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Après l’immense succès du 7e épisode de la saga au cinéma, une adaptation en jeux vidéo était inévitable et comme j’ai toujours aimé les LEGO et Star Wars, j’ai le plaisir de vous donner aujourd’hui mon avis sur LEGO Star Wars : le Réveil de la Force (oui oui… j’ai pris mon temps pour l’écrire !).

1. Synopsys

Warner revient en force avec un nouvel épisode de LEGO. Cette fois, le jeu vous fait voyager dans l’univers Star Wars, basé sur le dernier film de la saga. Incarnez Rey, Finn, Poe, BB-8, Kylo Ren, Han Solo et d’autres personnages du film ! Revivez les événements du film, toujours racontés avec l’humour propre à l’univers LEGO.

2. La Force est grande dans ce jeu

A l’instar des autres jeux de la collection LEGO, LEGO Star Wars : le Réveil de la Force suit quasiment pas à pas la chronologie du film en incluant ça et là des bribes d’histoire inédites permettant de faire le lien entre les épisodes 6 et 7. Le jeu commence donc avec une cinématique d’introduction résumant de la fin du film Le Retour du Jedi avec la bataille d’Endor et la destruction de l’étoile de la Mort, nous propulsant ainsi en plein milieu de la forêt et des ewoks pour combattre les troupes impériales. Ce prologue permet d’aborder le Réveil de la Force sur des bases solides et sert logiquement de didacticiel à qui n’aurait jamais mis la main sur un autre jeu LEGO. S’enchainent ensuite les scène du film, à la sauce LEGO.

Star Wars : le Réveil de la Force

On retrouvera ainsi les héros du Réveil de la Force comme BB-8, Rey, Kylo Ren ou encore Poe Dameron, mais également ceux de la trilogie originale comme Han Solo, Chewbacca, Amiral Ackbar et j’en passe. Au total, vous aurez la possibilité de débloquer et donc d’incarner plus de 200 personnages à travers les 18 niveaux qui composent le jeu.

Star Wars : le Réveil de la Force - Des personnages en pagaille

Les véhicules emblématiques de la saga sont également de la partie et vous pourrez vous retrouver aux commandes du X-Wing de Poe ou encore du Faucon Millenium pour ne citer qu’eux. La maniabilité des différents vaisseaux nécessite un petit temps d’adaptation les premières fois mais ensuite ça roule tout seul et c’est vraiment très très fun !

Star Wars : le Réveil de la Force - Pilote de vaisseaux

Comme à chaque fois, l’alternance entre les cinématiques et les séquences de gameplay est presque parfaite et permet au joueur de suivre sans problème le déroulé et l’enchainement des événements auxquels il prend part. Cela à 2 gros avantages selon moi :

– Premièrement, cela permet aux joueurs qui n’ont jamais vu un seul Star Wars de suivre la chronologie de l’Histoire et du pourquoi on en est là, sans avoir l’impression d’être parachuté de nul part et de simplement enchainer les résolutions d’énigmes. Ils peuvent alors se plonger a fond dans l’Histoire et cela ne peut que leur donner envie d’aller voir le film ou de se le procurer en DVD.

– Deuxièmement, les fans de la saga ne seront que ravis de pouvoir vivre une Histoire qu’ils auront surement vu au cinéma et / ou en DVD, avec une grosse touche de LEGO en plus.

Les graphismes sont plutôt bons pour un jeu LEGO et les ambiances des différents niveaux sont parfaitement retranscrites avec tous les bruits qui vont avec. Pour finir, l’humour omniprésent donne une toute autre dimension au jeu avec des clins d’oeil ou des gars. Un régal !

 Star Wars : le Réveil de la Force

 

3. Des mécaniques bien rodées

LEGO Star Wars : le Réveil de la Force reprend l’ensemble des caractéristiques des précédents jeux LEGO qui font le succès de cette collection.

Pour avancer dans l’Histoire, vous devrez donc casser des briques, beaucoup de briques, énormément de briques… Pour collecter des pièces qui vous serviront à acheter certains éléments dans la boutique, pour les ré-assembler afin de résoudre des énigmes, pour libérer le passage… Bref, il va vous falloir casser de la brique en masse ! Mais c’est l’essence même des jeux LEGO non ?

Autre point caractéristique, la résolution des énigmes. En effet, pour progresser dans l’aventure vous devrez résoudre des énigmes qui vous permettront d’actionner des mécanismes. Si la plupart d’entre elles sont assez simple à solutionner, il vous faudra parfois faire preuve d’ingéniosité et surtout bien coordonner les différents héros de votre groupe afin qu’ils exécutent les bonnes actions au bon moment, de quoi devoir s’y reprendre à plusieurs fois…

Si vous êtes un fana de la recherche d’objectifs secondaires, les développeurs ont pensé à vous ! A travers les 18 niveaux du jeu, vous pourrez trouver près de 450 briques disséminées ça et là dans les recoins du décors, objets indispensables pour déverrouiller certains succès. Bien évidemment, il est impossible de tous les récupérer en mode Histoire puisque certains demanderont une combinaison précise de héros pour être débloqués.

C’est là que le mode Libre entre en scène. Présent dans tous les autres titres de la collection, ce mode vous permettra de refaire n’importe quel niveau déjà terminé en mode Histoire afin d’essayer de glaner les objets à coté desquels vous seriez passé.

Star Wars : le Réveil de la Force - Les planètes, lieux de nombreuses aventures...

 

4. Conclusion

Avec une durée de vie d’environ 10h pour ceux qui ne perdent pas de temps mais 20 à 15h pour les plus accros à la recherche de tous les trophées / succès (source HowLongToBeat), LEGO Star Wars : le Réveil de la Force est d’une durée de vie plus que correcte. Les graphismes, l’humour et les caractéristiques propres aux jeux de la collection LEGO en font une valeur sûre que vous pouvez acheter les yeux fermés, pour vous ou vos enfants.

Que vous soyez fan ou non de la saga cinématographique, le jeu devrait sans problème vous procurer d’excellentes soirées dans votre canapé !

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 Je vous avais donné mon avis il y a quelques semaines sur le RIG Surround, un casque de la gamme gaming de chez Plantronics, et aujourd’hui c’est au tour du casque Bluetooth Plantronics Backbeat Pro d’être passé en revu.

D’ordinaire, lorsque l’on me pose la question, je n’ai absolument aucune idée de cadeau d’anniversaire. Mais cette année, après que mon pote Sandrock soit passé à la maison un week end et qu’il m’ai fait tester le sien, j’ai immédiatement balancé un modèle de casque à mes parents quand ils m’ont posé la question : le Plantronics Backbeat Pro. Et je vais vous expliquer pourquoi…

1. Packaging

Le Backbeat Pro est livré dans un emballage vraiment haut de gamme. On a le sentiment d’avoir un produit de luxe entre les mains dès qu’on saisi l’emballage à l’intérieur duquel on peut trouver :

– le casque Plantronics Backbeat Pro

– un câble avec kit piéton

– un câble USB / Micro USB pour la recharge

– un sac de transport

– une notice d’utilisation

Le package est vraiment bien fourni et digne d’un casque haut de gamme. On appréciera la présence du sac de transport qui permet de trimballer son casque et ses câbles partout avec soi sans risquer de l’abimer si on souhaite le mettre dans son sac à dos.

 

2. Design et Confort

Le casque est constitué essentiellement de plastique noir de très bonne qualité et très résistant aux rayures, bien loin des plastiques bas de gamme de nombreux casques chinois.

L’arceau de tête est rembourré d’une mousse fine recouverte d’un simili cuir noir très agréable à l’oeil avec ses coutures travaillées. Réglable selon plusieurs crans, le casque s’adapte parfaitement à n’importe quelle morphologie de tête et assure un excellent plaquage des écouteurs sur les oreilles (point très important pour la suite, je vous explique un peu plus loin pourquoi).

Les oreillettes du casque sont extrêmement bien rembourrées et procure un très haut niveau de confort. Pas de soucis pour une utilisation prolongée (plusieurs heures), je n’ai eu pour ma part aucune sensation désagréable avec le Backbeat Pro même lorsque je l’ai substitué à mon Plantronics RIG Surround défectueux et qu’il m’a dépanné pour de longues sessions gaming.

Tous les boutons de commande et la connectique sont discrètement intégrés au casque et permettent un accès simple, rapide et intuitif à toutes les fonctionnalités du casque. Le micro quand à lui est intégré au casque et complètement invisible, un atout majeur pour le design du casque.

On appréciera qu’une pochette de transport soit fournie. En tissu synthétique noir doublée d’un velours pourpre à l’intérieur, cette pochette permet de transporter le casque et ses câbles sans risquer de les abimer.

Le rendu global du Plantronics Backbeat Pro est vraiment classe, que l’on soit en short / tee shirt / tongues ou en costard cravate, le casque ne fera pas tâche dans le paysage vestimentaire. De taille tout de même imposante, le casque reste néanmoins assez léger avec un poids de 340g.

 

3. Fonctionnalités et Autonomie

Comme je vous le disais dans la section précédente, toutes les boutons de commande sont disposés de manière judicieuse pour permettre une utilisation intuitive du casque.

Oreillette droite

A l’arrière de l’oreillette droite, on trouve le bouton de mise sous tension. Lorsque que le casque est allumé, une voix nous indique qu’il est bien allumé, de quel niveau de batterie (Low / Medium / High) il dispose et annonce quels sont les périphériques qui sont connectés.

En dessous se situe un bouton pour couper le micro, pratique lorsque l’on doit parler avec une personne en face de nous sans que notre interlocuteur au bout du fil n’entende ce que l’on raconte.

Une pression sur l’oreillette permet de décrocher un appel entrant sans avoir à sortir son téléphone de la poche.

Enfin, la bague tournante de l’écouteur permet de contrôler le volume sonore de la musique ou de l’appel en cours.

Oreillette gauche

A l’arrière de l’oreillette gauche se situe le bouton permettant de mettre en route l’annulation active du bruit (ANC).

En dessous, on peut trouver un port jack pour connecter le casque à une source audio et un port micro-USB permettant de recharger et de mettre à jour le Backbeat Pro.

Une pression sur l’oreillette permet de mettre en pause ou de reprendre la lecture du titre en cours.

Enfin, la bague tournante de l’écouteur permet de changer d’aller à la piste audio suivante ou précédente.

Les commandes sont nombreuses mais leur position a été suffisamment bien étudiée pour offrir une expérience utilisateur vraiment très intuitive.

L’annulation active du bruit est vraiment impressionnante et permet de s’isoler même dans un environnement bruyant tel que les transports ou dans un centre commercial par exemple. Les coussins en mousse des écouteurs qui épousent parfaitement le contour des oreilles y est également pour beaucoup et cela permet d’écouter sa musique ou de regarder un film en toute tranquillité.

Lors du retrait du casque, le morceau de musique ou la vidéo en cours de lecture se met automatiquement en pause et reprend également automatiquement lorsque l’on remet le casque bien en place sur la tête. Une fonctionnalité vraiment utile qui permet de reprendre son contenu multimédia là où l’on l’avait laissé sans en louper une miette.

L’appairage en Bluetooth est rapide et permet de connecter deux sources audio différentes tel qu’un smartphone et une tablette par exemple. Dans le cas où l’on regarderait un film sur la tablette avec le casque connecté, si l’on reçoit un appel sur son smartphone, une alerte retentit dans le casque. Lors du décrochage de l’appel, le film de la tablette se met en pause automatiquement et reprend une fois l’appel terminé (testé avec Samsung Galaxy S6 et une Surface Pro 4 avec le lecteur multimédia de Windows 10). Une fonctionnalité qui pourrait relever du détail mais qui se révèle quasiment indispensable une fois qu’on y a goûté !

Côté autonomie, le Plantronics Backbeat Pro est très endurant avec 24h d’autonomie annoncée. Je n’ai pas compté exactement le nombre d’heures d’utilisation dont je peux profiter avant de le recharger mais avec environ 2h d’utilisation quotidienne (trajet appartement – travail aller-retour), le casque tient largement une dizaine de jours avant de devoir être rechargé. Un excellent point qui fera pencher la balance en sa faveur face à un autre casque de gamme équivalente mais disposant d’une autonomie moindre.

En cas de panne de batterie, en cas de panne de batterie il est possible de connecter le Plantronics Backbeat Pro à son smartphone, sa tablette ou tout autre source audio grâce au câble jack fourni, le casque continuant de proposer toutes les fonctionnalités à l’exception de la connexion à 2 appareils simultanément.

 

4. Qualité sonore

La qualité du son est vraiment très bonne sur une longue durée d’écoute. Le son est relativement bien équilibré et les basses ne sont pas trop agressives comme sur un Beats par exemple ce qui donne une tonalité très agréable à l’écoute.

Le système ANC est vraiment un énorme plus, que ce soit en écoute multimédia ou en conversation. En effet, ce système se sert d’un micro pour capter le bruit ambiant, le retraite en l’inversant et réinjecte ce son ainsi produit dans les écouteurs pour annuler le bruit de fond ambiant. Très pratique dans les transports par exemple, où la quasi totalité du bruit disparait, ne laissant place qu’à votre musique et aux annonces des conducteurs de métro ou de TGV.

L’écoute est impeccable lors d’un appel et l’absence d’un micro perche n’est en rien un problème, mes interlocuteurs m’ayant toujours entendu convenablement.

Constat similaire sur PC où le micro est parfaitement reconnu et permet donc de discuter sur Teamspeak ou Skype sans avoir un second périphérique, moyennant que le Plantronics Backbeat Pro soit connecté via l’USB !

 

5. Conclusion

Vous l’aurez compris, je suis vraiment fan de mon casque Bluetooth Plantronics Backbeat Pro qui m’accompagne aujourd’hui dans tous mes déplacements. La qualité de fabrication, le design, les fonctionnalités et la qualité sonore sont au rendez vous et c’est quasiment un sans faute ! Si on voulait chipoter, on pourrait dire que le poids est peut être un poil élevé pour une utilisation intensive mais bon, c’est vraiment chercher la petite bête.

Vous pouvez retrouver le casque Plantronics Backbeat Pro sur Amazon à un tarif conseillé d’environ 150€ ce qui en fait un casque d’un très bon rapport qualité / prix !

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Et oui, il fallait bien que cela arrive… Les vacances sont TER-MI-NEES… Vous avez dû le constater, pendant tout le mois d’août, le blog a lui aussi profité des vacances avec une petite pause dans les publications. Chaque année c’est le même rituel, je profite VRAIMENT de mes vacances estivales pour faire une bonne coupure et ça fait du bien !

Je vous annonce donc que septembre frappant à ma porte, je vais également faire ma rentrée bloguesque et reprendre les publications avec du beau matos et quelques bons jeux (World of Warcraft Légion venant de sortir, des journées de 36h ne seraient pas de refus !) !

En attendant, quelques photos de mes vacances pour ceux qui ne seraient pas abonnés à mon compte Twitter ou mon profil Instagram… en attendant qu’une plus grosse sélection débarque sur mon nouveau portfolio 😉

Reçu il y a quelques semaines, je vous propose aujourd’hui mon avis sur sur un objet connecté assez peu commun : le thermomètre connecté Wishbone.

1. Packaging et design

Le packaging est basique, l’emballage contenant :

le thermomètre Wishbone

– 2 piles bouton

– une notice de mise en route

Rien de plus, à noter que la petite pile bouton est fournie pour alimenter le thermomètre.

Wishbone : Package

Coté design, nous avons à faire à un produit couleur cyan en plastique. La forme évoque un Y, une prise jack destinée à être connectée au smartphone étant située en bas du pied du Y. Les piles s’insèrent sous le cache chromé de l’une des branche tandis que le capteur de température est situé dans l’autre branche dont l’extrémité est également recouverte d’un embout chromé.

Wishbone : Principe de fonctionnement

L’objet est de taille très réduite mais fait plastique au regard comme au toucher. Dommage.

 

2. Utilisation

Pour utiliser le thermomètre Wishbone, il est nécessaire d’avoir :

– un smartphone avec Bluetooth

– l’application Wishbone installée

La première étape est de lancer l’application, puis de connecter le thermomètre à la prise jack du smartphone. L’appairage se lance et une fois celui ci terminé, l’application indique qu’elle est prête à mesurer la température.

Wishbone : Branchement du thermomètre

Parmi les différentes options, il est possible de prendre la température d’un humain, d’un animal, la température ambiante ou encore celle d’un objet (tasse de thé, bain, etc…).

Wishbone : Plusieurs options 

Mon fils faisant ses dents et ayant une petite poussée de fièvre, j’ai « profité » de l’occasion pour faire 2 mesures comparatives : avec un vrai thermomètre et avec le Wishbone.

Je pars du principe que la bonne température est indiquée par le vrai thermomètre.

Wishbone : Une première mesure

Ce premier test n’est pas très concluant pour le Wishbone, ce dernier indiquant une température de 2° en deçà de celle indiquée par le vrai thermomètre… mais il faut prendre en compte que la mesure de ce dernier était dans les fe… enfin vous voyez quoi 😉 J’ai tenté de reprendre plusieurs fois la température de mon fils avec le Wishbone mais le résultat a toujours été sensiblement identique.

Wishbone : Une première mesure

J’ai effectué d’autres mesures comparatives avec le mode humain et objet et les résultats montrent là encore une petite différence entre les températures relevées par les 2 thermomètres, celle du Wishbone étant systématiquement légèrement inférieure. Ma mesure la plus fiable a été prise avec ma carte graphique qui affichait une température quasi identique au demi degré près !

L’utilisation est vraiment très facile et la position du thermomètre Wishbone sur la prise permet de l’orienter vers l’objet ou la personne afin de toujours garder un oeil sur l’écran du téléphone, facilitant ainsi la prise de température. Certains apprécieront la possibilité de conserver un historique des relevés, pour ma part je n’en vois pas spécialement l’utilité (je ne prends pas ma température tous les jours…).

 

3. Conclusion

Proposé à un tarif situé autour de 40e, le thermomètre Wishbone s’est révélé assez précis lors des tests et vraiment très simple à utiliser. Pour les fous du tout connecté, je ne peux que vous recommander ce produit qui devrait pouvoir vous dépanner les rares fois où vous en aurez besoin. Sa petite taille et son poids en font un objet que l’on peut glisser dans n’importe quelle trousse de toilette mais ne remplacera pas tout de suite notre bon vieux thermomètre électronique du fait de son manque de précision en ce qui concerne la prise de température corporelle (oui, rien ne vaut un thermomètre dans les fesses ;)).

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Dernièrement, j’ai testé beaucoup de périphériques orientés racing du fabricant Thrustmaster comme par exemple le volant TMX Force Feedback ou encore le pédalier T3PA et aujourd’hui je vous propose mon avis sur le casque Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition.

1. Packaging

Comme a son habitude, Thrustmaster nous propose une fois de plus un package haut de gamme avec un emballage solide aux couleurs du jeu DOOM, un des derniers jeux de Bethesda Softworks.

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : un package haut de gamme

Son contenu est assez complet puisqu’il contient :

– le casque Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition et son micro

– le Y Sound Commander

– le Y Power Pack

– un cable USB / Micro USB pour charge le Y Power Pack

– une notice de mise en route rapide

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : un package très complet

Le package est assez complet. On appréciera grandement la présence de l’Y Power Pack qui permet au casque d’être alimenté autrement que par la batterie de la manette et donc par conséquent d’augmenter l’autonomie de cette dernière.

 

2. Design

L’ensemble qui compose le casque (le casque, le micro perche, le Y Sound Commander et le Y Power Pack) est aux couleurs du jeu DOOM et je dois dire que c’est assez bien fait ! Le code couleur de l’équipement de l’UAC, et en particulier celui des armures des soldats, est bien composé des tons de marron, noir et rouge (si si, le sang de l’ennemi est de cette couleur) mais également d’une grosse dominante de kaki, absent de ce casque malheureusement.

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : un casque aux couleurs de DOOM

Le Y Commander et le Y Power Pack sont justes magnifiques en fonctionnement. Des leds vertes et rouges s’allument lors de l’utilisation pour indiquer le volume sonore et c’est vraiment très réussi sans pour autant être exagéré ou tape à l’oeil.

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : des coussinets à mémoire de forme

En revanche, les boutons de commande du Y Commander sont situés sous un plastique souple qui ne rend peut être pas aussi bien qu’un panel de boutons physique. Toutes les commandes sont là, le réglage de la balance voix / jeu, les bass, le 7.1, le micro… tout à portée de main et c’est top !

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : l'Y Commander

Les oreilles sont ultra rembourrées avec mousse à mémoire de forme et épousent parfaitement les oreilles procurant une isolation assez remarquable et donnant ainsi au casque un excellent confort à ce niveau là. C’est au niveau du poids que le bas blesse malheureusement car le casque est beaucoup plus lourd qu’un Plantronics RIG Surround par exemple et au bout d’un certain temps d’utilisation on sent clairement qu’il pèse sur la tête !

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : des coussinets à mémoire de forme

D’ailleurs en parlant du RIG Surround, je vous avais fait part dans mon test du micro perche très fragile qui m’a valu de faire remplacer ce dernier dans un premier temps puis carrément tout le casque dans un second temps. Et bien Thrustmaster a également opté pour un micro de ce type, connecté au niveau de l’oreille gauche par une prise mini jack. J’espère juste que celui ci sera plus résistant que le micro de son concurrent… Le micro Thrustmaster est articulé, ce qui permet de le positionner de façon optimale devant la bouche et c’est un plus comparé à de nombreux produits de la concurrence.

 

3. Qualité

La qualité du produit en lui même est vraiment très bonne, on sent qu’on a un casque solide entre les mains et qu’on ne risque pas de le casque en le manipulant ce qui est un bon atout pour les bourrins. Le Thrustmaster Y-350X embarque un son 7.1 activable à l’envie et un réglage des basses sur le Y Commander mais qu’en est il du rendu ? Et bien je dois vous avouer que c’est impressionnant. On redécouvre complètement l’ambiance sonore du jeu auquel on est en train jouer dès que l’on active le 7.1. Bien évidemment, le réglage des basses devra être fait en fonction du type de jeu car un FPS n’aura pas les mêmes exigences qu’un jeu d’exploration où l’ambiance sonore est en règle générale beaucoup plus poussée.

J’ai testé le casque sur Hitman, LEGO Star Wars, mais également sur Forza Horizon 2. Le son de chaque jeu, une fois le casque correctement réglé est un régal, on redécouvre vraiment l’ambiance de chacun d’entre eux rien qu’en pressant le bouton 7.1. En revanche, sur un jeu tel que Sniper Elite 3 ou tout autre FPS, on se retrouve vite avec des basses bien trop élevées et il faut alors baisser leur niveau pour obtenir un environnement sonore équilibré mais très plaisant, donnant réellement l’impression d’être au coeur de la bataille.

Le casque est également annoncé pour être compatible PC. C’est vrai, mais uniquement si on le connecte à une manette Xbox One elle même branchée en USB à l’ordinateur car c’est le seul moyen de profiter de la fonctionnalité 7.1, le principal atout de ce casque. On aurait apprécié, en plus de l’Y Commander que l’on branche sur la manette Xbox, un Y Commander permettant au casque d’être connecté directement sur un port USB du PC pour profiter ainsi des mêmes fonctionnalités (son 7.1, basses, etc…).

 

4. Conclusion

Que ce soit par son design, ses fonctionnalités ou par la qualité sonore qu’il propose, le casque Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition est vraiment un très bon produit. Les réglages sont simples, l’isolation excellente et le design ravira les fans du jeu DOOM tout en leur apportant un très bon confort. Petit bémol néanmoins en ce qui concerne son poids qui est très clairement au dessus de la moyenne, mais c’est le prix à payer vu la solidité du casque. Le gros plus : le Y Power Pack qui épargne énormément la batterie de la manette de Xbox One et permet ainsi d’allonger les sessions de jeu entre 2 charges de batterie.

Au niveau tarif, vous pouvez retrouver le Thrustmaster Y-350X sur le shop officiel de la marque à 149€ ou sur Amazon pour un tarif légèrement inférieur, ce qui donne à ce casque un rapport qualité / prix plus que correct.

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J’ai pris le temps pour l’écrire, et je vous explique plus bas pourquoi, mais je vous donne enfin mon avis sur l’un des derniers jeux de Square Enix : Hitman.

1. Synopsis :

 Il existe un monde au-delà du nôtre. Au-delà des nations, de la justice, de l’éthique. Ce monde ne dort jamais. Il se trouve partout. Une fois que vous y entrez, il n’y a pas de retour possible… Bienvenue dans un monde d’assassinats : vous êtes l’agent 47, le tueur à gages ultime.

 

2. Le retour de l’homme au crane rasé :

4 ans se sont écoulés depuis Hitman Absolution, le dernier jeu sorti sur PC et consoles dans lequel nous pouvions incarner l’Agent 47 et aujourd’hui, Square Enix a décidé de ressortir son assassin fétiche du placard pour lui faire reprendre le service le temps de quelques missions.

Hitman : l'Agent 47 est de retour

Le jeu démarre sous forme d’un tutoriel habilement dissimulé sous les traits d’un prologue qui nous permet, au fil de quelques missions d’entrainement, de reprendre en main les différentes actions à notre disposition pour mener à bien le(s) contrat(s) qui nous est (sont) offert(s). La difficulté n’est bien évidemment pas insurmontable lors de ce prologue qui en profite au passage pour poser les circonstances dans lesquelles l’Agent 47 fait son retour. Lors de cette introduction, on comprend rapidement qu’il sera très difficile de s’en sortir par la force brute et que finir une mission en rushant tout le niveau, fusil d’assaut en main, est tout bonnement suicidaire. Non, Hitman n’est pas un shoot’em up, il va falloir faire travailler ses méninges !

Et c’est ce que l’on va devoir faire lors des 3 premières destinations du jeu, à savoir : Paris (France) / Sapienza (Italie) / Marrakesh (Maroc). Chaque épisode du jeu nous donne 2 cibles à éliminer par quelque moyen que ce soit, le but étant de ne pas se faire remarquer et de faire preuve de créativité pour engranger un maximum de points.

a. Paris :

L’action se déroule lors d’une énorme réception mondaine à Paris, organisé pour le lancement d’une marque. Il vous faudra abattre 2 cibles à l’intérieur d’un batiment gardé par des dizaines de gardes armés jusqu’aux dents. Une fois le bonne angle d’infiltration trouvé, entrer dans le batiment est assez facile, mais s’y déplacer sans se faire remarquer est une autre paire de manche…

b. Sapienza :

47 fait un petit crochet touristique par la ville de Sapienza en Italie pour le 2e épisode de ses aventures, un petit village de bord de mer avec ses falaises, ses restaurants typiques où le cuistot est une tête de mule et sa plage pittoresque. Votre mission, et vous l’acceptez, est de tuer Silvio Caruso, un bio-terroriste, sa femme et de détruire le virus mortel que le couple est en train de créer dans sa bat-cave personnelle.

Les opportunités sont nombreuses, les différentes possibilités d’assassinat donne une bonne rejouabilité à cette mission qui se révèle un peu plus facile que la mission de Paris. 

c. Marrakesh :

Dernière destination européenne pour cette première saison, Marrakesh au Maroc n’est pas forcément la ville qui sera la plus simple pour notre Agent. Vous devrez éliminer le banquier privé Claus Strandberg, qui s’est réfugié comme Edward Snowden dans le consulat suédois sous bonne garde, et le général Reza Zaydan qui a investi une école abandonnée avec l’ensemble de ses troupes d’élites et leur arsenal.

Pour ma part, j’ai trouvé cet épisode beaucoup plus dur que les 2 précédents. En cause, la foule de personnes présentent dans le souk dont l’ambiance est par la même occasion assez bien retranscrite. Les gens s’invectivent, nous interpellent, les soldats font leurs rondes et il faut ruser à chaque coin de rue pour obtenir des informations ou de précieux objets qui nous aideront à progresser dans notre mission. Les 2 cibles sont vraiment très bien gardées et j’avoue avoir réussi a les éliminer toutes les deux mais j’ai trébuché sur une équipe de sécurité au grand complet en tentant de rejoindre mon point d’extraction… Oups, tout à refaire !

 

3. Un bon titre mais avec quelques défauts :

Je vais commencer par exposer les bons cotés du jeu.

Les graphismes sont plutôt réussis. Les jeux d’ombres et de lumières permettent de se dissimuler et les décors des différentes villes traversées sont vraiment très bien fait. La quantité de personnages se promenant sur la carte est impressionnant, notamment lors de l’épisode de Marrakesh, et pourtant le jeu ne semble pas en patir.

La planification de chaque mission est top. Vous aurez la possibilité de choisir votre équipement de départ, votre point de départ, un équipement à votre disposition dans une planque de votre choix, etc…

Hitman : la planification des missions

Chaque mission est donc entièrement customisable mais l’accès à ces paramètres de mission se mérite ! Lorsque vous terminez une mission, votre score est calculé d’après toutes les actions et défis réalisés. Ce score alimente une jauge vous permettant de passer des niveaux relatifs à l’épisode (Paris, Sapienza ou Marrakesh) et chacun de ces niveaux débloque une série de paramètres qui peuvent être un point de départ alternatif, une planque d’équipement ou encore un équipement supplémentaire, vous permettant ainsi de recommencer le même épisode mais avec des paramètres différents.

Hitman : tuer moins pour gagner plus

Les défis à réaliser vous aideront notamment à remplir votre jauge de points. Ils sont nombreux, très nombreux et très variés ! Il y a des défis simples, d’autres compliqués, certains sont funs, d’autres demanderont d’effectuer pleins d’actions avant de pouvoir être validés… ces défis sont une vraie mine de rejouabilité pour chacun des 3 épisodes du jeu et ajouteront une durée de vie conséquente à Hitman pour ceux qui souhaiteront tous les accomplir.

Hitman : Les défis, innombrables !

Autre bonne idée, l’apparition régulière pendant une période assez courte de cibles particulières qu’il vous faudra débusquer et assassiner ! La principale difficulté réside dans le fait que ces cibles n’apparaissent que pendant 48h, un créneau très réduit qui vous obligera à vous connecter souvent aux serveurs Hitman pour vérifier la présence ou non de la cible.

Gros parti pris de la part de l’éditeur, Square Enix a en effet décidé de faire une livraison par épisode de son jeu. L’éditeur propose donc d’acquérir le prologue et l’épisode de Paris dans un package de base. Chaque épisode a été livré à intervalle régulier ensuite avec possibilité de les acquérir au coup par coup ou bien en achetant un Season Pass donnant accès à toutes les missions du jeu dès qu’elles sortent. C’est pour cette raison que j’ai pris mon temps pour publier le test du jeu, je ne voulais pas écrire un avis sur le jeu en ayant uniquement terminé une infime partie du jeu…

De nos jours, les Season Pass ont le vent en poupe. Battlefield et son « Premium » permettent ainsi d’avoir accès à toutes les nouvelles maps qui seront développées dans le futur, Ubisoft nous livre également quasiment l’intégralité de ses jeux avec une option « Season Pass » donnant accès à tout le futur contenu des jeux… Bref tous les éditeurs ou presque s’y sont mis et Square Enix a décidé de surfer sur la vague… De mon point de vue, c’est une bonne idée car le joueur peut décider de n’acheter que le prologue pour tester le jeu, et si il lui plait, il fera l’acquisition du Season Pass ou de chaque épisode séparément. Mais c’est également une mauvaise idée car le prologue et la première ne représentent pas un contenu énorme (mais ce package ne coute que 15€) et le joueur pourra être frileux en ce qui concerne l’achat des missions suivantes, pouvant penser a raison que ça n’en vaut pas la peine…

Hitman : Une tarification à la carte

Deuxième point très rébarbatif à mes yeux, les temps de chargement extrêmement longs et associés à de déconnexions fréquentes des serveurs officiels Square Enix. Dis comme ça, cela peut paraître anodin mais quand vous êtes déconnecté en pleine mission, il arrive que cela vous ramène au menu de préparation de la mission… Cela m’a valu quelques ragequit du jeu je dois l’avouer. Les temps de chargements des missions sont infinis, mais une fois une mission chargée, si vous la recommencez (Pause > Redémarrer la mission), le chargement est beaucoup plus rapide, et heureusement…

 

4. Conclusion :

Disponible sur PC, PS4 et Xbox One, Hitman signe le retour en fanfare de l’Agent 47 dans un jeu qui souffre de quelques défauts comme son mode de commercialisation par épisode, ses temps de chargement ou encore les problèmes de connexion aux serveurs. Parallèlement à ça, les graphismes, le gameplay et l’énorme rejouabilité de chaque épisode permettent de gommer légèrement ces défauts qui se font assez vite oublier… Jusqu’à la déconnexion suivante 😉 La tarification n’est pas un problème grave en soit puisqu’il permet aux joueurs d’acheter un solide aperçu du jeu avant de décider si oui ou non il fera l’acquisition du reste.

Bref, si vous voulez retrouver l’esprit des premiers Hitman, vous pouvez foncer !

Sponsornot : Gratuit

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