Découvert en cherchant de quoi m’occuper un soir devant un programme TV ennuyeux, je vais vous parler aujourd’hui de Dig!

Vous incarnez Douglas Chase, un chasseur de trésors qui creuse directement dans son jardin ! Vous l’aurez compris son activité est un peu à la dérive et il doit se reprendre en main car sans lui, le musée risque de fermer ses portes ! C’est là que vous entrez en piste…

En faisant glisser votre doigt sur l’écran, vous indiquerez à Douglas où il doit creuser à l’intérieur de son jardin. Une fois que vous l’avez fait creuser une ligne, joignant 2 points distincts du tour du jardin, la plus petite des 2 zones délimitées disparaît et laisse apparaître de fabuleux trésors.

Dig! : Ca creuse !

Les trésors collectés servent à compléter des pièces du musée (un T-Rex, une scène de débarquement, un chevalier…) et qui généreront des revenus chaque jours pour vous permettre d’acheter de nouvelles pièces à compléter ou bien des bonus. Vous récupérerez également des pièces d’or en creusant. 

Dig! : Des montagnes de trésors

Pour corser un peu l’affaire, vous devrez vous méfier de Nigel, la momie qui veut à tout prix vous arrêter dans votre quête ! Elle sera épaulée de gnome, de taupes, de blobs verts ou encore de diablotins et bien plus encore, qui vous pourriront l’existence et vous empêcherons par tous les moyens de creuser toujours plus profond.

J’ai découvert pour l’instant 4 strates de terrains différentes. Chaque strate de terrain est décomposée en 6 couches, avec un checkpoint toutes les 3 couches ce qui nous donne un total de 24 niveaux découverts (mais peut être il y en a t’il plus !).

Ce jeu est sacrément addictif ! On veut aller toujours plus profond pour trouver toujours plus de trésors et découvrir ce qui se cache en dessous de nous. Du coup, c’est devenu un de mes jeux du moment pendant mes trajets en métro ! La maniabilité est correcte, le principe on ne peut plus simple et les possibilités de bonus et le nombre de niveaux assez conséquents. Seule ombre au tableau : une difficulté totalement absente puisque j’ai quasiment achevé chaque niveau du premier coup donc pas vraiment de gros challenge.

Dig! : Sauvez le musée !

Ah j’ai failli oublier de vous parler du prix : elle est totalement gratuite, disponible sur Android et iOS pour smartphone et tablette.

Bon jeu à tous !

 

Lien Apple Store : https://itunes.apple.com/fr/app/dig!/id626192197

Lien Play Store : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.crescentmoongames.dig

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Voila maintenant quelques semaines que Magic 2014 est sorti sur Steam, soit quelques semaines avant que l’édition Core Set 2014 ne soit disponible. Cette nouvelle édition apporte son lot de nouveautés que je vous propose de découvrir dans cet article…

Magic numérique, j’y ai adhéré depuis la toute première version Steam/Xbox c’est à dire Magic : Duels of the Planeswalkers 2012. C’est donc avec une certaine impatience que j’attendais l’édition 2014 qui promettait de nombreuses nouveautés.

L’interface a été totalement repensée. Fini les écrans à faire défiler de gauche à droite pour afficher l’information qu’il nous faut, nous avons maintenant un vrai menu comme dans la majorité des jeux qui sortent aujourd’hui et déjà rien que ça c’est une bonne évolution. En effet, l’ancienne configuration du menu manquait réellement d’ergonomie et de praticité, nous faisant perdre du temps ne serait ce que pour quitter le jeu (du coup je jouais en mode fenêtré pour pouvoir cliquer sur la croix rouge…).

 

Le plateau de jeu n’a quant à lui pas vraiment évolué. Le design n’est que légèrement différent mais de nouvelles fonctionnalités ont fait leur apparition. Les développeurs ont en effet eu la bonne idée d’intégrer un bouton qui vous permet de déclarer toutes vos créatures comme attaquant d’un seul coup et ça c’est déjà une énorme évolution ! Pour rappel, dans la version 2013 du jeu, il fallait sélectionner chaque créature une par une lorsque vous souhaitiez attaquer. Peu dérangeant si vous jouiez un deck essentiellement basé sur les sorts, bien plus embêtant pour un deck basé sur la quantité de créature où sélectionner à chaque tour nos 23 créatures devenait rapidement pénible…

 

Les slivoïdes font leur grand retour dans le monde de Magic à ma grande joie. Ces petites créatures sont infernales, plus y’en a plus c’est incontrolable et surtout destructeur dans les rangs de l’ennemi. J’adore !

Au niveau des modes de jeu, outre le mode duel personnalisé, nous retrouvons toujours une campagne solo composée de 20 duels divisés en 5 chapitres avec 6 duels contre des Planeswalkers en bonus, d’un mode défi proposant 5 défis standards et 5 défis avancés ainsi que d’un mode Vengeance où l’on ré-affronte l’ensemble des Planeswalkers rencontrés lors de la campagne mais cet fois-ci dotés de decks boostés. Pas de grosse nouveauté donc me direz vous… Et bien si ! Je gardais le meilleur pour la fin.

     

 

Aujourd’hui, dans toutes les salles de jeu, le mode paquet scellé est très présent lors des tournois et c’est pourquoi l’éditeur a décidé de l’intégrer au jeu ! Le principe est simple : vous disposez de 6 boosters à ouvrir. Avec les cartes que vous aurez découvert dans ces boosters, il vous faudra créer un deck de 40 cartes minimum (terrains compris) et ensuite vous devrez affronter les différents adversaires proposés par le jeu.

     

Certaines victoires vous permettront de remporter de nouveaux boosters afin éventuellement d’étoffer votre deck. La grosse ombre au tableau : vous ne disposez que de 2 slots pour decks scellés ce qui est très peu. En revanche, pour quelques euros, vous pourrez en débloquer jusqu’à 20. Certes le jeu n’est qu’à 10€ sur Steam mais si vous choisissez d’acheter la totalité des slots supplémentaires, il faudra tout de même compter pas moins de 33€ supplémentaires (soit plus de 3 fois le prix du jeu !). Quand on aime on ne compte pas, mais du coup l’addition a quand même un peu de mal à passer.

 

Il est à noter que nous avons perdu le mode Planechase qui était plutôt divertissant dans l’édition 2013. C’était surement le prix à payer pour avoir le mode scellé…

Côté multijoueur on retrouve le mode Free For All, le Troll à 2 têtes ainsi que le mode scellé. Pas de grosse évolution si ce n’est qu’en jouant en mode scellé, vous pourrez affronter des adversaires qui ne connaîtront pas du tout la composition potentielle de votre deck (l’inverse est également vrai)…

Et la difficulté dans tout ça ? J’ai été assez déçu par la difficulté. J’ai résolu la totalité des défis du premier coup (a un ou 2 près), les modes campagne et vengeance m’ont paru être une simple formalité mais le mode scellé s’est révélé être une bonne surprise. Il faut faire preuve de technique, de réflexion, ne pas hésiter à ajuster son deck avec de nouvelles cartes ou en réglant le nombre de terrains, un vrai plus ! La durée de vie de la partie solo est comme dans la plupart des jeux actuels, très courte mais très largement compensée par le nombre d’heures que vous passerez à affronter d’autres joueurs sur le net.

Cerise sur le gâteau, jusqu’à présent Magic n’était disponible que sur Steam, Xbox 360 et Playstation 3. Il est aujourd’hui également disponible sur tablettes fonctionnant sous Android et iOS et propose l’intégralité du jeu excepté le mode multijoueur, parfait pour les nomades où les passionnés de Magic qui n’ont pas de PC ! (les screenshots sont en bas de cet article !)

 

Pour plus d’informations :

Steam : http://store.steampowered.com/app/213850/

Xbox Live : http://marketplace.xbox.com/Magic-2014-Duels-of-the-Planeswalkers/

PSN : https://store.sonyentertainmentnetwork.com/magic-2014

Android : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.stainlessgames.D14

iOS : https://itunes.apple.com/us/app/magic-2014

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Le célèbre chasseur de démons reprend du service sur Steam, ou presque. Fan du film et de toutes ces créatures, j’ai vite acheté le jeu afin de voir ce qu’il avait dans le ventre et je n’ai pas été déçu…

En effet, passé les quelques minutes à attribuer les contrôles à mon clavier, je lance une partie et en avant ! L’aventure vous permet d’incarner Van Helsing, fils du célèbre chasseur de démon Abraham Van Helsing, accompagné de Katarina, un fantôme qui vous assiste dans votre tâche. Votre mission est simple : venir en aide à Borgova, capitale du pays imaginaire de Borgovie et éradiquant des hordes de démons assoiffés d’âmes humaines…


Synopsis du jeu (source Steam) : Enfilez votre chapeau large, prenez vos armes et embarquez dans une incroyable aventure qui vous mènera à Borgovia, un monde obscur où des scientifiques fous menacent de briser le fragile équilibre séparant monstres et mortels. Incarnez Van Helsing, un extraordinaire chasseur de monstres et sauvez la situation en compagnie de la sublime et charmante Lady Katarina (qui s’avère être un fantôme). Explorez la nature sauvage dans les montagnes et arpentez les quartiers aux maisons en briques maculées de suie d’une métropole sinistre tourmentée par les excès de la science. Et n’oubliez pas : vous ne saurez probablement jamais qui sont les vrais monstres !

Le jeu est un Hack ‘n Slash, un bon gros Diablo-like qui tâche et qui ne se cache pas vraiment de s’être inspiré de son grand frêre. Remplacez Tristram par Borgova, les démons par d’autres démons (quoi que certains sont hyper ressemblant), le héros par Van Helsing et hop vous obtenez The incredible adventures of Van Helsing !

Les décors sont très réussis, encore perfectibles comparés au titre de Blizzard mais c’est déjà très beau et varié. L’univers gothique steampunk est un excellent choix pour ces décors. Rien que pendant les premières minutes de jeu, j’ai trouvé que le fil de l’aventure était un peu plus fourni que celui de Diablo 3, beaucoup moins linéaire avec régulièrement de petites missions annexes qui viennent pimenter notre routine d’aventurier.

 

Les dialogues sont assez fournis pour alimenter la trame de l’aventure et rendre la progression intéressante, la puissance des créatures est équilibrée et leur densité dans les niveaux est juste comme il faut, ni trop ni trop peu ce qui nous évite d’être débordés ou de s’ennuyer lors de nos pérégrinations. Au fur et à mesure que vous pourfendrez des hordes de monstres, vous accumulerez de l’expérience et des niveaux, débloquant ainsi des points de talents pour améliorer vos compétences à l’épée ou à l’arme à feu. Ces 2 compétences seront vos principales armes pour combattre et couplés avec de la magie, les combats sont rythmés et il faudra faire attention à la manière dont vous gérerez vos quantités de ressources magiques pour ne pas tomber à court pendant que vous combattrez les montres.

 

Vidéo bonus : Le gameplay du jeu

http://www.youtube.com/watch?v=5ub0F0AnD7w 

En tant que grand fan des jeu du géant Blizzard, j’ai tout de même été bluffé par la qualité de ce jeu qui se veut être une alternative à Diablo 3 et qui devrait arriver à percer grâce à son coût relativement peu élevé, car oui, cerise sur le gâteau, The incredible adventures of Van Helsing est proposé à seulement 15€ sur Steam

Pour plus d’informations : http://store.steampowered.com/app/215530/

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Déjà fan des westerns spaghetti tels que « Il était une fois dans l’Ouest » ou encore « Le Bon, la Brute et le Truand », la sortie du nouveau titre d’Ubisoft, développé par Techland, ne pouvait qu’exciter ma curiosité…

Pourtant, mon passif est lourd avec la licence Call of Juarez puisque avec le premier titre de la franchise, j’ai eu une déception immense (fini en 3h, plat, sans intérêt). D’un autre côté, je suis également très nostalgique du jeu Outlaws, qui pour l’époque était une réelle révolution.

 

Je n’ai donc pas hésité bien longtemps avant de pré-commander Gunslinger qui m’a très agréablement surpris…

1) Le mode Histoire :

Dans le mode Histoire de Call of Juarez Gunslinger, vous incarnez Silas Greaves, chasseur de primes à ses heures perdues, qui narre ses exploits au saloon du coin à qui veut bien l’écouter. C’est là que nous entrons en piste ! En effet, les histoires que Silas raconte, nous allons les jouer. On y découvre comment il a aidé Billy The Kid, tué Johnny Ringo ou encore Henry Plummer, vidé la moitié du mexique de ses hors la loi, etc…

 

Les graphismes basés sur du cel shading, un peu à la Borderland, donnent une touche légèrement vintage au jeu ce qui de mon point de vue est un réel bonus. Les décors sont réussis, de la vieille mine au saloon en passant par le canyon infesté d’indiens, il y en a pour tous les goûts.


La narration est plutôt bien foutue, en anglais sous titrée en français et la voix du personnage principale fait pas mal badass (même si parfois on a l’impression qu’il en rajoute des tonnes). Certains passages sont des flashback, des choses qui auraient pu se passer si on avait pris tel ou tel chemin ce qui donne un peu plus de relief à l’histoire (le fameux « et si… »). Les cinématiques qui ponctuent l’aventure sont d’un style bande dessinée que j’aime particulièrement, un peu dans l’esprit des comics…


Coté gameplay, là encore il y en a pour tous les style de jeu. Le gros bourrin qui fonce au corps à corps avec son fusil à canon scié ou le mec prudent qui joue les snipers avec sa Winchester ne vous plaisent pas ? Tester le mode double revolver en mode akimbo et faites pleuvoir les balles sur vos ennemis. J’ai néanmoins un petit faible pour la dynamite histoire de nettoyer un bon coup… Jouissif ! Un coup dur ? Une fois la jauge remplie, vous pourrez esquiver une balle qui vous aurait été fatale en temps normal. Vous disposerez également d’un bullet time à la Max Payne qui vous permettra de faire un grand coup de ménage parmi les lignes ennemies… Bref, c’est varié !


Pour rester à fond dans l’ambiance western, on aura régulièrement le droit à des duels, assez difficiles à gérer puisqu’il faut garder un oeil à gauche et un à droite de l’écran pour pouvoir avoir une chance de vaincre son adversaire.

 

L’aventure de Call of Juarez Gunslinger est toutefois assez linéaire. On essaie de nous vendre un faux monde ouvert, comprenez par là que pour aller à un même endroit, vous aurez parfois 2 à 3 chemins différents pour varier un peu les plaisirs. On est très loin d’un monde comme celui de Red Dead Redemption mais l’ambition du jeu n’est pas du tout la même ! Si vous voulez allonger la durée de vie et par la même occasion en apprendre plus sur les personnages dont parle Silas lors de ses récits, vous vous acharnerez à collecter les différentes pépites disséminées ça et là au travers des niveaux de la campagne pour reconstituer la « Mémoire » (ça vous rappelle pas Assassin’s Creed ça ?).

 

Voyons maintenant le deuxième mode de jeu…

 

2) Le mode Arcade :

Le mode arcade de Call of Juarez Gunslinger est une succession de niveaux aux décors différents, dans lesquels l’objectif est de dessouder le plus rapidement possible tous les hors la loi du niveau. Pour faire grimper le score, il faudra faire un maximum d’enchaînements pour augmenter le multiplicateur de points !

 

Pour parvenir à vos fins, vous aurez le choix entre 3 types d’équipements qui influeront directement sur le style de jeu pendant le niveau. Tous les points récoltés dans les niveaux s’additionnent au compteur de l’équipement utilisé pour remplir les différentes missions et atteindre les différents paliers vous permettra de débloquer de nouvelles compétences.

 

Pour obtenir des scores potables, il faudra donc foncer et farmer la dizaine de niveaux à disposition si vous voulez devenir une légende de l’Ouest !

 

3) Le mode Duel :

Son nom parle de lui même. L’objectif est d’enchainer les duels contre des terreurs du Far West à la prime de plus en plus élevée afin de d’augmenter son score. Bien sûr, à chaque nouvel adversaire, la difficulté augmente et cela devient vite compliqué de réussir à descendre son adversaire. Petite précision de taille : vous êtes limité à 5 vies, une fois ces 5 tentatives consumées, vous devrez repartir de 0. Bonne chance !

 

4) Conclusion :

Vendu une quinzaine d’euros sur Steam, Call of Juarez Gunslinger vous plongera dans l’ambiance de la conquête de l’Ouest avec ses fusillades, saloons et bâtons de dynamite. L’esprit badass et déjanté comme dans les films de Tarantino et bande dessiné suffisent à gommer les quelques petites lacunes dont souffre le titre, et on en oublie les graphismes un peu léger et le scénario quelque peu linéaire. Mais pour ce prix là, on peut pas trop se plaindre !

Plus d’informations ici : http://store.steampowered.com/app/204450/

 

BONUS Vidéo du gameplay :

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Bonjour à toutes et à tous, le jour que l’on attendait tant est enfin arrivé ! Lara Croft est (enfin) de retour pour un reboot de la saga, mais est il à la hauteur de nos attentes ? Voici mon test et point de vue !

Il y a près de 2 ans (oui oui c’était en Juin 2011) sortait le trailer de Tomb Raider, annonçant un reboot de la saga où nous allions découvrir les origines de Lara Croft :

Synopsys :

Tomb Raider part à la découverte des origines de Lara Croft : comment cette jeune femme peu sûre d’elle a-t-elle bien pu devenir la combattante que l’on sait ? Avec pour seules armes son instinct et sa capacité à repousser les limites de son endurance, Lara va devoir se battre pour déjouer les sombres mystères d’une île oubliée et échapper à son emprise.

Test :

L’ayant pré-commandé sur Steam, je me suis empressé de l’installer hier sur mon SSD afin de pouvoir tester ce qu’il avait dans le ventre. Tout d’abord, il faut savoir que l’installation représente environ 12Go d’espace sur le disque et qu’il vous faudra une machine relativement musclée pour faire tourner le jeu dans de bonnes conditions. Voici quelques indications concernant les réglages et la vitesse d’affichage dans mon cas, tous les tests ont été réalisés avec l’outil intégré au jeu. 

Tout d’abord voici ma configuration : 

Processeur : Intel Core i7 2600k @ 3.4GHz

Mémoire vive : 16Go DDR3

Carte Graphique : Asus Radeon HD5870

SSD : OCZ Agility 4 256Go

Il faut savoir que le jeu propose 5 pré-réglages + 1 mode personnalisé pour les paramètres d’affichages. Voici les valeurs obtenues dans chaque pré-réglage (excepté le « bas ») :

  FPS Mini FPS Maxi FPS Moyen
Normal 54.4 60.3 59.9
Elevé 38.8 60.3 55.8
Ultra 1.6 40.9 34.5
Ultime 1.0 28.2 20.3

Le FPS chute légèrement entre Normal et Elevé alors qu’il se prend une grosse claque de Elevé à Ultra. On cherchera donc à avoir une configuration matérielle beaucoup plus violente que la mienne (mais bon juste pour jouer à un jeu c’est un peu onéreux) soit on utilisera le réglage personnalisé pour conserver de la fluidité sans pour autant détruire totalement les graphismes… Ingame, les graphismes et les environnements sont tout simplement sublimes, les jeux d’ombres et de lumières sont correctement dosés même si la météo m’a parfois fait penser à une scène de fin du monde, mais ça reste dans le thème (je vous laisse découvrir quelques screenshots en bas de l’article).

Bon, passé les quelques minutes à peaufiner les réglages graphiques, j’attaque la partie configuration des touches. Bonne surprise, les développeurs ont pris le parti de limiter le nombre de touches nécessaires, une douzaine environ pour le mode solo et un peu plus pour le mode multijoueur, tout est à porté de main et ne pose aucun problème de jouabilité. Ceux qui sont psycho du clavier-souris (pourquoi vous jouez sur PC ? ^^’) peuvent se réjouir puisque les manettes sont compatibles avec le jeu. Le petit plus : on peut alterner Clavier / Manette en cours de partie sans avoir à toucher aux configurations (les 2 sont actifs en même temps) ce qui permet de changer de contrôleur suivant les différentes phases de jeu.

La cinématique de début de partie correspond en fait au trailer. Progressivement, le jeu nous donne le contrôle de Lara et nous initie aux différents contrôles et mouvement dans un didacticiel bien lien de ce qui se fait ailleurs. C’est tout en finesse et parfaitement inclus dans le scénario de départ. Idem pour les nouveaux mouvements ou nouvelles techniques débloqués au fil de l’aventure, à chaque étape nous avons le droit à une très brève initiation la encore bien intégrée. Très plaisant, la jouabilité demande une petite adaptation mais ensuite c’est que du bonheur. Les mouvements sont fluides et Lara réagit bien lorsqu’on agite le clavier ou la manette. Du côté des mouvements, sauter, marcher, courir, glisser, grimper… C’est diverse et varié et vous permettra d’explorer les ruines, carcasses de bateaux ou d’avions, bunkers, etc… sans encombre.

Au fur et à mesure que l’on progresse dans l’aventure, on récupère des matériaux, de l’expérience, etc… L’expérience permet de passer des niveaux et à chaque niveau, un point de compétence nous est attribué, prêt à être dépensé dans votre arbre de talent qui se divise en plusieurs catégories telles que Survivant, Chasseur ou Castagneur, chacun nous permettant de déverrouiller de nouvelles capacités. Les matériaux eux nous permettent d’améliorer les armes à notre disposition afin d’augmenter leur puissance, précision ou leur solidité. Afin de profiter de nouveaux points de talents et pour améliorer notre arsenal, il faudra découvrir un feu de camp. Chaque feu de camp permet également un voyage rapide vers n’importe quel autre feu de camp déjà découvert, impeccable pour explorer des lieux où nous sommes déjà passé pour découvrir les nombreux objets cachés.

En effet, Lara, comme toute bonne archéologue qui se respecte, cherche en permanence de nouvelles reliques. Les ruines et objets cachés disséminés un peu partout dans le jeu sont donc fréquents, plus ou moins bien cachés. Des défis sont également au rendez vous, donnant quelques objectifs secondaires assez sympa et plus ou moins difficiles à réaliser suivant le lieu où l’on se trouve. Bien sûr de nombreux ennemis (loups, humains, etc…) se dresserons sur notre chemin. Il faudra les combattre grâce à de nombreuses armes allant du pistolet à la mitrailleuse, de l’arc au piolet sans oublier les grenades. Le système de visée est plutôt bien fait, je craignais un peu l’utilisation de l’arc et des flèches mais finalement cela reste mon arme préférée : efficacité et discrétion !

Et le scénario dans tout ça ? Et bien après quelques heures de jeu passées à explorer les moindres recoins des zones où je suis passé, j’avoue ne pas avoir vu grand chose du scénario. Notre bateau a fait naufrage sur une île perdue, nous ne sommes pas les seuls sur l’île, nous devons envoyer un signal de détresse pour que l’on vienne nous secourir mais en même temps explorer les ruines. Vous l’aurez compris, c’est un scénario pour le moment « basique » qui se démarque des autres scénarios du même type grâce à une progression scénarisée. Au fur et à mesure que l’on avance dans l’aventure, des petites cinématiques ponctuent notre progression pour nous apporter des transitions ou des informations supplémentaires. Les différents journaux que nous trouveront lors de notre progression nous donnerons également plus d’indications sur ce qui se passe sur l’ile et sur les réelles personnalités de chacun des protagonistes.

Le dernier point que je souhaitais aborder dans ce test : le multijoueur. Je ne m’y suis pour le moment pas trop attardé, juste le temps de faire 2 maps (6 manches au total) histoire de voir en gros à quoi m’attendre. Peut être que je n’ai pas eu de chance ou alors est ce pour l’instant le seul mode disponible, je n’ai eu droit qu’à un scénario de type capture de drapeau. 2 équipes s’affrontent, l’une doit ramasser une trousse de médicaments et la ramener dans son camp et l’autre doit les en empêcher. Basique mais efficace, les maps sont grandes, en ruines et regorgent de cachettes. Espérons que d’autres modes de jeu sont prévus.

En conclusion, je dirais que ce reboot de la saga Tomb Raider est une parfaite réussite puisqu’il a réussi à me réconcilier avec la franchise. Les graphismes sont juste magnifiques, le scénario bien que « standard » est assez complet et dispose de nombreux objectifs secondaires. Le titre devrait autant plaire à ceux comme moi qui aiment explorer à fond comme à ceux qui préfèrent tailler dans le vif et foncer vers l’objectif final. Faites vous plaisir, c’est un excellent titre !

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

A l’époque de l’année où sortent tous les gros blockbusters (Assassin’s Creed 3, Call of Duty : Black Ops II, FarCry 3, Hitman Absolution…), si vous êtes fan des excursions aux 4 coins du monde, des explosions et que votre budget est déjà salement entamé par toute cette orgie vidéo-ludique, Renegade Ops devrait vous convenir à merveille !

Suivez le guide…

Synopsis :

Inferno, un dictateur fou, se met à répandre la mort et la destruction dans le monde entier. Mais pour la communauté internationale, il est encore question de négociations et de palabres interminables. C’en est trop pour le général Bryant (le vieux briscard connait bien le tyran et ce dont il est capable) qui décide de prendre les choses en main, à sa manière, en faisant appel à des mercenaires, des soldats de l’ombre qui lui sont restés fidèles au fil des campagnes : les fameux Renegades Ops. 

Au programme :

– Explosions en tout genre

– Un méchant aussi coriace que le ténia

– Des ennemis à profusion

– Encore des explosions

– Un arsenal méchamment musclé

– Des paysages des 4 coins du monde

– Je vous ai dis qu’il y avait des explosions ?

Maintenant que les présentations sont faites, passons au test !

 

1) Graphismes :

L’interface générale du jeu fait penser à celle de Crackdown sur Xbox 360. Assez simple, claire, lisible, on sait tout de suite où il faut aller pour modifier les paramètres ou lancer une partie. Le choix de la campagne ainsi que celle du personnage que l’on souhaite incarner est propre, dans l’esprit bande dessinée tout comme les cinématiques du jeu qui mèlent à la fois images figées et cinématiques le tout toujours dans un style bande dessinée esthétique. Voyons maintenant ce que donne le gameplay. Le moteur graphique utilisé est celui de Just Cause 2, légèrement adapté pour convenir à une vue du dessus.

 

2) Gameplay :

Coté gameplay il faut le dire, le jeu est un bon défouloir. De base, le jeu propose de choisir entre 4 personnages différents, possédant chacun un véhicule aux capacités particulières. On peut tout faire ou presque au volant de notre petite voiture et ca c’est vraiment cool. La vue du dessus, qui m’a grandement rappelé celle de Micro Machine v3 sur PS1 (on a d’ailleurs l’impression que l’on en pilote une !), est au début un peu déroutante mais on s’y fait rapidement.

Peu de temps mort dans le mode campagne, notre « boss » nous solicite en quasi permanence pour nous donner des objectifs à remplir dans les plus brefs délais sous peine de voir s’afficher le compte à rebour. Notre véhicule est customisable pendant les missions en ramassant des caisses bonus qui amélioreront notre arsenal et notre pouvoir de destruction. Les objectifs de missions et l’ensemble des dégâts effectués pendant chaque mission vous rapportent de l’expérience indispensable pour monter en niveaux et développer votre arbre de talents.

En plus du mode solo, un mode multijoueur jusqu’à 4 joueurs vous permet de vous mesurer, via un classement en ligne, à tous les autres joueurs de Renegade Ops. Vous pourrez également réaliser la campagne en coopération avec un ami en écran partagé !

 

3) Maniabilité :

Je n’ai pas du tout testé les contrôles au clavier et suis passé immédiatement à la case manette XBox (comme recommandé pendant un écran de chargement). Pas énormément de boutons à mémoriser (A / LT / RT / les deux sticks) donc une prise en main assez rapide. La maniabilité à la manette est fastidieuse au début. Difficile d’éviter les sorties de routes ou d’être précis dans les tirs vu que tout se passe au stick analogique ! Il ne faut pas s’attendre donc à être d’une précision à couper le souffle et de toute façon le but est clairement d’arroser les lignes ennemies avec tout l’arsenal mis à notre disposition. La petite difficulté de maniabilité s’estompe au fil du temps de jeu à mesure que l’on s’y habitue.

 

4) Conclusion :

On nous demande de sauver des villageois d’une mort certaine au nord, d’exploser des infrastructures à l’est, de récupérer des cartes d’accès au sud qui vont nous permettre d’aller se mesurer au méchant qui est à l’ouest. N’ayant pour l’instant bouclé que les 5 premiers chapitres de la campagne Inferno (je n’ai pas acheté les DLC), je ne saurais dire si c’est encore et toujours la même chose tout au long du jeu. Quoi qu’il en soit, si vous comptez y jouer à haute dose, vous risquez comme moi d’être rapidement pris de lassitude donc je vous conseille vivement de faire un petit chapitre de temps en temps histoire de vous défouler 😉 Malgré une prise en main un peu délicate au départ et une histoire assez répétitive sur le long terme, Renegade Ops avec ses graphismes équivalent à ceux de Just Cause 2, pour son prix, n’en reste pas moins un bon défouloir pour tous les amateurs d’explosions en tout genre.

Prix sur Steam : 12,99€

DLC Coldstrike Campaign : 3,49€

DLC Reinforcement Pack : 2,99€

 

5) BONUS !

Une petite vidéo couvrant l’intégralité d’une mission (environ 7 minutes de jeu) afin que vous puissiez vous rendre compte par vous même de ce qu’est Renegade Ops ! 

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Bonjour à tous,

je vous présente aujourd’hui le test de l’édition numérique 2013 de l’excellent jeu de cartes à collectionner : Magic the Gathering.

Pour ceux qui découvrent pour la première la version jeu vidéo du jeu de cartes Magic The Gathering, sachez que cette version 2013 est en fait le deuxième opus sortie sur Steam. En effet, Wizards of the Coast, l’éditeur de MTG, avait déjà sortie en juin 2011 la version 2012 de son jeu, toujours disponible sur Steam pour la modique somme de 19,99 € (le Magic 2012 : Gold Game Bundle qui vous permet d’accéder à Magic 2012, son extension et les 3 packs de decks supplémentaires). 

Passons maintenant au test de l’édition 2013 du jeu, qui réserve son lot de surprises et de nouveautés !

Au niveau de l’interface de la page d’accueil, rien de changé ou presque, l’organisation reste la même pour le menu principal avec des graphismes d’une meilleure qualité. Petit ajout néanmoins, la page « statut joueur ». Vous y trouverez vos statistiques de jeu, le temps joué pour chaque couleur de mana, votre classement parmi tous les joueurs de MTG2013, le choix de l’avatar, vos succès et les déverrouillages promotionnels auxquels vous avez accès. Niveau statistiques, vous pourrez connaitre le plus grand nombre de blessures infligées en un tour, votre total de points de vie le plus élevé, votre plus grand nombre de créatures controlées et pour terminer la créature controlée avec la force la plus élevée. C’est assez léger et Magic 2013 aurait gagné en intérêt pour les joueurs confirmés en fournissant des statistiques un peu plus détaillées.

 {rokbox}ressources/mtg-dotp/dotp-statutjoueur.jpg{/rokbox}

L’interface de campagne a été quant à elle totalement repensée. Exit le mode Archenemy et place au mode Planechase ! Pour rappel, le mode Archenemy permettait de jouer à 3 (vous + 2 IA) contre une IA possédant des cartes bonus qui lui conférait un avantage non négligeable. Le mode Planechase en est inspiré par l’utilisation de ce type de cartes bonus. En revanche, fini le 3 vs 1 ! Nous avons toujours nos 4 joueurs mais ils doivent cette fois ci combattre chacun pour soi, tout en pouvant profiter de la carte bonus qui est en jeu. Cette carte reste en jeu et n’est changée lorsque le dé tombe sur le symbole adéquat. Ce type de jeu est excellent puisqu’il ne faudra plus compter sur la seule puissance de son deck pour remporter la partie, mais également sur les bonus de la carte Planechase qui avantagera certains jeux plus que d’autres, promettant ainsi des retournements de situations inattendus ! Le gros point négatif détecté sur un certains nombre de parties : l’IA a une fâcheuse tendance à se liguer contre nous ce qui rend chaque match très difficile.

{rokbox}ressources/mtg-dotp/dotp-planechase2013.jpg{/rokbox} {rokbox}ressources/mtg-dotp/dotp-planechase2013-carte.jpg{/rokbox}

 

Les défis ont eux une page bien à eux dans la campagne. Supprimés de la progression « normale », ils sont maintenant disponibles sur la page « Défis » du mode campagne, avec une difficulté plutôt élevée à ce que j’ai pu voir. Quelques heures de casse-tête en perspective !

{rokbox}ressources/mtg-dotp/dotp-defis2013.jpg{/rokbox}

La campagne a été retravaillée et elle nous permet d’en connaitre un peu plus sur l’univers de créé par Wizards of the Coast. Elle s’articule en chapitres vous explorerez des plans bien particuliers de l’univers de Magic tels que Ravnica, Innistrad ou Alara, chaque chapitre étant conclu par un combat contre un grand Planeswalker comme Garruk, Ajani ou encore Jace. Les combats sont équilibrés mais sans grande difficulté malheureusement, tout comme les conditions nécessaires pour débloquer la majorité des succès du jeu. Un peu de challenge n’aurait gâché en rien l’intérêt du jeu ! Coté durée de vie, il faut compter une dizaine d’heures en jouant normalement pour une personne qui connait déjà Magic et ses mécanismes, on peut donc grandement allonger cette durée pour un novice qui découvre le jeu pour la première fois.

Interface de campagne 2012 avec défis intégrés Interface de campagne 2013 sans défis intégrés
{rokbox}ressources/mtg-dotp/dotp-campagne2012.jpg{/rokbox} {rokbox}ressources/mtg-dotp/dotp-campagne2013.jpg{/rokbox}

 

Le mode multijoueurs est également au rendez-vous et vous donnera l’occasion de vous frotter à votre liste d’amis ou à de parfaits inconnus dans les modes de jeu Free-for-All (chacun pour soi 2 à 4 joueurs), Troll à 2 têtes (2 vs 2) ou bien encore Planechase (chacun pour soi avec les cartes et le dé planaire), de quoi augmenter considérablement la durée de vie et l’intérêt du jeu ! Il faudra en effet retravailler chacun de ses decks grâce au gestionnaire de decks pour optimiser son jeu et avoir le maximum de chance de l’emporter sur l’adversaire !

Concernant l’aspect pécunier du test, vous pourrez trouver Magic The Gathering : Duels of the Planeswalkers 2013 sur Steam pour la modique somme de 8,99 € ce qui est tout à fait raisonnable quand on connait la durée de vie d’un tel jeu.

Je recommande donc vivement ce titre pour sa modique somme, sa durée de vie correcte et pour les bons moments qu’il vous fera passer si vous ne partez pas en vacances cet été !

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Il y a quelques temps, parmi les offres Steam, j’ai découvert ce petit jeu des Studios Amanita Design (Machinarium) : Botanicula. Véritable petit bijou du jeu indépendant, il retrace les aventures végétales de 5 amis bien décidés à sauver le dernier germe de leur arbre, envahi par les parasites…

Botanicula est un jeu d’aventure et d’exploration en point & click. Le joueur guide les cinq personnages conjointement à travers une multitude de décors, dans lesquels il interagit avec l’environnement et les protagonistes qui y vivent. Un inventaire permet de collecter des objets pour les réutiliser ensuite. Au cours des rencontres avec les différents personnages ainsi qu’avec les espèces animales et végétales de l’arbre, des cartes s’ajoutent à la collection du joueur.

Glané sur Steam lors d’une de leurs offres spéciales (-10%), Botanicula a attiré mon attention avec ses graphismes léchés et épurés et un trailer sympathique.

Un paiement Paypal et un téléchargement plus tard, je lance le jeu… Surprise ! C’est un jeu tout en flash 🙂

Pas de fioritures, l’interface est conforme aux screenshots disponibles sur Steam, sobre avec une musique relaxante, parfait pour finir une soirée avant d’aller dormir. Je lance une nouvelle partie avec une certaine appréhension en ce qui concerne le mode de jeu : le point & click…

Dès les premières minutes, la magie opère et nous plonge dans l’univers végétal des 5 héros que nous dirigeons. Pas de séquences vidéo à rallonge, elles servent uniquement de transition entre chaque « niveau ».  Les actions sont suffisament nombreuses sur chaque écran pour nous occuper quelques minutes mais pas suffisamment pour nous lasser, un dosage quasi parfait qui nous fait rapidement adhérer au point & click ! De plus, la difficulté des différentes énigmes et casses-tête est équilibrée et permettra à tous les ages et tous les types de joueurs d’y trouver leur compte et provoquera même l’apparition d’un tunnel spatio-temporel qui transformera 1h en 5min !

La bande son est également d’une qualité rare et n’a strictement rien à envier à des super-productions à (très) gros budgets, composée de musiques douces et relaxantes mais qui collent parfaitement à l’action affichée à l’écran, ce qui est valable pour la musique ainsi que pour les bruitages

 

Un petit trailer :

{rokbox thumb=|ressources/thumb_youtube/botanicula-youtube.jpg|}http://www.youtube.com/watch?v=wiJV7z7bytI{/rokbox}

 

Et quelques screenshots :

{rokbox}ressources/botanicula/botanicula1.jpg{/rokbox} {rokbox}ressources/botanicula/botanicula2.jpg{/rokbox}
{rokbox}ressources/botanicula/botanicula3.jpg{/rokbox} {rokbox}ressources/botanicula/botanicula4.jpg{/rokbox}
{rokbox}ressources/botanicula/botanicula5.jpg{/rokbox} {rokbox}ressources/botanicula/botanicula6.jpg{/rokbox}

 

Bref… N’attendez plus ! Foncez !

Botanicula sur Steam

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More