A quelques mois de la sortie de Fallout 4, leur prochain jeu AAA, Bethesda a fait descendre les néophytes et redescendre les fans de la licence dans l’abri pour leur mettre l’eau à la bouche avant l’arrivée du messie post-apocalyptique. Pari réussi ?

1 – Fallout Shelter

Fallout Shelter est disponible depuis quelques semaines et rencontre déjà un énorme succès auprès des fans de la licence mais également de ceux qui la découvrent tout juste.

Fallout Shelter

Le principe est simple : vous devez gérer un abri anti-atomique à l’image de ceux présents dans l’univers du jeu. Comme dans tout bon jeu de gestion sur mobile, vous devrez veiller au bien être et à la sécurité de votre petit peuple en gardant un oeil vigilant sur l’état et la production de vos ressources mais également sur les différentes menaces extérieures qui vous guettent…

2 – Graphismes et Interface

Les graphismes sont soignés et orientés cartoons. Rien à dire de ce côté là, si vous avez un bel écran comme celui du Galaxy S6 Edge par exemple, c’est un vrai régal.

Fallout Shelter : l'abri

L’affichage général du jeu est semblable à celui que l’ont rencontre dans beaucoup de jeux de gestion de type « immeuble » à la différence prêt qu’ici, cela se passe sous terre ! L’affichage des fenêtres d’information et statistiques rappelle parfaitement l’interface du Pip-Boy, le célèbre assistant greffé au poignet du héros dans les jeux Fallout avec la même couleur dominante : le vert pétant !

L’accès aux différentes fonctionnalités est assez intuitif et permet de rapidement prendre le jeu en main.

3 – Gameplay

L’univers de Fallout Shelter est organisé verticalement avec une vue en coupe de votre abri. Vous gardez ainsi un oeil sur l’ensemble de vos salles avec la possibilité de zoomer sur chacune d’entre elle pour afficher les détails ou les bulles de dialogues des personnages qui les habitent.

Vous devrez donc construire des salles diverses et variées pour subvenir aux besoins de vos habitants à savoir la nourriture, l’eau potable et l’électricité. Les salles à construire sont au nombre de 20 différentes à déverrouiller en augmentant la population de votre abri.

Fallout Shelter : De nombreuses constructions

Chaque pièce coûte des caps (la monnaie du jeu) et devra être occupée par des habitants dont la caractéristique principale correspondra à celle requise par la salle en question. Ces caractéristiques sont au nombre de 7 et compose le fameux S.P.E.C.I.A.L. (Strenght / Perception / Endurance / Charisma / Intelligence / Agility / Luck) qui est propre à chaque personnage.

Fallout Shelter : le S.P.E.C.I.A.L.

Certaines salles spécifiques permettent avec de la patience d’augmenter ces caractéristiques. L’équipement que vous trouverez dans le jeu vous permettra également de booster vos personnages. Cet équipement peut être trouvé de plusieurs façons :

Soit par les habitants de l’abri que vous enverrez en exploration à la surface sans garantie qu’ils reviennent en un seul morceau :

Fallout Shelter : l'exploration

Soit par les personnages extérieurs qui viendront rejoindre vos rangs, soit dans des caisses bonus que vous pourrez obtenir via la boutique en argent réel, soit en récompense des quêtes que vous aurez à remplir :

Fallout Shelter : le système de quêtes

Mais avoir un abri prospère vous mettra également à la merci des pillards qui tenteront de vous attaquer, mais vous pourrez aussi subir des invasions de radcafards ou encore des incendies que seuls vos résidents pourront combattre ! Un incident non maitrisé peut rapidement vous mener à la catastrophe donc soyez vigilant !

4 – Conclusion

Fallout Shelter est très très très addictif, j’ai tout de suite accroché au jeu et ramassé toujours plus de caps est pratiquement devenu une obsession (derrière la nécessité de m’abreuver de Nuka-Cola bien évidemment). On retrouve bien l’ambiance de la propagande du jeu et cela m’a rappelé pas mal de souvenirs de mes parties sur Fallout 3. L’obtention des ressources est assez équilibrée et vous pourrez vous permettre quelques erreurs sans pour autant perdre votre partie mais attention, le tir devra être rapidement rectifié pour ne pas courir à la catastrophe !

Vous n’avez pas de réseau ? Aucun problème, le jeu n’en a pas besoin en permanence. La grande force du jeu est qu’il est gratuit et disponible sur iOS et Android, mais malheureusement rien de prévu sur Windows Phone… Si vous ne l’avez pas encore installé sur votre smartphone ou votre tablette, je ne peux que vous conseiller de le faire et si vous gérez déjà votre abri comme un as, je vous souhaite bon courage pour les semaines restant à attendre Fallout 4 !

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Développé par Dynamighty, CounterSpy est un jeu d’action/espionnage disponible sur PS4, PS3 et PSVita (cross-buy), mais aussi sur iOS et Android.

CounterSpy : un jeu d'espionnage et d'infiltration

Scénario

L’action de CounterSpy prend place pendant la Guerre Froide, alors que Socialistes et Impérialistes se livrent à une course à l’armement dans le seul but est d’envoyer une bombe nucléaire sur la Lune, vous, espion membre de l’agence secrète C.O.U.N.T.E.R., devez tout mettre en oeuvre pour les empêcher d’arriver à leurs fins.

Votre mission sera donc de collecter des fragments de plans qui une fois assemblés dévoileront une partie du missile nucléaire destiné à détruire la Lune. Vous découvrirez également pendant vos explorations des fragments de plans d’armes qui déverrouilleront petit à petit un arsenal que vous pourrez alors acheter pour mieux vous équiper.

L’ambiance Guerre Froide est parfaitement retranscrite avec les affiches de propagande, les spots « publicitaires » et l’ambiance Est vs Ouest, on se croirait dans un James Bond comme Dr. No ou Bons Baisers de Russie !

CounterSpy : la propagande est partout ! 

 

Gameplay

Pour CounterSpy, l’éditeur a pris le parti de faire un jeu de plateforme à défilement horizontal. Vous pourrez avancer et reculer dans les niveaux pour les explorer dans les moindres détails, à la recherche des précieux plans ou objets qui vous rapporteront de l’argent.

Les niveaux sont assez vastes, truffés de passages cachés et vous aurez bien souvent plusieurs chemins possibles pour atteindre le bouton validant le niveau. Malheureusement, les niveaux se suivent et finissent par se ressembler malgré le fait qu’ils soient générés en procédural, donnant ainsi un aspect un peu répétitif au jeu. L’IA elle aussi souffre d’un réel manque d’originalité puisque les ennemis réagiront quasiment tous et tout le temps de la même manière. Dommage…

Le maitre mot dans CounterSpy est la discrétion. En effet, votre personnage n’encaisse pas bien les balles, il ne faudra donc pas compter vous la jouer Rambo ou John McClane, cela ne fonctionnera jamais ! De plus, en attaquant les ennemis de front, vous risquez que ces derniers déclenchent une alerte, augmentant ainsi le niveau de vigilance qui s’échelonne de 5 à 1, 1 étant le plus élevé. Si jamais vous atteignez le plus haut niveau d’alerte, la superpuissance concernée déclenchera une guerre nucléaire et signera la fin de votre aventure.

CounterSpy : la tension est à son paroxysme

Les munitions ne sont pas illimitées, vous serez donc contraint d’utiliser votre arsenal avec parcimonie au risque de vous retrouver à vous battre à main nue. Certes, vous pourrez trouver de temps en temps une caisse de munitions mais votre moyen le plus sûr pour refaire votre stock sera sans aucun doute l’achat entre 2 missions grâce à l’argent récolté dans les niveaux précédents. Il vous faudra alors choisir entre des bonus, des munitions, des nouvelles armes ou bien les 3 à la fois en fonction du budget donc vous disposerez, vous contraignant ainsi à explorer chaque niveau dans ses moindres détails pour en accumuler un maximum.

 

Maniabilité

CounterSpy est plutôt maniable, le système de visée ou de combat bien pensé. Parfois, il arrive que la visée soit un peu imprécise mais cela reste minime. Enchainer les ennemis dans les différents niveaux à coups de headhost ou d’uppercuts est assez facile et permet de progresser rapidement dans les complexes ultra secrets.

Dans l’ensemble, le jeu est agréable à manipuler et je n’ai pas eu le sentiment que mon personnage ne faisait pas ce que je lui demandais. Le tactile est quant à lui un peu trop sous exploité mais d’un autre coté je ne vois pas vraiment comment les développeurs auraient pu le rendre plus présent.

 

Graphismes

Les graphismes de CounterSpy sont un mix de bande dessinée, de cartoons, d’affiches et de spots télévisuels de propagande des années 60. Ce mélange donne un rendu esthétique très réussi à mon goût, renforcé par une palette de couleurs bien particulières composée de teintes plutôt pastelles. Le design a été volontairement épuré pour donner des décors et des personnages avec des arrêtes très prononcées et dénués de milliers de détails.

CounterSpy : Prenez vos ennemis par derrière...

Bref vous l’aurez compris, si CounterSpy brille par son scénario, son ambiance, ses graphismes et sa bande son, il pèche en revanche sur la répétitivité qui viendra s’installer sur le dernier quart de l’aventure. Un point noir qui, si il avait été gommé, aurait pu faire monter le jeu encore d’un cran en terme de qualité.

Proposé au tarif de 12.99€ sur le Playstation Store (version Cross-buy PS4, PS3, PSVita), le jeu vous fera tout de même passer entre 4 et 6h sympathiques si vous n’êtes pas un aficionado du Platine.

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En tant que gros fan de la franchise Magic The Gathering, je ne pouvais pas passer à côté de Magic 2015, le nouvel opus vidéo-ludique de Wizards of the Coast.

Lancé le 16 juillet lors d’une soirée de folie, Magic 2015 est avant tout destiné à ceux qui veulent découvrir Magic et ses mécanismes grâce à un tutoriel découpé en 6 quêtes qui permettront aux novices d’appréhender les bases du jeu.

Cette phase d’apprentissage est suivie de la traditionnelle campagne qui fera évoluer le joueur au sein des 5 plans de l’univers Magic (Innistrad, Theros, Ravnica, Shendalar et Zendikar). Chaque plan est découpé en 4 missions accompagnées d’une série d’explorations.

Magic 2015 : Les Plans

Au cours de ces missions, vous rencontrerez des planeswalkers et leurs serviteurs à qui vous devrez vous confronter et que vous devrez vaincre si vous souhaitez obtenir des informations sur l’emplacement de Garruk, votre objectif final.

Magic 2015 : Celui la, il va prendre cher

Pour un joueur qui connait les rouages du jeu, il ne faudra pas s’attendre à une durée de campagne exceptionnelle puisqu’elle ne devrait vous tenir en haleine que 5 à 6h (un COD quoi ^^). Au cours de la campagne, vous remporterez des boosters qui vous permettront d’étoffer votre collection de cartes.

Les défis ont quant à eux disparu, dommage car j’ai toujours adoré me creuser la tête pour arriver à bout de mes adversaires, même dans des situations désespérées…

La grosse nouveauté qui fait sont apparition est la gestion TOTALE de vos decks ! En effet, suite à une forte demande de la communauté, Wizard of the Coast a ajouté la possibilité de constituer son deck de A à Z à partir de votre collection de cartes, et c’est là que ça devient intéressant. De base, vous disposerez d’un petit pool de carte que vous pourrez étoffer au cours de la campagne grâce aux duels qui vous permettront de gagner des boosters. 

Sur Steam, en fonction de l’édition que vous aurez acheté, vous obtiendrez des sets de cartes supplémentaires. Ces sets pourront être achetés par la suite directement dans la boutique intégrée :

 Magic 2015 : Des collections de cartes disponibles sur la boutique

Tout comme les autocollants premium :

 Magic 2015 : Envie de customiser vos cartes ?

Envie d’étoffer votre collection ? La boutique en ligne vous permettra d’acheter les boosters pour alimenter votre réserve de cartes :

 Magic 2015 : Des boosters disponibles à l'achat

Petit bémol, certaines cartes ne pourront être obtenues qu’en achetant des boosters :

Magic 2015 : Des cartes inaccessibles sans payer

Une fois que vous aurez une bonne quantité de cartes, vous pourrez vous lancer dans la confection d’un deck. L’interface est assez bien foutue, vous pourrez filtrer les cartes en fonction de leur couleur, rareté, coût en mana… et en ajouter 1 ou plusieurs dans votre deck suivant les disponibilités de chaque carte.

Magic 2015 : L'outil de gestion de decks est une tuerie !

A noter qu’une fois votre deck constitué, vous pourrez ajuster le nombre de terrains comme bon vous semble. C’est une véritable évolution du jeu qui ne proposait pas d’opération aussi poussée jusqu’à présent ! Pour ceux qui voudraient tenter l’expérience mais qui ne sauraient pas par où commencer, ils pourront sélectionner un deck de base (bi-colore) et lui apporter leur touche personnelle en ajoutant / supprimant les cartes de leur choix :

Bien sûr, vous pourrez créer plusieurs decks et vos cartes pourront être réutilisées dans chaque deck si besoin sans que vous ayez à les retirer d’un pour les mettre dans l’autre.

Coté multijoueurs, le choix a également été épuré puisque vous ne pourrez créer que des parties à 2, 3 ou 4 joueurs. Exit les modes tels que le troll à 2 têtes ou le paquet scellé ! Cela permet d’avoir une fragmentation moins importante des joueurs entre les différents modes de jeu et donc de passer moins de temps à attendre un ou des adversaires. Une stratégie à mon avis payante car je n’ai jamais attendu un adversaire plus de 2min !

Bien que destiné tout d’abord à faire de nouveaux adeptes du JCC, Magic 2015 conviendra également parfaitement aux joueurs expérimentés qui ne perdrons pas de temps avec la campagne et se concentrerons principalement sur la partie multijoueurs qui apporte une durée de vie quasi illimitée. J’ai pour ma part énormément apprécié l’outil création de deck qui peut faire naitre des decks tout simplement redoutables et cette nouvelle version du jeu vidéo tiré de l’univers Magic m’a donné envie de reprendre les tournois… Bravo Wizards of the Coast !

Proposé au tarif conseillé de 9.99€ (prix de l’édition de base), Magic 2015 est disponible sur Xbox 360, Xbox One, iOS, Android et Steam. Comme vous pouvez le constater, l’éditeur a choisi de faire l’impasse sur une version Playstation… Dommage. A noter qu’une version de démonstration est disponible sur Android afin de tester le jeu (et donc voir si votre device est compatible). Vu le temps de jeu proposé, ce prix est totalement justifié et il est donc normal de trouver des achat in-app.

Si vous aimez le jeu, je ne peux que vous déconseiller d’acheter des boosters virtuels, mais je vous recommande chaudement de trouver la boutique la plus proche de chez vous pour aller y taper le carton, en général, même si vous ne connaissez personne, les gens sont sympa !

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J’ai reçu il y a quelques semaines une manette bluetooth de la marque Ipega, compatible Android et iOS, l’occasion pour moi de vous en proposer un petit test.

Le package est assez réduit et contient les éléments suivants :

– La manette bluetooth

– le cordon de recharge

– une notice 

 

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

La manette semble d’assez bonne facture au premier coup d’oeil. Assez légère, elle tient bien en main, le pad directionnel et les boutons A, B, X et Y sont autant espacés que le stick analogique gauche et les boutons A, B, X et Y d’une manette de Xbox 360, coïncidence ? Je ne crois pas ^^ On trouve également 2 boutons LB et RB, 3 boutons Select, Start et Home ainsi que 2 sticks analogiques. Puisqu’on parle des sticks analogiques, il ne faut pas s’attendre sur ce point à des sticks qu’on pourrait retrouver sur une manette de console de salon car ils sont vraiment cheap…

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

Au niveau de la notice, on nous invite d’emblée à installer un logiciel. J’ai tenté le coup malheureusement, il est tout en chinois et demande des tonnes d’autorisations… Dans le doute, j’ai refusé et réinitialisé entièrement mon smartphone ^^. Pour choisir le mode de fonctionnement, il suffit de presser un des 4 boutons A, B, X ou Y et d’appuyer en même temps sur le bouton Home servant à l’allumage de la manette. L’appairage est ensuite rapide et facile comme tout bon produit connecté en bluetooth.

Le maintien sur le smartphone se fait grâce à un bras rétractable de 7cm de long qui permet de maintenir sans problème les smartphones de grandes tailles, y compris mon Galaxy Note 3 ! Une fois en place, rien ne bouge et l’ensemble est suffisamment équilibré pour ne pas avoir à trop forcer pour tenir l’écran dans une position confortable.

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

J’ai pu tester la manette sur Modern Combat et Asphalt, deux jeux Android. J’ai trouvé sur Modern Combat que la maniabilité était perfectible, dûe au fait des sticks « analogiques » trop bas de gamme qui accrochaient régulièrement lors de la visée. En revanche, dans Asphalt ils se sont révélés suffisants pour diriger les divers bolides à disposition. J’ai testé un ou deux autres jeux tels que BattleBears qui se sont révélés non compatibles… Dommage !

Proposé habituellement à un prix avoisinant les 35€, je ne peux vous recommander cette manette qui souffre malheureusement d’une maniabilité insuffisante de mon point de vue.

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J’ai eu la chance, grâce à Deloriand qui avait besoin d’un remplaçant, d’assister à l’événement de présentation du nouveau jeu vidéo basé sur la licence Magic The Gathering : Magic Duels of the Planeswalkers (DOTP) 2015 !

Etant un grand fan de la franchise aussi bien cartonnée que numérique, j’étais impatient de découvrir ce qu’on allait nous dévoiler sur le prochain jeu vidéo de Wizard of the Coast.

L’événement a eu lieu dans la boutique Magic Bazar dans le 14e à Paris. Nous avons donc été accueillis par Yannis, de l’agence Warning Up, et par Nicolas Gabillon, le community manager de WOTC dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Vu l’heure matinale du rendez vous, le buffet avait des allures de petit déjeuner où même les macarons étaient déguisés pour l’occasion !

Macarons Magic 2015

La présentation a débuté par un petit rappel des chiffes de Magic :

Magic c’est 20.000.000 de joueurs, 15.000 cartes et 5.000 boutiques dans le monde. En quelques années, les revenus générés ont été multipliés par 3 aux USA et par 2 en France, signe d’un véritable essor du jeu de cartes à collectionner. Les tournois internationaux sont de plus en plus prisés par les joueurs parmi lesquels un français, Jérémy Dezani, est actuellement le n°1 mondial, le reste du top 5 étant 100% américain !

Magic 2015, pour l’édition cartonnée du jeu, est prévue pour juin 2015, soit quelques semaines avant le jeu vidéo. Sa sortie sera marquée par l’apparition d’un nouveau design des cartes, laissant plus de place à l’illustration, et se composera de 269 cartes.

Le jeu vidéo aussi arrivera avec son lot de nouveautés ! 

La campagne du jeu s’articulera autour de Garruk qui, sous l’emprise de la malédiction du voile de chêne, trouve bien terne la chasse aux grosses bêtes et qui retrouvera le frisson de la chasse en traquant ses confrères planeswalkers.

Duels of the Planeswalker est depuis le tout début orienté principalement vers les gens qui débutent à Magic. Ce point n’a pas changé, le tutoriel assez complet permettra aux néophytes d’assimiler les règles de base du jeu. La campagne est prévue pour une quinzaine d’heures de jeu, où nous aurons la possibilité de visiter différents plans du monde de Magic, comme dans Magic 2014. Petite nouveauté, à chaque partie gagnée, nous remporterons un booster de cartes qui viendra alimenter notre collection. Une collection ? Mais pour quoi faire me direz vous ?

Lors du développement de leur nouveau jeu vidéo, Wizards of the Coast a écouté les demandes de la communauté de joueurs et à adapté son jeu en conséquence. Pour la toute première fois, nous aurons accès à la construction de deck ! En puisant dans votre collection de cartes virtuelles, vous pourrez créer vos decks de A à Z, les enregistrer, leur attribuer un nom perso ainsi qu’une boite perso. Une carte est utilisable dans plusieurs decks, et le nombre d’exemplaires d’une carte ainsi que le nombre total de cartes dans le deck est entièrement personnalisable. C’est VOUS qui faites votre deck. Vous voulez 30 terrains ? C’est possible ! Vous voulez un deck de 80 cartes ? Possible aussi ! Pour composer vos decks, vous aurez à disposition plus d’une centaines de cartes au lancement du jeu pour vous amuser et tester différents decks. Ce nombre sera amené à évoluer au fil du temps et des DLC.

Magic 2015 Deck Construction 

Le mode multijoueur est toujours présent et le jeu sera également connecté aux boutiques. Cette dernière fonctionnalité s’inscrit dans la politique de WOTC qui veut donner envie aux joueurs de franchir les portes des boutiques pour jouer avec de vraies cartes. Cette volonté est renforcée par le booster promo (à aller chercher en boutique) offert pour tout achat du jeu vidéo.

Le jeu devrait sortir courant de l’été dans nos contrées au tarif attractif de 19€ sur PC, Xbox One, Xbox 360, iPad, tablettes Android et Amazon Kindle. Non, malheureusement ce n’est pas un oubli, Sony ne bénéficiera pas du titre sur ses consoles. 

Rendez vous cet été pour le test du jeu !

Une fois la présentation terminée, nous avons pu faire une petite partie de draft bien sympathique avec quelques personnes présentent à l’événement :

Magic The Gathering Draft

Merci à Warning Up, Wizards of the Coast et Magic Bazar pour l’organisation.

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Il y a quelques semaines, EA et Mythic, une filiale de EA Games à l’origine du développement de Dark Age of Camelot, ont décidé de ressusciter un titre du célèbre Peter Molyneux : Dungeon Keeper !

Développé à l’époque par Bullfrog et édité par EA, ce jeu, avec son univers heroic-fantasy, vous permettait d’incarner le gardien maléfique des souterrains d’un donjon (d’où le nom Dungeon Keeper : Gardien du Donjon) qui doit gérer l’intendance, l’aménagement, la population et bien entendu la protection de son domaine.

Les graphismes ont été retravaillés pour s’adapter aux nouvelles technologies et nous offrir ainsi un jeu somme toute assez joli, bien loin de l’univers pixelisé d’il y a 15 ans. Vous aurez la possibilité de recruter des diablotins pour effectuer vos basses besognes telles que la construction, l’évolution ou le minage et devrez par la même occasion leur rappeler régulièrement qui est le maître en les tabassant pour qu’ils gagnent en efficacité (oui, je sais, c’est paradoxal). Le temps de construction ou de minage dépend de la nature de l’objet à construire ou à miner et bien sûr, plus vous ferez évoluer vos bâtiments, plus chaque évolution prendra du temps (et des ressources) !

Dungeon Keeper sur Android et iOS

Mines d’or, carrières de pierre, pièces aux trésors et ateliers divers ne manqueront malheureusement pas d’attiser les convoitises, c’est pour cela qu’il faudra également construire des défenses pour repousser l’envahisseur. Quand je parle d’envahisseur je fais bien sûr allusion aux autres joueurs qui pourront vous attaquer quand bon leur semblera, à vous de faire ce qu’il faut pour vous protéger. Vous pourrez par exemple construire des tourelles, des portes ou encore des herses, mais également recruter tout un tas de serviteurs plus ou moins coriaces pour veiller sur votre trésor.

Outre le « PvP », vous aurez également le loisir de réaliser la quarantaine de missions qui composent la campagne du jeu et qui deviendront de plus en plus dangereuses et lucratives à mesure de votre progression. Vous devrez pour cela impérativement entraîner une petite troupe capable de défaire n’importe quel équipement du donjon attaqué ou de protéger farouchement le votre en fonction du type de mission.

Enfin, pour ceux qui n’ont pas le temps d’attendre mais qui ont de l’argent, vous pourrez vous ruer sur les micro-transactions pour acheter des gemmes, sésame magique qui vous permettra de terminer les constructions, les évolutions ou encore le minage instantanément.

Proposé gratuitement sur Android et iOS, je vous recommande chaudement ce jeu qui m’a fait passer dernièrement quelques heures sympathiques. Compatible smartphone et tablettes.

Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.ea.game.dungeonkeeper_row&hl=fr

Apple Store : https://itunes.apple.com/ca/app/dungeon-keeper/id659212032?mt=8

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Découvert en cherchant de quoi m’occuper un soir devant un programme TV ennuyeux, je vais vous parler aujourd’hui de Dig!

Vous incarnez Douglas Chase, un chasseur de trésors qui creuse directement dans son jardin ! Vous l’aurez compris son activité est un peu à la dérive et il doit se reprendre en main car sans lui, le musée risque de fermer ses portes ! C’est là que vous entrez en piste…

En faisant glisser votre doigt sur l’écran, vous indiquerez à Douglas où il doit creuser à l’intérieur de son jardin. Une fois que vous l’avez fait creuser une ligne, joignant 2 points distincts du tour du jardin, la plus petite des 2 zones délimitées disparaît et laisse apparaître de fabuleux trésors.

Dig! : Ca creuse !

Les trésors collectés servent à compléter des pièces du musée (un T-Rex, une scène de débarquement, un chevalier…) et qui généreront des revenus chaque jours pour vous permettre d’acheter de nouvelles pièces à compléter ou bien des bonus. Vous récupérerez également des pièces d’or en creusant. 

Dig! : Des montagnes de trésors

Pour corser un peu l’affaire, vous devrez vous méfier de Nigel, la momie qui veut à tout prix vous arrêter dans votre quête ! Elle sera épaulée de gnome, de taupes, de blobs verts ou encore de diablotins et bien plus encore, qui vous pourriront l’existence et vous empêcherons par tous les moyens de creuser toujours plus profond.

J’ai découvert pour l’instant 4 strates de terrains différentes. Chaque strate de terrain est décomposée en 6 couches, avec un checkpoint toutes les 3 couches ce qui nous donne un total de 24 niveaux découverts (mais peut être il y en a t’il plus !).

Ce jeu est sacrément addictif ! On veut aller toujours plus profond pour trouver toujours plus de trésors et découvrir ce qui se cache en dessous de nous. Du coup, c’est devenu un de mes jeux du moment pendant mes trajets en métro ! La maniabilité est correcte, le principe on ne peut plus simple et les possibilités de bonus et le nombre de niveaux assez conséquents. Seule ombre au tableau : une difficulté totalement absente puisque j’ai quasiment achevé chaque niveau du premier coup donc pas vraiment de gros challenge.

Dig! : Sauvez le musée !

Ah j’ai failli oublier de vous parler du prix : elle est totalement gratuite, disponible sur Android et iOS pour smartphone et tablette.

Bon jeu à tous !

 

Lien Apple Store : https://itunes.apple.com/fr/app/dig!/id626192197

Lien Play Store : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.crescentmoongames.dig

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Voila maintenant quelques semaines que Magic 2014 est sorti sur Steam, soit quelques semaines avant que l’édition Core Set 2014 ne soit disponible. Cette nouvelle édition apporte son lot de nouveautés que je vous propose de découvrir dans cet article…

Magic numérique, j’y ai adhéré depuis la toute première version Steam/Xbox c’est à dire Magic : Duels of the Planeswalkers 2012. C’est donc avec une certaine impatience que j’attendais l’édition 2014 qui promettait de nombreuses nouveautés.

L’interface a été totalement repensée. Fini les écrans à faire défiler de gauche à droite pour afficher l’information qu’il nous faut, nous avons maintenant un vrai menu comme dans la majorité des jeux qui sortent aujourd’hui et déjà rien que ça c’est une bonne évolution. En effet, l’ancienne configuration du menu manquait réellement d’ergonomie et de praticité, nous faisant perdre du temps ne serait ce que pour quitter le jeu (du coup je jouais en mode fenêtré pour pouvoir cliquer sur la croix rouge…).

 

Le plateau de jeu n’a quant à lui pas vraiment évolué. Le design n’est que légèrement différent mais de nouvelles fonctionnalités ont fait leur apparition. Les développeurs ont en effet eu la bonne idée d’intégrer un bouton qui vous permet de déclarer toutes vos créatures comme attaquant d’un seul coup et ça c’est déjà une énorme évolution ! Pour rappel, dans la version 2013 du jeu, il fallait sélectionner chaque créature une par une lorsque vous souhaitiez attaquer. Peu dérangeant si vous jouiez un deck essentiellement basé sur les sorts, bien plus embêtant pour un deck basé sur la quantité de créature où sélectionner à chaque tour nos 23 créatures devenait rapidement pénible…

 

Les slivoïdes font leur grand retour dans le monde de Magic à ma grande joie. Ces petites créatures sont infernales, plus y’en a plus c’est incontrolable et surtout destructeur dans les rangs de l’ennemi. J’adore !

Au niveau des modes de jeu, outre le mode duel personnalisé, nous retrouvons toujours une campagne solo composée de 20 duels divisés en 5 chapitres avec 6 duels contre des Planeswalkers en bonus, d’un mode défi proposant 5 défis standards et 5 défis avancés ainsi que d’un mode Vengeance où l’on ré-affronte l’ensemble des Planeswalkers rencontrés lors de la campagne mais cet fois-ci dotés de decks boostés. Pas de grosse nouveauté donc me direz vous… Et bien si ! Je gardais le meilleur pour la fin.

     

 

Aujourd’hui, dans toutes les salles de jeu, le mode paquet scellé est très présent lors des tournois et c’est pourquoi l’éditeur a décidé de l’intégrer au jeu ! Le principe est simple : vous disposez de 6 boosters à ouvrir. Avec les cartes que vous aurez découvert dans ces boosters, il vous faudra créer un deck de 40 cartes minimum (terrains compris) et ensuite vous devrez affronter les différents adversaires proposés par le jeu.

     

Certaines victoires vous permettront de remporter de nouveaux boosters afin éventuellement d’étoffer votre deck. La grosse ombre au tableau : vous ne disposez que de 2 slots pour decks scellés ce qui est très peu. En revanche, pour quelques euros, vous pourrez en débloquer jusqu’à 20. Certes le jeu n’est qu’à 10€ sur Steam mais si vous choisissez d’acheter la totalité des slots supplémentaires, il faudra tout de même compter pas moins de 33€ supplémentaires (soit plus de 3 fois le prix du jeu !). Quand on aime on ne compte pas, mais du coup l’addition a quand même un peu de mal à passer.

 

Il est à noter que nous avons perdu le mode Planechase qui était plutôt divertissant dans l’édition 2013. C’était surement le prix à payer pour avoir le mode scellé…

Côté multijoueur on retrouve le mode Free For All, le Troll à 2 têtes ainsi que le mode scellé. Pas de grosse évolution si ce n’est qu’en jouant en mode scellé, vous pourrez affronter des adversaires qui ne connaîtront pas du tout la composition potentielle de votre deck (l’inverse est également vrai)…

Et la difficulté dans tout ça ? J’ai été assez déçu par la difficulté. J’ai résolu la totalité des défis du premier coup (a un ou 2 près), les modes campagne et vengeance m’ont paru être une simple formalité mais le mode scellé s’est révélé être une bonne surprise. Il faut faire preuve de technique, de réflexion, ne pas hésiter à ajuster son deck avec de nouvelles cartes ou en réglant le nombre de terrains, un vrai plus ! La durée de vie de la partie solo est comme dans la plupart des jeux actuels, très courte mais très largement compensée par le nombre d’heures que vous passerez à affronter d’autres joueurs sur le net.

Cerise sur le gâteau, jusqu’à présent Magic n’était disponible que sur Steam, Xbox 360 et Playstation 3. Il est aujourd’hui également disponible sur tablettes fonctionnant sous Android et iOS et propose l’intégralité du jeu excepté le mode multijoueur, parfait pour les nomades où les passionnés de Magic qui n’ont pas de PC ! (les screenshots sont en bas de cet article !)

 

Pour plus d’informations :

Steam : http://store.steampowered.com/app/213850/

Xbox Live : http://marketplace.xbox.com/Magic-2014-Duels-of-the-Planeswalkers/

PSN : https://store.sonyentertainmentnetwork.com/magic-2014

Android : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.stainlessgames.D14

iOS : https://itunes.apple.com/us/app/magic-2014

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Bien souvent sur notre smartphone lorsque l’on navigue sur le net ou sur les réseaux sociaux, on voit passer un lien qui nous intéresse mais on a pas forcément le temps de le lire sur l’instant. C’est là que Pocket entre en jeu…

Pocket c’est une application pour smartphones et tablettes et un site Internet qui permet de mettre une sorte de signet sur un contenu que l’on voudrait lire plus tard. La mise en place est très simple et se résume à l’installation de l’application et à la création d’un compte et elle est alors prête à être utilisée.

Comment ça marche ? C’est très simple, vous voyez un contenu qui vous intéresse sur n’importe laquelle de vos applications mais vous n’avez pas le temps de lire tout de suite, vous faites comme si vous vouliez le partager et vous sélectionnez « Add To Pocket ».

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A partir de ce moment là, ce contenu est rattaché à votre compte Pocket et vous pourrez le consulter dès que vous aurez un moment de libre, soit sur votre smartphone, soit votre tablette, soit votre PC/MAC !

Smartphone Tablette PC/MAC
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Une fois que vous avez lu le contenu envoyé sur Pocket, vous avez le choix entre supprimer définitivement le signet ou bien l’archiver si jamais vous souhaitez le revoir ultérieurement.

Une extension Chrome est également disponible afin de rendre l’application accessible directement sur le Home de votre navigateur.

L’intérêt d’une telle application c’est sa compatibilité avec n’importe laquelle des applications du smartphone mais également sa compatibilité avec les smartphones, tablettes, PC et MAC ! Elle évite ainsi de surcharger ses favoris de navigateur (parmi lesquels on oublie bien souvent de faire le tri) ou ses favoris Twitter… L’utilisation au quotidien est d’une simplicité à toute épreuve, une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus s’en passer !

 

Liens de téléchargements :

Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.ideashower.readitlater.pro

iTunes Store : https://itunes.apple.com/fr/app/pocket-formerly-read-it-later/id309601447

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Bonjour à tous !

Aujourd’hui je vous présente le Steam Companion, véritable extension du client Steam sur iOS et Android ! Ne disposant pas d’un système Android à la maison, vous n’aurez droit qu’aux screenshots de la version iOS 🙂

C’est parti pour la présentation !

Tout d’abord, à quoi peut bien servir l’appli Steam sur smartphone ? C’est simple, hormis le fait que vous ne puissiez jouer à vos jeux favoris, l’appli Steam pour smartphone propose toutes les fonctionnalités du client PC/Mac !

– Gestion de sa liste d’amis (Ajout / Suppression)
– T’chat avec les contacts en ligne
– Consultation du catalogue Steam
– Achats de nouveaux produits
– Gestion de la liste de souhaits
– Gestion des paramètres de compte

Disponible sur Apple Store et iOS, cette application est un must have pour avoir en permanence les infos concernant ses groupes ou ses jeux favoris et pouvoir discuter des prochains rendez-vous ingame avec ses contacts au creux de sa poche !

Quelques screenshots de l’application :

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  Affichage du profil (montage)  

 

 

Bien sûr, comme un bonheur ne vient jamais seul, il faut savoir que cette application est entièrement gratuite !

Pour la télécharger :

  Apple Store  
     
  Google Play  

Enjoy !

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