Je vous parlais il y a une quinzaine de jours du pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ et de son SSD de seulement 128Go, et je vous avais dit qu’à la première offre sympa sur un SSD de grande capacité je ferais un petit remplacement.

Et bien c’est aujourd’hui chose faite avec un SSD Crucial MX300 de 525Go qui propose des performances plus qu’honorables pour un prix tout doux. Suivez le guide !

1. Packaging

Le packaging est plutôt sommaire puisque le SSD Crucial MX300 est livré dans un emballage en plastique transparent et ressemblant à ceux que l’on retrouve en général avec les barrettes de mémoire vive. Car oui, comme vous pouvez le constater, il s’agit d’un SSD au format M.2 et le MX300 ressemble énormément à une barrette de RAM…

SSD Crucial MX300 

SSD Crucial MX300

2 visses sont livrées avec pour permettre de la fixer sur la carte mère ainsi qu’une licence Acronis True Image, un logiciel permettant de copier votre ancien disque sur ce nouveau SSD. Pour ceux qui souhaiteraient un format 2.5 pouces conventionnel sachez que Crucial a ce qu’il faut en stock !

 

2. Spécifications techniques

Sur le papier, le SSD semble très prometteur avec des vitesses en lecture et en écriture assez élevées :

M.2 Type 2280 SSD
Capacité 275 Go 525 Go 1 TB
Numéro de référence
Contenu de l’emballage SSD M.2 Type 2280, vis de montage, certificat Acronis® True Image HD
Lecture séquentielle en Mo/s 530 530 530
Écriture séquentielle en Mo/s 500 510 510

Bien entendu, ce ne sont que des chiffres fournis par le constructeur (fiche complète sur Crucial.fr) et nous allons tout de suite vérifier si ils sont exacts.

 

3. Performances

Comme d’habitude, j’ai utilisé le même protocole de test que pour tous les SSDs que j’ai pu tester jusqu’à présent. Je me suis donc basé sur Crystal Disk Mark, un logiciel qui teste les disques dur classiques ou bien les SSDs en lecture comme en écriture, avec des réglages identiques à tous mes autres tests pour conserver une certaine cohérence dans les résultats et pouvoir ainsi faire une comparaison des différents disques entre eux. Dans les résultats, j’ai seulement retiré le SSD Samsung 950 Pro qui s’appuie sur une technologie différente (NVMe) et dont les résultats ne sont pas vraiment pertinents parmi une population de SSD plus classique.

SSD Crucial MX300 : de très bonnes performances

On peut voir qu’en vitesse de pointe, le SSD Crucial MX300 525Go est quasiment au niveau de ses promesses, mais également qu’il talonne de près les SSD Samsung tels que le 850 Pro 512Go ou encore le 850 EVO 250Go.

 SSD Crucial MX300 : les performances en lecture

SSD Crucial MX300 : performances en écriture

Monté dans mon portable, ce dernier démarre en quelques secondes et les applications et jeux réagissent au quart de tour, c’est vraiment plaisant. D’ailleurs, sur les 2 relevés de performance, vous pouvez constater que la différence entre le LiteOn d’origine et le Crucial MX300 nouvellement installé n’est pas excessive en lecture, mais que la différence est assez énorme en écriture !

 

4. Conclusion

Le Crucial MX300 512Go tient largement ses promesses en terme de performances et se hisse quasiment au niveau des disques Samsung réputés pour leurs performances extrêmes. Facile à installer et tout de suite reconnu par mon système, ce SSD est vraiment parfait pour booster les performances de votre pc portable ou de votre pc fixe si votre carte mère dispose d’un port M.2 libre. J’ai réussi à le dégoter sur Amazon pour environ 140e et je dois vous dire que je ne regrette absolument pas mon investissement, si vous cherchez un SSD au format M.2 mais que vous avez un budget serré, je ne peux que vous conseiller de vous en procurer un.

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Histoire de finir l’année en beauté, j’ai reçu un colis assez fou de la part de la branche gaming de chez Acer avec à l’intérieur un pc portable Acer Predator 17 modèle G9-793-74EJ et voici mon avis sur ce monstre.

1. Packaging et Design

Le pc portable Acer Predator 17 m’a été livré dans son carton d’origine, un emballage assez imposant mais d’excellente qualité car il est arrivé sans une égratignure.

A l’intérieur, tous les éléments livrés avec le produit sont calés au millimètre pour éviter tout dommage pouvant subvenir lors du transport et nous pouvons ainsi retrouver :

– le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ

– le bloc d’alimentation et son câble secteur

– un Predator FrostCore

– une notice de mise en route rapide

Rien de superflu ou d’inutile dans le carton donc mais pour le prix de ce petit bijou, on aurait apprécié avoir quelques trucs en plus dont je parlerais dans le reste du test.

Le Acer Predator 17 reprend les codes qui font l’identité de la gamme Predator du constructeur à savoir une dominante noire avec quelques touches de rouge ça et là. Sur le dos de l’écran, on retrouve ainsi le logo Predator en métal brossé du plus bel effet.

Le plastique noir mat qui compose la coque du portable est d’excellente qualité et est très doux au toucher ce qui procure une sensation très agréable lors de la manipulation et à l’utilisation.

Les grilles de ventilation situées à l’arrière ont un design rappelant l’avant de certaines voitures de sport d’aujourd’hui, donnant un look assez agressif au pc portable.

Le clavier du Acer Predator 17 est un clavier complet de 105 touches avec pavé numérique. Le pavé tactile est de grande taille comparé à ce que l’on peut retrouver chez d’autres marques, comporte 2 boutons de clic et un bouton permettant de le désactiver si l’on a une souris et que l’on ne souhaite pas que le pavé tactile intégré interagisse par mégarde lorsque l’on passe sa main dessus.

Cerise sur le gâteau et parce que c’est la grande mode du moment, Acer a décidé que le clavier serait RGB ce qui donne donc un clavier éclairé par un dégradé de couleurs du plus bel effet si on aime ce genre de détail.

L’écran de 17 pouces est un écran IPS Full HD d’une résolution maximale de 1920 x 1080 pixels, un peu dommage quand on connait la configuration qui est embarquée et estampillée « VR Ready »… Et c’est donc sans transition que nous passons maintenant à la fiche technique du produit !

 

2. Fiche Technique

Sur le papier, le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ est impressionnant sur pratiquement tous les points de son anatomie :

SYSTÈME D’EXPLOITATION

 
Système d’exploitation
Windows 10 Famille 64 bits
Langue de l’OS
Français
Système d’exploitation fourni
Oui

PROCESSEUR ET CHIPSET

 
Processeur
Intel Core i7-6700HQ Quad-Core – Cache 6 Mo
Fréquence CPU
2.6 GHz / 3.5 GHz Turbo
Nom courant du chipset
Mobile Intel HM170 Express

MÉMOIRE

 
Taille de la mémoire
16 Go
Nombre de barrettes
2
Fréquence(s) Mémoire
PC4-17000 – DDR4 2133 MHz
Taille de mémoire Max
64 Go

GRAPHISMES

 
Chipset graphique
NVIDIA GeForce GTX 1070
Taille mémoire vidéo
8 Go

AFFICHAGE

 
Type de Dalle
Dalle LED IPS
Taille de l’écran
17,3 pouces
Résolution Max
1920 x 1080 pixels
Format de l’écran
16/9
Spécificités Dalle mate / Traitement antireflet / NVIDIA G-SYNC / VR Ready

STOCKAGE

 
Disque dur
SSD 128 Go M.2
Disque dur secondaire
HDD 1 To 7200 RPM SATA 6Gb/s
Nombre de disques max
1
Emplacement mSATA/M.2
1
Type de Lecteur / Graveur
Graveur DVD Super Multi, Graveur CD, Lecteur CD, Lecteur DVD
Lecteur de cartes
SD (Secure Digital)

COMMUNICATION

 
Norme(s) réseau sans-fil
Wi-Fi B (IEEE 802.11b), Wi-Fi A (IEEE 802.11a), Wi-Fi G (IEEE 802.11g), Wi-Fi N 150 Mbps (IEEE 802.11n), Wi-Fi AC
Norme(s) réseau Ethernet
10/100/1000 Mbps
Technologie Bluetooth
Bluetooth 4.1

MULTIMÉDIA

 
Webcam
Oui
Microphone intégré
Oui
Type de H.P
4 H.P + caisson de basses

EQUIPEMENT

 
Norme du clavier
AZERTY
Clavier rétroéclairé
Oui
Pavé numérique
Oui
Touches Multimédia
Oui

CONNECTIQUE

 
Connecteur(s) disponible(s)
1 x RJ45
1 x HDMI Femelle
1 x Jack 3,5mm Femelle Stéréo
4 x USB 3.0
1 x DisplayPort Femelle
1 x USB 3.1 Type C Femelle

CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES

 
Couleur
Noir
Dimensions
321,5 mm x 423 mm x 39,7 mm
Poids
4,2 kg

Comme nous pouvons le constater sur la fiche technique, le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ promet une configuration plutôt haut de gamme avec une vraie GeForce GTX 1070 de chez NVidia, et pas un modèle estampillé M qu’on a l’habitude de retrouver dans beaucoup de configurations de portables gaming, ce qui explique donc pourquoi cet Acer Predator est estampillé VR Ready !

Plutôt généreux en connecteurs, les 4 USB 3.0 et les port HDMI et RJ45 permettent de profiter de toute la puissance du pc et sans concession, permettant ainsi d’y connecter un écran WHQD voir 4K lorsque l’on est à son domicile.

 

3. Performances et autonomie

Le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ embarque un processeur Intel i7 6700HQ cadencé à 2.6GHz et 16Go de RAM ce qui est digne d’une configuration gaming actuelle et très suffisant pour faire tourner n’importe quelle application. Doté d’un SSD, il s’assure ainsi un démarrage ultra rapide et comme je vous avais proposé dans les colonnes du blog le test d’un SSD Samsung 850 Pro, je me suis dit qu’il serait bon de comparer les performances de ce dernier à celles du SSD embarqué dans le Acer Predator 17 G9-793-74EJ.

Le constructeur s’est tourné vers des disques SSD LiteOn pour ses pc portables gaming, avec sur le papier une vitesse de lecture correcte mais où l’écriture rame un peu comparé à la concurrence. Pour être exact, le SSD livré dans mon Acer Predator est un LiteOn CV1-8B128, un disque de 128Go de capacité au format M.2 avec une vitesse de lecture de 520 Mbit/s et d’écriture de 160 Mbit/s selon le constructeur.

Je me suis donc amusé à le confronter au protocole de test sous CrystalDiskMarck que j’utilise habituellement pour ce genre de matériel et voilà ce qu’il en ressort :

 

 

Les spécifications annoncées par le constructeur sont plutôt exactes et on peut remarquer que le LiteOn CV1-8B128 est largement à la hauteur des SSD Samsung en lecture. En revanche, en écriture c’est une autre paire de manche avec un débit qui plafonne à « seulement » 180 Mbit/s, un peu dommage pour un pc portable gaming de ne pas avoir misé sur un SSD un peu plus haut de gamme.

Pour avoir une idée un peu plus précise de ce qu’il peut encaisser, j’ai ressorti mon petit 3DMark et j’ai soumis le pc portable et sa carte graphique NVidia GTX 1070 à toute une batterie de tests.

Comme vous pouvez le voir, le portable s’en sort plutôt bien dans la plupart des tests mais chute sur les tests Fire Strike Extreme et Ultra. Il faut préciser que ces 2 tests sont normalement réservés à des pc fixes multi-gpu prévu pour balancer de la 4K… 

En jeu, le Acer Predator 17 G9-793-74EJ encaisse sans sourciller n’importe quel jeu récent en qualité ultra et dans la résolution maximale permise par l’écran (Full HD). Que ce soit Rainbow Six Siege (avec pack de textures Ultra HD), Call of Duty Infinite Warfare ou encore Overwatch, le jeu est fluide, il n’y a aucune saccade et les graphismes sont magnifiques. C’est là que l’on voit que l’on est bien sur un modèle GTX 1070 standard offrant ainsi toute la puissance du chipset graphique et non pas sur un modèle GTX 1070M réservé aux laptops habituellement. Le refroidissement du pc fait un peu de bruit cela dit mais est vraiment efficace car le pc ne monte pas trop en température même en pleine session de jeu. Cette prouesse est probablement dû à la trouvaille ingénieuse du constructeur avec son Predator Frostcore.

Le Predator Frostcore est un périphérique de la taille d’un lecteur de dvd de pc portable et contient un ventilateur. Pour l’insérer dans le portable, on doit d’abord déverrouiller le lecteur de dvd et le retirer pour laisser la place au Predator Frostcore qui une fois en place sera alimenté par une connectique SATA et pourra alors aspirer l’air frais sur le coté du pc pour le propulser à l’intérieur, là où ça chauffe le plus !

Cela permet d’avoir un refroidissement optimal pendant les sessions gaming sans pour autant devoir se passer totalement d’un lecteur de dvd ou d’être obligé d’en acheter un externe.

Comme vous l’avez surement remarqué sur la fiche technique, le constructeur indique un système sonore constitué de 4 hauts parleurs + 1 caisson de basse avec une petite marque Dolby Audio juste au dessus du clavier. Comme d’ordinaire le son émis par les pc portable n’est jamais de très bonne qualité, j’étais un peu sceptique… Alors j’ai regardé un peu plus en détail et lorsque l’on retourne l’ordinateur, on tombe nez à nez avec un subwoofer !

Les 4 hauts parleurs sont situés dans les coins gauche et droite, 2 de chaque coté à l’avant de l’ordinateur. 

La qualité est vraiment très bonne même quand on pousse un peu le son, les basses sont bien présentes mais n’écrasent pas le reste de la bande audio. Confirmation avec la vidéo de démonstration du son Dolby :

Même la spacialisation du son est bien retranscrite ! Du coup, j’ai redécouvert certaines bandes annonces de films que j’avais regardé dernièrement avec un casque et c’est assez plaisant. 

 

4. Quelques ombres au tableau

Mais malheureusement, même sur un pc portable de ce niveau tout n’est pas parfait loin de là.

Tout d’abord, la première déception c’est la taille du SSD fourni car aujourd’hui on nous (sur)vends les SSDs pour le monde du gaming pour notamment l’accélération du chargement des jeux et il est clair qu’Acer a ici loupé sa cible avec un SSD de seulement 128Go. Une petite explication s’impose pour ceux qui ne seraient pas forcément férus d’informatique… Un SSD de 128Go une fois formaté propose environ 120Go d’espace utile disponible, une installation de Windows 10 vierge de tout logiciel va déjà en utiliser environ 30Go ce qui ne nous laisse plus que 90Go pour installer nos logiciels habituels et nos jeux qui prennent aujourd’hui pas loin de 50Go chacun pour les plus gourmands en espace disque. Alors oui, j’en entends certains qui disent qu’on a un HDD de 1To pour ça… Sachez que quand on a goûté au SSD pour faire fonctionner ses jeux favoris, on voit tout de suite la différence et on ne peut plus s’en passer ! Je pense que si je vois passer une offre intéressante sur un SSD de grosse capacité (512Go ou plus), j’en profiterais pour changer celui qui est fourni avec le Acer Predator 17 G9-793-74EJ, l’inconvénient étant le format M.2, plus onéreux qu’un format 2.5 pouces standard.

Deuxième point qui pose problème mais qui est dû à la taille de l’écran et à la configuration embarquée : le poids. Le pc affiche un poids de 4,2 kg sur la balance ce qui est énorme ! Sans compter qu’il faut bien souvent ajouter le poids du bloc d’alimentation qui pèse presque 1,5 kg, la souris et le casque que tout gamer voudra embarquer dans son sac, on s’approche dangereusement des 6 à 8 kg de matos ! A ce niveau là, on ne parle plus vraiment d’un ordinateur portable mais plutôt d’un ordinateur transportable mais pour un écran et une configuration de cette taille, il fallait s’y attendre et Acer n’aurait de toute façon pas pu faire beaucoup moins lourd. Tant qu’on parle de l’écran, se limiter à du Full HD est clairement dommage compte tenu de la configuration embarquée, une dalle IPS en WHQD (2560 x 1440) aurait été parfaite.

Le bruit en cours d’utilisation est également un point qu’il faut souligner. Sur les jeux les plus gourmands demandant le plus de puissance de la part de la carte graphique, le Acer Predator 17 n’est pas un modèle de silence loin de là et je recommande soit de monter le son du pc pour couvrir le bruit de soufflerie du système de refroidissement, soit de vous équiper d’un casque à réduction du bruit ambiant.

Pour finir, pour un tarif d’environ 2000 euros on aurait aimé que le sac à dos de transport Acer Predator soit inclus dans le carton ce qui n’est malheureusement pas le cas. Le sac à dos dédié aux pc portable Acer Predator existe pourtant bel et bien et est disponible chez certains revendeurs à des prix très variables.

 

5. Conclusion

Avec quelques petits points à améliorer, le pc portable gaming Acer Predator 17 G9-793-74EJ est tout de même un excellent produit. Sa grande capacité de stockage, sa carte graphique puissante et le son Dolby qu’il est capable de diffuser font de lui un sérieux candidat sur le marché des pc portables gaming. Son design est un quasi faute qui reprend tous les codes de la marque Predator et du monde du gaming d’aujourd’hui. J’ai particulièrement apprécié la connectivité généreuse et sa puissance de calcul qui font de lui un excellent produit pour jouer.

Vous pouvez retrouver le Acer Predator 17 G9-793-74EJ sur Amazon à un tarif conseillé avoisinant les 2000e. Et pour ceux qui souhaiteraient une plus grande mobilité, sachez qu’une version 15 pouces existe avec une configuration matérielle identique.

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Sorti peu de temps après la Paris Games Week pendant laquelle j’avais pu le tester, Killing Floor 2 faisait partie de mes attentes du salon. Ma première bonne impression a t’elle été confirmée ?

1. Présentation du jeu

Vous connaissez le célèbre Left 4 Dead 2 de Valve ? Et bien Killing Floor 2 c’est un peu le même principe sauf que vous pouvez éliminer du ZED à 6 au lieu de 4.

Jusqu’à 6 joueurs peuvent donc jouer en coopération pour venir à bout des vagues successives de zombies promptes à envahir les différents niveaux du jeu en utilisant un arsenal assez impressionnant. Simple non ? C’est tout ce que vous avez à savoir au niveau bases du jeu. Qu’on soit honnête, y’a pas de scénario, juste vous, vos potes, vos flingues et des zombies.

 

2. Des classes, des maps et un arsenal hétéroclites

Le jeu dispose de 10 classes différentes (Fou Furieux, Commando, Soutien, Médecin, Démolisseur, Pyromane, Flingueur, Tireur d’élite, Survivant, SWAT) disposant chacune d’améliorations qui leur sont propres. Le choix d’une classe dans Killing Floor 2 détermine votre façon de jouer et surtout, toute l’expérience que vous ramasserez en jouant avec une classe particulière alimentera la jauge qui vous permettra de gagner des niveaux et de débloquer de nouvelles compétences à chaque pallier (niv. 5 / 10 / 15 / 20 / 25), vous rendant plus efficace.

Vous partirez avec un arsenal de base correspondant à la classe que vous aurez choisie et vous devrez commencer à nettoyer le niveau avec, ce qui n’est pas toujours chose facile en fonction de la composition de votre team. Mais pas de panique, pour éviter de galérer pendant la totalité des vagues, vous aurez la possibilité de changer de classe en cours de route pour rééquilibrer les chances. De plus, chaque ZED tué c’est de l’argent qui tombe dans votre poche pour acheter du matériel entre chaque vague d’ennemis. Attention tout de même, vous serez limité dans votre capacité d’emport et devrez donc faire des concessions avec le matériel que vous transporterez.

Puisqu’on parle des maps, sachez qu’il y en a la pelle et que les possibilités sont infinies avec l’éditeur et le Workshop Steam qui permettront à tout un chacun de créer des maps ou même de nouvelles armes de destruction en pagaille. De base, il y a pour le moment 12 maps mais la communauté a déjà bien bossé et en propose énormément d’autres sur le Workshop.

 

3. Graphismes et intérêt

Killing Floor 2 est beau, il faut le dire. Les maps de base sont plutôt bien réalisées comme celle qui représente l’invasion de Paris où l’on peut voir une Tour Eiffel dévastée en proie aux flammes :

 

Le moteur graphique est basé sur Unreal Engine, une référence en la matière et déjà éprouvé sur des jeux tels que Ark,la série des Batman, des Mass Effect ou encore le prometteur Parangon. L’ambiance est en générale très sombre avec des ZEDs qui déboulent de plus en plus nombreux et puissants sur une musique entrainante à chaque vague, la 10e étant le bouquet final avec un boss qui vous donnera surement du fil à retordre ! 

Les parties se suivent et se ressemblent, vous enchaînez les vagues a un rythme effréné pour accumuler des dollars et pouvoir se payer un meilleur équipement et engranger de l’expérience pour monter les compétences de votre classe. Il se murmure qu’il faut environ une quarantaine d’heures pour monter au niveau 40, le maximum permit actuellement dans le jeu soit environ 400h pour monter à fond toutes les classes du jeu. C’est une durée de vie impressionnante mais trouverez vous la motivation d’y passer tout ce temps ? Pour ma part, refaire inlassablement des vagues et des vagues de zombies, c’est pas trop ce que j’aime du coup je me suis très vite ennuyé. Mais pour contrer ce problème de répétitivité risquant de faire fuir les joueurs, Trip Wire a décidé de développer pendant les phases de Beta un mode Coop VS où 2 équipes de 6 s’affrontent, les uns incarnant les ZEDs, les autres les humains. Belle tentative, cela ressemble un peu à du Evolve mais encore une fois, la mayonnaise n’a pas pris avec moi.

J’ai tout de même looté une clé chiffrée pour déverrouiller de l’équipement spécial. Je me suis dit « Chouette, voila qui va redonner un peu d’intérêt aux parties » sauf que pour la déchiffrer, il faut passer à la caisse et débourser quelques vrais euros…

 

Clairement, le jeu est basé sur les micro transactions pour engranger de l’argent et plus vous voudrez d’équipement de qualité, plus vous devrez passer à la caisse et ça pour moi c’est rédhibitoire. Autant je suis prêt à casquer 2 euros cinquante dans un paquet de carte Hearthstone ou 10 euros dans un héros Heroes of the Storm car je sais ce que j’aurai, alors qu’ici, y’a de forte probabilités que je récupère une arme pourrie…

 

4. Conclusion

Avec des graphismes vraiment propres, de nombreuses maps, de très nombreuses armes et 10 classes différentes, Killing Floor 2 frappe fort et propose une durée de vie assez impressionnante. Malheureusement, le tableau est entaché par une répétitivité mortelle qui viendra rapidement lasser les moins déterminés d’entre nous, bien que le mode Coop VS tente de rattraper le coup. Gros point noir au tableau, les micro transactions omniprésentes et dont le cout est clairement trop élevé pour un jeu tel que celui ci, même sur Counter Strike Global Offensive, les clés pour ouvrir les caisses ne sont pas à ce prix là… C’est donc une petite déception concernant ce jeu compte tenu de ma bonne première impression à la Paris Games Week, mais pour les fans de Left 4 Dead 2 qui attendent un L4D3 autant qu’un HL3, vous trouverez surement votre compte avec Killing Floor 2.

Le jeu est disponible sur Steam (environ 27e) et sur Playstation 4 (environ 40e sur Amazon).

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Steep a débarqué en même temps que les premières froideurs de l’hiver, un timing presque parfait qui pourrait nous donner envie de sauter dans le premier train pour chausser les skis et manger de la poudreuse. 

1. Le pari glissant d’Ubisoft

Alors que l’entreprise est sous l’épée de Damoclès Bolloré depuis de nombreuses semaines, elle a choisi de prendre un risque non négligeable : celui de développer un jeu de glisse. Pourquoi est ce un pari risqué ? Tout simplement parce que :

– développer un jeu ça coûte cher et si il se plante c’est une catastrophe financière pour Ubisoft et une occasion pour Vivendi de les bouffer tout crus

– le dernier jeu de glisse en date est Stoked en 2009 sur Xbox 360, qu’avant on avait rien de fou et que depuis on a rien eu du tout

– j’ai commencé avec SkiFree sur Windows 3.11

Donc oui, Ubisoft a pris un risque en sortant de ses sentiers battus nommés FarCry / Assassin’s Creed / Anno et qui sont massivement achetés depuis des années par tous les fans. Mais là, on se retrouve un peu comme avec The Division : une nouvelle licence qu’il va falloir développer et surtout qui va devoir convaincre un public qui attend depuis près de 7 ans un nouveau jeu de glisse. Mais chez Ubisoft on aime relever les défis et quitte a prendre des risques autant y aller à fond en confiant le développement à son studio d’Annecy qui n’a jamais encore développé de jeu en solo. C’est également la première fois en 20 ans qu’Ubisoft va concevoir un jeu de A à Z sans faire appel à aucun autre studio ! Grosse prise de risque j’vous disais…

Mais c’est un risque calculé car Ubisoft s’est entouré des meilleurs pour concevoir Steep. Le choix du studio chargé du développement, Ubisoft Annecy, situé au pied des montagnes, on ne pouvait pas faire plus proche de l’élément principal du jeu et il y a fort à parier que les employés d’Annecy connaissent cette montagne qu’ils ont mis 2 ans à modéliser. Le studio s’est également entouré des meilleurs professionnels du secteur : GoPro / RedBull / Salomon / The Northface et compagnie, des marques habituées des sports extrêmes et de la montagne qui ont pu prodiguer leurs précieux conseils aux développeurs et placer leurs produits tout azimuts, notamment une vue GoPro assez réaliste ! Enfin, des sportifs de l’extrême tels que Kevin Rolland, Horacio Llorens, Sammy Luebke, mais également l’équipe de Freestyle française qui a été mise à contribution pour réaliser la Motion Capture qui servira à animer les riders du jeu.

Oui, Ubisoft a pris un risque avec Steep, une nouvelle licence, mais c’est un risque calculé qui a un énorme potentiel. Pari réussi ?

 

2. L’appel des grands espaces

Steep, c’est un jeu de sports extrêmes se déroulant pour le moment dans les Alpes Françaises, Suisses et Italiennes, une vaste zone avec de la poudreuse à profusion pour contenter les riders de tous poils (de yéti). 

Je précise « pour le moment » concernant les Alpes car il se murmure que de nouvelles zones de ride pourraient être ouvertes comme le Japon, la Norvège ou encore l’Alaska par exemple mais on espère tous secrètement pouvoir un jour dévaler les pentes de l’Himalaya… Mais pour le moment, vous devrez vous contenter des Alpes franco-italo-suisse et croyez moi, la superficie à explorer est absolument immense !! Bien entendu, pour pouvoir en découvrir la totalité, il va vous falloir vous approcher à moins de 1000m des drop zones pour pouvoir les débloquer, ainsi que les challenges qui vont avec, à l’aide de vos jumelles et pouvoir vous y faire déposer gracieusement. Pour vous approcher des drop zones, vous aurez pour l’instant le choix entre 5 sports : 

– la marche (oui oui, c’est un sport)

– le ski

– le snowboard

– la wingsuit

– le parapente

J’ai bien dit pour l’instant puisque la luge, le rocket wings, le base jump et le speedgliding sont prévus d’arriver dans de futurs DLCs au même titre que les nouvelles zones géographiques, de quoi étancher notre soif d’adrénaline.

Un didacticiel assez cours nous permet de rapidement prendre en main les 4 sports extrêmes, nous permettant d’appréhender le fonctionnement de chacune d’entre elles à travers divers challenges. Ces challenges sont répartis en fonction des sports mais également des aptitudes que vous pourrez développer en tant que rider en participant a ces divers challenges :

– Freestyler : se développe en réalisant des tricks de fou lorsque vous dévaler les pentes et franchissez des falaises de rochers abruptes

– Pro Rider : suivez la ligne et réalisez une descente parfaite pour développer cet attribut

– Bone Collector : cassez vous la gueule, ça fait mal mais vous vous en remettrez

– Explorateur : baladez vous pour découvrir, un bon bol d’air pur ça fait du bien

– Rider Extrême : prenez tous les risques pour impressionner le public

– Freerider : baladez vous librement et prenez votre pied, sans objectif et avec pour seule pression, celle servi au restaurant d’altitude

Chaque spécialité est divisée en 5 niveaux dont la jauge d’expérience ne cesse d’augmenter à mesure que vous progressez, au début c’est assez rapide de gagner un ou deux niveaux mais cela devient de plus en plus long et demande de plus en plus d’efforts et de précision sur les tricks alors j’espère que votre manette tient la route ! Un niveau général caractérise votre personnage et ce dernier augmente quelle que soit la spécialité dans laquelle vous avez obtenue de l’expérience. Plus vous monter en niveau, plus vous débloquerez de zones réservées aux joueurs les plus expérimentés. Et des objectifs a remplir, il y en a énormément ce qui assure une durée de vie très importante aux complétionneurs les plus assidus.

Chaque fois que vous réussissez un challenge, vous obtenez une récompense qui contient toujours de l’expérience et de l’argent. Seule la médaille d’or débloquera une pièce d’équipement que vous pourrez acheter dans la boutique avec l’argent que vous aurez gagné dans le jeu, vous donnant ainsi l’occasion d’adopter un style unique !

Graphiquement, Steep est vraiment très beau avec ses reflets, ses ombres, le soleil aveuglant et surtout, les conditions de lumière qui changent en fonction de l’heure à laquelle vous ridez dans le jeu qui donneront de magnifiques nuits ou des couchers de soleil flamboyant embrasant les monts enneigés. La bande son est vraiment excellente, avec un léger arrière goût de Tony Hawk pour ceux qui ont connu le premier Pro Skater. Les cinématiques sont un peu en deçà du jeu niveau qualité mais c’est surement un effet voulu.

La maniabilité des différents sport est vraiment bluffante, que ce soit les sports de glisse ou les sports aériens la prise en main est très rapide mais la réalisation des tricks nécessitent un petit temps pour prendre le coup de main. Bien entendu, vous ne pouvez pas mourir mais vous pouvez tomber KO si vous encaissez trop de G lors de vos acrobaties conduisant ainsi à l’échec du challenge en cours. Clairement, Steep exige une manette car je ne vois vraiment pas comment c’est possible de jouer autrement.

 

3. Conclusion

Après de nombreuses années de disette coté sports extrêmes sur consoles, Ubisoft déboule avec une nouvelle licence qui risque de mettre tout le monde d’accord. Steep dispose déjà d’une excellente maniabilité, d’un univers immense avec d’excellents graphismes, 4 sports surboostés à l’adrénaline et beaucoup de contenu additionnel est à venir avec les DLCs et l’ajout de nouvelles zones / challenges / sports. Vous l’aurez compris, pour moi Steep c’est un gros oui, une valeur sûre à mettre au pied du sapin à Noel pour tous ceux qui sont accrocs à l’adrénaline et la poudreuse !

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SanDisk est surtout connu pour fabriquer des SSD mais ils ne font pas que ça puisqu’ils touchent à tout ce qui a trait au stockage en général ! Preuve en est aujourd’hui avec le test d’une clé USB SanDisk Connect Wireless Stick.

 

1. SanDisk Connect Wireless Stick : Présentation

Le SanDisk Connect Wireless Stick est une clé USB qui dispose d’une connexion wifi.

Elle se décline en plusieurs capacités allant de 16 à 200Go (16Go, 32Go, 64Go, 128Go, 200Go) et je vous présente aujourd’hui le modèle 32Go, détail qui a son importance vous le verrez par la suite.

Son principal intérêt réside dans le fait que vous pourrez la charger électriquement et en fichiers via le port USB, et que vous pourrez accéder aux fichiers présents sur la clé via le wifi. Bien plus qu’un simple point d’accès wifi permettant à d’autre périphériques de s’y connecter, la clé dispose de 2 modes de fonctionnement différents :

  1. Fonctionnement en tant que point d’accès wifi : vos périphériques détectent la clé comme si c’était une box et peuvent s’y connecter pour transférer des fichiers. Ils ne pourront pas accéder à Internet via wifi.
  2. Fonctionnement en tant que périphérique du réseau local : la clé se connecte au réseau wifi de votre box. Vous pouvez alors accéder à son contenu mais également accéder à Internet via votre connexion wifi.

Si le mode de fonctionnement b est le plus intéressant, pour le paramétrage initial et la connexion à un nouveau réseau wifi, vous devrez de toute façon utiliser la clé en tant que point d’accès wifi.

La clé SanDisk Connect Wireless Stick permet à plusieurs collaborateurs d’échanger des fichiers quel que soit l’endroit où ils se trouvent et d’y accéder simultanément sans avoir forcément de connexion internet à portée de main. C’est pratique lors des déplacements ou pour ceux qui seraient un peu limités en nombre de ports USB, comme c’est le cas pour les utilisateurs de Surface Pro qui ne disposent que d’un seul port USB. Petit bémol : dans le cas d’un streaming vidéo ou musical, le nombre d’utilisateurs maximum est limité à 3 (question de débit).

Autre fonctionnalité intéressante, la possibilité de copier automatiquement les photos et vidéos de votre smartphone lors de nouvelles captures. Cela permet de libérer une quantité de place non négligeable sur la mémoire de notre smartphone et c’est plutôt pas mal, bien qu’aujourd’hui nous ayons de plus en plus de périphériques avec 32 voir 64Go de stockage minimum.

 

2. Caractéristiques techniques

Voici les caractéristiques techniques fournies par le constructeur :

Capacités : 16 Go, 32 Go, 64 Go, 128 Go, 200 Go
Facteur de forme : Lecteur flash USB
Charge : Port USB pour le chargement, jusqu’à 2 heures pour le chargement complet ; jusqu’à 4,5 heures d’utilisation continue
Configuration système requise : Connexion : 802.11n 2,4 GHz Wi-Fi et USB 2.0
Appareils mobiles : iOS version 8.0 ou supérieure, Android version 4.2 ou supérieure
Appareils compatibles Wi-Fi : Navigateur Web
PC ou Mac : Windows® 8, Windows 7, Windows 10, Windows Vista® ou Mac OS 10.6 ou version supérieure
Sécurité : Protection Wi-Fi par mot de passe facultative
Taille de fichier maximale : <4 Go (versions 16 Go, 32 Go), limitée seulement par la capacité (versions 64 Go+)
Dimensions : 0,82 x 3,08 x 0,48 po (20,83 x 78,21 x 12,19 mm)
Poids : 21,76 grammes (0,048 lb)

On notera l’absence de norme USB 3.0 ce qui aujourd’hui est une erreur à mon avis, ce type de port se démocratisant de plus en plus sur les machines milieu de gamme.

Autre point qui fâche, la restriction de la taille de fichier maximale de 4Go pour les versions 16 et 32Go de la clé. Traduction : les clés 16 et 32Go ne supportent que le format FAT32, le format NTFS étant réservé aux versions 64, 128 et 200Go et c’est vraiment dommage.

 

3. Utilisation et performances

Pour pouvoir utiliser la clé en mode wifi, il est impératif de télécharger l’application SanDisk Connect Drive disponible sur iOS et Android.

Une fois installée, le SanDisk Connect Wireless Stick mis sous tension (et pas branché en USB, c’est important) et le wifi de votre smartphone activé, l’application devrait détecter automatiquement la clé et vous proposer de vous y connecter :

Une fois la connexion vous avez accès aux fichiers présents sur la clé, uniquement via l’application qui vous proposera également un petit menu latéral permettant d’un rapide coup d’avoir une visualisation de l’autonomie et de l’espace restant sur la clé :

Le taux de transfert en USB plafonne à 12Mo/s en lecture comme en écriture, c’est pas fou et si vous avez un gros volume il va falloir vous armer de patience ou d’un jeton pour la machine à café. Pour le wifi c’est grosso modo les mêmes performances, c’est dommage car on aurait apprécié avoir une clé un peu plus véloce pour les transferts.

Sandisk Connect Wireless Stick : débit de transfert

Petite déception, l’impossibilité de transférer des fichiers de plus de 4Go a été pour moi complètement incompréhensible. Au départ, en voyant la clé formatée en FAT32, mon premier réflexe a été de la passer en NTFS mais grosse erreur, le smartphone ne l’a tout simplement plus détectée (périphérique corrompu). Du coup, j’ai jeté un oeil aux spécifications techniques et là, surprise ! Les fichiers sont limités à une taille inférieure à 4Go excluant donc l’utilisation du NTFS et obligeant un retour sur FAT32…

L’autonomie est plus que correcte, j’ai pu laisser la clé allumée toute la journée sans la solliciter avant qu’elle ne tombe en panne de batterie. En utilisation, comptez un poil moins de 4h ce qui vous permettra largement de tenir un trajet en TGV.

Un bon point : la possibilité de sécuriser l’accès à la clé via un mot de passe pour restreindre l’accès aux personnes de confiance :

 

4. Conclusion

Proposé à un tarif allant de 25 à 135€ suivant le modèle, le SanDisk Connect Wireless Stick est un produit intéressant pour le travail nomade en coopération. Ses dimensions réduites et sa connectivité wifi permettent de l’emmener partout mais sa vitesse de lecture / écriture est un peu en dessous de ce que l’on est en droit d’attendre d’une clé USB aujourd’hui.

 

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Je voulais depuis un moment ajouter une touche lumineuse à mon bureau que je pourrais contrôler via mon smartphone en mode « Smart Home« , et c’est aujourd’hui chose faite avec la réception d’un ruban à LEDs connecté de la marque Mipow : le Playbulb Comet.

1. Packaging

Le Mipow Playbulb Comet est livré dans un emballage qui claque. Coloré, d’excellente qualité, on a pas du tout l’impression d’être face d’un produit made in China et c’est normal, Mipow est une filiale de la célèbre marque à la pomme : Apple !

  .  . 

A l’intérieur on trouve :

– le ruban à LEDs de 2m Mipow Playbulb Comet

– une alimentation secteur

 

Petit point problèmatique, à peine le ruban déballé je me rends compte que c’est une prise UK ! Du coup j’ai été contraint de faire un petit tour sur Amazon pour me procurer un adaptateur pour pouvoir brancher mon ruban de LEDs, rien de bien insurmontable mais bon toujours un peu casse pieds. Le ruban est souple et peut facilement être courbé afin de le positionner comme bon vous semble avec un adhésif intégré qui permettra de la maintenir en place. Le cordon secteur dispose d’environ 1 mètre de fil électrique, permettant ainsi de le brancher à peu près n’importe où.

 

2. Mise en route et prise en main

Pour la mise en route, rien de plus simple puisqu’il s’agit de brancher l’adaptateur secteur sur le ruban à LEDs Mipow et d’installer l’application Playbulb X (disponible sur iOS et Android) sur votre smartphone qui vous permettra de piloter au doigt et à l’oeil le Playbulb Comet.

L’application détecte automatiquement le Mipow Playbub Comet et vous permet de vous y connecter en un clic. Une fois que c’est fait, vous avez alors accès aux différents réglages de votre ruban à LEDs comme par exemple la couleur de la lumière ou bien l’intensité lumineuse :

 

Il est également possible de programmer une fonction allumage, réveil, et extinction automatique en fonction d’une heure précise, pratique. L’éclairage peut également se baser sur une ambiance que vous auriez capturé en photo sur votre smartphone, vous permettant ainsi d’extraire une couleur d’une photo :

 

D’autres effets sont au rendez vous comme l’effet bougie, l’effet arc en ciel qui transformera votre salon en discothèque ou bien encore le fondu :

Le rendu est plutôt pas mal. Pour ma part, je m’en sers pour donner un peu de lumière autour de mon setup et l’effet est vraiment pas mal, même lorsque la lumière du salon est allumée :

3. Conclusion

Proposé à un tarif d’environ 60€, le Mipow Playbulb Comet avec son prix attractif est une alternative plus économique au Philips HUE Lightstrip mais n’ayant pas testé ce dernier, je ne saurais vous dire si il est plus complet que le Playbulb Comet. Si votre seul besoin n’est que d’enluminer un espace précis de votre pièce, je ne peux que vous conseiller l’achat du Playbulb Comet. En revanche, si vous souhaitez vous constituer un éco-système complet avec des rubans, des ampoules et autres lampes, je vous conseillerais plutôt de vous intéresser à la gamme HUE de Philips.

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Comme certains le savent, niveau processeur j’ai quelque chose d’assez costaud et pour le refroidir j’ai opté pour un système watercooling All-In-One de la marque NZXT : le Kraken X61 ! Après plusieurs mois d’utilisation, de réglages et de tests, je vous livre enfin mon avis sur ce système de refroidissement.

1. Principe de fonctionnement du watercooling

Comme j’ai une licence des beaux arts et un master en Photoshop, je me suis fendu d’un petit schéma pour vous expliquer simplement le principe de fonctionnement d’un système de watercooling :

Principe de fonctionnement du watercooling

Comme vous pouvez le voir, la pompe est en contact avec le processeur qui génère de la chaleur et fait chauffer le liquide qui est propulsé dans le tuyau en direction du radiateur. Le circuit d’eau forme un serpentin à l’intérieur de ce dernier pour maximiser le refroidissement du liquide par les ventilateurs fixés sur le radiateur. Le liquide ressort « frais » du radiateur et repasse dans la pompe pour refroidir le processeur et ainsi de suite.

Mais pourquoi vouloir un watercooling plutôt qu’un de ces bons vieux ventirads me direz vous ?

La première raison c’est la performance. Il a été prouvé que dans la plupart des cas un système watercooling de bonne qualité refroidit mieux votre matériel qu’un ventirad classique. La seconde raison, c’est le poids supporté par votre carte mère. Un ventirad de qualité et performant pèse entre 1kg et 1.5kg, soit autant de poids à supporter par votre carte mère au risque de finir par l’abimer et si c’est un modèle haut de gamme on aimerai mieux éviter. Et enfin, la troisième raison est l’esthétique ! Car oui, nous autres geek nous aimons que notre matériel soit performant, mais nous voulons qu’il soit beau, et dans ces cas là il n’y a qu’une seule solution : le watercooling.

 

2. Kraken X61 : un packaging de haut vol

Quand on reçoit la boite du NZXT Kraken X61, on sent que c’est du beau produit. Le carton est massif et de bonne qualité, toutes les pièces à l’intérieur sont parfaitement calées et protégées.

  

Il vaut mieux car un produit de ce type si il est endommagé il risque d’être moins efficace (et donc de potentiellement laisser surchauffer votre précieux processeur) et au pire des cas d’avoir des problèmes de fuite ce qui pourrait avoir des conséquences plutôt désagréables.

On retrouve donc à l’intérieur :

– le système de watercooling NZXT Kraken X61 (radiateur + pompe)

 

– 2 ventilateurs NZXT à fixer sur le bloc radiateur

– la visserie et les supports nécessaires pour adapter le watercooling sur votre modèle de processeur

– un manuel d’installation

Pas de surprise, tout est fourni pour que votre installation se passe bien mais je vous recommande néanmoins de faire l’acquisition d’une petite seringue de pâte thermique de bonne qualité comme la Noctua NT-H1 pour en avoir sous la main si vous en aviez besoin (repositionnement du bloc pompe par exemple) ou si vous voulez une excellente conduction thermique. Un gros point positif qu’il faut souligner : les 6 ans de garantie constructeur sur le matériel, preuve que le fabricant est sûr du matériel qu’il vend.

 

3. Caractéristiques et machine de test

 Les caractéristiques du NZXT Kraken X61 sont les suivantes :

Ventilateur débit d’air 42,4-106,1 pi3/min
Dimensions 140 mm (l) x 280 mm (H) x 27 mm (P)
Pression Fan Air 0,36 – 1,97 mm H20
Vitesse du moteur 2400-3600 ± 150 RPM
Compatibilité Intel LGA 2011-3, 1366, 115X CPUs
AMD FM2, FM1, AM3+, AM3, AM2+, AM2 CPUs
Ventilateur Dimensions 140 x 140 x 25 mm
Modèle Fan Ventilateur PWM performant 140 mm FX V2 NZXT
Matériaux Cuivre, Aluminium, Caoutchouc, Plastique
Longueur des tuyaux 400 mm
Couleur LED Modification des couleurs d’éclairage contrôlé par le Hue
Vitesse du ventilateur 800~2000 RPM ± 10%
Methode de controle Module logiciel Kraken+

Toutes les cartactéristiques sont disponibles sur le site officiel NZXT.

Pour le test du watercooling AIO NZXT Kraken X61, je me suis servi de ma configuration qui assez plutôt costaude :

Intel Core i7 5960X

MSI X99A GODLIKE GAMING

32Go DDR4 RAM

MSI GTX 980TI Gaming 6G

Mon processeur va pouvoir éprouver un peu le Kraken et voir ce qu’il a dans le ventre alors place au montage !

 

4. Montage et mise en place

La partie la plus importante dans mon cas, et probablement pour nombre d’entre vous, c’est le positionnement du radiateur dans votre boitier. En effet, certains boitiers comme mon In Win 909 par exemple proposent plusieurs emplacements pour installer le radiateur du watercooling :

Flux d'air dans le boitier In Win 909

Dans mon cas, si je souhaite le déplacer de l’avant à l’arrière ou de l’arrière à l’avant, je devrais impérativement démonter la pompe du processeur pour faire passer les tuyaux dans le trou du boitier prévus à cet effet. Un poil contraignant donc pensez bien en amont à quel endroit vous souhaitez positionner votre radiateur et surtout dans quel sens vous aller installer les ventilateurs dessus. En effet, il y a plusieurs façons de refroidir notre radiateur qui sont les suivantes :

– Push : on « pousse » (souffle) l’air frais sur le radiateur

– Pull : on « tire » (aspire) l’air chaud dissipé par le radiateur

– Push Pull : cette technique est une combinaison des 2 méthodes précédentes qui consiste à mettre des ventilateurs des 2 cotés pour augmenter le débit d’air

Allez, promis après j’arrête Photoshop !

Watercooling : Push / Pull / Push-Pull

Si les pro s’accordent pour dire que la technique Pull est la meilleure (derrière la Push Pull bien sûr), il est bien évident que d’autres paramètres sont à prendre en compte comme l’agencement de votre boitier, les flux d’air, votre configuration, etc… Pour ma part, j’avais opté au départ pour un placement à l’avant du boitier mais cela n’a pas été concluant donc je l’ai déplacé à l’arrière en mode Push vers l’extérieur du boitier. Est ce la meilleure solution ? Je n’en sais rien, je n’ai malheureusement pas eu le temps d’approfondir ça depuis le montage du PC…

Pour la mise en place de la pompe sur le processeur, c’est fut assez simple car c’est un support pour processeur Intel qui est installé de base. Pas de panique pour les possesseurs d’un socket AMD, tout le matériel et les explications vous sont fournis pour faire le changement assez simplement.

http://www.youtube.com/watch?v=5n192YWmOg0

En quelques minutes, la pompe est en place sur le processeur et il suffit de la connecter à votre carte mère pour qu’elle puisse être alimentée et pilotée par le logiciel NZXT CAM.

 

5. CAM, le logiciel de contrôle

Pour faire fonctionner correctement le NZXT Kraken X61, vous devrez impérativement passer par le logiciel CAM fourni par le fabricant sur son site officiel. Cette application permet de monitorer toute votre configuration et pas seulement le bon fonctionnement du watercooling !

NZXT : le logiciel CAM

Comme vous pouvez le constater, l’interface est propre, épurée et on peut voir en un clin d’oeil toutes les fonctions vitales de notre précieuse machine, notamment la partie qui nous intéresse ici : le processeur et le watercooling associé. Une fois l’installation terminée, le logiciel se lance et détecte automatiquement votre matériel et l’ajoute ainsi au dashboard de l’application.

Les options de configuration sont simples à comprendre et à mettre en place car réduites à l’essentiel. En effet, il y a 2 points principaux sur lesquels vous pourrez influer : le mode de fonctionnement du watercooling et le look (je vous l’ai dit au départ, nous les geeks on aime quand c’est beau) ! En ce qui concerne le mode de fonctionnement, nous avons 3 profils pré-enregistrés : le mode fixe, le mode silence et le mode performance.

NZXT : les différents modes de fonctionnement

Voyons maintenant ce qu’il a dans le ventre.

 

6. Performances

Le mode Silence est celui que j’utilise quasiment tout le temps car c’est le plus discret et il est largement efficace pour refroidir le dégagement thermique de mon processeur. Dans un jeu récent (Dishonored 2, Rainbow Six Siege, Overwatch ou encore Battlefield 1) avec toutes les options à fond, mon processeur n’excède pas les 50 / 55°C à pleine charge qui est une température de fonctionnement assez basse pour un processeur solicité. En règle générale, la température oscille entre 35 et 45°C.

NZXT : la température sous controle du logiciel CAM

En mode Performance, j’arrive à gagner quelques degrés mais ce n’est pas exceptionnel vu le bruit généré par le kit AIO. En mode performances, le ventilateur tourne à 75% de sa vitesse maximale tandis que la pompe elle, passe de 2500RPM (mode Silence) à 3500RPM et génère de fait beaucoup plus de bruit ! Un mode personnalisé peut être configuré pour créer une courbe de performance qui influera sur la vitesse de fonctionnement du Kraken X61 en fonction de la température du processeur.

 

7. Conclusion

Proposé à un tarif d’environ 170€ sur Amazon, le kit AIO watercooling NZXT Kraken X61 se révèle être un excellent produit. Performant, silencieux et personnalisable, il vous permettra de conserver votre processeur au frais même lors d’une utilisation intensive. De plus, si vous possédez un boitier à fenêtre latérale, il apportera une touche colorée très esthétique à votre configuration ce qui ne gâche rien. Sa garantie constructeur de 6 ans et sa compatibilité étendue à quasiment tous les processeurs du marché de ces 4 à 5 dernières années vous mettront à l’abri d’un achat de matériel pendant quelques temps.

Si vous cherchez un kit watercooling AIO, je ne peux que vous conseiller de faire l’acquisition du NZXT Kraken X61 ou de son grand frère, le X62 qui vient de sortir tout récemment.

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Après vous avoir donné mon avis sur un vidéo-projecteur full HD Viewsonic, je vous propose aujourd’hui le test d’un écran de PC de la même marque.

1. Packaging

L’écran Viewsonic VX2778 arrive pied démonté dans un carton pour un soucis de gain de place. L’ensemble est bien calé dans le polystyrène et ne risque donc pas d’être endommagé pendant le transport. Le carton contient les éléments suivants :

– Moniteur LCD

– Cordon d’alimentation

– Câble display port / mini display port

– Guide de démarrage rapide

– CDRom Viewsonic

On peut remarque que contrairement à de nombreux autres écrans, le câble display port est fourni mais pas de câble HDMI ni VGA… A l’heure de l’Internet Haut Débit, fournir un CDRom (ou un DvD) ne contenant rien d’exceptionnel est pour moi un non sens puisque l’on peut récupérer les mêmes outils dans une version à jour sur le site Internet du constructeur, et pour ma part je ne dispose carrément pas de lecteur optique dans ma tour donc le CD m’est complètement inutile… De plus en plus de constructeurs ont opté pour la suppression du support CD/Dvd et c’est tant mieux !

Le packaging est donc correct même si on aurait apprécié la présence d’un cable HDMI.

 

2. Fiche technique

Sur le papier, l’écran Viewsonic VX2778 est plutôt prometteur :

ÉCRAN LCD Type PLS 27″ panoramique (27″ d’affichage)
Surface d’affichage 596,74 mm (H) x 335,66 mm (V)
Résolution QHD 2560 x 1440
Luminosité 350 cd/m² (standard)
Rapport de contraste 1000:1 (standard)
Taux de contraste dynamique 80 000 000:1
Angles de vision 178 degrés/178 degrés (typ)
Temps de réponse 5 ms GtG moy.
Couleurs 16,7 M couleurs (8 bits vraies)
Gamme de couleurs 100 % sRVB
COMPATIBILITÉ PC PC compatibles (jusqu’à 2560 x 1440 non entrelacé)
Mac® Power Mac (jusqu’à 2560 x 1440)
CONNECTEUR Numérique HDMI x 1, DisplayPort x 1, Mini DP x 1
Sortie audio Sortie de casque x 1
Entrée audio Entrée audio x 1
HAUT-PARLEURS   2 x 2 W
ALIMENTATION Tension CA 100 à 240 V (universel), 50 ou 60Hz
Consommation 34W
Optimale 28W
Économie 23W
ERGONOMIE   Inclinaison : 22 à -5 degrés
FIXATION MURALE VESA® 100 mm x 100 mm
CONDITIONS DE FONCTIONNEMENT Température (°C  / °F) 0 °C à 40 °C (32 °F à 104 °F)
Humidité 20% à 90 % (sans condensation)
DIMENSIONS L x H x P (mm) Physiques avec pied (mm) 613 x 454 x 190 mm
Physiques sans pied (mm) 613 x 362 x 49 mm
Emballage (mm) 691 x 457 x 148 mm
POIDS Net avec pied (kg) 4,87 Kg
Net sans pied(kg) 4,121kg
Brut (kg) 6,585kg

La dalle employée sur ce moniteur est une dalle IPS, les meilleures à l’heure actuelle de mon point vue de part leur qualité de définition d’image assez exceptionnelle. Rien à voir avec une dalle TN qui disposent quant à elles d’une meilleure réactivité avec bien souvent des temps de réponse de l’ordre d’1ms, là où les dalle IPS affichent plutôt des temps de réponse de l’ordre de 4 à 5ms minimum. En règle générale, les joueurs en ligne préféreront les dalles TN pour leur réactivité, tandis que les autres utilisateurs privilégieront les dalles IPS pour leur qualité d’image. Bien que je joue à beaucoup de jeux en ligne (Rainbow Six Siege, Overwatch, Heroes of the Storm, Battlefield, un peu de CSGO…) et surtout pour avoir testé aussi bien les écrans TN que les écrans IPS, ma préférence va sans conteste aux écrans IPS pour la beauté de l’affichage et tant pi pour le temps de réponse.

Vous aurez sans nul doute remarqué que nous ne sommes pas en présence d’un écran FullHD (1920×1080) mais bien d’un WHQD (2560×1440) et ça change tout puisque la surface d’affichage est augmentée de 70% entre le FullHD et le WHQD ! Inutile de vous préciser donc que pour afficher vos jeux dans cette résolution avec toutes les options activées, il va vous falloir une carte graphique décente… L’angle de vue théorique est impressionnant et devrait permettre à l’image de rester intacte même si l’on est pas tout à fait en face de l’écran. La très faible épaisseur du contour permet de pouvoir en coller 2 côte à côte pour donner un double affichage quasiment sans démarcation !

La présence de haut parleur dans les écrans aujourd’hui n’est clairement plus un argument de vente. Bien souvent les hauts parleurs intégrés aux écrans sont de piètre qualité et la plupart des utilisateurs disposent soit d’un équipement audio séparé doté d’une meilleure qualité, soit d’un casque (comme moi par exemple).

 

3. Installation et configuration

Le pied de l’écran se monte en 3 minutes chrono et permet au Viewsonic VX2778 d’être parfaitement stable sur le bureau, même lorsque l’on souhaite le faire glisser pour le changer de place ou d’orientation. Si vous n’avez pas de display port sur votre carte graphique, vous devrez passer par la case portefeuille pour vous procurer un câble HDMI ou VGA car ils ne sont pas fournis de base avec le moniteur. Comme je dispose d’une carte graphique haut de gamme (MSI GeForce GTX980 Ti GAMING 6G), j’ai connecté le moniteur sur un des display ports disponibles sur la carte graphique pour obtenir le meilleur rendu possible.

 

Disposant d’un 2e écran (27 pouces, dalle IPS, très haut de gamme), j’ai fais en sorte de régler le VX2778 aussi proche de mon autre écran que possible afin d’avoir un point de comparaison (mon écran personnel a été configuré et calibré à la sonde). Pour être honnête, le panel de configuration de l’écran n’est pas le plus ergonomique que j’ai eu l’occasion d’avoir entre les mains mais j’ai fini par avoir un résultat très approchant mais malheureusement pas identique à mon écran, la qualité de la dalle devant être différente.

Des modes gaming (FPS / RTS / MOBA / Perso) permettent de switcher en un clin d’oeil d’une configuration d’écran à l’autre en fonction de l’utilisation que vous ferez. Pour ma part, je ne switche jamais de configuration en fonction du jeu auxquels je joue, c’est peut être un tort mais je privilégie toujours la beauté des graphismes à la détection d’un ennemi à 12km avec les yeux bandés…

 

4. Utilisation

Pour une utilisation Multimédia (photo / vidéo) le Viewsonic VX2778 est vraiment de bonne qualité. L’image est fluide, nette et les couleurs bien retranscrites. Même de longues heures à regarder des séries passent très bien, un excellent point pour cet écran. Pour le travail quotidien, le moniteur s’en sort également très bien et ce sont donc pour ces deux utilisations que je recommande son utilisation.

en jeu, la qualité est globalement bonne même si on sent parfois que l’écran ne suit pas toujours la cadence sur certains jeux ultra rapides et exigeants comme les FPS. Néanmoins, une correction du problème est possible en activant le l’Ultra Fast Response Time et le Low Input Lag dans les options de configuration de l’écran. Pour les gamers exigeants en revanche, il y a des chances que le VX2778 soit un peu en dessous des écrans gamers haut gamme actuellement disponibles sur le marché.

 

5. Conclusion

L’écran Viewsonic VX2778 se révèle être performant sur le multimédia et une utilisation bureautique, il pèche néanmoins légèrement lors d’une utilisation gaming intensive. Son affichage WHQD et sa dalle IPS à bords fins donnent une belle image une fois le moniteur bien réglé. Vendu à un tarif conseillé d’environ d’environ 400€, le Viewsonic VX2778 fera un parfait écran et je ne peux que le conseiller pour une utilisation courante, mais je pense néanmoins que les gamers exigeants devraient plutôt s’orienter sur un écran un peu plus haut de gamme et réactif. Vous pourrez retrouver ce moniteur sur Amazon ou bien encore sur LDLC.

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J’ai reçu il y a quelques semaines un colis assez exceptionnel de la part de Thrustmaster, contenant l’un des meilleurs joysticks du marché.

Je parle bien entendu du Thrustmaster HOTAS Warthog, un combo poignée de gaz + joystick au réalisme absolument hallucinant ! C’est parti pour la review !

 

1. Packaging

Comme à son habitude et comme pour l’ensemble de ses produits, Thrustmaster à soigné l’emballage afin que le produit arrive intact et en parfait état à bon port. Le HOTAS Warthog est livré dans un carton plutôt imposant dans lequel il est parfaitement calé par le polystyrène. Une fois extrait de ce dernier, nous découvrons le contenu de la boite à savoir :

– le HOTAS Warthog Flight Stick livré en 2 partie (socle + joystick)

– le HOTAS Warthog Dual Throttles

– une notice explicative

 

Rien de plus, rien de moins mais l’essentiel est là. A l’heure du tout dématérialisé, on se demande encore pourquoi les constructeurs fournissent des notices papier alors qu’ils tendent peu à peu à faire disparaitre les CD/DVD d’installation de leurs cartons mais bon, ce n’est qu’un détail. Le package sent bon le produit haut de gamme et ça, ça me plait.

 

2.Design et finitions

Le Thrustmaster HOTAS Warthog se veut comme une réplique à l’identique des commandes du célèbre avion de l’US Air Force : l’A-10C.

 Thrustmaster HOTAS Warthog : A10-C Replica

Soyons précis, les seuls éléments reproduits à l’identique sont l’intégralité du joystick et le panneau de commandes que l’on trouve sur la poignée de gaz. Le reste a été créé de tout pièce par le constructeur qui propose un produit très bien fini et tout en métal. Qui dit réplique dit métal, beaucoup de métal. Sur le socle bien entendu, pour faire du poids, avoir un périphérique stable et solide mais également sur le joystick en lui même ainsi que sur la poignée de gaz.

Les seuls éléments plastiques sont certains boutons qui sont également en plastique sur les commandes de l’A-10C. Nous sommes donc face à un produit massif, très réaliste et qui en jette un max. Le joystick et la poignée des gaz sont tous deux posés chacun sur une grande plaque de métal épaisse qui leur donne une excellente stabilité. Pour ceux qui souhaiteraient se créer un cockpit à demeure dans leur gaming room, chaque plaque est percée aux 4 coins pour leur permettre d’être boulonnées sur un support quelconque.

La peinture noire recouvre presque la totalité des éléments à l’exception des boutons, d’une partie du socle du joystick en alu brossé du plus bel effet. Des inscriptions gris clair et blanches ont été sérigraphiées à proximité des différents bouton pour indiquer à quoi ils correspondent. Un peu futile sachant que vous pouvez les configurer comme bon vous semble mais cela donne un peu plus de réalisme. Une petite plaque avec un numéro est rivetée sur le socle de la manette des gaz, preuve que le joystick n’a pas dû être fabriqué à beaucoup d’exemplaires…

La manette des gaz est composée de 2 parties distinctes que l’on peut bloquer ensemble ou laisser indépendantes si le besoin s’en fait ressentir. De plus, toutes les inscriptions blanches du socle s’illuminent en vert dès que l’on branche le cable USB au PC. Pratique la nuit quand on joue dans le noir pour repérer les boutons, cette lumière verte donne encore plus une impression de réalisme car on se croirait réellement dans le cockpit d’un avion !

Sur le joystick, on retrouve 9 boutons :

. 1 x chapeau « point de vue » 8 directions

. 2 x chapeaux 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x double gâchette en métal

. 2 x boutons poussoir

. 2 x boutons poussoir petit-doigt

Et pas moins de 20 boutons sur la manette des gaz !

. 1 x Molette TRIM

. 2 x boutons poussoir

. 5 x interrupteurs 2 positions (2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x chapeau souris avec bouton poussoir et capteur magnétique 3D (Hall Effect)

. 1 x chapeau 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x bouton poussoir

. 1 x interrupteur 3 positions (2 momentanés + 1 permanent)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x interrupteur 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

Clairement, cela fait énormément de boutons à mémoriser mais ce n’est pas forcément pire que d’avoir autant de raccourcis clavier. En tout cas, je pense que vous l’aurez compris, le Thrustmaster HOTAS Warthog c’est du lourd, du très lourd et c’est d’une finition assez remarquable. Voyons maintenant comment tout ceci se paramètre.

 

3. Installation et configuration

Le joystick est constitué de 2 parties, le manche et le socle, qui s’imbriquent et restent solidaires grâce à un bague que l’on vient visser à la base du manche. Le montage s’effectue très facilement en 2 minutes et la bague de serrage maintenant fermement le manche sur le socle. La connexion se fait au moyen de 2 cables USB, un pour la manette des gaz et un pour le joystick.

Pour que le joystick soit correctement calibré et les différentes touches bien configurées, il faut impérativement installer le logiciel TARGET (Thrustmaster Advanced pRogramming Graphical EdiTor). Cet outil va non seulement vous permettre de réaliser tout le paramétrage du HOTAS, mais il va également vous donner la possibilité d’importer et d’exporter des profils de configuration ! Vous vous dites surement que c’est pas forcément fou, mais pour ceux qui ont déjà joué à Elite Dangerous, vous savez combien c’est long et fastidieux d’attribuer tous les raccourcis nécessaires…

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Et pour nous faciliter la tâche, Thrustmaster propose même sur son site quelques profils déjà tout prêts pour les jeux suivants : 

– Elite Dangerous

– FS X Combat Pilot Series

– Star Citizen

– Il2 Stalingrad

– War Thunder

– World of Warplanes

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Avec ces 6 profils, Thrustmaster balaie la quasi totalité des jeux de simulation aérienne qui prennent en charge le HOTAS Warthog car même en cherchant bien, il faut bien se rendre à l’évidence, il n’y a que très peu de simulation de vol sur PC comme sur console de jeu. Dans le cadre de mes tests, j’ai téléchargé et importé War Thunder / Star Citizen / Elite Dangerous et à un ou deux détails près, ces configurations se révèlent plutôt bien pensées. Pour Elite Dangerous qui demande énormément de temps pour attribuer tous les raccourcis, l’importation du fichier de configuration est alors quasiment indispensable ! Du coup, le temps de prendre connaissance des différents raccourcis et d’en réattribuer certains, j’étais près à voler en 15 à 20 minutes.

Pour War Thunder ce fut vraiment très simple puisque je n’ai rien eu à faire à part déclencher le logiciel TARGET et à faire les configurations dans le jeu.

J’ai voulu configurer le HOTAS pour Battlefield 4 afin de pouvoir piloter les avions et les hélicoptères avec beaucoup plus de facilité. Malheureusement, pas de fichier tout fait et il a donc fallu que je mette les mains dans le cambouis avant de pouvoir décoller. Quand on a pas l’habitude, TARGET demande un peu de temps pour être maitrisé avec quelques subtilités de configuration. Mais Internet est mon ami, et à force d’acharnement j’ai fini par réussir à faire décoller l’hélicoptère et à le faire voler. Cela m’a tout de même occupé une bonne partie d’un dimanche matin mais les sensations de vol en valaient la peine !

 

4. Sensations en jeu

a. War Thunder

War Thunder est un jeu comme World of Tank mais avec des avions de la Seconde Guerre Mondiale. Pas ce qu’il y a de plus manoeuvrant mais avec le HOTAS, c’est juste l’éclate. On se fait très vite aux commandes et le rase motte devient tout de suite plus facile, comme se sortir du pétrin quand on a un ennemi aux fesses qui veut transformer notre carlingue en passoire. J’ai testé le jeu à la souris et au clavier et je me demande comment c’est possible de jouer sans joystick en fait…

b. Battelfield 4

Ah hélicoptère mon amour. Alors pour BF4, jouer à la souris et au clavier ça se fait assez bien même si parfois c’est un peu approximatif quand on slalome entre les immeubles avec un missile STINGER au cul mais bon… Du coup, j’ai passé un peu de temps à configurer le HOTAS car j’avais envie de voir si cela faisait une réelle différence. Et bien le résultat est sans appel : c’est de la balle. Alors bien sûr, il faut sacrifier un peu de temps de jeu afin de trouver la bonne configuration qui fonctionne mais une fois que c’est fait c’est que du bonheur et notre espérance de vie en vol augmente drastiquement. Il est beaucoup plus facile d’esquiver les missiles ou de faire du rase motte avec le joystick plutôt avec les flèches du clavier ou bien la souris. Bref, j’arrive plus à jouer à BF4 sans avoir le HOTAS prêt à faire feu quand je monte dans un avion !

c. Elite Dangerous

Alors là… Je dois dire que Thrustmaster m’a fait redécouvrir le jeu. Sans rire, je me souviens de mes débuts sur Elite Dangerous lorsque je galérais à trouver les raccourcis (parce que j’avais zappé quelle fonction était attribuée à quelle touche) et que mon vaisseau était quelque peu livré à lui même à certains moments… Et bien avec la HOTAS c’est une toute autre expérience. Si on prends le temps d’adapter la configuration toute prête fournie par Thrustmaster pour l’adapter parfaitement à ses besoins, le jeu devient tout de suite beaucoup plus agréable et se balader dans l’espace mais également dans l’interface du vaisseau est presque facile. Quelques petites choses tout de même restent un peu pénibles mais c’est inhérent au jeu, pas au joystick.

d. Ace Combat Assault Horizon

Pour Ace Combat, clairement le HOTAS ne change rien. Le jeu est moisi de base et un joystick de la mort n’y change rien. J’ai passé 30 minutes a essayer de descendre un avion avant de ragequit tellement le jeu est imprécis et avantagé par rapport à nous (oui, les avions ennemis font du demi tour frein à main… normal…).

e. Star Citizen

Je n’ai malheureusement pas encore eu le temps de me pencher sur le cas de Star Citizen faute de temps. Le jeu a l’air assez fou et si c’est comme pour Elite Dangerous, je ne peux qu’imaginer la plus-value lors du pilotage des vaisseaux spatiaux. Promis, dès que j’ai testé le jeu je vous ferais part de mes impressions (et cela ne saurait tarder vu qu’une certaine Elisa m’a dit que c’était de la bombe ce jeu avec le HOTAS !).

 

5. Conclusion

Avec une conception et une réalisation absolument parfaites, une configuration ultra poussée lui permettant de s’adapter à tous les jeux possibles et imaginables de simulation de vol (mais pas que) et une prise en main intuitive, le Thrustmaster HOTAS Warthog est actuellement sans conteste le meilleur joystick disponible sur le marché. Vous l’aurez surement compris au fil de mon test, je suis absolument conquis par ce joystick qui a complètement changé l’expérience que j’avais jusqu’alors sur certains jeux.

Le tableau n’est toutefois pas complètement rose. En effet, le Thrustmaster HOTAS Warthog est plutôt encombrant et par conséquent, si pour vous la simulation de vol est occasionnelle, je vous conseille de conserver le carton pour pouvoir ranger le périphérique dedans lorsque vous ne vous en servez pas et que votre bureau est un peu petit. Autre point a soulever : la configuration des différentes touches qui peut se révéler fastidieuse si vous décidez de ne pas utiliser les fichiers de configuration fournis par le constructeur pour certains jeux (ou si il n’y a pas de fichier de configuration pour le jeu en question).

Mais c’est plutôt un produit qui frise l’excellence et cela a un prix : 449€ sur le site officiel du constructeur, ce qui ne le met pas à portée de toutes les bourses. Une solution existe néanmoins : vous pouvez acquérir le joystick et la poignée de gaz séparément et ainsi étaler la douloureuse.

Un grand merci à Thrustmaster qui m’a permit de réaliser ce test !

 

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Après l’immense succès du 7e épisode de la saga au cinéma, une adaptation en jeux vidéo était inévitable et comme j’ai toujours aimé les LEGO et Star Wars, j’ai le plaisir de vous donner aujourd’hui mon avis sur LEGO Star Wars : le Réveil de la Force (oui oui… j’ai pris mon temps pour l’écrire !).

1. Synopsys

Warner revient en force avec un nouvel épisode de LEGO. Cette fois, le jeu vous fait voyager dans l’univers Star Wars, basé sur le dernier film de la saga. Incarnez Rey, Finn, Poe, BB-8, Kylo Ren, Han Solo et d’autres personnages du film ! Revivez les événements du film, toujours racontés avec l’humour propre à l’univers LEGO.

2. La Force est grande dans ce jeu

A l’instar des autres jeux de la collection LEGO, LEGO Star Wars : le Réveil de la Force suit quasiment pas à pas la chronologie du film en incluant ça et là des bribes d’histoire inédites permettant de faire le lien entre les épisodes 6 et 7. Le jeu commence donc avec une cinématique d’introduction résumant de la fin du film Le Retour du Jedi avec la bataille d’Endor et la destruction de l’étoile de la Mort, nous propulsant ainsi en plein milieu de la forêt et des ewoks pour combattre les troupes impériales. Ce prologue permet d’aborder le Réveil de la Force sur des bases solides et sert logiquement de didacticiel à qui n’aurait jamais mis la main sur un autre jeu LEGO. S’enchainent ensuite les scène du film, à la sauce LEGO.

Star Wars : le Réveil de la Force

On retrouvera ainsi les héros du Réveil de la Force comme BB-8, Rey, Kylo Ren ou encore Poe Dameron, mais également ceux de la trilogie originale comme Han Solo, Chewbacca, Amiral Ackbar et j’en passe. Au total, vous aurez la possibilité de débloquer et donc d’incarner plus de 200 personnages à travers les 18 niveaux qui composent le jeu.

Star Wars : le Réveil de la Force - Des personnages en pagaille

Les véhicules emblématiques de la saga sont également de la partie et vous pourrez vous retrouver aux commandes du X-Wing de Poe ou encore du Faucon Millenium pour ne citer qu’eux. La maniabilité des différents vaisseaux nécessite un petit temps d’adaptation les premières fois mais ensuite ça roule tout seul et c’est vraiment très très fun !

Star Wars : le Réveil de la Force - Pilote de vaisseaux

Comme à chaque fois, l’alternance entre les cinématiques et les séquences de gameplay est presque parfaite et permet au joueur de suivre sans problème le déroulé et l’enchainement des événements auxquels il prend part. Cela à 2 gros avantages selon moi :

– Premièrement, cela permet aux joueurs qui n’ont jamais vu un seul Star Wars de suivre la chronologie de l’Histoire et du pourquoi on en est là, sans avoir l’impression d’être parachuté de nul part et de simplement enchainer les résolutions d’énigmes. Ils peuvent alors se plonger a fond dans l’Histoire et cela ne peut que leur donner envie d’aller voir le film ou de se le procurer en DVD.

– Deuxièmement, les fans de la saga ne seront que ravis de pouvoir vivre une Histoire qu’ils auront surement vu au cinéma et / ou en DVD, avec une grosse touche de LEGO en plus.

Les graphismes sont plutôt bons pour un jeu LEGO et les ambiances des différents niveaux sont parfaitement retranscrites avec tous les bruits qui vont avec. Pour finir, l’humour omniprésent donne une toute autre dimension au jeu avec des clins d’oeil ou des gars. Un régal !

 Star Wars : le Réveil de la Force

 

3. Des mécaniques bien rodées

LEGO Star Wars : le Réveil de la Force reprend l’ensemble des caractéristiques des précédents jeux LEGO qui font le succès de cette collection.

Pour avancer dans l’Histoire, vous devrez donc casser des briques, beaucoup de briques, énormément de briques… Pour collecter des pièces qui vous serviront à acheter certains éléments dans la boutique, pour les ré-assembler afin de résoudre des énigmes, pour libérer le passage… Bref, il va vous falloir casser de la brique en masse ! Mais c’est l’essence même des jeux LEGO non ?

Autre point caractéristique, la résolution des énigmes. En effet, pour progresser dans l’aventure vous devrez résoudre des énigmes qui vous permettront d’actionner des mécanismes. Si la plupart d’entre elles sont assez simple à solutionner, il vous faudra parfois faire preuve d’ingéniosité et surtout bien coordonner les différents héros de votre groupe afin qu’ils exécutent les bonnes actions au bon moment, de quoi devoir s’y reprendre à plusieurs fois…

Si vous êtes un fana de la recherche d’objectifs secondaires, les développeurs ont pensé à vous ! A travers les 18 niveaux du jeu, vous pourrez trouver près de 450 briques disséminées ça et là dans les recoins du décors, objets indispensables pour déverrouiller certains succès. Bien évidemment, il est impossible de tous les récupérer en mode Histoire puisque certains demanderont une combinaison précise de héros pour être débloqués.

C’est là que le mode Libre entre en scène. Présent dans tous les autres titres de la collection, ce mode vous permettra de refaire n’importe quel niveau déjà terminé en mode Histoire afin d’essayer de glaner les objets à coté desquels vous seriez passé.

Star Wars : le Réveil de la Force - Les planètes, lieux de nombreuses aventures...

 

4. Conclusion

Avec une durée de vie d’environ 10h pour ceux qui ne perdent pas de temps mais 20 à 15h pour les plus accros à la recherche de tous les trophées / succès (source HowLongToBeat), LEGO Star Wars : le Réveil de la Force est d’une durée de vie plus que correcte. Les graphismes, l’humour et les caractéristiques propres aux jeux de la collection LEGO en font une valeur sûre que vous pouvez acheter les yeux fermés, pour vous ou vos enfants.

Que vous soyez fan ou non de la saga cinématographique, le jeu devrait sans problème vous procurer d’excellentes soirées dans votre canapé !

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