Je voulais depuis un moment ajouter une touche lumineuse à mon bureau que je pourrais contrôler via mon smartphone en mode « Smart Home« , et c’est aujourd’hui chose faite avec la réception d’un ruban à LEDs connecté de la marque Mipow : le Playbulb Comet.

1. Packaging

Le Mipow Playbulb Comet est livré dans un emballage qui claque. Coloré, d’excellente qualité, on a pas du tout l’impression d’être face d’un produit made in China et c’est normal, Mipow est une filiale de la célèbre marque à la pomme : Apple !

  .  . 

A l’intérieur on trouve :

– le ruban à LEDs de 2m Mipow Playbulb Comet

– une alimentation secteur

 

Petit point problèmatique, à peine le ruban déballé je me rends compte que c’est une prise UK ! Du coup j’ai été contraint de faire un petit tour sur Amazon pour me procurer un adaptateur pour pouvoir brancher mon ruban de LEDs, rien de bien insurmontable mais bon toujours un peu casse pieds. Le ruban est souple et peut facilement être courbé afin de le positionner comme bon vous semble avec un adhésif intégré qui permettra de la maintenir en place. Le cordon secteur dispose d’environ 1 mètre de fil électrique, permettant ainsi de le brancher à peu près n’importe où.

 

2. Mise en route et prise en main

Pour la mise en route, rien de plus simple puisqu’il s’agit de brancher l’adaptateur secteur sur le ruban à LEDs Mipow et d’installer l’application Playbulb X (disponible sur iOS et Android) sur votre smartphone qui vous permettra de piloter au doigt et à l’oeil le Playbulb Comet.

L’application détecte automatiquement le Mipow Playbub Comet et vous permet de vous y connecter en un clic. Une fois que c’est fait, vous avez alors accès aux différents réglages de votre ruban à LEDs comme par exemple la couleur de la lumière ou bien l’intensité lumineuse :

 

Il est également possible de programmer une fonction allumage, réveil, et extinction automatique en fonction d’une heure précise, pratique. L’éclairage peut également se baser sur une ambiance que vous auriez capturé en photo sur votre smartphone, vous permettant ainsi d’extraire une couleur d’une photo :

 

D’autres effets sont au rendez vous comme l’effet bougie, l’effet arc en ciel qui transformera votre salon en discothèque ou bien encore le fondu :

Le rendu est plutôt pas mal. Pour ma part, je m’en sers pour donner un peu de lumière autour de mon setup et l’effet est vraiment pas mal, même lorsque la lumière du salon est allumée :

3. Conclusion

Proposé à un tarif d’environ 60€, le Mipow Playbulb Comet avec son prix attractif est une alternative plus économique au Philips HUE Lightstrip mais n’ayant pas testé ce dernier, je ne saurais vous dire si il est plus complet que le Playbulb Comet. Si votre seul besoin n’est que d’enluminer un espace précis de votre pièce, je ne peux que vous conseiller l’achat du Playbulb Comet. En revanche, si vous souhaitez vous constituer un éco-système complet avec des rubans, des ampoules et autres lampes, je vous conseillerais plutôt de vous intéresser à la gamme HUE de Philips.

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Comme certains le savent, niveau processeur j’ai quelque chose d’assez costaud et pour le refroidir j’ai opté pour un système watercooling All-In-One de la marque NZXT : le Kraken X61 ! Après plusieurs mois d’utilisation, de réglages et de tests, je vous livre enfin mon avis sur ce système de refroidissement.

1. Principe de fonctionnement du watercooling

Comme j’ai une licence des beaux arts et un master en Photoshop, je me suis fendu d’un petit schéma pour vous expliquer simplement le principe de fonctionnement d’un système de watercooling :

Principe de fonctionnement du watercooling

Comme vous pouvez le voir, la pompe est en contact avec le processeur qui génère de la chaleur et fait chauffer le liquide qui est propulsé dans le tuyau en direction du radiateur. Le circuit d’eau forme un serpentin à l’intérieur de ce dernier pour maximiser le refroidissement du liquide par les ventilateurs fixés sur le radiateur. Le liquide ressort « frais » du radiateur et repasse dans la pompe pour refroidir le processeur et ainsi de suite.

Mais pourquoi vouloir un watercooling plutôt qu’un de ces bons vieux ventirads me direz vous ?

La première raison c’est la performance. Il a été prouvé que dans la plupart des cas un système watercooling de bonne qualité refroidit mieux votre matériel qu’un ventirad classique. La seconde raison, c’est le poids supporté par votre carte mère. Un ventirad de qualité et performant pèse entre 1kg et 1.5kg, soit autant de poids à supporter par votre carte mère au risque de finir par l’abimer et si c’est un modèle haut de gamme on aimerai mieux éviter. Et enfin, la troisième raison est l’esthétique ! Car oui, nous autres geek nous aimons que notre matériel soit performant, mais nous voulons qu’il soit beau, et dans ces cas là il n’y a qu’une seule solution : le watercooling.

 

2. Kraken X61 : un packaging de haut vol

Quand on reçoit la boite du NZXT Kraken X61, on sent que c’est du beau produit. Le carton est massif et de bonne qualité, toutes les pièces à l’intérieur sont parfaitement calées et protégées.

  

Il vaut mieux car un produit de ce type si il est endommagé il risque d’être moins efficace (et donc de potentiellement laisser surchauffer votre précieux processeur) et au pire des cas d’avoir des problèmes de fuite ce qui pourrait avoir des conséquences plutôt désagréables.

On retrouve donc à l’intérieur :

– le système de watercooling NZXT Kraken X61 (radiateur + pompe)

 

– 2 ventilateurs NZXT à fixer sur le bloc radiateur

– la visserie et les supports nécessaires pour adapter le watercooling sur votre modèle de processeur

– un manuel d’installation

Pas de surprise, tout est fourni pour que votre installation se passe bien mais je vous recommande néanmoins de faire l’acquisition d’une petite seringue de pâte thermique de bonne qualité comme la Noctua NT-H1 pour en avoir sous la main si vous en aviez besoin (repositionnement du bloc pompe par exemple) ou si vous voulez une excellente conduction thermique. Un gros point positif qu’il faut souligner : les 6 ans de garantie constructeur sur le matériel, preuve que le fabricant est sûr du matériel qu’il vend.

 

3. Caractéristiques et machine de test

 Les caractéristiques du NZXT Kraken X61 sont les suivantes :

Ventilateur débit d’air 42,4-106,1 pi3/min
Dimensions 140 mm (l) x 280 mm (H) x 27 mm (P)
Pression Fan Air 0,36 – 1,97 mm H20
Vitesse du moteur 2400-3600 ± 150 RPM
Compatibilité Intel LGA 2011-3, 1366, 115X CPUs
AMD FM2, FM1, AM3+, AM3, AM2+, AM2 CPUs
Ventilateur Dimensions 140 x 140 x 25 mm
Modèle Fan Ventilateur PWM performant 140 mm FX V2 NZXT
Matériaux Cuivre, Aluminium, Caoutchouc, Plastique
Longueur des tuyaux 400 mm
Couleur LED Modification des couleurs d’éclairage contrôlé par le Hue
Vitesse du ventilateur 800~2000 RPM ± 10%
Methode de controle Module logiciel Kraken+

Toutes les cartactéristiques sont disponibles sur le site officiel NZXT.

Pour le test du watercooling AIO NZXT Kraken X61, je me suis servi de ma configuration qui assez plutôt costaude :

Intel Core i7 5960X

MSI X99A GODLIKE GAMING

32Go DDR4 RAM

MSI GTX 980TI Gaming 6G

Mon processeur va pouvoir éprouver un peu le Kraken et voir ce qu’il a dans le ventre alors place au montage !

 

4. Montage et mise en place

La partie la plus importante dans mon cas, et probablement pour nombre d’entre vous, c’est le positionnement du radiateur dans votre boitier. En effet, certains boitiers comme mon In Win 909 par exemple proposent plusieurs emplacements pour installer le radiateur du watercooling :

Flux d'air dans le boitier In Win 909

Dans mon cas, si je souhaite le déplacer de l’avant à l’arrière ou de l’arrière à l’avant, je devrais impérativement démonter la pompe du processeur pour faire passer les tuyaux dans le trou du boitier prévus à cet effet. Un poil contraignant donc pensez bien en amont à quel endroit vous souhaitez positionner votre radiateur et surtout dans quel sens vous aller installer les ventilateurs dessus. En effet, il y a plusieurs façons de refroidir notre radiateur qui sont les suivantes :

– Push : on « pousse » (souffle) l’air frais sur le radiateur

– Pull : on « tire » (aspire) l’air chaud dissipé par le radiateur

– Push Pull : cette technique est une combinaison des 2 méthodes précédentes qui consiste à mettre des ventilateurs des 2 cotés pour augmenter le débit d’air

Allez, promis après j’arrête Photoshop !

Watercooling : Push / Pull / Push-Pull

Si les pro s’accordent pour dire que la technique Pull est la meilleure (derrière la Push Pull bien sûr), il est bien évident que d’autres paramètres sont à prendre en compte comme l’agencement de votre boitier, les flux d’air, votre configuration, etc… Pour ma part, j’avais opté au départ pour un placement à l’avant du boitier mais cela n’a pas été concluant donc je l’ai déplacé à l’arrière en mode Push vers l’extérieur du boitier. Est ce la meilleure solution ? Je n’en sais rien, je n’ai malheureusement pas eu le temps d’approfondir ça depuis le montage du PC…

Pour la mise en place de la pompe sur le processeur, c’est fut assez simple car c’est un support pour processeur Intel qui est installé de base. Pas de panique pour les possesseurs d’un socket AMD, tout le matériel et les explications vous sont fournis pour faire le changement assez simplement.

http://www.youtube.com/watch?v=5n192YWmOg0

En quelques minutes, la pompe est en place sur le processeur et il suffit de la connecter à votre carte mère pour qu’elle puisse être alimentée et pilotée par le logiciel NZXT CAM.

 

5. CAM, le logiciel de contrôle

Pour faire fonctionner correctement le NZXT Kraken X61, vous devrez impérativement passer par le logiciel CAM fourni par le fabricant sur son site officiel. Cette application permet de monitorer toute votre configuration et pas seulement le bon fonctionnement du watercooling !

NZXT : le logiciel CAM

Comme vous pouvez le constater, l’interface est propre, épurée et on peut voir en un clin d’oeil toutes les fonctions vitales de notre précieuse machine, notamment la partie qui nous intéresse ici : le processeur et le watercooling associé. Une fois l’installation terminée, le logiciel se lance et détecte automatiquement votre matériel et l’ajoute ainsi au dashboard de l’application.

Les options de configuration sont simples à comprendre et à mettre en place car réduites à l’essentiel. En effet, il y a 2 points principaux sur lesquels vous pourrez influer : le mode de fonctionnement du watercooling et le look (je vous l’ai dit au départ, nous les geeks on aime quand c’est beau) ! En ce qui concerne le mode de fonctionnement, nous avons 3 profils pré-enregistrés : le mode fixe, le mode silence et le mode performance.

NZXT : les différents modes de fonctionnement

Voyons maintenant ce qu’il a dans le ventre.

 

6. Performances

Le mode Silence est celui que j’utilise quasiment tout le temps car c’est le plus discret et il est largement efficace pour refroidir le dégagement thermique de mon processeur. Dans un jeu récent (Dishonored 2, Rainbow Six Siege, Overwatch ou encore Battlefield 1) avec toutes les options à fond, mon processeur n’excède pas les 50 / 55°C à pleine charge qui est une température de fonctionnement assez basse pour un processeur solicité. En règle générale, la température oscille entre 35 et 45°C.

NZXT : la température sous controle du logiciel CAM

En mode Performance, j’arrive à gagner quelques degrés mais ce n’est pas exceptionnel vu le bruit généré par le kit AIO. En mode performances, le ventilateur tourne à 75% de sa vitesse maximale tandis que la pompe elle, passe de 2500RPM (mode Silence) à 3500RPM et génère de fait beaucoup plus de bruit ! Un mode personnalisé peut être configuré pour créer une courbe de performance qui influera sur la vitesse de fonctionnement du Kraken X61 en fonction de la température du processeur.

 

7. Conclusion

Proposé à un tarif d’environ 170€ sur Amazon, le kit AIO watercooling NZXT Kraken X61 se révèle être un excellent produit. Performant, silencieux et personnalisable, il vous permettra de conserver votre processeur au frais même lors d’une utilisation intensive. De plus, si vous possédez un boitier à fenêtre latérale, il apportera une touche colorée très esthétique à votre configuration ce qui ne gâche rien. Sa garantie constructeur de 6 ans et sa compatibilité étendue à quasiment tous les processeurs du marché de ces 4 à 5 dernières années vous mettront à l’abri d’un achat de matériel pendant quelques temps.

Si vous cherchez un kit watercooling AIO, je ne peux que vous conseiller de faire l’acquisition du NZXT Kraken X61 ou de son grand frère, le X62 qui vient de sortir tout récemment.

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J’ai reçu il y a quelques semaines un colis assez exceptionnel de la part de Thrustmaster, contenant l’un des meilleurs joysticks du marché.

Je parle bien entendu du Thrustmaster HOTAS Warthog, un combo poignée de gaz + joystick au réalisme absolument hallucinant ! C’est parti pour la review !

 

1. Packaging

Comme à son habitude et comme pour l’ensemble de ses produits, Thrustmaster à soigné l’emballage afin que le produit arrive intact et en parfait état à bon port. Le HOTAS Warthog est livré dans un carton plutôt imposant dans lequel il est parfaitement calé par le polystyrène. Une fois extrait de ce dernier, nous découvrons le contenu de la boite à savoir :

– le HOTAS Warthog Flight Stick livré en 2 partie (socle + joystick)

– le HOTAS Warthog Dual Throttles

– une notice explicative

 

Rien de plus, rien de moins mais l’essentiel est là. A l’heure du tout dématérialisé, on se demande encore pourquoi les constructeurs fournissent des notices papier alors qu’ils tendent peu à peu à faire disparaitre les CD/DVD d’installation de leurs cartons mais bon, ce n’est qu’un détail. Le package sent bon le produit haut de gamme et ça, ça me plait.

 

2.Design et finitions

Le Thrustmaster HOTAS Warthog se veut comme une réplique à l’identique des commandes du célèbre avion de l’US Air Force : l’A-10C.

 Thrustmaster HOTAS Warthog : A10-C Replica

Soyons précis, les seuls éléments reproduits à l’identique sont l’intégralité du joystick et le panneau de commandes que l’on trouve sur la poignée de gaz. Le reste a été créé de tout pièce par le constructeur qui propose un produit très bien fini et tout en métal. Qui dit réplique dit métal, beaucoup de métal. Sur le socle bien entendu, pour faire du poids, avoir un périphérique stable et solide mais également sur le joystick en lui même ainsi que sur la poignée de gaz.

Les seuls éléments plastiques sont certains boutons qui sont également en plastique sur les commandes de l’A-10C. Nous sommes donc face à un produit massif, très réaliste et qui en jette un max. Le joystick et la poignée des gaz sont tous deux posés chacun sur une grande plaque de métal épaisse qui leur donne une excellente stabilité. Pour ceux qui souhaiteraient se créer un cockpit à demeure dans leur gaming room, chaque plaque est percée aux 4 coins pour leur permettre d’être boulonnées sur un support quelconque.

La peinture noire recouvre presque la totalité des éléments à l’exception des boutons, d’une partie du socle du joystick en alu brossé du plus bel effet. Des inscriptions gris clair et blanches ont été sérigraphiées à proximité des différents bouton pour indiquer à quoi ils correspondent. Un peu futile sachant que vous pouvez les configurer comme bon vous semble mais cela donne un peu plus de réalisme. Une petite plaque avec un numéro est rivetée sur le socle de la manette des gaz, preuve que le joystick n’a pas dû être fabriqué à beaucoup d’exemplaires…

La manette des gaz est composée de 2 parties distinctes que l’on peut bloquer ensemble ou laisser indépendantes si le besoin s’en fait ressentir. De plus, toutes les inscriptions blanches du socle s’illuminent en vert dès que l’on branche le cable USB au PC. Pratique la nuit quand on joue dans le noir pour repérer les boutons, cette lumière verte donne encore plus une impression de réalisme car on se croirait réellement dans le cockpit d’un avion !

Sur le joystick, on retrouve 9 boutons :

. 1 x chapeau « point de vue » 8 directions

. 2 x chapeaux 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x double gâchette en métal

. 2 x boutons poussoir

. 2 x boutons poussoir petit-doigt

Et pas moins de 20 boutons sur la manette des gaz !

. 1 x Molette TRIM

. 2 x boutons poussoir

. 5 x interrupteurs 2 positions (2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x chapeau souris avec bouton poussoir et capteur magnétique 3D (Hall Effect)

. 1 x chapeau 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x bouton poussoir

. 1 x interrupteur 3 positions (2 momentanés + 1 permanent)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x interrupteur 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

Clairement, cela fait énormément de boutons à mémoriser mais ce n’est pas forcément pire que d’avoir autant de raccourcis clavier. En tout cas, je pense que vous l’aurez compris, le Thrustmaster HOTAS Warthog c’est du lourd, du très lourd et c’est d’une finition assez remarquable. Voyons maintenant comment tout ceci se paramètre.

 

3. Installation et configuration

Le joystick est constitué de 2 parties, le manche et le socle, qui s’imbriquent et restent solidaires grâce à un bague que l’on vient visser à la base du manche. Le montage s’effectue très facilement en 2 minutes et la bague de serrage maintenant fermement le manche sur le socle. La connexion se fait au moyen de 2 cables USB, un pour la manette des gaz et un pour le joystick.

Pour que le joystick soit correctement calibré et les différentes touches bien configurées, il faut impérativement installer le logiciel TARGET (Thrustmaster Advanced pRogramming Graphical EdiTor). Cet outil va non seulement vous permettre de réaliser tout le paramétrage du HOTAS, mais il va également vous donner la possibilité d’importer et d’exporter des profils de configuration ! Vous vous dites surement que c’est pas forcément fou, mais pour ceux qui ont déjà joué à Elite Dangerous, vous savez combien c’est long et fastidieux d’attribuer tous les raccourcis nécessaires…

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Et pour nous faciliter la tâche, Thrustmaster propose même sur son site quelques profils déjà tout prêts pour les jeux suivants : 

– Elite Dangerous

– FS X Combat Pilot Series

– Star Citizen

– Il2 Stalingrad

– War Thunder

– World of Warplanes

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Avec ces 6 profils, Thrustmaster balaie la quasi totalité des jeux de simulation aérienne qui prennent en charge le HOTAS Warthog car même en cherchant bien, il faut bien se rendre à l’évidence, il n’y a que très peu de simulation de vol sur PC comme sur console de jeu. Dans le cadre de mes tests, j’ai téléchargé et importé War Thunder / Star Citizen / Elite Dangerous et à un ou deux détails près, ces configurations se révèlent plutôt bien pensées. Pour Elite Dangerous qui demande énormément de temps pour attribuer tous les raccourcis, l’importation du fichier de configuration est alors quasiment indispensable ! Du coup, le temps de prendre connaissance des différents raccourcis et d’en réattribuer certains, j’étais près à voler en 15 à 20 minutes.

Pour War Thunder ce fut vraiment très simple puisque je n’ai rien eu à faire à part déclencher le logiciel TARGET et à faire les configurations dans le jeu.

J’ai voulu configurer le HOTAS pour Battlefield 4 afin de pouvoir piloter les avions et les hélicoptères avec beaucoup plus de facilité. Malheureusement, pas de fichier tout fait et il a donc fallu que je mette les mains dans le cambouis avant de pouvoir décoller. Quand on a pas l’habitude, TARGET demande un peu de temps pour être maitrisé avec quelques subtilités de configuration. Mais Internet est mon ami, et à force d’acharnement j’ai fini par réussir à faire décoller l’hélicoptère et à le faire voler. Cela m’a tout de même occupé une bonne partie d’un dimanche matin mais les sensations de vol en valaient la peine !

 

4. Sensations en jeu

a. War Thunder

War Thunder est un jeu comme World of Tank mais avec des avions de la Seconde Guerre Mondiale. Pas ce qu’il y a de plus manoeuvrant mais avec le HOTAS, c’est juste l’éclate. On se fait très vite aux commandes et le rase motte devient tout de suite plus facile, comme se sortir du pétrin quand on a un ennemi aux fesses qui veut transformer notre carlingue en passoire. J’ai testé le jeu à la souris et au clavier et je me demande comment c’est possible de jouer sans joystick en fait…

b. Battelfield 4

Ah hélicoptère mon amour. Alors pour BF4, jouer à la souris et au clavier ça se fait assez bien même si parfois c’est un peu approximatif quand on slalome entre les immeubles avec un missile STINGER au cul mais bon… Du coup, j’ai passé un peu de temps à configurer le HOTAS car j’avais envie de voir si cela faisait une réelle différence. Et bien le résultat est sans appel : c’est de la balle. Alors bien sûr, il faut sacrifier un peu de temps de jeu afin de trouver la bonne configuration qui fonctionne mais une fois que c’est fait c’est que du bonheur et notre espérance de vie en vol augmente drastiquement. Il est beaucoup plus facile d’esquiver les missiles ou de faire du rase motte avec le joystick plutôt avec les flèches du clavier ou bien la souris. Bref, j’arrive plus à jouer à BF4 sans avoir le HOTAS prêt à faire feu quand je monte dans un avion !

c. Elite Dangerous

Alors là… Je dois dire que Thrustmaster m’a fait redécouvrir le jeu. Sans rire, je me souviens de mes débuts sur Elite Dangerous lorsque je galérais à trouver les raccourcis (parce que j’avais zappé quelle fonction était attribuée à quelle touche) et que mon vaisseau était quelque peu livré à lui même à certains moments… Et bien avec la HOTAS c’est une toute autre expérience. Si on prends le temps d’adapter la configuration toute prête fournie par Thrustmaster pour l’adapter parfaitement à ses besoins, le jeu devient tout de suite beaucoup plus agréable et se balader dans l’espace mais également dans l’interface du vaisseau est presque facile. Quelques petites choses tout de même restent un peu pénibles mais c’est inhérent au jeu, pas au joystick.

d. Ace Combat Assault Horizon

Pour Ace Combat, clairement le HOTAS ne change rien. Le jeu est moisi de base et un joystick de la mort n’y change rien. J’ai passé 30 minutes a essayer de descendre un avion avant de ragequit tellement le jeu est imprécis et avantagé par rapport à nous (oui, les avions ennemis font du demi tour frein à main… normal…).

e. Star Citizen

Je n’ai malheureusement pas encore eu le temps de me pencher sur le cas de Star Citizen faute de temps. Le jeu a l’air assez fou et si c’est comme pour Elite Dangerous, je ne peux qu’imaginer la plus-value lors du pilotage des vaisseaux spatiaux. Promis, dès que j’ai testé le jeu je vous ferais part de mes impressions (et cela ne saurait tarder vu qu’une certaine Elisa m’a dit que c’était de la bombe ce jeu avec le HOTAS !).

 

5. Conclusion

Avec une conception et une réalisation absolument parfaites, une configuration ultra poussée lui permettant de s’adapter à tous les jeux possibles et imaginables de simulation de vol (mais pas que) et une prise en main intuitive, le Thrustmaster HOTAS Warthog est actuellement sans conteste le meilleur joystick disponible sur le marché. Vous l’aurez surement compris au fil de mon test, je suis absolument conquis par ce joystick qui a complètement changé l’expérience que j’avais jusqu’alors sur certains jeux.

Le tableau n’est toutefois pas complètement rose. En effet, le Thrustmaster HOTAS Warthog est plutôt encombrant et par conséquent, si pour vous la simulation de vol est occasionnelle, je vous conseille de conserver le carton pour pouvoir ranger le périphérique dedans lorsque vous ne vous en servez pas et que votre bureau est un peu petit. Autre point a soulever : la configuration des différentes touches qui peut se révéler fastidieuse si vous décidez de ne pas utiliser les fichiers de configuration fournis par le constructeur pour certains jeux (ou si il n’y a pas de fichier de configuration pour le jeu en question).

Mais c’est plutôt un produit qui frise l’excellence et cela a un prix : 449€ sur le site officiel du constructeur, ce qui ne le met pas à portée de toutes les bourses. Une solution existe néanmoins : vous pouvez acquérir le joystick et la poignée de gaz séparément et ainsi étaler la douloureuse.

Un grand merci à Thrustmaster qui m’a permit de réaliser ce test !

 

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Il y a quelques mois, je vous livrais mon avis sur un tee shirt que j’avais reçu. Aujourd’hui, je vous donne mon avis sur la qualité de deux tee shirt d’une autre boutique en ligne : Tostadora.

Le premier tee shirt choisi est le pentagramme représentant le chifoumi version The Big Bang Theory : Rock, Paper, Scissors, Lizard and Spock (Pierre, Papier, Ciseaux, Lézard et Spock). Vous ne voyez pas du tout de quoi je parle ? Alors une petite démonstration s’impose :

Vous avez compris ? C’est simple (et un dessin vaut mieux que de longs discours) :

The Big Bang Theory - Chifoumi

Le premier tee shirt choisi représente donc cette variante geek du chifoumi traditionnel, le fameux Pierre, Papier, Ciseaux, Lézard, Spock.

The Big Bang Theory Tee shirt

Le second tee shirt est un classique des modèles geek puisqu’il s’agit de « Keep calm and use et red potion« .

Keep calm and use a red potion tee shirt

La couleur respective de chaque tee shirt est conforme au bleu royal et au rouge sélectionnés sur le site et ne déteint pas ou très peu même après quasiment une dizaine de lavage (30° suivi d’un passage au sèche linge. Oui, je l’ai testé à fond). La sérigraphie est d’un peu moins bonne qualité que la version « deluxe » de mon précédent test mais elle a parfaitement encaissé la série de passage en machine. 

Sérigraphie de bonne qualité

Les tee shirt n’ont pas bougé au premier lavage malgré le passage au sèche linge ce qui permet de sélectionner pile la taille que l’on porte d’habitude. Portant du M, c’est la taille que j’ai sélectionné et ils me vont comme un gant contrairement à certaines autres marques qui malheureusement rétrécissent ou se détendent après 2 ou 3 lavages.

Coté tarif, comptez entre 15 et 20€ suivant le modèle tout en sachant qu’ici vous n’aurez pas l’option « deluxe » (permettant d’avoir un tee shirt de meilleure qualité en échange d’un surcoût) comme chez certains concurrents. Sachez que Tostadora propose également des sweat shirt (que j’espère tester un de ces jours), des sacs bandoulières ou encore des coques d’iPhone.

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J’ai reçu il y a quelques jours un tee-shirt geek de chez Spreadshirt, l’occasion pour moi de vous parler un petit peu de cette boutique en ligne et de la qualité de leur produit.

Le tee-shirt que j’ai commandé est le modèle Bz56 Zn30 Ga31, en référence au célèbre cri de guerre « Bazinga » de Sheldon Cooper lorsqu’il lance un sarcasme dans la série culte The Big Bang Theory !

http://www.youtube.com/watch?v=Qn2S7fq_p1E

Gros fan de la série, je ne pouvais en choisir un autre.

Tee Shirt Spreadshirt Bazinga from The Big Bang Theory

J’ai choisi de prendre le tee shirt de couleur en version Premium (+2.40€ sur la facture par rapport à un tee shirt version normale) car ils sont de meilleure qualité. De plus, les tee shirts Premium sont fabriqués par Spreadshirt dans des conditions de production équitables et en Europe ! Pour une fois qu’on peut éviter d’acheter un vêtement fabriqué en Asie, nous aurions tort de nous priver…

L’impression du motif est d’excellente qualité et au déballage on voit tout de suite qu’il ne va pas commencer à se détériorer au bout de 3 lavages.

Tee Shirt Spreadshirt Bazinga from The Big Bang Theory

Les coutures du tee shirt ne grattent pas et le tissu, d’un grammage de 150 g/m², font de cet article un vêtement très agréable à porter même pendant l’été (je ne vais pas vous faire l’affront de parler de grosses chaleurs car elles n’ont pas encore séjourné en France cette année…).

Quoi qu’il en soit, j’ai fait quelques jaloux avec ce tee shirt The Big Band Theory, aussi bien pour son design que sa qualité. Le tarif des tee shirts homme Premium est d’environ 25€ hors frais de port ce qui reste tout à fait raisonnable vu la finition de l’article.

Je vous invite donc à aller faire un petit tour sur Spreadshirt pour vous faire une idée des produits qu’ils proposent, du tee shirt au sweat shirt, du polo au tablier de cuisine (si si c’est pas une blague) ou encore les coques de portables et tablettes, il y en a pour tous les goûts ! Et si par hasard vous ne trouviez pas chaussure à votre pied, ils proposent un service de personnalisation pour que vous puissiez créer un design unique qui vous ressemble.

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