Oyé Oyé ! Cette quinzaine, Microsoft nous offre encore une fois un jeu dans le cadre de son programme Xbox Live Games with Gold et il s’agit aujourd’hui de Saints Row The Third !

Saints Row The Third

Synopsis :

Dans Saints Row®: The Third™, vous pouvez mettre le monde à vos pieds. Cependant, le Syndicate, un groupe criminel légendaire d’envergure mondiale, est décidé à vous mettre des bâtons dans les roues. Dans la bande-annonce de présentation “Strap It On”, les Saints font la connaissance de leur nouvel adversaire. C’est le début d’un affrontement sans pitié qui va mettre la ville de Steelport à feu et à sang

Développé par DS Volition et édité par Koch Media, vous pourrez mettre la ville à feu et à sang dans ce GTA-Like mettant à votre disposition toutes sortes d’armes et de véhicules pour mener à bien votre vendetta. Habituellement proposé au prix de 19.99€, Saints Row The Third est gratuit sur le Xbox Live jusqu’au 31 mai inclus !

 

Je profite de cet article pour vous informer que le programme Xbox Live Games with Gold lancé par Microsoft il y a maintenant près d’un an va bientôt évoluer ! En effet, dès le mois de Juin il sera aussi disponible sur Xbox One ! Bonne nouvelle non ?

On me dit également dans l’oreillette qu’il y aura pas mal de surprises le mois prochain comme par exemple Dark Souls et Charlie Murder sur Xbox 360 mais également Max : The Curse of Brotherhood et Halo Spartan Assault sur Xbox One ! Et comme nous soufflerons la première bougie sur Xbox Live Games with Gold, nous pourrons télécharger en bonus : Street Fighter 4 Arcade Edition sur Xbox 360. Si vous comptez juste, c’est pas moins de 5 jeux offerts pour tous les membres Gold du Xbox Live, de quoi quasiment rentabiliser un abonnement en une seule fois.

Rendez vous en Juin !

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Commandée lors de la Paris Games Week 2013, j’ai reçu mon pack Xbox One + Call of Duty Ghosts le jour de sa sortie mondiale et n’aimant tester ce genre de produit à la va vite après 1h d’utilisation où l’on n’a pas le temps de tester les choses en profondeur, j’ai préféré prendre mon temps afin d’avoir un peu de recul.

Déballage

Le package contient les éléments suivants :

– La console Xbox One

– Le capteur Kinect 2.0

– Une manette

– Un micro casque filaire

– Un câble HDMI

– Un câble d’alimentation

– Un bloc d’alimentation

– Le code de téléchargement du jeu Call of Duty Ghosts

– Un code pour un abonnement de 14 jours au Xbox Live

Premier constat : les dimensions imposantes. Que ce soit la Xbox en elle-même, le capteur Kinect ou le bloc d’alimentation, on est bien loin de la taille du modèle d’avant, la Xbox 360 Slim. J’ai même bien cru à un instant qu’elle ne rentrerait pas dans mon étagère !

Xbox One : un design carré et massif

Son design est plutôt massif, carré et entièrement noir, alternant brillance et mât. Exit le tiroir du lecteur dvd, on alimentera maintenant le lecteur Blu-ray de la console par une fente située en façade.  Les grilles d’aérations sont situées sur la moitié du dessus et sur les côtés pour assurer une ventilation optimale.

La manette a quelque peu évoluée. Design et matériaux retravaillés, la manette s’adapte parfaitement à ma main et est très agréable au toucher. J’avais déjà eu l’occasion de l’avoir en main et de la tester lors de l’événement Area One à Paris et je retrouve exactement le même plaisir. Elle est un cran au-dessus de la manette 360.

Concernant la connectique, on retrouvera sensiblement la même que sur la Xbox 360 à quelques ajouts prêts :

– Port d’alimentation

– Port HDMI Out

– Port S/PDIF

– 2 ports USB à l’arrière et un sur le coté

– Port pour le capteur Kinect

– Port pour un capteur infrarouge déporté

– Port RJ45

– Port HDMI IN

Xbox One : une connectique complète

Ce dernier port est la grande nouveauté, il permet de brancher un décodeur TV pour l’afficher et le piloter directement depuis la console. C’est pratique lorsque l’on veut tout au même endroit mais l’inconvénient c’est que pour regarder la TV, il faut impérativement allumer la console.

Pour 530€, on notera que le package est tout à fait correct et on est en présence d’un produit d’une grande qualité. J’aurais néanmoins beaucoup apprécié qu’il contienne les éléments suivant à la vue de son prix tout de même élevé :

– Un abonnement de 6 mois ou un an au Xbox Live en lieu et place de la période d’essai de 14 jours… C’est du contenu numérique et ça ne coûte rien en termes de production.

– Une manette avec une batterie rechargeable d’origine. Cela aurait permis d’entrée de jeu de s’affranchir des piles et d’éviter d’avoir à acheter un kit play and charge à 20€…

Le branchement des divers éléments est aisé et en 10 minutes, la console est prête à être mise sous tension.

 

Déballage

Microsoft a conservé le petit son de mise sous tension, la console démarre et elle commence par télécharger et installer la mise à jour promise par Microsoft. Avec la fibre, il faut environ un petit quart d’heure pour télécharger et installer le patch mais de nombreuses personnes disposant d’un accès ADSL à faible débit se sont plaintes de la durée de mise à jour…

Place à la configuration initiale avec les options habituelles et quelques innovations concernant le mode de fonctionnement de la Xbox One. En effet, afin de rendre les mises à jour du système transparentes et nous éviter un temps d’attente avant utilisation, Microsoft a eu la bonne idée de nous proposer de choisir le mode de fonctionnent de notre console en nous proposant 2 choix :

– Mode éco : démarrage plus lent avec interruption pour appliquer les mises à jour

– Mode instantané : Démarrage plus rapide, téléchargement et installation des mises à jour automatique

Le choix du deuxième mode est parfait pour ceux qui ne souhaitent jamais attendre mais risque d’alourdir (légèrement) la facture électrique, obligeant la console à rester sous tension en permanence.

Après quelques minutes passées à régler les options de la console, me voici enfin sur l’interface de démarrage… Au final, il m’aura fallu environ 45min du déballage à l’arrive sur le dashboard ce que je trouve plutôt rapide pour une mise en route initiale (merci la fibre…).

 

Prise en main

Lorsque l’on est habitué à l’interface de la 360, cette nouvelle interface basée sur celle de Windows 8 fraichement sorti est un peu déroutante.

Pour l’interface à proprement parler, je ne me fais pas trop de soucis. Je dirais qu’elle est encore en phase de développement, peu d’options pour la personnaliser à notre guise et certaines fonctionnalités sont encore manquantes. Mais il s’agit d’une partie entièrement logicielle qu’il est facile de faire évoluer lors de mises à jours futures, ce qu’a déjà commencé à faire Microsoft lors de son dernier patch.

A l’heure actuelle, il n’est pas possible de paramétrer dans les moindres détails les tuiles que l’on souhaite afficher ni d’affecter un code couleur personnel ou encore un fond d’écran. J’espère que ces possibilités de customisation nous seront offertes dans le futur afin que chacun puisse adapter SON profil à SA personnalité.

Je configure ensuite rapidement mon compte Xbox Live et on me propose de paramétrer Kinect.

 

Kinect, ce big brother

Le fameux Kinect, celui qui a fait couler tant d’encre et levé tant de boucliers… Big Brother is watching me ! (au même titre que Facebook, Google et cie…)

Xbox One : Kinect is watching you !

Trêve de plaisanterie, la caméra s’allume et me demande de me placer devant elle afin qu’elle puisse me reconnaitre. J’ai également droit à un petit cours accéléré concernant les différentes vocales permettant d’effectuer les tâches courantes telles qu’allumer ou éteindre la console, lancer une application, se rendre dans le magasin Xbox…

Parlons-en justement de cette reconnaissance vocale. Je vois beaucoup de tests « minute » (ceux publié 2h après le déballage de la console) qui vantent les méritent de Kinect et sa reconnaissance vocale.

Je ne suis pas de cet avis malheureusement. Trop souvent, j’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois avant que ma console ne daigne démarrer grâce à la commande qui lui est associée. En revanche, pour naviguer dans le dashboard, lancer un jeu ou même dans certains jeux, je dirais que cela fonctionne plutôt bien… Lorsqu’on prend la peine le bien prononcer chaque commande avec une voix calme et posée.

En revanche, dans les jeux, l’interaction vocale via Kinect est assez bluffant ! On peut invectiver les boss, attirer l’attention des ennemis, etc… Au début, je n’ai pas vraiment utilisé cette fonctionnalité car j’avais peur d’être ridicule à parler à ma TV, et puis je me suis pris au jeu. L’inconvénient de cette fonctionnalité se rencontre en revanche le soir, lorsque la maison dort, il est alors difficile de parler à voix haute…

Et pour mémoire : il n’est plus nécessaire d’avoir Kinect connecté à la console pour que celle ci fonctionne (cela fait partie des nombreux revirements parmi les décisions de Microsoft).

 

Mais Kinect ce n’est pas que cela.

Le capteur est également capable de reconnaitre les QRCode. Inutile me direz-vous ? Pas tant que ça… En effet, les cartes d’abonnements, les jeux ou contenus à télécharger vendus sur de petites cartes en cartons, disposent non seulement d’un code à 25 caractères que l’on peut entrer caractère par caractère sur le site ou le dashboard, mais également d’un QRCode. Ce code, une fois placé devant l’œil de la caméra, est lu, analysé et permet de lancer le téléchargement du contenu qui lui est associé. Simple, rapide, efficace !

Comme je le disais plus haut, le capteur est également capable de nous reconnaitre (aller arrêtez de flipper un peu… vous traversez la route tous les jours !) et dans ce domaine, je dois avouer qu’il est vraiment redoutable.

Reconnaissance initiale : en tee shirt sans lunette, sans barbe.

Première tentative : en sweat, sans lunette, sans barbe. Succès !

Deuxième tentative : en sweat, avec lunette, sans barbe. La console m’a demandé de confirmé que c’était bien moi. Elle m’a reconnu, mais a préféré me demander la confirmation. Pas mal !

Troisième tentative : en sweat, sans lunette, avec barbe. La console ne m’a pas reconnu et j’ai été obligé de lui indiquer que c’était moi.

Depuis, elle me reconnait sans problème, quelle que soit ma tenue, mon port de lunette ou la taille de ma barbe. On sent que la caméra Kinect 2.0 a un très gros potentiel, espérons juste que les développeurs en tirent parti dans leurs prochains titres.

 

Silence !

Alors que j’étais habitué à une 360 ayant tendance à souffler fort pour expulser l’air chaud (très chaud ?) et à faire vrombir régulièrement le lecteur de DVD pour ses accès en lecture lorsque l’on n’installe pas les jeux sur le disque dur, j’ai été plus que surpris d’être obligé de tendre l’oreille tout prêt de la console pour l’entendre ronronner.

Je me suis tout d’abord dis qu’étant sur le dashboard, il était normal qu’elle ne peine pas trop. Je passe donc mon QRCode Call of Duty Ghosts, patiente pendant le téléchargement et l’installation du jeu et c’est parti pour une petite tuerie !

A ma grande surprise, la console reste silencieuse. Même après quelques heures, elle ne bronche pas. Vraiment plaisant !

Niveau température, elle ne chauffe pas outre mesure. Le flux d’air doit être assez bien optimisé et l’air chaud est expulsé par la grille supérieur, celui-ci allant toujours vers le haut, l’emplacement de la grille et l’orientation du flux d’air est donc plutôt bien pensé (nombre de boitiers PC ne proposent toujours pas de grille en haut de leurs boitiers…).

Et le lecteur Blu-ray dans tout ça ? Lui aussi, il se révèle plutôt silencieux que ce soit lors de l’installation initiale d’un jeu ou lors d’une partie. N’ayant pas de disque Blu-ray à disposition, je n’ai malheureusement pas pu tester la lecture d’un film.

 

Une console multimédia

La possibilité de connecter le décodeur TV sur la console permet d’avoir la TV sur la console de jeu, concentrant tout sur un seul et même périphérique. L’ancrage TV ravira ceux qui veulent garder un œil sur la TV tout en jouant mais ne sera pas ou peu utilisé par les gros gamers qui au fond s’en fichent de la TV…

L’ancrage ne se limite pas qu’à la TV car il est également possible d’ancrer Skype et de poursuivre sa partie tout en tchatant vocalement avec un ami ou sa famille.

Skype est une composante importante dans le système de Microsoft. Racheté par la firme de Redmond, le logiciel de visioconférence tire parti de Kinect pour la partie audio et vidéo. Lors de discussions vidéo, le capteur de la caméra va suivre l’interlocuteur pour qu’il soit en permanence au centre de l’image. Si c’est un groupe de personnes qui est face à l’écran, Kinect est non seulement capable de s’adapter pour afficher l’ensemble du groupe, mais il fera également parfois le focus sur la personne ayant pris la parole.

La possibilité de connecter un décodeur TV et la présence de Skype par défaut sur la Xbox One lui confère déjà une bonne dimension multimédia mais Microsoft ne doit pas en rester là pour continuer de conquérir les foyers. Pour ma part, je n’utilise encore que très peu les fonctionnalités multimédia qui se résument à une session Skype de temps à autre.

 

Verdict

La Xbox One est un peu massive, au design réussi avec des accessoires ayant une finition excellente. Niveau performance, on sent qu’elle en a sous le capot mais que ce potentiel ne sera pas exploité pleinement dans l’immédiat. Kinect est assez précis, aussi bien pour la reconnaissance vocale que vidéo et dispose d’un potentiel que les développeurs devront plus exploiter dans le futur.

La dimension multimédia, déjà présente avec l’ancrage de la TV lors d’une partie est un plus qui devrait séduire les foyers qui ne cherchent pas qu’une console de jeu et sera d’autant plus renforcé à la fin de l’année lors de l’arrivée de Netflix en France.

Pour son prix, on aurait aimé avoir une manette incluant par défaut une batterie rechargeable, cela aurait évité des frais supplémentaires (environ 20€) pour un kit play & charge. Mais forcément, cela aurait fait moins de ventes d’accessoires pour Microsoft.

Tout ce qu’on attend maintenant, ce sont des jeux qui exploitent beaucoup plus les possibilités de la Xbox One et qui dévoileront pleinement son potentiel.

Si vous ne vous êtes encore décidé ni pour la Xbox One ni pour la PS4, patientez encore un peu, presque tous les jeux sortant sur la next gen sortent aussi sur l’ancienne génération, Xbox 360/PS3. Pour ma part, je suis satisfait de mon achat mais j’attends tout de même de vrais jeux next gen.

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Il y a quelques semaines, EA et Mythic, une filiale de EA Games à l’origine du développement de Dark Age of Camelot, ont décidé de ressusciter un titre du célèbre Peter Molyneux : Dungeon Keeper !

Développé à l’époque par Bullfrog et édité par EA, ce jeu, avec son univers heroic-fantasy, vous permettait d’incarner le gardien maléfique des souterrains d’un donjon (d’où le nom Dungeon Keeper : Gardien du Donjon) qui doit gérer l’intendance, l’aménagement, la population et bien entendu la protection de son domaine.

Les graphismes ont été retravaillés pour s’adapter aux nouvelles technologies et nous offrir ainsi un jeu somme toute assez joli, bien loin de l’univers pixelisé d’il y a 15 ans. Vous aurez la possibilité de recruter des diablotins pour effectuer vos basses besognes telles que la construction, l’évolution ou le minage et devrez par la même occasion leur rappeler régulièrement qui est le maître en les tabassant pour qu’ils gagnent en efficacité (oui, je sais, c’est paradoxal). Le temps de construction ou de minage dépend de la nature de l’objet à construire ou à miner et bien sûr, plus vous ferez évoluer vos bâtiments, plus chaque évolution prendra du temps (et des ressources) !

Dungeon Keeper sur Android et iOS

Mines d’or, carrières de pierre, pièces aux trésors et ateliers divers ne manqueront malheureusement pas d’attiser les convoitises, c’est pour cela qu’il faudra également construire des défenses pour repousser l’envahisseur. Quand je parle d’envahisseur je fais bien sûr allusion aux autres joueurs qui pourront vous attaquer quand bon leur semblera, à vous de faire ce qu’il faut pour vous protéger. Vous pourrez par exemple construire des tourelles, des portes ou encore des herses, mais également recruter tout un tas de serviteurs plus ou moins coriaces pour veiller sur votre trésor.

Outre le « PvP », vous aurez également le loisir de réaliser la quarantaine de missions qui composent la campagne du jeu et qui deviendront de plus en plus dangereuses et lucratives à mesure de votre progression. Vous devrez pour cela impérativement entraîner une petite troupe capable de défaire n’importe quel équipement du donjon attaqué ou de protéger farouchement le votre en fonction du type de mission.

Enfin, pour ceux qui n’ont pas le temps d’attendre mais qui ont de l’argent, vous pourrez vous ruer sur les micro-transactions pour acheter des gemmes, sésame magique qui vous permettra de terminer les constructions, les évolutions ou encore le minage instantanément.

Proposé gratuitement sur Android et iOS, je vous recommande chaudement ce jeu qui m’a fait passer dernièrement quelques heures sympathiques. Compatible smartphone et tablettes.

Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.ea.game.dungeonkeeper_row&hl=fr

Apple Store : https://itunes.apple.com/ca/app/dungeon-keeper/id659212032?mt=8

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On arrête tout !

J’annule le concours pour qui vous permettait de remporter une clé pour la Beta du Project Spark sur Windows 8 et Windows 8.1 (arrêtez de gueuler et lisez la suite…) !

Plutôt que de faire un concours, j’invite la ou les personnes intéressées à me contacter sur Twitter ou par le formulaire de contact. C’est donc comme ça que je vais distribuer les 2 clés que j’ai en stock !

Synopsis : Le Project Spark est multi-genre, un jeu au contenu dirigé par le joueur actuellement en développement pour la Xbox One et Windows 8 par la Team Dakota. Il est compatible avec SmartGlass et Kinect, et permet aux joueurs de définir les caractéristiques du jeu, des objets et modes de jeu, et de partager leur création avec la communauté. Le jeu est pensé pour être un challenger à LittleBigPlanet, édité par Sony, en mettant l’accent sur le jeu en ligne et le contenu personnalisable. Microsoft a déclaré que le gameplay de Project Spark est «seulement possible avec l’architecture de la Xbox One. » Sa date de sortie n’a pas été annoncée.

Le site du projet : https://joinprojectspark.com/

N’hésitez pas à me contacter pour que je vous envoie une des deux clés. (ATTENTION : la beta du Project Spark n’est utilisable que sur Windows 8 et 8.1 !)

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Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous annoncer la mise en place d’un nouveau partenariat avec le site de vente de clés CD à prix discount : GoCleCD.fr !

Grâce à eux, je vais pouvoir organiser quelques concours et le premier est prévu pour le 23 janvier 2014 où vous pourrez tenter votre chance pour espérer remporter le jeu de votre choix sur leur site internet !

Et c’est pas fini ! Noel approchant, sachez qu’en ce moment ils organisent un concours pour permettre à l’un des participants de remporter 1 an de jeux gratuits ! Non, vous ne rêvez pas, j’ai bien dis 1 an (12 jeux sur l’année à raison d’un jeu par mois) !

Ils vous reste encore jusqu’au 1er janvier 2014, soit 10 jours, pour participer à leur concours si vous souhaitez tenter votre chance.

Toutes les modalités de participations se trouvent à cette adresse : http://www.free-cd-key.com/2013-freebie-madness/

A très bientôt !

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Alors que le roi Loeb a laissé son trône cette année à son successeur, Milestone se dresse face à la Next Gen et nous sort WRC4 sur Xbox 360, PS3 et PC…

Ayant reçu une copie du jeu, je me devais d’en faire le test, surtout que j’avais bien accroché lors de la preview en septembre.

 

Des modes de jeux variés mais…

WRC4 ne propose pas que des enchainements de courses bien au contraire. On peut distinguer 4 modes principaux.

Le mode « Spéciale rapide » est clairement fait pour les joueurs pressés. Une spéciale est choisie au hasard parmi toutes celles disponibles et c’est parti ! Aucun réglage, aucune préférence à choisir, vous sélectionnez ce mode et vous atterrissez directement derrière le volant.

Le mode « Rallye » vous permet déjà plus de largesses. Vous pouvez sélectionner d’effectuer une seule spéciale, un rallye complet ou encore un championnat complet et avez le choix du pilote parmi tous ceux engagés sur la saison WRC 2013, ce qui laisse pas mal de possibilités différentes !

Le mode multijoueurs vous permet d’affronter en ligne jusqu’à 16 adversaires ou 4 chez soi dans son canapé en hot seat (jeu à tour de rôle). Ce mode permet d’allonger considérablement la durée de vie du jeu.

Je vais terminer par le mode « Carrière », la partie « histoire » de WRC4. Vous commencez par sélectionner votre nom, votre photo de profil et votre agent. Ce dernier vous propose vos premiers contrats pour débuter en WRC Junior. En fonction de votre résultat pendant la saison, votre agent pourra vous proposer d’autres contrats plus ou moins prestigieux, vous permettant ainsi d’évoluer sur les différentes catégories : WRC Junior, WRC3, WRC2 et enfin la consécration ultime, le WRC. Championnat est reproduit à l’identique du circuit officiel et vous pourrez donc arpenter les 13 rallyes officiels.

WRC4

Hélas, je me suis beaucoup ennuyé lors de cette carrière pourtant prestigieuse. Les rallyes se suivent et se ressemblent, chaque rallye étant composé de 6 courses réparties sur 3 jours, avec possibilité de réparer et de régler sa voiture entre chaque journée. Monotone ! D’autre part, bien que les circuits ne soient pas identiques, j’ai trouvé qu’ils se ressemblaient fortement si on fait abstraction du changement de décors lié au pays, ce qui a installé chez moi un certain ennui.

Pour pigmenter un peu le jeu et tenter d’enrayer la monotonie, j’ai désactivé tout de suite toutes les aides à la conduite. Malgré cela, mes adversaires pourtant renommés n’ont rien pu faire et j’ai déchu le roi Sébastien Loeb de son trône en balayant le résultat officiel du circuit et en m’imposant à la première avec une avance plus que confortable sur le deuxième au classement.

 

Des graphismes corrects

Parlons des graphismes du jeu. Comme bien souvent, les éditeurs doivent faire un choix entre la qualité graphique et le réalisme de leurs jeux de simulation. J’ai réalisé une carrière complète, des débuts de pilote jusqu’à la consécration, et j’ai donc pu expérimenter tous les terrains, les changements climatiques ainsi que les différentes heures de la journée.

Commençons par l’aspect général des graphismes. Il ne faut pas se le cacher, l’environnement est correct, rien d’exceptionnel et on sent bien que la priorité n’était là. En revanche, la voiture pilotée est reproduite au pixel prêt et surtout très soignée.

Ce choix de priorités pour les graphismes est d’après moi payante. En effet, la seule chose qui ne bouge pas vraiment pendant les spéciales c’est la voiture. Le décor défile tellement vite que l’on ne prête pas attention à la qualité, à moins de s’arrêter pour contempler le paysage (genre quand on se prend un rail de sécurité ou que l’on se retrouve dans le fossé…).

Les cinématiques sont des vidéos enregistrées lors de la saison WRC2013 par conséquent, leur qualité est parfaite. L’intégration de vidéos « réelles » en tant que transitions sont plutôt un bon point.

Vous l’aurez compris, WRC4 ne transcendera pas le genre par ses graphismes car la priorité n’a clairement pas été mise ici. On peut espérer qu’un titre futur édité sur une console next gen pourra se permettre de ne faire aucun compromis.

Une petite vidéo pour vous montrer la qualité graphique du jeu :

 

Et le réalisme dans tout ça ?

Comme nous l’avait indiqué le game director de chez Milestone, le fer de lance de WRC4 c’est son réalisme. Mais qu’en est-il réellement ?

Toutes les marques engagées sur le circuit officiel en 2013 ainsi que les écuries, les voitures ou encore les pilotes sont présents dans le jeu. Les voitures sont extrêmement bien modélisées et les photos et vidéos diffusées entre 2 étapes sont également tirées de la saison WRC écoulée pour plus d’immersion.

Les réglages sont nombreux et précis, et les temps de réparation des différentes parties de la voiture correspondent au temps nécessaires aux mécaniciens œuvrant pour les pilotes dans les ateliers. Attention, si vous dépassez le crédit temps qui vous est alloué pour réparer votre véhicule, vous subirez une pénalité !

Tous les sons du jeu ont été enregistrés en conditions réelles d’après les informations du game director et j’avoue que le résultat est vraiment immersif. Si vous avez un système audio avec de bonnes basses, un siège et un volant et vous vous y croyez !

L’évolution de carrière dépendante de nos résultats est également une bonne idée là où de nombreux jeux de voiture ne proposent pas au joueur de choisir lui-même quelle carrière il souhaite embrasser ! Vous pouvez faire WRC Junior > WRC2 > WRC ou bien WRC Junior > WRC3 > WRC2 > WRC ou bien rester plusieurs saisons dans la même catégorie si vous le désirez : c’est VOUS qui avez le choix !

 

Quelques défauts et bugs

Aucun jeu n’y échappe, il y a forcément quelques défauts et bugs. Le bug qui m’a le plus dérangé, c’est l’arrêt des indications visuelles du co-pilote. A moins d’écouter attentivement sa voix, il devient alors difficile d’anticiper les virages. J’ai également été surpris dans certains virages, lorsque l’indication du co-pilote ne correspondait pas au virage ! Ça m’a fait tout drôle d’arriver pleine balle dans des virages en épingles indiqués comme virage « moyen ».

Un gros défaut pour moi : les temps de chargement. Quelle perte de temps ! Je n’ai pas chronométré sur un rallye complet combien de temps de chargement il y avait, mais sur la fin de ma carrière, j’avais quasiment atteint le fond de ma réserve de patience.

 

Pari réussi

Compte tenu de ce qui nous a été annoncé lors de la preview, je dirais que le pari de Milestone sur WRC4 est réussi.

Le jeu est relativement beau, assez réaliste avec une durée de vie correcte (compter une bonne dizaine d’heures pour une carrière expresse WRC Junior > WRC2 > WRC) et vous permettra de passer un bon moment. Malgré tout, les personnes à l’aise sur les jeux de course automobile risquent de s’ennuyer rapidement à cause du manque de difficulté évident (battre Loeb sur ses terres Alsacienne avec 1min d’avance, cela relève du miracle !).

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En cette fin d’année, nous avons été passablement gâtés (ou pas diront certains) avec l’arrivée de la nouvelle génération de consoles de jeux, accompagnées bien évidemment de leurs titres respectifs. Mais qu’en est il des semaines et mois à venir ? Je vous ai sélectionné 5 titres parmi ceux que j’attends…

 

Diablo 3 : Reaper of Souls

Genre : Hack n’ Slash

Éditeur : Blizzard Entertainment (site officiel du jeu)

Synopsis :

« Le démon primordial hurle sa rage au sein de la pierre d’âme noire, rêvant de vengeance et de liberté. Mais avant que ce sinistre artéfact ne soit scellé à jamais hors de portée, Malthaël, l’ange de la Mort, prend corps dans le monde des mortels pour mettre en œuvre son funeste dessein : voler la pierre d’âme noire afin de l’asservir à sa propre volonté. Ainsi commence la fin de toute chose… » – Blizzard

Date de sortie : 2014

Enfin un peu de nouveauté dans le monde de Diablo 3. Après avoir écumé pendant des mois les différents donjons et massacrés des milliers de monstres, Blizzard nous accorde enfin une extension. La limite de niveau repoussée à 70, ne nouvelle zone et une nouvelle classe : le Croisé, une sorte de paladin. Grand fan de la franchise, j’attends cette extension avec impatience et espère ne pas devoir patienter jusqu’à la fin 2014 pour fouler a nouveau les terres dévastées…

 

Watch Dogs

Genre : Action / Aventure

Editeur : Ubisoft (site officiel du jeu)

Synopsis : 

« Dans Watch_Dogs, le système appelé Central Operating System (ctOS) – contrôle la ville de Chicago et collecte toutes les informations sur ses habitants. Vous incarnez Aiden Pearce, un hacker de talent dont le passé violent et criminel causa la perte de ses proches. Animé par votre désir de vengeance, vous traquez sans relâche les personnes responsables de cette tragédie. Grâce à votre smartphone, vous êtes capable de surveiller et de hacker tout ce qui vous entoure, notamment le ctOS. Accédez aux caméras de surveillance, téléchargez des informations confidentielles sur vos cibles, contrôlez les feux de signalisation pour provoquer des accidents… et bien plus encore ! » – Ubisoft

Date de sortie : Printemps 2014

A l’automne 2013, nous avons eu le droit à la déferlante de Rockstar : GTA5. Force est de constater que seulement quelques semaines après le lancement, le soufflé est retombé, probablement à cause du concours de « la plus grosse… » entre la Xbox One et la PS4. Avec Watch Dogs, Ubisoft marche sur les plates bandes de Rockstar et ce n’est pas pour me déplaire. L’univers et surtout les mécaniques de jeu (le hacking et le monde ultra connecté) sont tout à fait le genre de jeu que j’attendais. J’espère qu’il sera à la hauteur de mes espérances !

 

Titanfall

Genre : FPS

Editeur : EA Games (site officiel du jeu)

Synopsis :

Dans Titanfall, l’humanité habite depuis des générations aux confins de l’espace exploré. Cette vaste région, surnommée Frontière, regroupe de nombreux systèmes solaires connus et habités, et une multitude de planètes inconnues. La majorité des êtres humains refusent de s’aventurer aussi loin de la civilisation ; mais pour les pionniers, explorateurs, mercenaires, parias et soldats, la Frontière est une promesse d’aventures et d’opportunités.

Date de sortie : Mars 2014

Hybride de Call of Duty et d’un manga type Full Metal Panic, l’idée de pouvoir prendre le contrôle de mecha pour fouler le champ de bataille est une première. Alliant FPS traditionnel agrémenté de quelques gadgets et combat de robots, Titanfall en a fait saliver plus d’un lors des différentes grosses conférences de l’année. J’espère ne pas être déçu par ce titre prometteur à qui il reste encore tout à prouver…

 

Thief

Genre : FPS / Infiltration

Editeur : Eidos (site officiel du jeu)

Synopsis :

Garrett, le Maitre Voleur, surgit de l’ombre dans la ville. Un fléau mystérieux s’est abattu sur cette cité ou la malice du Baron règne par la peur et l’oppression. Sous la bannière d’Orion, la voix du peuple, les citoyens se soulèvent dans une révolution sanglante. Partagé entre politique et intérêts du people, entrainé au cœur d’un conflit de plus en plus complexe, Garrett ne peut compter que sur ses talents de Maitre Voleur. Avant qu’il ne soit trop tard, il lui faudra confronter un sombre secret surgi de son passé, qui menace d’anéantir le monde. Garrett n’a jamais payé pour quoi que ce soit … jusqu’à maintenant.

Date de sortie : Février 2014

Après le bonheur que m’a procuré Dishonored cette année, j’espère que Garret me procurera autant de plaisir. Voler, tuer, détrousser, comploter… Encore un jeu que je surveille du coin de l’oeil avec beaucoup d’intérêt.

 

The Elder Scrolls Online

Genre : MMORPG

Editeur : Bethesda (site officiel du jeu)

Synopsis :

Forte d’une histoire développée sur 20 années (avec des ventes record), la saga de jeux de rôles et de fantasy à succès The Elder Scrolls s’attaque donc à l’univers des MMO avec de sérieux atouts. Vivez cette aventure épique en solo ; ou partagez-la avec vos amis, vos compagnons de guildes et des milliers de membres d’alliances. Explorez des grottes et des donjons regorgeant de dangers, embarquez pour des quêtes risquées à travers Tamriel et prenez part à de gigantesques batailles contre d’innombrables  joueurs, où seuls les vainqueurs récolteront les fruits de la guerre.

Date de sortie : Printemps 2014

Surement ma plus grosse attente de 2014… Après avoir écumé les mondes de Morrowind, Oblivion et plus récemment Skyrim, l’appel de Tamriel n’a jamais été aussi fort. Je me souviens encore de la toute première fois où je me suis installé à Balmora, utilisant l’éditeur pour me créer une maison, enchainant les missions ou me promenant juste pour le plaisir dans les étendues recouvertes des cendres du volcan… Mais combattre des Daedras entre potes était jusqu’à présent un mirage qui aujourd’hui devient réalité pour mon plus grand plaisir. Depuis 9 ans, World of Warcraft règne en maitre sur le monde des MMO, il est temps que le roi renonce à sa couronne… Vivement le printemps (voir avant si j’ai la chance de décrocher un accès à la Beta) !

 

J’aurai également pu citer bien d’autres titres (Fables, The Division, Destiny…) qui m’intéressent tout autant mais je vais m’arrêter là pour cette fois. 2014 nous promet d’être riche en sorties vidéoludiques mais également en nouvelles licences !

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Bientôt les fêtes de fin d’année et en ce 1er décembre, Microsoft offre comme tous les mois un jeu parmi la ludothèque de la Xbox 360 à tous ses membres Gold…

 

Et aujourd’hui, nous avons le droit à l’excellentissime Gears of War !

Gears of War sur le Xbox Live

Synopsis :

Un cauchemar venu des ténèbres. Un héro sorti de l’enfer. La planète gît en ruines, ses villes en cendres et les plus grandes œuvres de l’Homme détruites. L’humanité est acculée. La Horde des locustes est en marche. La Coalition a besoin de soldats. Il ne reste plus que malades, blessés et prisonniers. Marcus Fenix, ancien détenu, doit sauver l’humanité. La race humaine n’est pas encore éteinte.

Ce jeu (et la saga qui a suivie) est pour moi l’un des meilleurs titres de la Xbox 360, il vous fera combattre des hordes de locustes assoiffées de sang dans l’unique but de sauver l’humanité. Cette saga a d’ailleurs été accompagnée de 3 romans venant étoffer l’histoire est permettent d’en savoir plus sur les personnages, pourquoi ils en sont là et aussi de faire le lien entre chaque opus du jeu.

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion d’y jouer et que vous n’êtes pas trop accaparés par votre Xbox One ou votre PS4 alors n’hésitez pas et foncez le télécharger !

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Le 1er novembre est arrivé (oui je sais je suis un peu en retard !) et c’est donc l’heure du Games With Gold sur le Xbox Live…

 

Ce mois ci nous avons donc droit à A World of Keflings.

A World of Keflings

Avec A World of Keflings, construis un robot, sauve une princesse, deviens ami avec un dragon et aide une étrange sorcière. Promène ton avatar Xbox LIVE dans des contrées exotiques et aide les Keflings à construire et personnaliser leurs royaumes ! Joue avec un ami sur la même console ou avec trois amis sur Xbox LIVE dans ces aventures où l’on construit des royaumes en suivant une véritable histoire !

Le jeu est gratuit jusqu’au 16 novembre donc profitez-en ! Il est habituellement proposé au prix de 9.5€.

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Jeudi midi, j’avais rendez vous dans les locaux de VPCOM pour assister à la présentation du prochain jeu de rallye : WRC 4…

Sébastien, Game director chez Milestone l’éditeur du jeu, avait fait le déplacement le matin même depuis Milan pour nous présenter lui même le jeu WRC 4, et on sent tout de suite que le projet lui tient beaucoup à coeur.

Le jeu se divise en 3 modes principaux : le mode rallye, le mode carrière et le mode multijoueurs.

Je ferais l’impasse sur le mode rallye puisqu’il s’agit des courses rapides pour me concentrer sur le mode carrière.

Ce dernier se compose des 13 rallyes officiels de la saison dans laquelle vous pourrez retrouver les 65 équipes ainsi que toutes les marques engagées sur les circuits pour la saison 2013. Comme nous l’explique Sébastien, tout a été fait pour obtenir un niveau de réalisme exceptionnel et tout ceci n’a été possible qu’au prix d’une énorme collaboration avec les coureurs, les ingénieurs et les équipes de cette saison.

WRC4

Milestone a voulu créer un jeu orienté simulation. Toutes les caractéristiques techniques, les temps de réparations (vous disposerez d’un temps maximum pour effectuer vos réparations entre les étapes) et les réglages sont identiques aux conditions réelles. Les voitures ont été reproduites au pixel prêt.

Afin de fournir une meilleure expérience aux joueurs, l’éditeur a ré-enregistré sur le terrain l’intégralité des sons que ce soit les moteurs en fonction de leurs différents régimes, le bruit des pots échappements, d’ambiances, etc… Nous pourrons également choisir le moment de la journée (journée, aube, crépuscule ou aléatoire) qui sera ponctué de conditions météorologiques aléatoires.

Le feeling de conduite à été travaillé avec les pilotes de rallye. Les développeurs se sont d’ailleurs mesurés à des pilotes sur console… Les développeurs n’ont jamais gagnés.

Une fois les assistances au pilotage désactivées, Milestone nous promet un jeu orienté simulation et non arcade.

J’ai eu l’occasion de tester le jeu sur Xbox 360 (les versions PS3 et Vita était aussi disponibles) et j’avoue avoir été agréablement surpris. Je ne suis pourtant pas un aficionado des jeux de courses automobliles mais la prise en main est assez simple. J’ai sélectionné le mode carrière et lancé un des rallyes disponibles (6 étapes avec 2 possibilités d’effectuer réglages et réparations). Après 4 courses remportées haut la main, j’ai désactivé les assistances au pilotage afin d’avoir une comparaison et ma première impression a été : mais qu’est ce que c’est que tout ces murs et fossés ??! La différence est flagrante, néanmoins, la démonstration n’étant proposée qu’avec des manettes, j’attends la Paris Games Week afin de pouvoir tester le jeu avec un volant avant de me faire une réelle idée.

Au niveau configuration PC, voici ce qui est recommandé pour faire tourner le jeu en Full HD en triple screen :

Processeur : Intel i7

Carte graphique : GeForce 660ti (ou équivalent)

Mémoire vive :  4Go

Espace disque : 5Go d’espace disque

Supporte tous les modèles de volants du marché.

WRC4

J’ai été plutôt emballé par WRC 4 mais n’étant pas un expert du genre, j’attends de l’avoir testé plus longuement avant de me décider à l’acheter.

La sortie est prévue le 25 octobre sur PC/360/PS3/Vita.

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