J’ai reçu il y a quelques semaines une manette bluetooth de la marque Ipega, compatible Android et iOS, l’occasion pour moi de vous en proposer un petit test.

Le package est assez réduit et contient les éléments suivants :

– La manette bluetooth

– le cordon de recharge

– une notice 

 

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

La manette semble d’assez bonne facture au premier coup d’oeil. Assez légère, elle tient bien en main, le pad directionnel et les boutons A, B, X et Y sont autant espacés que le stick analogique gauche et les boutons A, B, X et Y d’une manette de Xbox 360, coïncidence ? Je ne crois pas ^^ On trouve également 2 boutons LB et RB, 3 boutons Select, Start et Home ainsi que 2 sticks analogiques. Puisqu’on parle des sticks analogiques, il ne faut pas s’attendre sur ce point à des sticks qu’on pourrait retrouver sur une manette de console de salon car ils sont vraiment cheap…

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

Au niveau de la notice, on nous invite d’emblée à installer un logiciel. J’ai tenté le coup malheureusement, il est tout en chinois et demande des tonnes d’autorisations… Dans le doute, j’ai refusé et réinitialisé entièrement mon smartphone ^^. Pour choisir le mode de fonctionnement, il suffit de presser un des 4 boutons A, B, X ou Y et d’appuyer en même temps sur le bouton Home servant à l’allumage de la manette. L’appairage est ensuite rapide et facile comme tout bon produit connecté en bluetooth.

Le maintien sur le smartphone se fait grâce à un bras rétractable de 7cm de long qui permet de maintenir sans problème les smartphones de grandes tailles, y compris mon Galaxy Note 3 ! Une fois en place, rien ne bouge et l’ensemble est suffisamment équilibré pour ne pas avoir à trop forcer pour tenir l’écran dans une position confortable.

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

J’ai pu tester la manette sur Modern Combat et Asphalt, deux jeux Android. J’ai trouvé sur Modern Combat que la maniabilité était perfectible, dûe au fait des sticks « analogiques » trop bas de gamme qui accrochaient régulièrement lors de la visée. En revanche, dans Asphalt ils se sont révélés suffisants pour diriger les divers bolides à disposition. J’ai testé un ou deux autres jeux tels que BattleBears qui se sont révélés non compatibles… Dommage !

Proposé habituellement à un prix avoisinant les 35€, je ne peux vous recommander cette manette qui souffre malheureusement d’une maniabilité insuffisante de mon point de vue.

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J’ai eu la chance d’être sélectionné (au rattrapage il faut bien le dire) pour participer à cette 5e saison de testeur Sosh (pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, cet article n’est PAS sponsorisé). J’ai donc reçu début juin l’enveloppe contenant le fameux smartphone estampillé Sosh : le Soshphone 4G.

Le package :

La boite est colorée, à 100 lieues des emballages Samsung ou Apple.

Soshphone 4G : contenu du package

La boite contient :

le Soshphone
le chargeur et son cable micro-usb
la notice de base
l’outil pour extraire l’emplacement de la carte micro-SIM
des écouteurs main libre

 

 

Le design et l’affichage :

Bien avant de s’attarder sur le design, ce qui surprend avec ce téléphone c’est son poids… Au premier abord il est très léger. On se demande alors où se trouve la batterie… Pour preuve, ma copine a voulu l’avoir en main pour comparer avec le sien et a peine s’en était elle saisi qu’elle me demandait « mais si tu insères la batterie c’est plus lourd non ? » (j’ai ri). On retiendra donc sa légèreté qui est un excellent point pour ce smartphone.

Soshphone4G : un design sobre

Le design quand à lui est classique et sobre. Entièrement noir, le téléphone est dépourvu de tout bouton, même le « Home », sur la face écran. Il est entièrement fait de plastique qui est de bien moins bonne qualité que le plastique employé par Samsung par exemple ce qui lui confère un aspect un peu cheap… C’est dommage. Le plastique arrière est affublé d’un trompe l’oeil de carré qui donne un petit effet sympa :

Soshphone4G : le design arrière en trompe l'oeil

Dans l’ensemble, l’aspect général du téléphone, le côté cheap écarté, me plait beaucoup ! Ses dimensions (14cm de haut, 7 de large et 1 d’épaisseur) lui confère une taille idéale pour la prise en main. Concernant l’emplacement des prises, j’aurai pour ma part préféré avoir la prise casque en haut et celle pour le chargeur en bas mais c’est une question de goût… Malgré son coté un peu cheap, je trouve tout de même le design assez réussi.

Etant maintenant habitué à mon Galaxy Note 3, j’avais oublié ce qu’étais un écran de 5 pouces. D’une taille parfaite pour être manipulé sans problème d’une seule main, l’écran qui équipe le Soshphone 4G nous gratifie d’une résolution de 720*1280 qui permet d’afficher correctement la plupart des applications. Je dis bien la plupart car j’ai rencontré un petit soucis d’affichage avec Spotify lorsque le téléphone est verrouillé avec une image légèrement écrasée en largeur. En revanche pour la lecture de vidéo embarquée ou sur YouTube, j’ai été surpris de la très bonne qualité d’affichage du Soshphone qui pour le coup n’a rien à envier à la concurrence (dans le même ordre de prix). Les couleurs sont tout à fait correctes, assez vives et l’image agréable à regarder lors du visionnage de vidéos. Petit point positif d’un affichage de base plus sombre : l’autonomie préservée de la batterie, je vous en parle un peu après !

L’affichage est réactif malheureusement, je n’en dirais pas autant du tactile avec lequel je dois régulièrement reprendre les mots que je tape car il n’a pas pris en compte certaines des lettres que j’ai frappé… Contrairement à une dalle de smartphone haut de gamme, je trouve que l’écran du Soshphone « accroche » plus le doigt.

 

L’appareil photo : 

Correct mais pas exceptionnel, l’appareil photo se débrouille mieux en basse lumière que dans des endroits très lumineux mais laisse rapidement apparaitre du grain. Malheureusement, les couleurs restent tout de même bien plus froides celles rendues par d’autres capteurs. Voici une photo de mon chat prise le soir vers 19h sans lumière artificielle et sans flash, l’image reste vraiment lumineuse comparée au rendu d’autres capteurs :

Soshphone 4G : un capteur à l'aise en basse lumière

On a le choix entre 6 modes différents (Normal / HDR / Panorama / Portrait / Nuit / Paysage) et l’on peut appliquer des filtres artistiques (une dizaine de différents). La mise au point n’est pas toujours au mieux de sa forme et il faut souvent s’y reprendre à une ou deux fois pour obtenir une photo bien nette.

Fournissant des photos d’une résolution maximale de 3264*2448, l’appareil photo est en accord avec le prix du smartphone, pour dépanner il fera l’affaire mais ne remplacera pas un compact par exemple… Ci-après, un comparatif d’un panoramique fait avec le Samsung Galaxy Note 3 et du même panoramique fait avec le Soshphone4G :

Soshphone 4G : comparaison du mode panoramique

 

 

Les jeux :

Une autre partie importante d’un smartphone aujourd’hui : le jeu. Que ce soit dans les transports ou les salles d’attente, il n’est pas rare de voir quelqu’un dégainer son smartphone pour une petite partie de Candy Crush ! Voyons donc comment se débrouille le Soshphone…

Le jeu Sky Force passe nickel, pas de lags ni ne problème d’affichage ce qui est donc un excellent point pour ce smartphone à prix plancher ! Les couleurs sont belles et vives, seul petit point à soulever : le téléphone a tendance à chauffer un peu lors de l’utilisation de ce jeu mais j’ai le même ressenti sur mon Note 3.

J’ai également testé Daily Kitten, une sorte de tamagoshi félin qui nous a été recommandé par Sosh. La encore ca passe tranquille sur le smartphone mais vu le jeu, c’était à prévoir ! 

Les jeux semblent passer sans problème sur le Soshphone4G, un bon point pour Sosh donc qui a un argument de plus pour vendre son produit !

 

Autonomie et performances :

Concernant son autonomie, le Soshphone 4G est plutôt endurant !

Il tient sans problème une journée en utilisation intensive si l’option « Eco » est activée. En revanche, dès que l’on désactive l’option éco et le réglage automatique de la luminosité, la durée d’utilisation fond comme neige au soleil comme sur la plupart des smartphone. Puisque l’on parle de la batterie, j’en profite pour souligner qu’elle n’est pas amovible et que le jour où elle ne tiendra plus la charge (ce qui arrivera fatalement un jour ou l’autre), le smartphone sera bon à changer.

Après un petit test de la 4G parisienne sur ce Soshphone réalisé avec 4G Mark les débits sont tout a fait corrects et même plutôt bons pour de la 4G. Le Soshphone 4G n’a donc pas grand chose à envier aux grands de ce secteur sur ce point là car il tient parfaitement la route face à mon Galaxy Note 3 (test réalisé au même endroit).

Je profite de ce benchmark 4G pour partager avec vous le benchmark du smartphone en lui même réalisé avec Antutu Benchmark :

Soshphone : Benchmark Antutu

Le résultat est sans appel : le Soshphone 4G arrive à peine au niveau d’un Samsung Galaxy S3 par exemple, pourtant sorti il y a maintenant 2 ans et proposé aujourd’hui autour de 250€ neuf.

 

Conclusion : 

Dans l’ensemble, le Soshphone 4G reste quand même un smartphone intéressant pour toute personne ne souhaitant pas le tout dernier téléphone à la mode ni un monstre de puissance. Avec des performances correctes mais pas non plus exceptionnelles, le Soshphone 4G bénéficie d’un rapport qualité prix imbattable qui devrait conquérir le créneau des personnes cherchant un téléphone pour téléphoner mais qui permet de jouer occasionnellement et prendre quelques photos si besoin. Son atout principal est son prix qui le met à la portée de quasiment toutes les bourses puisqu’il sera proposé au tarif de 170€ !

Parmi les petits défauts que Sosh pourrait corriger, je verrais bien pour ma part l’ajout d’un port micro-SD, un écran tactile plus réactif mais surtout une finition moins cheap, quitte à friser les 200€.

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La semaine dernière, les éditions Ki-oon ont eu la gentillesse de m’envoyer le premier tome d’une nouvelle série qu’ils publient dès à présent : Assassin’s Creed Awakening !

Assassin's Creed Awakening aux éditions Ki-Oon

Synopsis :

1715, les Pirates règnent sur les mers des Caraïbes et viennent de fonder leur propre République où la corruption, l’avarice et la cruauté sont désormais monnaie courante. 

Capitaine sans foi ni loi engagé dans une quête perpétuelle de richesses, Edward Kenway écume sans relâche les mers. Considéré comme l’un des Pirates les plus redoutables de son temps, ce combattant féroce et aguerri va se retrouver malgré lui projeté au coeur du conflit millénaire qui oppose les Assassins aux Templiers…

Extrait d'Assassin's Creed Awakening

Assassin’s Creed® Awakening © 2014 Ubisoft Entertainment.
All Rights Reserved.
Assassin’s Creed, Ubisoft, and the Ubisoft logo are trademarks of Ubisoft Entertainment in the US and/or other countries.

Vous l’aurez compris, Assassin’s Creed Awakening retrace l’histoire du jeu vidéo Assassin’s Creed 4 Black Flag avec quelques libertés néanmoins. Les planches retracent plutôt fidèlement la début des aventures du jeune Kenway tout en mettant en place la trame de l’histoire du jeune garçon, Masato, qui a été sélectionné pour tester l’Animus et incarnant ainsi Edward, son ancêtre.

Le scénario du manga a été écrit par Takashi YANO et a pris forme sous les traits de Kenzi OIWA.

Bien que n’ayant pas encore terminé Assassin’s Creed Black Flag, j’ai beaucoup aimé la façon dont sont amenées l’histoire d’Edward et celle de Masato. Petit bonus : à la fin du tome se trouve un code à entrer en jeu pour déverrouiller le pack « Le prix du naufragé », contenant 2 armes solo exclusives, 1 tenue et 1 relique multijoueur.

 Je ne vous en dirais pas plus pour ne pas vous spoiler et vous laisserais donc le plaisir de découvrir ce tout nouveau manga des éditions Ki-oon, disponible dès à présent au prix de 7.90€.

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Dragon Quest : La quête de Daï, un shōnen manga de 37 tomes réalisés par Kōji Inada et Riku Sanjō librement inspirés du jeu vidéo Dragon Quest, a vu son dernier tome publié en février 2013. Plus d’un an après, Dragon Quest : Emblem of Roto a débarqué en France le 15 mai avec ses deux premiers tomes pour proposer aux fans de la série une nouvelle aventure. J’ai eu la chance de recevoir de la part des éditions Ki-Oon ces deux premiers tomes d’une série de 21.

Dragon Quest Saga - Emblem of Roto T.1 et 2

Synopsis : 

De nombreuses années se sont écoulées depuis que Loran et Carmen, les héritiers du légendaire héros Roto, ont triomphé des forces du mal. Emportant avec eux un fragment du mythique emblème de leur aïeul, les deux frères ont chacun fondé leur propre royaume : celui de Loran au nord et celui de Carmen au sud. Mais après cent ans de paix et de prospérité, le monde est de nouveau menacé… Les armées maléfiques font le siège des derniers bastions humains, qui tombent les uns après les autres.

Possédé par un démon, le roi de Carmen entraîne son royaume à sa perte. Seuls survivants de cette tragédie : le prince Arus, héritier du héros Roto, et Lunafrea, fille du général en chef des armées de Carmen. Pendant dix ans, la jeune femme élève le petit Arus dans le plus grand secret, à l’abri de ses ennemis. Mais, débusqués par une troupe de monstres, nos deux héros et leurs compagnons décident de prendre la route pour contrer la montée des ténèbres. D’autant que dans le royaume jumeau de Loran, l’héritier du trône est né à son tour. Baptisé Jagan, il s’est allié aux forces du mal et a juré la perte des humains…

Dragon Quest Saga - Emblem of Roto : Planche

L’univers du manga Dragon Quest : Emblem of Roto a été entièrement imaginé par Akira Toriyama (Dragon Ball) et réalisé par Kamui Fujiwara.

Nous y découvrons donc Arus, héritier de Roto, débutant la formation qui lui permettra de maîtriser le pouvoir des héritiers de Roto. S’en suivra ensuite une quête pour retrouver les 3 seigneurs, descendants des frères d’armes du héros Roto, qui l’accompagneront dans sa marche contre les ténèbres.

Les deux premiers tomes de cette nouvelle saga posent donc les bases de l’intrigue. Ils nous apprennent ainsi à connaitre les personnages principaux du manga et surtout qu’elles seront leurs alliés et leurs ennemis. Bien que n’étant pas un expert en manga (loin de là), je dois dire que j’ai été très agréablement surpris de me retrouver complètement absorbé par l’histoire de Dragon Quest : Emblem of Roto et je suis resté sur ma faim arrivé à la dernière page du 2ème tome…

Si vous êtes amateur de la série de jeux vidéo mais également de l’univers de Dragon Quest, je vous recommande ce manga qui devrait vous ravir.

Vous pourrez vous procurer chaque tome de la série pour la modique somme de 6.60€

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Comme je possède une Xbox One depuis maintenant quelques mois et que je suis un adepte des sessions de jeux tardives, l’achat d’un casque était donc obligatoire. Après quelques recherches sur le net, je me suis dirigé vers un casque Turtle Beach XO Seven, spécialement conçu pour la Xbox One et les périphériques mobiles tels que smartphones ou tablettes. Voici mon test du matériel.

1 – Un package au top :

Dès l’ouverture du colis, j’ai entre les mains une boite d’emballage d’excellente qualité et à l’intérieur tout est bien calé pour éviter toute dégradation pendant le transport, le colis venant des Etats Unis, c’est un point important selon moi…

Le coffret contient les éléments suivants :

– le casque Turtle Beach XO Seven

– le câble du casque

– le câble spécial mobile avec micro intégré

– le micro

– l’adaptateur pour la manette

– la notice d’utilisation

N’ayant jamais eu de casque Turtle Beach auparavant, je ne peux donc comparer avec un autre produit de la marque. En tout état de cause, je suis agréablement surpris par la qualité du package. Passons maintenant en revue la qualité du matériel en lui même.

 

Turtle Beach XO Seven : Package

 

2 – Un matériel haut de gamme  :

Depuis sa réception il y a presque 3 mois, le casque a été utilisé de manière intensive, tous les jours. En effet, chaque jour il m’a accompagné sur le chemin du travail afin que je test sa qualité sonore mais également la qualité du mode kit main libre car oui, il peut servir à recevoir des appels grâce au câble dédié ! 

Le plastique qui compose sa structure est de très bonne qualité puisqu’il n’a pas pris une rayure depuis que je l’ai. L’arceau et les écouteurs sont correctement fixés les uns à aux autres ce qui n’est pas toujours le cas sur les différents casques que j’ai pu tester par le passé où bien souvent j’avais l’impression que j’allais décrocher une oreillette rien qu’en le manipulant.  En revanche, ce que gagne le casque en robustesse, il le perd malheureusement un petit peu en légèreté mais on ne peut pas tout avoir. L’arceau de tête et les écouteurs sont rembourrés avec de la mousse recouverte de cuir. Au niveau des oreillettes, cela permet d’être bien isolé du bruit ambiant, un excellent point lorsque l’on voyage en transport en commun. Le cuir de l’arceau est estampillé du nom de la marque « Turtle Beach » et quelques touches de vert « Xbox » rappellent que le casque est dédié à la nouvelle console de Microsoft.

Le micro est amovible. Cela permet de l’enlever lorsque vous souhaitez vous servir du casque sur votre smartphone. Il faudra alors connecter le bon câble ayant le micro intégré afin de pouvoir répondre aux éventuels appels reçus. Le micro est entièrement articulable afin de pouvoir l’orienter comme bon nous semble et surtout l’avoir tout près de la bouche. Les câbles fournis avec le casque sont tous les deux tressés pour éviter qu’ils ne s’emmêlent, aujourd’hui c’est pratiquement devenu quelque chose de standard que l’on retrouve également sur les souris orientées gaming ou certains claviers.

Turtle Beach XO Seven : Plaques amovibles

Le petit plus : la possibilité de retirer les coques des écouteurs pour pouvoir les remplacer par d’autres, aux couleurs ou motifs proposés sur le site internet de Turtle Beach (mais qu’on ne trouve malheureusement nul par ailleurs) ! Un petit détail qui ravira les geeks et fera peut être apparaître des versions personnalisées par les joueurs eux même pour peu qu’ils aient une petite fibre artistique.

 

3 – Une qualité audio excellente mais… :

J’ai utilisé le casque à 80% du temps pour écouter de la musique ou passer des appels, les 20% restant ayant été dédiés au jeu sur Xbox One. La qualité en écoute est excellente. Les graves et les aigus sont bons et même à forte puissance la qualité ne se dégrade pas outre mesure. Lors des appels téléphoniques, mon interlocuteur m’entendait parfaitement clair et de mon côté, les coussinets à isolation phonique m’ont permis de suivre des conversations même en milieu bruyant sans avoir à faire répéter la personne à l’autre bout du fil. L’isolation phonique des coussinets promise par le constructeur est au rendez vous, une fois sur la tête on n’entends (presque) plus l’environnement qui nous entoure ce qui est vraiment génial quand vous fréquentez les transports en commun au quotidien.

En jeu, même constat (le contraire aurait été étonnant). Le son est impeccable et le module qui permet de brancher le casque sur la manette de la Xbox One met à disposition les boutons de contrôle du volume, de coupe micro et les boutons pour amplifier le son du jeu ou celui du chat en fonction des situations. 

Turtle Beach XO Seven : Micro

Néanmoins, bien que je fasse l’éloge de sa qualité sonore, ce casque présente un défaut assez désagréable si on ne prends pas le temps de le résoudre. Lorsque l’on marche dans la rue, les articulations des oreillettes ont tendance à grincer ce qui est totalement insupportable même avec la musique en cours de lecture. Pour palier au problème, j’ai juste pris le temps de trouver la position sur ma tête qui fait que le casque ne grince presque plus du tout. Défaut de conception ou défaut non découvert lors des tests pré-commercialisation, je ne sais pas en revanche si je suis le seul à avoir rencontré ce problème.

 

4 – Conclusion :

Face à une qualité de fabrication très haut de gamme et une qualité audio remarquable en jeu, en conversation téléphonie ou bien en lecture de fichier multimédia, le seul petit défaut que j’ai pu soulever et je ne peux que recommander ce casque Turtle Beach XO Seven qui ravira les gamers aussi exigeants que moi. Mais qu’en est il du prix ? Suivant les magasins, vous pourrez trouver ce casque à un prix compris entre 150 et 200€. L’ayant payé 155€ frais de port compris (il venait des USA n’oubliez pas…) je trouve que c’est un prix justifié à la vue de la qualité proposée par le constructeur. Si vous ne trouvez pas un prix qui vous satisfasse en France, n’hésitez pas à vous tourner vers la plateforme US d’Amazon car même avec les frais de port et les taxes, il y a de fortes chances pour que le prix soit plus attractif.

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Après avoir testé le dock Samsung et la coque de protection Spigen dédiés au smartphone Samsung Galaxy Note 3, je m’attaque aujourd’hui au test de la protection d’écran SPIGEN GLAS.t Premium, un accessoire indispensable pour tout possesseur d’un smartphone un peu onéreux.

Galaxy Note 3 Spigen Screen Protector GLAS.t

La coque de protection est livrée dans une boite type boite de dvd. Elle comprend les éléments suivants :

– le film de protection

– une lingette à l’éthanol

– un chiffon microfibre

– une spatule en plastique

– un autocollant décliné en 3 couleurs

– le certificat d’authenticité

Le packaging est haut de gamme comme à l’habitude de la marque Spigen qui a le don de soigner non seulement ses produits, mais également l’emballage qui les accompagne.

La notice est déclinée en plusieurs langues dont le français ce qui permet tout de suite de savoir quelle est la marche à suivre pour positionner correctement le film de protection sur l’écran.

Le film de protection est assez épais, rigide et sa surface semble très résistante.

Une fois appliqué, le film couvre parfaitement l’intégralité de l’écran, lui offrant ainsi une excellente protection. Bien qu’ayant suivi le mode d’emploi à la lettre, quelques poussières se sont incrustées au moment d’apposer la protection et ont formé 3 petites bulles, guère gênantes à l’utilisation. Malgré l’épaisseur de la protection, le tactile de l’écran répond bien et je n’ai rencontré aucune gène lors de l’utilisation.

Sa surface est traitée pour être oléophobique, facilitant ainsi son nettoyage et diminuant également sa vitesse de salissure. D’autre part, couplée avec la coque de protection Spigen dédiée au Samsung Galaxy Note 3, cette protection d’écran protégera intégralement votre smartphone.

 Galaxy Note 3 protégé avec la coque et la protection d'écran Spigen

Au niveau du prix, il faut tout de même compter une trentaine d’euros pour s’offrir une telle protection. Cher me direz vous ? Attendez que j’ai fini avant de vous faire une idée… Il y a 2 semaines, mal réveillé un matin, mon Galaxy Note 3 m’échappe des mains et tombe coté écran sur le coin de ma table basse.

Bilan de la chute : la protection d’écran a encaissé le choc a la place de l’écran et c’est elle qui s’est fissurée sous l’impact. Le téléphone lui est intact et je n’ose pas imaginer le prix qu’il aurait fallu que je débourse pour procéder au changement de l’écran…

Galaxy Note 3 : protection Spigen explosée 

Moralité : j’en ai commandé une toute neuve dans la foulée, même à 30€, la qualité de cette protection d’écran pour le Samsung Galaxy Note 3 est tout simplement incomparable.

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J’ai reçu il y a quelques semaines maintenant mon Samsung Galaxy Note 3, l’occasion pour moi de tester quelques accessoires qui sont dédiés à ce smartphone. J’ai déjà testé il y a quelques temps une coque Spigen, je m’attaque cette fois-ci au test de quelques accessoires qui sont dédiés à ce smartphone en commençant par : le dock officiel Samsung.

Dock Samsung Galaxy Note 3

Le package est relativement simple :

– un dock

– un câble d’alimentation

– un bloc d’alimentation

 

Dock Samsung Galaxy Note 3

En moins d’une minute, le dock est en place sur le bureau prêt à accueillir le Galaxy Note 3. Compact, il n’occupe qu’une faible surface de 8 par 8 cm et reste bien loin de l’encombrement du dock Docki. Hélas, j’ai rencontré un petit problème. En effet, comme je l’ai indiqué au début de cet article, j’ai en ma possession une coque Spigen qui malheureusement ne permet pas au smartphone de s’enclencher correctement sur le dock et l’empêchant ainsi de charger la batterie. L’épaisseur de la coque est trop importante et le connecteur ne s’enfonce pas jusqu’au bout, empêchant ainsi le contact permettant la charge de la batterie.

Pour y remédier, je dois, à chaque fois que je souhaite recharger mon Galaxy Note 3, lui retirer sa coque pour pouvoir le poser comme il faut sur le dock. N’ayant pas à ma disposition de coque officielle Samsung, je n’ai pas pu en réaliser le test mais je suppose qu’elles sont prévues pour s’adapter parfaitement au dock.

Lorsque le smartphone est sur sa base, il affiche en permanence l’heure, la date, l’emplacement et la météo. Le dock est également doté d’une prise jack 3.5 mm qui permet de brancher une chaîne hifi, un casque ou encore des enceintes de bureau.

Vendu une quarantaine d’euros, la finition et la simplicité d’utilisation en font un accessoire avec un bon rapport qualité prix bien qu’il faille être vigilant sur la coque de protection associée, toutes n’étant pas compatibles.

Rendez vous prochainement pour le test d’un second accessoire.

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Fin janvier, j’ai eu la chance d’être sélectionné par Samsung pour rejoindre le programme SamsungReporter. Pour me permettre de mener à bien ma mission en tant que Samsung Reporter, Samsung m’a équipé d’un smartphone dernière génération : le Galaxy Note 3.

J’en entends déjà faire référence au reportage qui est passé récemment dans Capital et je les invite à laisser un commentaire, je me ferais un plaisir de leur répondre (si la question reste pertinente, constructive et correcte bien évidemment).

Comparé à mon Galaxy S3, on voit nettement la différence au niveau de la taille, 5.7 pouces c’est même presque trop grand ! En revanche, malgré sa taille plus imposante, son poids n’est que de 30g supérieur à celui du S3 mais cela ne se ressent pas tellement une fois en main, c’est grâce à cette conception plastique qu’il peut conserver un poids raisonnable. Le dos du Galaxy Note 3 est une imitation cuir assez réussie visuellement.

La Samsung Galaxy Note 3 est livré en version 32Go de base. En effet, pour ce modèle il n’y a pas 36 capacités différentes, seulement une version 32Go, déclinée en 3 couleurs : Noir, Rose et Blanc. Fort heureusement, bien que n’ayant pas eu le choix de la couleur, j’ai eu la chance d’être doté de la version blanche (celle que j’aurai choisi) ! 

 Samsung Galaxy Note 3 White

Sous le capot, on trouve les spécifications suivantes :

Processeur : Snapdragon 800 Quad-Core 2.3 GHz
Mémoire vive : 3 Go
Stockage/mémoire interne : 32 Go
Mémoire extensible : Prise en charge des cartes micro-SDHC/SDXC jusqu’à 64 Go
Ecran Super AMOLED tactile Full HD (1080×1920 pixels) 5.7″ 
APN : 13 MP avec auto focus, flash LED, caméra frontale 2 MP
Réseaux mobiles : 4G LTE/3G+/2G
Connectivité : NFC, DLNA, Bluetooth 4.0, GPS, Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/acmicro-USB 3.0, jack 3.5mm, MHL 2.0
Batterie : 3200 mAh

Le système de base est toujours Android, une version Jelly Bean 4.3 avec la surcouche TouchWizz Samsung, tant détestée par de nombreuses personnes. Cette version du système d’exploitation a été récemment remplacée par Android Kit Kat 4.4 lors qu’une mise à jour. Pas vraiment dépaysé donc par rapport à mon ancien smartphone donc et la prise en main est donc très rapide. En quelques minutes, la configuration du Galaxy Note 3 est faite et les applications indispensables réinstallées, on va pouvoir commencer à voir ce qu’il a dans le ventre.

L’interface, bien qu’équipée de la surcouche Touch Wizz, est réactive et fluide. L’écran est très lumineux et d’une excellente qualité ce qui donne un confort d’utilisation optimal notamment lors de la navigation web, la lecture de fichiers multimédias ou bien les jeux.  si l’on ne pense pas à activer le mode économie d’énergie ou à baisser la luminosité de l’écran, on se retrouvera vite à cours de batterie. A propos de l’autonomie, il faut compter sur une journée complète en utilisation intensive (Twitter, navigation web, jeu, wifi…) avec l’option économie d’énergie activée, c’est donc tout à fait honorable pour un smartphone avec un écran de cette taille. Avec une utilisation modérée, il est possible de d’augmenter significativement l’autonomie du Galaxy Note 3 pour la pousser à 36 voir 48h maximum.

Samsung Galaxy Note 3 Autonomie

Un des gros plus du Galaxy Note 3 par rapport aux autres smartphones, c’est l’intégration du stylet. Précis, il permet de prendre rapidement des notes ou de remplacer notre doigt lors de l’utilisation du tactile du téléphone. Certaines applications exclusives au Galaxy Note 3 car dépendantes du stylet sont directement intégrées comme Scrapbook qui permet de récupérer des morceaux d’écrans (screenshots) grâce au stylet et d’y apposer des notes manuscrites :

Samsung Galaxy Note 3 Scrapbook

Autre application intéressante, Ecriture sur écran permet d’apposer des notes directement sur l’écran courant, de rogner pour ne conserver que ce que l’on souhaite pour ensuite l’envoyer par mail, mms ou sur les différents réseaux sociaux :

 Samsung Galaxy Note 3 Ecriture sur écran

Pour ceux qui seraient soucieux de leur ligne, l’application SHealth, que l’on retrouve également sur le Galaxy S4, sera leur compagnon d’exercice, comptera chacun de leurs pas et leur indiquera leur progression vers l’objectif qu’ils se sont fixé :

Samsung Galaxy Note 3 SHealth

Malheureusement, cette application ne gère (pas encore) les programmes d’entrainement poussés ou la fréquence cardiaque, poussant les plus sportifs à lui préférer un matériel plus adapté comme une montre Suunto Ambit 2 par exemple.

Puisqu’on parle capacité, les 32Go embarqués de base vous permettront d’être à l’aise au niveau contenu, que ce soit application, musiques, photos ou vidéos, et si par hasard vous vous retrouviez à l’étroit, le port MicroSD volera à votre secours vous permettant d’augmenter la capacité de 64Go supplémentaires au maximum !

Du coté de l’appareil photo, le Samsung Galaxy Note 3 se débrouille plutôt pas mal avec une qualité plus qu’acceptable même en basse lumière, en voici quelques exemples :

Journée ensoleillée aux jardins du Luxembourg :

Samsung Galaxy Note 3 Photo journée ensoleillée

 

Spectacle de Michael Gregorio :

Samsung Galaxy Note 3 Spectacle de Michael Gregorio

 

Soirée Samsung Launching People :

Samsung Galaxy Note 3 Launching People

Comme vous pouvez le constater, les photos sont de bonne qualité quelle que soit les conditions. Attention toutefois, il ne faut pas hésiter à jouer avec les modes et les réglages pour obtenir des clichés satisfaisant, malheureusement encore très loin en qualité d’un compact, d’un hybride ou qu’un réflex, mais ce n’est pas le même usage.

Un des plus gros points faibles de ce téléphone : c’est sa taille. Plus grand qu’un smartphone standard mais néanmoins plus petit qu’une phablette, le Samsung Galaxy Note 3 reste imposant et ne tient pas dans toutes les poches. Cette taille, bien que caractéristique de ce type de smarphone, est difficile à manier d’une seule main. Ayant l’habitude d’un smartphone de la taille d’un Galaxy S3 par exemple, j’ai manqué de faire tomber plusieurs fois mon Note 3 en voulant le manier d’une seule main.

Pour conclure, je dirais que ce smartphone est très bien conçu pour le secteur commercial qu’il vise avec des applications dédiées au stylet permettant de gagner en productivité lorsque l’on sait les exploiter correctement. Néanmoins, si vous cherchez un téléphone qui vous permet d’être nomade et qui ne vous gênera ni dans votre poche ni lors de l’utilisation à une main, passez votre chemin, vous serez déçu.

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Commandée lors de la Paris Games Week 2013, j’ai reçu mon pack Xbox One + Call of Duty Ghosts le jour de sa sortie mondiale et n’aimant tester ce genre de produit à la va vite après 1h d’utilisation où l’on n’a pas le temps de tester les choses en profondeur, j’ai préféré prendre mon temps afin d’avoir un peu de recul.

Déballage

Le package contient les éléments suivants :

– La console Xbox One

– Le capteur Kinect 2.0

– Une manette

– Un micro casque filaire

– Un câble HDMI

– Un câble d’alimentation

– Un bloc d’alimentation

– Le code de téléchargement du jeu Call of Duty Ghosts

– Un code pour un abonnement de 14 jours au Xbox Live

Premier constat : les dimensions imposantes. Que ce soit la Xbox en elle-même, le capteur Kinect ou le bloc d’alimentation, on est bien loin de la taille du modèle d’avant, la Xbox 360 Slim. J’ai même bien cru à un instant qu’elle ne rentrerait pas dans mon étagère !

Xbox One : un design carré et massif

Son design est plutôt massif, carré et entièrement noir, alternant brillance et mât. Exit le tiroir du lecteur dvd, on alimentera maintenant le lecteur Blu-ray de la console par une fente située en façade.  Les grilles d’aérations sont situées sur la moitié du dessus et sur les côtés pour assurer une ventilation optimale.

La manette a quelque peu évoluée. Design et matériaux retravaillés, la manette s’adapte parfaitement à ma main et est très agréable au toucher. J’avais déjà eu l’occasion de l’avoir en main et de la tester lors de l’événement Area One à Paris et je retrouve exactement le même plaisir. Elle est un cran au-dessus de la manette 360.

Concernant la connectique, on retrouvera sensiblement la même que sur la Xbox 360 à quelques ajouts prêts :

– Port d’alimentation

– Port HDMI Out

– Port S/PDIF

– 2 ports USB à l’arrière et un sur le coté

– Port pour le capteur Kinect

– Port pour un capteur infrarouge déporté

– Port RJ45

– Port HDMI IN

Xbox One : une connectique complète

Ce dernier port est la grande nouveauté, il permet de brancher un décodeur TV pour l’afficher et le piloter directement depuis la console. C’est pratique lorsque l’on veut tout au même endroit mais l’inconvénient c’est que pour regarder la TV, il faut impérativement allumer la console.

Pour 530€, on notera que le package est tout à fait correct et on est en présence d’un produit d’une grande qualité. J’aurais néanmoins beaucoup apprécié qu’il contienne les éléments suivant à la vue de son prix tout de même élevé :

– Un abonnement de 6 mois ou un an au Xbox Live en lieu et place de la période d’essai de 14 jours… C’est du contenu numérique et ça ne coûte rien en termes de production.

– Une manette avec une batterie rechargeable d’origine. Cela aurait permis d’entrée de jeu de s’affranchir des piles et d’éviter d’avoir à acheter un kit play and charge à 20€…

Le branchement des divers éléments est aisé et en 10 minutes, la console est prête à être mise sous tension.

 

Déballage

Microsoft a conservé le petit son de mise sous tension, la console démarre et elle commence par télécharger et installer la mise à jour promise par Microsoft. Avec la fibre, il faut environ un petit quart d’heure pour télécharger et installer le patch mais de nombreuses personnes disposant d’un accès ADSL à faible débit se sont plaintes de la durée de mise à jour…

Place à la configuration initiale avec les options habituelles et quelques innovations concernant le mode de fonctionnement de la Xbox One. En effet, afin de rendre les mises à jour du système transparentes et nous éviter un temps d’attente avant utilisation, Microsoft a eu la bonne idée de nous proposer de choisir le mode de fonctionnent de notre console en nous proposant 2 choix :

– Mode éco : démarrage plus lent avec interruption pour appliquer les mises à jour

– Mode instantané : Démarrage plus rapide, téléchargement et installation des mises à jour automatique

Le choix du deuxième mode est parfait pour ceux qui ne souhaitent jamais attendre mais risque d’alourdir (légèrement) la facture électrique, obligeant la console à rester sous tension en permanence.

Après quelques minutes passées à régler les options de la console, me voici enfin sur l’interface de démarrage… Au final, il m’aura fallu environ 45min du déballage à l’arrive sur le dashboard ce que je trouve plutôt rapide pour une mise en route initiale (merci la fibre…).

 

Prise en main

Lorsque l’on est habitué à l’interface de la 360, cette nouvelle interface basée sur celle de Windows 8 fraichement sorti est un peu déroutante.

Pour l’interface à proprement parler, je ne me fais pas trop de soucis. Je dirais qu’elle est encore en phase de développement, peu d’options pour la personnaliser à notre guise et certaines fonctionnalités sont encore manquantes. Mais il s’agit d’une partie entièrement logicielle qu’il est facile de faire évoluer lors de mises à jours futures, ce qu’a déjà commencé à faire Microsoft lors de son dernier patch.

A l’heure actuelle, il n’est pas possible de paramétrer dans les moindres détails les tuiles que l’on souhaite afficher ni d’affecter un code couleur personnel ou encore un fond d’écran. J’espère que ces possibilités de customisation nous seront offertes dans le futur afin que chacun puisse adapter SON profil à SA personnalité.

Je configure ensuite rapidement mon compte Xbox Live et on me propose de paramétrer Kinect.

 

Kinect, ce big brother

Le fameux Kinect, celui qui a fait couler tant d’encre et levé tant de boucliers… Big Brother is watching me ! (au même titre que Facebook, Google et cie…)

Xbox One : Kinect is watching you !

Trêve de plaisanterie, la caméra s’allume et me demande de me placer devant elle afin qu’elle puisse me reconnaitre. J’ai également droit à un petit cours accéléré concernant les différentes vocales permettant d’effectuer les tâches courantes telles qu’allumer ou éteindre la console, lancer une application, se rendre dans le magasin Xbox…

Parlons-en justement de cette reconnaissance vocale. Je vois beaucoup de tests « minute » (ceux publié 2h après le déballage de la console) qui vantent les méritent de Kinect et sa reconnaissance vocale.

Je ne suis pas de cet avis malheureusement. Trop souvent, j’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois avant que ma console ne daigne démarrer grâce à la commande qui lui est associée. En revanche, pour naviguer dans le dashboard, lancer un jeu ou même dans certains jeux, je dirais que cela fonctionne plutôt bien… Lorsqu’on prend la peine le bien prononcer chaque commande avec une voix calme et posée.

En revanche, dans les jeux, l’interaction vocale via Kinect est assez bluffant ! On peut invectiver les boss, attirer l’attention des ennemis, etc… Au début, je n’ai pas vraiment utilisé cette fonctionnalité car j’avais peur d’être ridicule à parler à ma TV, et puis je me suis pris au jeu. L’inconvénient de cette fonctionnalité se rencontre en revanche le soir, lorsque la maison dort, il est alors difficile de parler à voix haute…

Et pour mémoire : il n’est plus nécessaire d’avoir Kinect connecté à la console pour que celle ci fonctionne (cela fait partie des nombreux revirements parmi les décisions de Microsoft).

 

Mais Kinect ce n’est pas que cela.

Le capteur est également capable de reconnaitre les QRCode. Inutile me direz-vous ? Pas tant que ça… En effet, les cartes d’abonnements, les jeux ou contenus à télécharger vendus sur de petites cartes en cartons, disposent non seulement d’un code à 25 caractères que l’on peut entrer caractère par caractère sur le site ou le dashboard, mais également d’un QRCode. Ce code, une fois placé devant l’œil de la caméra, est lu, analysé et permet de lancer le téléchargement du contenu qui lui est associé. Simple, rapide, efficace !

Comme je le disais plus haut, le capteur est également capable de nous reconnaitre (aller arrêtez de flipper un peu… vous traversez la route tous les jours !) et dans ce domaine, je dois avouer qu’il est vraiment redoutable.

Reconnaissance initiale : en tee shirt sans lunette, sans barbe.

Première tentative : en sweat, sans lunette, sans barbe. Succès !

Deuxième tentative : en sweat, avec lunette, sans barbe. La console m’a demandé de confirmé que c’était bien moi. Elle m’a reconnu, mais a préféré me demander la confirmation. Pas mal !

Troisième tentative : en sweat, sans lunette, avec barbe. La console ne m’a pas reconnu et j’ai été obligé de lui indiquer que c’était moi.

Depuis, elle me reconnait sans problème, quelle que soit ma tenue, mon port de lunette ou la taille de ma barbe. On sent que la caméra Kinect 2.0 a un très gros potentiel, espérons juste que les développeurs en tirent parti dans leurs prochains titres.

 

Silence !

Alors que j’étais habitué à une 360 ayant tendance à souffler fort pour expulser l’air chaud (très chaud ?) et à faire vrombir régulièrement le lecteur de DVD pour ses accès en lecture lorsque l’on n’installe pas les jeux sur le disque dur, j’ai été plus que surpris d’être obligé de tendre l’oreille tout prêt de la console pour l’entendre ronronner.

Je me suis tout d’abord dis qu’étant sur le dashboard, il était normal qu’elle ne peine pas trop. Je passe donc mon QRCode Call of Duty Ghosts, patiente pendant le téléchargement et l’installation du jeu et c’est parti pour une petite tuerie !

A ma grande surprise, la console reste silencieuse. Même après quelques heures, elle ne bronche pas. Vraiment plaisant !

Niveau température, elle ne chauffe pas outre mesure. Le flux d’air doit être assez bien optimisé et l’air chaud est expulsé par la grille supérieur, celui-ci allant toujours vers le haut, l’emplacement de la grille et l’orientation du flux d’air est donc plutôt bien pensé (nombre de boitiers PC ne proposent toujours pas de grille en haut de leurs boitiers…).

Et le lecteur Blu-ray dans tout ça ? Lui aussi, il se révèle plutôt silencieux que ce soit lors de l’installation initiale d’un jeu ou lors d’une partie. N’ayant pas de disque Blu-ray à disposition, je n’ai malheureusement pas pu tester la lecture d’un film.

 

Une console multimédia

La possibilité de connecter le décodeur TV sur la console permet d’avoir la TV sur la console de jeu, concentrant tout sur un seul et même périphérique. L’ancrage TV ravira ceux qui veulent garder un œil sur la TV tout en jouant mais ne sera pas ou peu utilisé par les gros gamers qui au fond s’en fichent de la TV…

L’ancrage ne se limite pas qu’à la TV car il est également possible d’ancrer Skype et de poursuivre sa partie tout en tchatant vocalement avec un ami ou sa famille.

Skype est une composante importante dans le système de Microsoft. Racheté par la firme de Redmond, le logiciel de visioconférence tire parti de Kinect pour la partie audio et vidéo. Lors de discussions vidéo, le capteur de la caméra va suivre l’interlocuteur pour qu’il soit en permanence au centre de l’image. Si c’est un groupe de personnes qui est face à l’écran, Kinect est non seulement capable de s’adapter pour afficher l’ensemble du groupe, mais il fera également parfois le focus sur la personne ayant pris la parole.

La possibilité de connecter un décodeur TV et la présence de Skype par défaut sur la Xbox One lui confère déjà une bonne dimension multimédia mais Microsoft ne doit pas en rester là pour continuer de conquérir les foyers. Pour ma part, je n’utilise encore que très peu les fonctionnalités multimédia qui se résument à une session Skype de temps à autre.

 

Verdict

La Xbox One est un peu massive, au design réussi avec des accessoires ayant une finition excellente. Niveau performance, on sent qu’elle en a sous le capot mais que ce potentiel ne sera pas exploité pleinement dans l’immédiat. Kinect est assez précis, aussi bien pour la reconnaissance vocale que vidéo et dispose d’un potentiel que les développeurs devront plus exploiter dans le futur.

La dimension multimédia, déjà présente avec l’ancrage de la TV lors d’une partie est un plus qui devrait séduire les foyers qui ne cherchent pas qu’une console de jeu et sera d’autant plus renforcé à la fin de l’année lors de l’arrivée de Netflix en France.

Pour son prix, on aurait aimé avoir une manette incluant par défaut une batterie rechargeable, cela aurait évité des frais supplémentaires (environ 20€) pour un kit play & charge. Mais forcément, cela aurait fait moins de ventes d’accessoires pour Microsoft.

Tout ce qu’on attend maintenant, ce sont des jeux qui exploitent beaucoup plus les possibilités de la Xbox One et qui dévoileront pleinement son potentiel.

Si vous ne vous êtes encore décidé ni pour la Xbox One ni pour la PS4, patientez encore un peu, presque tous les jeux sortant sur la next gen sortent aussi sur l’ancienne génération, Xbox 360/PS3. Pour ma part, je suis satisfait de mon achat mais j’attends tout de même de vrais jeux next gen.

Sponsornot : Zéro collaboration

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Ayant récemment reçu un Samsung Galaxy Note 3 dans le cadre du programme Samsung Reporter, il fallait impérativement que je le protège afin de le garder en bon état. J’ai décidé de tester une coque au choix parmi le catalogue de Mobilefun.fr et mon choix s’est orienté vers une coque Spigen « Neo Hybrid ».

Dès ouverture du colis, on voit tout de suite qu’il s’agit d’un produit haut de gamme. Emballage ultra soigné en plastique rigide, son ouverture confirme la première impression avec la présence d’un certificat d’authenticité ! 

 Coque Galaxy Note 3 Spigen : Emballage

Le certificat ne sert pas à enregistrer le produit auprès du fabricant, seulement à vérifier que le produit que nous avons entre les mains n’est pas une contrefaçon :

 Coque Galaxy Note 3 Spigen : Certificat d'authenticité

La coque Spigen « Neo Hybrid » est livrée en 2 parties à assembler. La première partie est le contour, constitué de polycarbonate et décliné en différentes couleurs (Champagne, Rouge, Blanc, Metal, Jaune et Argent), il est assez rigide et protégera sans aucun doute le téléphone en cas de chute involontaire. La seconde partie, le dos, est en TPU, un élastomère thermoplastique de polyuréthane, un plastique souple moulé qui rend la coque insensible aux changement de température, l’empêchant ainsi de se déformer sous l’effet de la chaleur.

L’arrière de la coque est d’un noir mat, peu sensible aux traces de doigts ou aux rayures et très agréable au touché. Il confère au téléphone une touche classe et sobre tout en le protégeant efficacement.

La mise en place de la coque sur le smartphone est aisée, s’ajustant parfaitement au téléphone. Les boutons et les trous correspondant aux différents connecteurs sont bien positionnés et ne gênent en rien le branchement de l’alimentation secteur ou des écouteurs, ou encore la sortie du stylet. De plus, la finesse de la partie arrière de la coque Spigen, dégageant bien l’objectif du téléphone, ne risquera pas de créer d’ombre ou d’effet bizarroïde sur les photos prises.

Coque Galaxy Note 3 Spigen : Emplacement de la connectique

Après une semaine d’utilisation, je dois dire que je suis très content de mon choix de coque. Pour environ 25€, vous aurez une coque qui n’alourdit et n’agrandit pas trop un Galaxy Note 3 déjà imposant tout en le protégeant parfaitement. Ayant déjà recommandé le produit à une collègue de boulot, je ne peux qu’en faire de même avec vous !

Sponsornot : Gratuit

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