser absolument tout. Que ce soit le stade, le placement des joueurs sur le terrain, les maillots des deux équipes ou encore la gestion des blessures, chaque match peut être adapté selon notre bon vouloir ce qui est plutôt bien mais pas forcément indispensable (excepté la gestion de blessures).

On retrouvera la plupart des grands championnats nationaux, internationaux et vous pourrez même composer votre équipe de rêve dans le « myClub », un genre de FIFA Ultimate Team à la sauce Konami !

 

2 – Les graphismes :

Si sur le papier les screenshots que j’avais vu passer vendaient du rêve, j’étais quelque peu sur la réserve car bien souvent, un screenshot ne fait pas le jeu. et bien je dois dire que j’ai été relativement bluffé par la qualité de la modélisation des joueurs ! Les visages sont vraiment très bien fait et leur taille est respectée (petite pensée pour Lionel Messi) et j’ai pris pas mal de temps à l’ouverture des matchs pour observer les joueurs tellement le travail a été soigné.

PES2015 : Une modélisation fidèle

Lors des parties, les graphismes sont également très agréables et les stades sont vraiment beaux. Les gradins sont bien remplis et donne de la vie aux tribunes. Petite ombre au tableau selon moi : cette foule justement. Lors des gros plans sur la foule en délire, on peut voir qu’elle n’est pas aussi bien modélisée que le reste du jeu mais bon, on en tiendra pas rigueur à Konami.

PES2015 : Une foule moins soignée que les joueurs

 

3 – La maniabilité :

Comme je l’ai dis au départ, je suis ne suis un féru de football ou même de jeux de football. Tout simplement parce que je suis plutôt mauvais sur ce type de jeu (n’ayons pas peur des mots !). Et bien je dois dire que je me suis pris au jeu et que PES2015 a réussi a me faire passer de longues heures à arpenter le terrain, lancer des bordées d’injures, faire des tacles assassins… J’ai réussi a aller jusqu’en quart de finale de l’UEFA Champions League (vu mon niveau c’est un exploit), et après m’être fait éliminer par le PSG, je me suis vengé avec cette même équipe parisienne en martyrisant les petites équipes françaises à qui j’ai infligé des scores dignes d’un match de tennis (oui bon ok, j’avais réglé la difficulté sur « Novice » et ALORS ?).

 PES2015 : un match de tennis

La première chose qui m’a frappé lors de mes matchs, c’est la gestion de l’endurance des joueurs. Lors des premiers matchs, je dois dire que je faisais peu de passes, mes joueurs courraient énormément et arrivé à la fin de la première mi-temps, l’attaque de mon équipe était déjà cramée… J’ai donc appris a faire des passes ! Idem pour les tacles, il a fallut que j’apprenne à tacler proprement pour ne pas me prendre des coups francs ou des cartons de diverses couleurs toutes les 2 min…

L’arbitre a souvent été ma bête noire et malgré mon niveau misérable en foot, j’ai quand même de sérieux doutes sur son impartialité ! Je me suis également souvent pris à râler sur des passes ratées qui n’auraient pas dû l’être… Il y a donc encore quelques défauts à corriger selon moi !

Malgré tout, j’ai pris énormément de plaisir, et je dois avouer que cela faisait une éternité que cela m’étais arrivé sur une simulation de foot !

 

4 – L’ambiance :

Car un bon match c’est de belles actions et une bonne ambiance, PES2015 nous plonge au coeur du match avec une ambiance de folie dans les tribunes. Le stade est vivant et vibre au rythme des actions. En revanche, j’ai trouvé que les 2 commentateurs deviennent de plus en plus insupportables au fil du temps et balancent souvent des phrases assez hors contexte… Dommage, peut être aurait il fallut varier les commentateurs ou élargir la quantité de phrases à leur disposition, cela aurait évité de voir un défenseur être gratifié d’un « c’est vraiment l’homme du match » ou « son équipe ne joue que pour lui » alors que je viens de faire n’importe quoi avec le ballon… 

En dehors de ce petit désagrément, il suffit de fermer les yeux pour avoir l’impression d’être devant un vrai match à la TV ! Bluffant !

 

5 – Conclusion :

Est ce que je recommande PES2015 ? Bien sûr que oui ! Malgré le fait que je n’apprécie pas plus que ça le sport en lui même et que je ne sois pas des plus habiles sur ce genre de jeu, j’ai passé un excellent moment sur ce jeu qui m’a réconcilié avec le genre. Les graphismes sont travaillés, l’ambiance est au rendez vous dans le stade et en fermant les yeux on s’y croirait presque. Si vous voulez faire plaisir à votre chéri ou votre fils pour les fêtes de fin d’année alors n’hésitez pas et foncez sur PES2015, disponible sur PC, Xbox 36à, Xbox One, PS3 et PS4 !

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Après un mois de novembre placé sous le signe de la PS Vita, ce mois de décembre est équilibré avec de nouveau 6 jeux offerts !

Si vous êtes abonné au PS+, sachez que jusqu’à la fin du mois vous pourrez télécharger gratuitement les titres suivants :

– Injustice : Gods Among Us – Ultimate Edition (PS4)

– Secret Ponchos (PS4)

– Hitman Trilogy HD (PS3)

– Deadly Premonition : The Director’s Cut (PS3)

– Final Horizon (PS Vita)

– Titan Attacks ( Cross-buy PS4 / PS3 / PS Vita)

Les jeux offerts du PS Plus en décembre !

Noël approche, mais chez Sony il est un peu en avance !

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Exit les jeux gratuits d’octobre et place aux jeux gratuits de novembre !

Ce mois-ci, Sony fait une fois de plus la part belle à la PS Vita puisque sur les 6 jeux offerts ce mois-ci, 5 sont compatibles avec la console de jeu portable !

Voici la liste des jeux à télécharger gratuitement ce mois ci pour tous les abonnés du Playstation Plus :

Binding of Isaac Rebirth (Cross-buy PS4 / PS Vita)

Steamworld Dig (Cross-buy PS4 / PS Vita)

Frozen Synapse Prime (PS3)

Luftrausers (Cross-buy PS3 / PS Vita)

The Hungry Horde (PS Vita)

Escape Plan (Cross-buy PS4 / PS Vita)

PS Plus : les jeux offerts de Novembre

Voila de quoi occuper les soirées au coin du feu !

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Etant l’heureux propriétaire d’une PS Vita, je me suis également abonné au PS+ et comme pour le Xbox Live, je vous informerais désormais des titres qui seront mis à disposition gratuitement par Sony chaque mois !

Au programme ce mois-ci, nous avons donc 7 titres qui seront gratuits à partir du 8 octobre !

DRIVECLUB PlayStation Plus Edition (PS4)

Dust : An Elysian Tale (PS4)

Spelunky (Cross-buy PS4 / PS3 / PS Vita)

Batman Arkham Asylum (PS3)

Dungeons & Dragons : Chronicles of Mystara (PS3)

Pix the Cat (Cross-buy PS4 / PS Vita)

Rainbow Moon (Cross-buy PS3 / PS Vita)

PS+ : Les jeux offerts du mois d'octobre 2014

Voila pour ce mois ci ! Rendez vous le mois prochain pour les prochains titres gratuits ! En attendant, n’hésitez pas à laisser un commentaire si vous souhaitez que j’étoffe un peu la liste avec la jaquette, le lien, le synopsis des jeux, etc… comme je le fais déjà pour le Xbox Live Games with Gold !

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Sorti le 16 avril 2014 sur PS Vita en France et gratuit sur le PS+ durant le mois de Juin, Dead Nation fait partie des premiers jeux que j’ai eu entre les mains à peine ma PS Vita réceptionnée, l’occasion pour moi de vous faire part de mes impressions. Développé par les studios Housemarque et édité par Sony Computer Entertainment Europe, Dead Nation est sorti initialement sur PS3 fin 2010 avant d’être porté en mars 2014 sur PS4 puis en avril 2014 sur PS Vita.

L’action du jeu se déroule sur notre planète, en proie à une épidémie qui transforme les habitants en zombies assoiffés de chair humaine. Le héros, immunisé contre les effets de ce virus, devra trouver un moyen d’échapper à cet enfer. Vous aurez le choix d’incarner un homme (Jack Mc Ready) ou une femme (Scarlett Blake) pour mener à bien votre mission. Vous pourrez parcourir les niveaux du jeu en solo ou en coop (local ou internet) en mode Histoire, ou bien choisir de faire une seule et unique mission, pour peu que vous l’ayez déjà terminée au préalable. Dead Nation offre 5 niveaux de difficultés : Coma / Normal / Sinistre / Morbide / Mort Vivant qui corseront votre progression dans le scénario.

Dead Nation : t'as vu mon gros lance flamme ?

Puisqu’on aborde le sujet du scénario, parlons-en justement… L’histoire est découpée en plusieurs niveaux séparés par une petite séquence narrative destinée à vous immerger dans l’histoire et à vous expliquer grosso modo le but poursuivi dans le niveau qui arrive. Chaque niveau est découpé en sections séparées par des checkpoints dans lesquels vous pourrez vous ravitailler en munitions et accessoires, mais également upgrader vos armes et modifier la configuration de votre armure.

Ne nous voilons pas la face, bien que le style artwork des séquences narratives me plaise beaucoup, il peine malheureusement à escamoter le but principal du jeu : casser encore et toujours plus de zombies ! Plus vous en tuez, plus vous marquez des points. Les zombies vous rapportent argent et multiplicateur de score. Plus vous tuerez de zombies, plus le multiplicateur sera élevé et plus vous marquerez de points. En revanche, ce compteur diminuera rapidement si vous subissez des dégâts ! A la fin de chaque niveau, vous aurez un petit résumé de vos statistiques et un aperçu du classement mondial de chaque pays et de chaque joueurs afin de pouvoir vous situer dans l’échelle mondiale des tueurs de zombies.

Dead Nation : artworks de transition

Du côté réalisation, les graphismes sont plutôt léchés avec de nombreux détails dans les niveaux (débris, décombres, voitures abandonnées…). Les effets d’ombres et lumières sont magnifiques et augmentent le stress lors des parties. L’environnement du jeu est assez sombre, vous n’aurez souvent pas grand-chose d’autre que votre lampe torche pour vous éclairer, avec ça et là quelques éclairages publiques ou débuts d’incendie. La bande sonore est orientée rock et assez rythmée, l’intensité musicale changeant avant chaque arrivée massive de zombies ce qui fait monter la tension d’un cran à chaque nouveau Z-Rush.

Dead Nation : jeux d'ombres et de lumières

Coté maniabilité, c’est tout à fait correct bien que parfois capricieux avec les sticks de la PS Vita, il arrive souvent de perdre quelques précieuses secondes à viser les zombies. La version PS4 et PS Vita du jeu est par ailleurs fournie avec le DLC Road of Devastation qui apporte uniquement un mode survie. Le principe est simple : survivre à un maximum de vagues !

D’une durée de vie de 4 à 6h sans chercher à le platiner pour le moment, Dead Nation procurera aux amateurs de zombies et de carnages sanglants quelques heures de jeu assez intenses. Malheureusement, le schéma de progression étant identique pour chaque niveau (baston > check point > baston > check point > baston…), le jeu à tendance à devenir un peu répétitif sur la fin, heureusement que de nouveaux zombies apparaissent au fil de la progression pour contrer cette monotonie.

Disponible exclusivement sur le Playstation Store au tarif de 9.99€ sur PS3/PS Vita et 14.99€ sur PS4.

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