Cette année, nous avons eu une belle édition 2016 de la Paris Games Week et elle a été marquée par la présence d’un nombre important de constructeurs et revendeurs de matériels ! Suivez le guide.

1. Les revendeurs

Les revendeurs de produits dérivés ont répondus présent à l’appel du salon mais j’ai personnellement trouvé qu’il y avait moins de stands mais que la qualité était un peu plus élevée que d’habitude. Bien entendu, nous avions les habituels revendeurs de tee shirts, casquettes et autres bonnets de Teemo mais ceux ci étaient bien moins nombreux que les années passées. En revanche, les spécialistes des produits dérivés des jeux vidéo étaient surement un poil plus nombreux avec de belles pièces à disposition de nos portefeuilles. Les Funko POP étaient là par centaines, les  les figurines de manga également et dont certaines étaient vraiment magnifiques.

 

Cotés revendeurs de matériel informatique et périphériques gaming, LDLC était présent comme chaque année avec un stand ENORME dans le hall 3 dédié à l’e-sport avec de belles animations au rendez vous. La scène e-sport LDLC était bien entendu là, mais on pouvait également trouver un atelier « Gaming Expérience » avec des PC et des Xbox One à disposition des visiteurs qui voudraient s’essayer à quelques jeux. Un autre stand LDLC, surement mis en place en partenariat avec Samsung, proposait un mini salon présentant l’éco-système du fabricant sud coréen avec notamment des écrans, des tablettes, des SSD et un casque GearVR, car oui cette année de nombreux stands proposaient de tester l’expérience de la Réalité Virtuelle (dont je vous parlerais dans le prochain article) ! Le revendeur Lyonnais proposait également aux visiteurs de s’essayer au pilotage spatiale avec 2 configurations de fou faisant tourner le jeu Star Citizen dans lequel vous pouviez piloter un vaisseau spatial grâce au Thrustmaster HOTAS Warthog (mon test est disponible sur le blog).

 

La Fnac occupait son emplacement habituel avec une grosse sélection de jeux vidéo et accessoires parmi lesquels figurait un HTC Vive et tous les jeux récemment sortis ou en précommande… Achat Mania était également là avec son stock de matériel Astro Gaming, Steelseries, Mad Catz, Tritton ou encore Cooler Master et a rencontré un vif succès semblerait il ! Parmi les autres revendeurs, nous avions Burn Controllers et Stealth Gamer venus nous faire étalage de toute leurs collections de prêt à porter pour manettes de gamers. Il y avait de jolies choses pour lesquelles j’ai failli craquer pour remplacer ma manette Blast Controllers car la qualité des 2 autres est quand même largement au dessus du lot.

  

Certains éditeurs de jeux vidéo avaient également leur propre échoppe comme par exemple Bandai Namco ou encore Square Enix, proposant tous deux leurs jeux vidéo ou encore des produits dérivés issus de ces derniers. Bon soyons clair, cette année j’ai fait preuve d’un mental à toute épreuve puisque je ne n’ai strictement rien acheté malgré une tentation relativement forte ! Une première depuis que j’arpente les allées du salon…

 

 

2. Les constructeurs

a. Turtle Beach

Turtle Beach est un célèbre fabricant de matériel audio dédié au monde du jeu vidéo, il était présent à la Paris Games Week et j’ai donc pu redécouvrir leur gamme pour PC, Playstation et Xbox qui est assez conséquente. Je dis bien redécouvrir car Turtle Beach est une marque qui est déjà apparue sur ce blog avec le test du XO Seven, un casque Xbox One assez haut de gamme qui est toujours à la page.

Parmi les différents produits qui nous étaient présentés, l’impressionnant casque Turtle Beach Elite Pro avec son panel de commande séparé. Clairement, on est sur un produit très haut de gamme plutôt réservé aux joueurs exigeants ou au monde de l’e-sport. Je pense que je vous en reparlerais très bientôt à travers un test complet qui décortiquera dans les moindres détails ce casque sur lequel j’ai complètement craqué, craquage dû particulièrement à la présence du panel de commande séparé qui permet de procéder à certains réglages en direct, sans passer par une interface logicielle. Pour le peu que je l’ai porté, le casque m’a paru extrêmement confortable grâce à son système unique de coussinets et de réglage de l’arceau qui permet de positionner idéalement le casque sur la tête. Mon Plantronics RIG Surround a trouvé son remplaçant, cela ne fait aucun doute !

Deuxième produit phare qui est une première chez Turtle Beach : un micro ! Le Stream Mic est une nouveauté chez le constructeur qui s’essaye pour la toute première fois à la conception d’un micro autonome dédié comme son nom l’indique au monde du streaming. Sa première particularité c’est sa compatibilité puisque vous pouvez vous en servir sur PC, Playstation 4 et Xbox One ! La technologie embarquée lui permet d’être ultra performant, aussi bien chez vous tranquillement installé dans votre canapé que dans l’univers bruyant d’une scène e-sport, parfait pour les commentateurs de compétitions League of Legends ou CSGO officielles.

Merci à Elisa et Clément qui m’ont accordé un peu de leur précieux temps pour me présenter le matériel et répondre à mes questions.

 

b. Thermaltake

Le deuxième stand qui m’a accordé une bonne part de leur temps lors de la soirée réservée à la presse et aux influenceurs est Thermaltake. Ceux qui s’intéressent un petit peu au hardware informatique ou au modding PC connaissent forcément cette marque, mais pour les autres je vais vous faire une présentation rapide. Thermaltake est une entreprise Taïwanaise qui est spécialisé à l’origine dans les boitiers PC et tout ce qui s’y rapporte concernant le refroidissement. Depuis quelques temps, ils se diversifient avec des périphériques et des sièges gaming.

J’ai donc eu le droit à une présentation par le grand patron de l’entreprise lui même, un immense privilège car c’est très rare de s’adresser directement au sommet de la pyramide. Il a donc commencé par me présenter leur nouveau boitier phare dont la sortie ne devrait plus tarder : le Tower.

Un boitier impressionnant réalisé en partenariat avec un moddeur : Mathieu Heredia. Sa forme est totalement atypique puisqu’il a une base carrée, est plus haut qu’un boitier grand tour et permet d’implanter un sacré dispositif de watercooling à l’intérieur !

Deuxième produit phare, les kit de ventilateurs Riing RGB. Ce sont des ventilateurs pour boitier ou kit watercooling qui se branchent sur un petit boitier de contrôle capable de piloter jusqu’à 3 ventilateurs différents de façon totalement indépendante.

Les ventilateurs sont déclinés en 120mm et 140mm et les boitiers de contrôles peuvent se connecter les uns aux autres jusqu’à concurrence de 16 boitiers, soit 48 ventilateurs. Quel est l’intérêt de les connecter les uns aux autres me direz vous ? Et bien cela permet d’offrir une gestion centralisée des ventilateurs via une application installée sur le PC qui permet entre autres de régler la vitesse et l’éclairage de chaque ventilateur.

Le stand Thermaltake présentait également une partie de leur gamme d’accessoires dédiés au watercooling, comme les fluides colorés, les embouts de tuyaux lumineux, les kit watercooling all-in-one, etc… Que du matos qui donne envie de se faire une jolie configuration !

 

c. Acer, MSI, Asus, NVidia et cie

Acer était présent sur le salon pour nous présenter tout son attirail estampillé Predator. Que ce soit des tours (G1 / G3) ou bien des PC portables (17 / 17X), le stand regorgeait de postes informatiques sur lesquels tout le monde pouvait s’essayer à divers jeux. Un des ordinateurs portables présentait notamment la fonction eye tracking qui permet de cibler les ennemis simplement en les regardant et cela fonctionnait vraiment bien !

Asus, MSI, NVidia, Lenovo, ROCCAT, Logitech, Plantronics et bien d’autres étaient également présents pour nous présenter leurs dernières nouveautés. Logitech a d’ailleurs réalisé un coup de maitre avec son Logitech Wall, un mur entier de son stand entièrement recouvert de clavier G810 et dont les touches s’allumaient pour former des mots ou des dessins :

 

Bref, du matos, il y en avait pour tous les goûts, avec du sobre, du coloré, du gaming, du hardcore gaming, du pas cher, du très cher…. Me tenant régulièrement au fait des différentes nouveautés, je ne m’y suis donc pas énormément attardé.

 

Les constructeurs étaient plus nombreux que les années passées, surement du au fait que le public s’équipe de plus en plus et que la Paris Games Week devient un rendez vous incontournable en France si l’on veut vendre ses produits. Chaque constructeur ou revendeur a fait preuve d’originalité dans la présentation de son matériel avec souvent des animations permettant au public d’affronter des guest stars venues faire le show pour l’occasion. Des choses magnifiques étaient parfois exposées et je regrette un peu la grosse galerie modding LDLC de l’année dernière…

Si vous l’avez manqué, je vous invite à aller visiter le reste de la galerie photo de la PGW 2016 !

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Comme chaque année, j’arpente les allées du plus grand salon français dédié aux jeux vidéo : la Paris Games Week. Cette année encore, le salon a évolué, s’est agrandit et je vous fait partager aujourd’hui ma vision de cette édition 2016 au travers plusieurs articles. Et voici le premier !

1. Un salon qui prend de l’ampleur

Cette année, la Paris Games Week (PGW) s’est étalée sur 5 jours et 3 halls du parc des expositions de la porte de Versailles. Si la durée reste identique par rapport à l’édition 2015, la superficie occupée a été elle augmentée d’un hall complet, le hall 3, ce qui représente une augmentation de la surface d’environ 20% ! 

Le Hall 1 rassemblait tous les éditeurs, constructeurs, développeurs et quelques revendeurs, le Hall 2 était réservé à la Paris Games Week Junior avec de nombreuses activités pour enfants ainsi qu’au jeu vidéo made in France tandis que le Hall 3 accueillait tous les acteurs de l’e-sport ! Cette compartimentation permettait de bien distinguer les 3 espaces sans créer un espèce de fouillis comme l’année passée avec les exposants cotoyant l’ambiance électrique de la scène e-sport dans le hall 1. 

Mais c’est aussi virtuellement que le salon a pris de l’ampleur puisque les statistiques Internet ont explosées comme en atteste cette infographie publiée par le SELL (Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisir) :

Il est à noté qu’avec la campagne de sensibilisation au PEGI qui est passée récemment, le SELL a passé quelques consignes aux exposants pour qu’ils soient vigilants sur l’age des visiteurs venus essayer leurs jeux en fonction du PEGI de ces derniers.

Certains ont joué le jeu, d’autres non, sans système d’identification simple (un bracelet de couleur comme à la Gamescom par exemple) c’est de toute façon compliqué de demander sa carte d’identité à chaque visiteur et sur chaque stand… Bravo à ceux qui ont fait l’effort en tout cas !

Les statistiques de fréquentation n’ont pour l’heure toujours pas été communiquées mais dans les allées, j’ai eu l’impression d’être beaucoup moins à l’étroit que les années passées. Est ce dû à l’ouverture d’un 3e hall ? Au fait qu’il y avait cette année moins de stands de produits dérivés que les années passées ? Y’a t’il eu une baisse de la fréquentation ? J’attend les chiffres du SELL avec impatience !

 

2. Un grand absent

Nintendo est LE grand absent de cette Paris Games Week. Dans les allées, on pouvait parfois entendre « tu as pas vu le stand Nintendo par hasard ? » et la réponse est « Non, Nintendo n’est pas là cette année ». Tout le monde ou presque aura noté cette absence, tous tellement habitués à voir les 3 concurrents (Microsoft / Sony / Nintendo) côte à côté lors de ce genre d’événement.

Ormi cette justification officielle :

Chaque année, Nintendo cherche les meilleurs moyens et les meilleurs moments pour permettre à ses fans d’avoir accès à ses jeux.

Cette année, Nintendo a décidé de ne pas participer à la Paris Games Week, car elle ne s’insérait pas dans le plan annuel.

Nous souhaitons à tous les participants et aux organisateurs un très bel événement.

aucune autre raison particulière n’a toutefois été évoquée il me semble mais si je me risquais à quelques spéculations diverses et variées, je dirais que Nintendo n’avait rien d’extraordinaire à nous montrer, pas de nouvelle licence tout juste sortie ou à venir, pas de nouvelle console puisque la Nintendo NX récemment rebaptisée Nintendo Switch n’est pas encore prête à se dévoiler en public.

http://www.youtube.com/watch?v=EEmNofPNHTI

Pas de tournoi Mario Kart ou de chasse aux Pokémons cette année donc, espérons simplement que ce ne soit qu’exceptionnel et que nous reverrons le géant nippon trôner fièrement aux cotés de ses deux adversaires de toujours lors de la prochaine édition.

 

3. Les jeux vidéo Made In France à l’honneur !

Au sein du hall 2, aux cotés de la Paris Games Week Junior, trônait fièrement le stand Made In France dédié aux studios français. Sur cet espace, ce sont pas moins de 26 jeux qui étaient présentés au public, la plupart jouables avec une date de sortie prochaine et d’autres déjà sortis comme Trackmania par exemple.

Le premier que j’ai pu tester c’est Battlecrew Space Pirates développé par DONTNOD (Life is Strange / Remember Me), un jeu de tir multijoueur par équipe où votre but sera d’aller récupérer des coffres disséminés sur la carte pour en engranger un maximum. C’est rapide, nerveux et le level design est plutôt sympa. Vu les productions de ce studio, je pense que le jeu devrait être une réussite. Sortie en 2017.

Le second jeu sur lequel j’ai posé les mains c’est Styx Shards of Darkness développé par Cyanide. Ce nom vous dit surement quelque chose puisqu’il s’agit du deuxième volet des aventures du célèbre gobelin assassin qui nous était présenté. Basé sur le moteur Unreal Engine 4, Styx Shards of Darkness a corrigé beaucoup des défauts dont souffrait son petit frère avec un ajout important : le craft qui vous permettra de créer vos certains items. Les jeux de lumières sont magnifiques, l’ambiance vraiment glauque et le gameplay plutôt intuitif !

 

4. Et l’Art dans tout ça ?

Toujours dans le hall 2, on pouvait retrouver une galerie d’Art où était exposées de nombreuses oeuvres du collectif ARTtitude en rapport avec l’univers du jeu vidéo. Un de leur récent fait d’arme est d’avoir redécoré la Bibliothèque François Mitterrand aux couleurs de la nouvelle extension World of Warcraft : Légion.

Far Cry, Borderland, ICO, Blizzard… De nombreux emblèmes voir même monuments des jeux vidéo étaient représentés sous forme d’oeuvre d’art et fort heureusement, aucun n’était en vente sinon je pense que je n’aurai plus qu’un rein, un poumon et que je serais manchot à l’heure qu’il est…

  

Sur le contour de la galerie, 3 oeuvres ont été réalisées pendant le salon. La première n’est pas une oeuvre en soit puisqu’il s’agissait d’une fresque à colorier avec tout plein de héros de jeux vidéo. Il va sans dire que dès le premier jour, c’était déjà du grand n’importe quoi, très peu de coloriage pour beaucoup de gribouillages à caractère plus ou moins correct… (Mention spéciale au spoil de TWD saison 7 Episode 1 !)

Ensuite, dans un registre plus street art, une grande fresque avec le logo du salon a été peinte, tandis qu’à l’opposé a été réalisé une oeuvre représentant le prochain jeu de Bethesda : Dishonored 2. Une oeuvre magnifique que j’ai pu voir évoluer au fil du salon, une sorte de fil rouge artistique réalisé par l’artiste Tsuchinoko et qui a attiré l’attention de plus d’un visiteur !

Je vous reparlerais prochainement de ce collectif d’Art avec un article le concernant et présentant un de leur livre en édition limitée que j’ai la chance d’avoir pu obtenir…

 

5. Place à l’e-sport

Le hall a donc été en feu pendant les 5 jours du salon avec les gros acteurs du secteur au rendez vous (LDLC, ESCW, Twitch, MSI et d’autres) qui ont galvanisé les foules lors de tournois du circuit pro et d’exhibitions où le public était invité à affronter les stars des différents jeux proposés. Car oui, cette année pas question de caler la composante e-sport du jeu vidéo dans un petit coin du hall, le SELL a préféré faire les choses en grand.

Au programme, des matchs officiels de l’ESCW sur Counter Strike Global Offensive (finale mondiale), Clash Royale (grande finale mondiale), Just Dance et FIFA 17 mais également des showmatchs où l’on a pu voir des personnalités du jeux vidéo (Mamytwink ou bien Gotaga pour ne citer qu’eux) affronter des équipes de joueurs sélectionner dans le public sur Overwatch notamment.

Des matchs de l’ESL était également de la partie avec du League of Legend qui a attiré beaucoup de monde pour les IEM Challenger permettant de décrocher un billet de qualification pour les IEM Oakland & Gyeonggi !

 

Voilà, c’est tout pour cette fois, un article dédié aux jeux vidéo est en cours de rédaction et devrait débarquer sur le blog dans la semaine alors… restez branchés ! Et en attendant, vous pouvez jeter un oeil à la galerie photo complète 😉

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Comme chaque année à la même époque, vous pouvez me retrouver avec mon reflex à la main en train d’arpenter les allées du plus gros salon français dédié aux jeux vidéo : la Paris Games Week. Pour cette édition 2016, j’ai pris environ 300 clichés avec au final seulement 180 sélectionnés pour apparaitre sur le blog. J’espère que les photos vous plairont et qu’elles vous rappellerons des souvenirs ou vous donnerons envie d’y aller l’année prochaine. On s’y donne rendez vous ?

J’ai reçu il y a quelques semaines un colis assez exceptionnel de la part de Thrustmaster, contenant l’un des meilleurs joysticks du marché.

Je parle bien entendu du Thrustmaster HOTAS Warthog, un combo poignée de gaz + joystick au réalisme absolument hallucinant ! C’est parti pour la review !

 

1. Packaging

Comme à son habitude et comme pour l’ensemble de ses produits, Thrustmaster à soigné l’emballage afin que le produit arrive intact et en parfait état à bon port. Le HOTAS Warthog est livré dans un carton plutôt imposant dans lequel il est parfaitement calé par le polystyrène. Une fois extrait de ce dernier, nous découvrons le contenu de la boite à savoir :

– le HOTAS Warthog Flight Stick livré en 2 partie (socle + joystick)

– le HOTAS Warthog Dual Throttles

– une notice explicative

 

Rien de plus, rien de moins mais l’essentiel est là. A l’heure du tout dématérialisé, on se demande encore pourquoi les constructeurs fournissent des notices papier alors qu’ils tendent peu à peu à faire disparaitre les CD/DVD d’installation de leurs cartons mais bon, ce n’est qu’un détail. Le package sent bon le produit haut de gamme et ça, ça me plait.

 

2.Design et finitions

Le Thrustmaster HOTAS Warthog se veut comme une réplique à l’identique des commandes du célèbre avion de l’US Air Force : l’A-10C.

 Thrustmaster HOTAS Warthog : A10-C Replica

Soyons précis, les seuls éléments reproduits à l’identique sont l’intégralité du joystick et le panneau de commandes que l’on trouve sur la poignée de gaz. Le reste a été créé de tout pièce par le constructeur qui propose un produit très bien fini et tout en métal. Qui dit réplique dit métal, beaucoup de métal. Sur le socle bien entendu, pour faire du poids, avoir un périphérique stable et solide mais également sur le joystick en lui même ainsi que sur la poignée de gaz.

Les seuls éléments plastiques sont certains boutons qui sont également en plastique sur les commandes de l’A-10C. Nous sommes donc face à un produit massif, très réaliste et qui en jette un max. Le joystick et la poignée des gaz sont tous deux posés chacun sur une grande plaque de métal épaisse qui leur donne une excellente stabilité. Pour ceux qui souhaiteraient se créer un cockpit à demeure dans leur gaming room, chaque plaque est percée aux 4 coins pour leur permettre d’être boulonnées sur un support quelconque.

La peinture noire recouvre presque la totalité des éléments à l’exception des boutons, d’une partie du socle du joystick en alu brossé du plus bel effet. Des inscriptions gris clair et blanches ont été sérigraphiées à proximité des différents bouton pour indiquer à quoi ils correspondent. Un peu futile sachant que vous pouvez les configurer comme bon vous semble mais cela donne un peu plus de réalisme. Une petite plaque avec un numéro est rivetée sur le socle de la manette des gaz, preuve que le joystick n’a pas dû être fabriqué à beaucoup d’exemplaires…

La manette des gaz est composée de 2 parties distinctes que l’on peut bloquer ensemble ou laisser indépendantes si le besoin s’en fait ressentir. De plus, toutes les inscriptions blanches du socle s’illuminent en vert dès que l’on branche le cable USB au PC. Pratique la nuit quand on joue dans le noir pour repérer les boutons, cette lumière verte donne encore plus une impression de réalisme car on se croirait réellement dans le cockpit d’un avion !

Sur le joystick, on retrouve 9 boutons :

. 1 x chapeau « point de vue » 8 directions

. 2 x chapeaux 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x double gâchette en métal

. 2 x boutons poussoir

. 2 x boutons poussoir petit-doigt

Et pas moins de 20 boutons sur la manette des gaz !

. 1 x Molette TRIM

. 2 x boutons poussoir

. 5 x interrupteurs 2 positions (2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x chapeau souris avec bouton poussoir et capteur magnétique 3D (Hall Effect)

. 1 x chapeau 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x bouton poussoir

. 1 x interrupteur 3 positions (2 momentanés + 1 permanent)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x interrupteur 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

Clairement, cela fait énormément de boutons à mémoriser mais ce n’est pas forcément pire que d’avoir autant de raccourcis clavier. En tout cas, je pense que vous l’aurez compris, le Thrustmaster HOTAS Warthog c’est du lourd, du très lourd et c’est d’une finition assez remarquable. Voyons maintenant comment tout ceci se paramètre.

 

3. Installation et configuration

Le joystick est constitué de 2 parties, le manche et le socle, qui s’imbriquent et restent solidaires grâce à un bague que l’on vient visser à la base du manche. Le montage s’effectue très facilement en 2 minutes et la bague de serrage maintenant fermement le manche sur le socle. La connexion se fait au moyen de 2 cables USB, un pour la manette des gaz et un pour le joystick.

Pour que le joystick soit correctement calibré et les différentes touches bien configurées, il faut impérativement installer le logiciel TARGET (Thrustmaster Advanced pRogramming Graphical EdiTor). Cet outil va non seulement vous permettre de réaliser tout le paramétrage du HOTAS, mais il va également vous donner la possibilité d’importer et d’exporter des profils de configuration ! Vous vous dites surement que c’est pas forcément fou, mais pour ceux qui ont déjà joué à Elite Dangerous, vous savez combien c’est long et fastidieux d’attribuer tous les raccourcis nécessaires…

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Et pour nous faciliter la tâche, Thrustmaster propose même sur son site quelques profils déjà tout prêts pour les jeux suivants : 

– Elite Dangerous

– FS X Combat Pilot Series

– Star Citizen

– Il2 Stalingrad

– War Thunder

– World of Warplanes

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Avec ces 6 profils, Thrustmaster balaie la quasi totalité des jeux de simulation aérienne qui prennent en charge le HOTAS Warthog car même en cherchant bien, il faut bien se rendre à l’évidence, il n’y a que très peu de simulation de vol sur PC comme sur console de jeu. Dans le cadre de mes tests, j’ai téléchargé et importé War Thunder / Star Citizen / Elite Dangerous et à un ou deux détails près, ces configurations se révèlent plutôt bien pensées. Pour Elite Dangerous qui demande énormément de temps pour attribuer tous les raccourcis, l’importation du fichier de configuration est alors quasiment indispensable ! Du coup, le temps de prendre connaissance des différents raccourcis et d’en réattribuer certains, j’étais près à voler en 15 à 20 minutes.

Pour War Thunder ce fut vraiment très simple puisque je n’ai rien eu à faire à part déclencher le logiciel TARGET et à faire les configurations dans le jeu.

J’ai voulu configurer le HOTAS pour Battlefield 4 afin de pouvoir piloter les avions et les hélicoptères avec beaucoup plus de facilité. Malheureusement, pas de fichier tout fait et il a donc fallu que je mette les mains dans le cambouis avant de pouvoir décoller. Quand on a pas l’habitude, TARGET demande un peu de temps pour être maitrisé avec quelques subtilités de configuration. Mais Internet est mon ami, et à force d’acharnement j’ai fini par réussir à faire décoller l’hélicoptère et à le faire voler. Cela m’a tout de même occupé une bonne partie d’un dimanche matin mais les sensations de vol en valaient la peine !

 

4. Sensations en jeu

a. War Thunder

War Thunder est un jeu comme World of Tank mais avec des avions de la Seconde Guerre Mondiale. Pas ce qu’il y a de plus manoeuvrant mais avec le HOTAS, c’est juste l’éclate. On se fait très vite aux commandes et le rase motte devient tout de suite plus facile, comme se sortir du pétrin quand on a un ennemi aux fesses qui veut transformer notre carlingue en passoire. J’ai testé le jeu à la souris et au clavier et je me demande comment c’est possible de jouer sans joystick en fait…

b. Battelfield 4

Ah hélicoptère mon amour. Alors pour BF4, jouer à la souris et au clavier ça se fait assez bien même si parfois c’est un peu approximatif quand on slalome entre les immeubles avec un missile STINGER au cul mais bon… Du coup, j’ai passé un peu de temps à configurer le HOTAS car j’avais envie de voir si cela faisait une réelle différence. Et bien le résultat est sans appel : c’est de la balle. Alors bien sûr, il faut sacrifier un peu de temps de jeu afin de trouver la bonne configuration qui fonctionne mais une fois que c’est fait c’est que du bonheur et notre espérance de vie en vol augmente drastiquement. Il est beaucoup plus facile d’esquiver les missiles ou de faire du rase motte avec le joystick plutôt avec les flèches du clavier ou bien la souris. Bref, j’arrive plus à jouer à BF4 sans avoir le HOTAS prêt à faire feu quand je monte dans un avion !

c. Elite Dangerous

Alors là… Je dois dire que Thrustmaster m’a fait redécouvrir le jeu. Sans rire, je me souviens de mes débuts sur Elite Dangerous lorsque je galérais à trouver les raccourcis (parce que j’avais zappé quelle fonction était attribuée à quelle touche) et que mon vaisseau était quelque peu livré à lui même à certains moments… Et bien avec la HOTAS c’est une toute autre expérience. Si on prends le temps d’adapter la configuration toute prête fournie par Thrustmaster pour l’adapter parfaitement à ses besoins, le jeu devient tout de suite beaucoup plus agréable et se balader dans l’espace mais également dans l’interface du vaisseau est presque facile. Quelques petites choses tout de même restent un peu pénibles mais c’est inhérent au jeu, pas au joystick.

d. Ace Combat Assault Horizon

Pour Ace Combat, clairement le HOTAS ne change rien. Le jeu est moisi de base et un joystick de la mort n’y change rien. J’ai passé 30 minutes a essayer de descendre un avion avant de ragequit tellement le jeu est imprécis et avantagé par rapport à nous (oui, les avions ennemis font du demi tour frein à main… normal…).

e. Star Citizen

Je n’ai malheureusement pas encore eu le temps de me pencher sur le cas de Star Citizen faute de temps. Le jeu a l’air assez fou et si c’est comme pour Elite Dangerous, je ne peux qu’imaginer la plus-value lors du pilotage des vaisseaux spatiaux. Promis, dès que j’ai testé le jeu je vous ferais part de mes impressions (et cela ne saurait tarder vu qu’une certaine Elisa m’a dit que c’était de la bombe ce jeu avec le HOTAS !).

 

5. Conclusion

Avec une conception et une réalisation absolument parfaites, une configuration ultra poussée lui permettant de s’adapter à tous les jeux possibles et imaginables de simulation de vol (mais pas que) et une prise en main intuitive, le Thrustmaster HOTAS Warthog est actuellement sans conteste le meilleur joystick disponible sur le marché. Vous l’aurez surement compris au fil de mon test, je suis absolument conquis par ce joystick qui a complètement changé l’expérience que j’avais jusqu’alors sur certains jeux.

Le tableau n’est toutefois pas complètement rose. En effet, le Thrustmaster HOTAS Warthog est plutôt encombrant et par conséquent, si pour vous la simulation de vol est occasionnelle, je vous conseille de conserver le carton pour pouvoir ranger le périphérique dedans lorsque vous ne vous en servez pas et que votre bureau est un peu petit. Autre point a soulever : la configuration des différentes touches qui peut se révéler fastidieuse si vous décidez de ne pas utiliser les fichiers de configuration fournis par le constructeur pour certains jeux (ou si il n’y a pas de fichier de configuration pour le jeu en question).

Mais c’est plutôt un produit qui frise l’excellence et cela a un prix : 449€ sur le site officiel du constructeur, ce qui ne le met pas à portée de toutes les bourses. Une solution existe néanmoins : vous pouvez acquérir le joystick et la poignée de gaz séparément et ainsi étaler la douloureuse.

Un grand merci à Thrustmaster qui m’a permit de réaliser ce test !

 

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J’avais testé il y a quelques mois une housse de protection pour ma Surface Pro 3. Je vous donne donne mon avis sur une autre housse de la marque INCIPIO.

Ma précédente housse s’est révélée assez peu efficace car suite à une bousculade dans le métro, mon sac contenant la housse contenant la tablette est tombé de mon épaule et ma Surface Pro 3 a explosé dans un coin… Ecran HS, heureusement j’avais souscrit à une garantie supplémentaire qui me l’a remboursée au prix d’achat. Ouf ! Du coup, changement de housse car je veux que ma Surface Pro 4 soit correctement protégée. J’ai opté pour une housse conçue pour la Microsoft Surface de la marque INCIPIO.

 

1. Packaging

La housse INCIPIO est livré avec un emballage très réduit qui permet uniquement d’afficher les informations concernant le produit et de le stocker en rayon.

Le strict minimum donc mais au moins on peut avoir le produit en main avant de passer à la caisse et par conséquent se rendre compte des qualités et défauts.

 

2. Conception et qualité

La housse INCIPIO est faite d’un tissu synthétique bleu à l’extérieur, d’assez bonne facture et qui fait penser à la matière utilisée dans la conception de certains blousons.

L’intérieur est doublé d’un espèce de velours noir synthétique qu’ils appellent « fausse fourrure » pour que la tablette ne risque pas d’être rayée pendant le transport.

Entre le tissu extérieur et le velours intérieur, on peut sentir une épaisseur de mousse qui rembourre la housse afin que les chocs éventuels soient amortis.

A l’extérieur, il y a un support pour le stylet de la Microsoft Surface mais personnellement je ne suis pas serein à l’idée de laisser le stylet à l’extérieur de la housse pendant les transports.

Je lui préfère largement la poche Napoléon située sur le coté, suffisamment grande pour transporter le stylet, la souris Microsoft Arc et un disque dur portable type Western Digital Passeport.

 

3. Conclusion

Proposé à un tarif d’environ une trentaine d’euros, cette housse pour tablette INCIPIO est vraiment parfaite pour transporter sa tablette et les accessoires qui s’y rattachent à un prix raisonnable. J’ai beaucoup plus confiance en cette protection qu’en celle que j’avais testé précédemment. Si vous avez une Microsoft Surface ou bien une tablette jusqu’à 12 pouces, cette housse est faite pour vous. Cerise sur le gâteau, elle est disponible dans d’autres coloris.

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En 2014, j’ai eu l’occasion d’aller visiter l’exposition Star Wars Identities à la Cité du Cinéma à Saint Denis. Elle présentait certains éléments de la saga créée par Georges Lucas et on pouvait ainsi y retrouver les héros emblématiques des différents films mais également leur histoire et certains secrets de conception.

De Han Solo à Boba Fett en passant par Dark Vador et bien entendu Yoda, nous pouvions découvrir certains accessoires ayant équipés ces héros ayant bercé l’enfance de nombre d’entre nous mais également certains secrets de fabrication comme les yeux de Jabba The Hutt par exemple.

J’ai eu la chance d’être invité à la soirée de lancement de Gears of War 4 et j’ai également reçu dans la foulée ma Xbox One S Gears of War 4 Limited Edition ! Je vous fais donc part de mon avis sur l’ensemble 🙂

1. Retour sur la soirée de lancement

Jeudi soir, avait lieu à Paris une soirée exceptionnelle pour le lancement de la toute dernière exclusivité Microsoft : Gears of war 4 ! Nous avions donc rendez vous dans un lieu grimé aux couleurs du jeu avec au programme :

– bruits angoissants

– graffitis en tout genre

– menu spécialement concocté par le commandant en chef de la soirée : Yves Candeborde

– fumée

– éclairage à dominante rouge

Tout était là pour nous mettre dans l’ambiance du jeu avec des bornes de jeu à disposition pour nous montrer un aperçu du début du jeu et pour nous asseoir… Des lits de camp militaires !

Le menu était le suivant : 

 Menu de la soirée Gears of War 4

Bien entendu, votre serviteur a testé et c’était vachement bon, quoi qu’un peu bizarre bien évidemment. Le chef Candeborde nous a d’ailleurs servi lui même le plat qu’il avait concocté, en tenue militaire pour pousser le réalisme jusqu’au bout ! Voici d’ailleurs une galerie avec quelques photos de la soirée :

Je remercie Xbox de m’avoir invité. Passons maintenant à la suite du programme : la Xbox One S Gears of War 4 Limited Edition !

 

2. Caractéristiques de la Xbox One S

La Xbox One S est une version améliorée de la Xbox One standard, mais également une version allégée puisque Microsoft a réalisé un certain nombre d’améliorations sur ce nouveau modèle. La taille a été réduite de près de 40% ce qui donne une console bien plus petite que la One d’origine avec en plus un transformateur électrique qui a disparu car directement intégré à la console. Fini le gros bloc qui traine derrière le meuble TV, un cable électrique et le tour est joué.

  Xbox One Xbox One S
 Lecteur Blu-ray 4K UHD Non  Oui 
 Upscale 4K  Non  Oui 
 Support HDR  Non  Oui 
 Processeur  AMD Jaguar (28nm) 8 coeurs 1.75GHZ  AMD Jaguar (28nm) 8 coeurs 1.75GHZ
 GPU  AMD Radeon GCN à 853MHz (1.31TFLOPS)   AMD Radeon GCN à 914MHz (1.4TFLOPS)
 Mémoire   8Go DDR3 à 2133 MHz (68.26Go/s)  8Go DDR3 à 2133 MHz (68.26Go/s)
 Disque dur   500Go / 1To  500Go / 1To / 2To
 Manette   classique compatible sans fil Windows 10 
 Ports   2 USB3.0 / Port Kinect 3 USB3.0 
 Sortie optique   Oui Oui 
 Réseau   Ethernet Gigabit / Wifi 802.11 abgn Ethernet Gigabit / Wifi 802.11 abgn 
 Sortie vidéo   HDMI in / HDMI 1.4a out

HDMI 2.0a 4K / HDR 

 Dimensions   33.3 x 27.6 x 7.8 29.7 x 23.2 x 6.5 
 Poids   3.2kg 2.3kg 

Comme vous pouvez le constater, la Xbox One S embarque désormais un lecteur Blu-ray ce qui en fait le lecteur le moins cher du marché (en plus de faire console de jeu) et la console supporte également le HDR et la 4K (pour peu que l’on soit équipé d’un écran compatible).

La Xbox One S, console Microsoft

Autre changement, la disparition du port Kinect qui implique de se procurer un adaptateur qui coûte environ 50e, sauf si vous passez d’une Xbox One à une Xbox One S où là le support Microsoft vous en enverra un gratuitement !

Comme à son habitude, Microsoft décline la console en tout plein d’éditions collector, spéciales ou limitées et j’ai opté par la version Gears of War 4 Limited Edition.

 

3. Unboxing et avis

Le carton annonce la couleur et promet une console magnifique aux couleurs de la saga.

L’intérieur du carton est rouge et paré des motifs propres à Gears of War, chaque élément étant parfaitement calé dans le carton pour un transport en toute sécurité :

 

On trouve dans un premier compartiment le câble d’alimentation de la console, un cable HDMI ainsi que la manette :

Cette dernière est juste magnifique, rouge comme le sang avec un effet coagulé à certains endroits, du plus bel effet !

On retrouve bien entendu le logo Gears of War sur la partie gauche, tandis qu’à droite prend place une trace de griffe en relief, comme si un Locuste avait tenté de nous arracher la manette !

En toute sincérité, c’est l’une des plus belles manettes Xbox One que j’ai pu voir à ce jour avec des finitions irréprochables. Du grand art ! La console trône fièrement dans le fond du carton, bien calée par de la mousse. Une fois sortie, c’est une belle claque ! La console est magnifique, dans un style identique à celui de la manette.

On retrouve une trace de griffe plus prononcée que celle de la manette et également le logo Gears of War peint sur la grille de ventilation. Les détails sont ultra soignés, la finition impeccable comme pour la manette et le petit détail qui couronne le tout : au démarrage de la console, elle joue un court extrait de la musique de Gears of War 4 !

La console est livrée dans une version 2To et avec l’édition Ultimate de Gears of War 4, de quoi passer de longues heures peinard sur le canapé ! Au niveau tarif, vous pouvez encore trouver le pack à environ 449€ sur Amazon, mais je pense que les stocks ne seront pas éternels compte tenu du fait qu’il s’agit d’une édition limitée…

Retrouvez toutes les photos de la console en attendant mon avis sur le jeu (SPOIL : c’est une tuerie) :

Sponsornot : Zéro collaboration

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Comme vous l’avez surement constaté, le blog a subit quelques grosses modifications ces derniers jours et donc été légèrement perturbé par moment. Voici les modifications que j’ai apporté…

 

Sécurisation

J’ai passé le blog en full HTTPS, je vous explique pourquoi et comment le faire chez vous dans un tutoriel du blog. Ca a pas été du tout cuit mais cela s’est très bien passé !

Travaux : passage du blog en HTTPS

 

Page d’accueil

La page d’accueil a été pas mal remaniée pour ajouter le module « Derniers articles », le reste des articles peut être consulté directement en dessous dans la rubrique « Tous les articles ».

Travaux : Nouvel affichage des articles

Un bouton a été ajouté pour un éventuel partenaire qui souhaiterait afficher un encart publicitaire dans la sidebar droite.

J’ai fais quelques retouches CSS par ci par là qui relève presque de l’anecdotique mais bon, ce que j’ai modifié rend un peu mieux.

 

Menus

Le menu principal a accueilli 2 nouveaux liens (qui ne sont que des retours en fait) : Blogs Amis et Partenaires, 2 pages qui avaient plus ou moins disparues du blog mais qui font leur retour.

Travaux : Retour des pages amis et partenaires

Le menu du bas a récupéré le site Plan du site, un point positif pour le référencement.

 

SEO

J’ai fais quelques ajustement sur le SEO du blog. Je ne sais pas si cela portera ses fruits mais bon, je laisse en observation et j’aviserai en fonction du résultat.

 

J’ai pas vraiment chômé cette semaine, mais il me reste encore quelques bricoles à terminer comme par exemple la page « Mon setup » ou la page « A propos » par exemple… Stay Tuned !

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Le HTTPS se démocratise peu à peu et, pour plusieurs raisons, j’ai décidé de migrer l’intégralité de mes sites. Je vais vous expliquer aujourd’hui comment effectuer une transition simple de HTTP vers HTTPS en utilisant le service Let’s Encrypt.

Si tu en as rien à secouer des raisons qui m’ont poussé à migrer vers HTTPS, je t’invite à passer directement à la « Présentation de Let’s Encrypt » ou carrément au tutoriel si t’es complètement YOLO.

1. Pourquoi passer à HTTPS

a. Un meilleur référencement

Cela fait un moment que Google crie haut et fort qu’il favorise dans son classement les sites qui utilisent HTTPS au lieu de HTTP. Pour ma part, j’ai envie d’avoir un meilleur référencement car cela me permettra probablement de toucher plus de visiteurs et d’attirer l’attention sur le blog (et éventuellement mes autres sites / blogs).

De plus, début septembre, le géant de Mountain View franchissait un nouveau cap en annonçant qu’à partir de Janvier 2017, l’affichage de l’URL des sites en HTTP allait être modifié au sein de son navigateur Chrome.

Google indiquera bientôt qu'un site n'est pas sécurisé

Bon OK, cela ne concerne pas toutes les pages mais seulement celles qui comportent une saisie de mot de passe ou d’informations bancaires (dans un premier temps). Quoi qu’il en soit, sur une page en HTTP, l’URL sera précédée de « Non sécurisé », une indication très explicite pour l’internaute… Je me dis que cette indication lancée aux utilisateurs sera peut être étendue à TOUTES les pages HTTP le jour où Google-le-tout-puissant l’aura décidé et je préfère anticiper ça que de me retrouver à devoir faire une migration « en urgence ».

 

b. Des informations sécurisées

C’est la deuxième raison et qui est surement plus importante que celle énoncée juste avant : je veux que les informations que j’envoie et que je reçois du serveur soient chiffrées. Cela diminue le risque d’interception des informations qui transitent (mots de passes entre autres) par quelqu’un de mal intentionné.

Vous me direz « oui mais c’est toujours possible… ». Certes, mais au moins ce sera déjà un peu plus compliqué de récupérer une information exploitable tout de suite comme ça l’était jusqu’à présent. De plus, HTTPS permet de garantir au client (toi, mon petit visiteur inconnu) que les informations qui transitent entre le serveur et ton PC n’ont pas été altérées ! Je le fais donc pour moi, mais aussi un peu pour mes visiteurs.

Passons maintenant dans le vif du sujet.

 

2. Let’s Encrypt : qu’est ce que c’est ?

Let’s Encrypt est une autorité de certification (CA), libre, automatisée et gérée pour le bénéfice du public. C’est un service fourni par le Internet Security Group (ISRG).

Let’s Encrypt délivre aux utilisateurs les certificats numériques dont ils ont besoin afin de leur permettre d’implémenter HTTPS (SSL / TLS) pour leurs sites web, gratuitement, de la manière la plus simple possible, pour créer un Web plus sécurisé avec un haut degré de confientialité.

Les principes clés derrière Let’s Encrypt sont:

    Gratuit : Let’s Encrypt est entièrement gratuit ! (mais vous pouvez leur faire un don pour soutenir l’initiative)
    Automatique : Vous pouvez obtenir et renouveler vos certificats automatiquement.
    Sécurisé : Let’s Encrypt se base sur TLS 1.2 avec chiffrement en 2048 bits.
    Transparent : Tous les certificats délivrés ou révoqués seront enregistrées publiquement et disponibles pour quiconque souhaite les inspecter.
    Ouvert : Le protocole de délivrance et de renouvellement automatique sera publié en tant que norme ouverte que les autres pourront adopter.
    Indépendant : Tout comme les protocoles Internet sous-jacents, Let’s Encrypt est un effort conjoint au profit de la communauté, au-delà du contrôle de toute une organisation.

Et pour terminer, Let’s Encrypt est soutenu par quelques grands noms du monde informatique :

Let's Encrypt : de nombreux soutiens

Mais tout n’est pas rose puisque vos certificats générés depuis Let’s Encrypt ont une durée de vie « courte » : 90 jours. Le gros avantage, c’est que vous pouvez automatiser leur renouvellement sans problème… Suivez le guide !

 

3. Migrer ses sites web de HTTP vers HTTPS avec Let’s Encrypt

Le tutoriel suivant va vous expliquer comment mettre en place un certificat SSL Let’s Encrypt sur un de vos sites internet pour le passer en HTTPS. Les pré-requis sont les suivants :

– Système d’exploitation Ubuntu 16.04 configuré et opérationnel (vous pouvez également adapter le tutoriel à votre distribution)

– Serveur web Apache configuré avec un virtualhost

La première étape est d’installer le client qui permet de récupérer le certificat depuis l’autorité de certification et par la suite de renouveler vos certificats. Il en existe plusieurs mais Let’s Encrypt recommande l’utilisation de Certbot : https://certbot.eff.org/

On commence donc par installer le package :

sudo apt-get install python-letsencrypt-apache 

Ensuite, une fois que le package est installé vous pouvez créer votre premier certificat. A savoir que vous pouvez créer un certificat pour un seul domaine à la fois et ça se passe avec cette commande :

sudo letsencrypt --apache -d nom_de_domaine.com

Si vous avez des sous-domaines à passer en HTTPS également, vous pouvez taper cette commande à la place :

sudo letsencrypt --apache -d nom_de_domaine.com -d www.nom_de_domaine.com -d sd2.nom_de_domaine.com

Il est recommandé de mettre d’abord le domaine principal suivi par autant de sous-domaines que vous en avez. Certbot va vous demander une adresse e-mail puis si vous voulez que l’accès HTTPS soit obligatoire (Secure) ou optionnel (Easy) :

Let's Encrypt : HTTPS ou HTTP+HTTPS

Pour ma part, j’ai choisi « Secure » pour tous mes sites et c’est passé nickel ! Dès que vous voulez accéder à votre site en HTTP, vous êtes automatiquement redirigé vers le HTTPS et pourquoi laisser un accès HTTP quand on peut faire du full HTTPS ? Cette redirection est mise en place par Certbot directement dans le fichier vhost de votre domaine qui contient désormais ces lignes en plus :

RewriteEngine on
RewriteCond %{SERVER_NAME} =nom_de_domaine.com [OR]
RewriteCond %{SERVER_NAME} =www.nom_de_domaine.com
RewriteRule ^ https://%{SERVER_NAME}%{REQUEST_URI} [END,QSA,R=permanent]

Si tout fonctionne et que vous souhaitez tester votre nouveau domaine en HTTPS, vous pouvez le faire à l’adresse suivante : https://www.ssllabs.com/ssltest/analyze.html?d=nom_de_domaine.com (remplacer nom_de_domaine.com par votre nom de domaine personnel bien entendu…) 

Let's Encrypt : Test du site en HTTPS

 

Si par hasard la commande lestencrypt pour générer le certificat ne fonctionne pas, jetez un coup d’oeil du coté de votre pare-feu, les ports sont peut être fermés.

 

4. Automatisation du renouvellement des certificats

Pour renouveler les certificats que vous avez généré, il faut taper la commande suivante :

sudo letsencrypt renew

Vous devriez voir apparaitre la liste des certificats que vous avez déjà généré avec un message indiquant qu’un renouvellement est inutile.

Comme c’est une opération à répéter régulièrement et que l’on risque d’oublier de le faire 9 fois sur 10, nous allons mettre en place un cron :

sudo crontab -e

Et y ajouter la ligne suivante :

0 2 5 * * /usr/bin/letsencrypt renew >> /var/log/le-renew.log

Ainsi, le 5 de chaque mois à 2h00 du matin votre serveur vérifiera tout seul comme un grand si vos certificats doivent être renouvelés et s’en chargera lui même !

Passer vos sites en HTTPS devrait donc être maintenant un jeu d’enfant !

Sponsornot : Zéro collaboration

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Blizzard a annoncé cette semaine dans un post sur son blog dédié à Hearthstone les futures modifications de cartes qui seront appliquées lors du patch 6.1.3… et il est enfin déployé !

Je tiens à préciser que je ne suis pas un pro-gamer Hearthstone mais que j’y joue tout de même plusieurs dizaines d’heures par moi et que je préfère jouer des parties fun que de grimper dans le ladder. Par conséquent, je n’aurai probablement pas la même vision que vous 😉

1. Chaman : un nerf bien mérité

Clairement, depuis un bon moment les chamans sont forts, très forts. Blizzard a donc décidé de les calmer un petit peu en modifiant 2 cartes (sur une sélection de 6) que l’ont retrouvait jusqu’à présent presque systématiquement dans n’importe quel deck de cette classe.

Arme croque-roc

La carte Arme croque-roc est responsable de quelques combos dévastateurs, en plus d’être un outil de suppression fiable dès le début de la partie. Sa puissance et sa polyvalence en font une des cartes de chaman les plus jouées dans l’histoire de Hearthstone. En modifiant les cartes de base présentes dans chaque deck, nous cherchons à privilégier la diversité et à permettre le succès du format Standard. Et tout en préservant les synergies potentielles d’Arme croque-roc, nous réduisons sa valeur en tant qu’outil de suppression en augmentant son coût en mana de 1 à 2 cristaux.

L’arme croque-roc voit son coût en mana revu à la hausse :

Hearthstone : Arme croque-roc

On passe donc d’un coût de mana de 1 à 2, ce qui n’est pas énorme en soit mais permet de réajuster cette carte jugée trop puissante par Blizzard. Ce réajustement permet donc de la mettre au niveau d’un éclair de givre, d’une Hache de Guerre Embrasée, d’une Colère (Druide) à la différence près qu’elle ne donne que +3 attaque sans aucun autre bonus (la hache de guerre embrasée a 2 points de vie, éclair de givre permet de geler la cible…) :

 Hearthstone : Eclair de givreHearthstone : Hache de guerre embraséeHearthstone : Colère

A coté de ça, nous avons Châtiment sacré (Prêtre), Tir des Arcanes (Chasseur) ou Racine Vivante (Druide) qui n’infligent que 2 points de dégâts pour 1 point de mana et donc n’étaient pas aussi puissants qu’une  :

Hearthstone : Racines vivantesHearthstone : Tir des ArcanesHearthstone : Chatiment

Je dirais donc que ce nerf est mérité. Certes, on aura moins de chaman aggro mais au moins, on assistera peut être à un nouveau type de deck Chaman !

 

Rohart totémique

Le puk puk (comme on l’appelle dans le milieu) est la 2e carte chaman a prendre cher. Sur-utilisée dans tous les decks, le Rohart Totémique permettait d’invoquer n’importe quel totem :

Hearthstone : Rohart totémique

Cela veut dire que pour 2 manas, vous pouviez avoir une créature 3/2 et un Totem Langue de feu ou un Golem Totémique et là vous étiez vraiment bien au tour 2…

Hearthstone : Totem langue de feuHearthstone : Golem Totémique

Blizzard a donc décidé de modifier le mécanisme du cri de guerre du Rohart totémique pour qu’il n’invoque plus qu’un totem de base, bien moins intéressant du coup et qui risque donc de réduire considérablement le nombre de decks contenant le puk puk…

Comme vous pouvez le constater, le chaman a pris cher, c’est mérité et cela devrait pas mal modifier les decks que l’on rencontre en classé.

 

2. Guerrier : un ajustement léger

Le guerrier aussi subit une légère modification de 2 de ses cartes que l’on retrouve très souvent…

Exécution

Hearthstone : Exécution

Une carte surjouée par les Guerriers et très puissante puisque pour 1 point de mana, elle pouvait envoyer valser une créature blessée. Puissant, trop peut être puisque Blizzard fait passer son coût de mana à 2 !

 

Charge

 

 Hearthstone : Charge

Pour 3 mana, Charge donnait +2 attaque et chargé à un serviteur allié. Blizzard a voulu modifier cette carte qui donnait probablement un win-rate trop important aux joueurs qui l’utilisaient et Charge se voit complètement changée. Elle passe d’un coût de mana de 3 à 1, confère uniquement charge à un serviteur allié qui ne peut pas attaquer le héros adverse ce tour ci. Grosse perte d’intérêt en ce qui concerne donc car elle ne pourra plus être jouée comme un finish him pour terrasser l’ennemi.

 

3. Sergent grossier : un peu moins de force

Le Sergent grossier est une créature très appréciée des decks aggro puisque pour 1 cristal de mana, il donne +2 attaque à la créature ciblée.

Hearthstone : Sergent grossier

C’est très fort pour surprendre un ennemi qui ne s’y attend pas forcément et en plus, c’est une 2/1 (bon ok, pas la mer à boire mais 2/1 quand même). Blizzard devait la trouver trop impressionnante car il a décidé de la passer à 1 d’attaque, dont le cri de guerre donne toujours +2 attaque… Qui a dit « demi nerf » ?

 

4. Appel de la nature

Le chasseur n’est pas épargné mais s’en sort plutôt bien.

Hearthstone : Appel de la nature

La carte « Appel de la nature » introduite avec l’extension les Dieux très Anciens permet pour 8 manas d’invoquer les 3 compagnons du chasseur :

Hearthstone : MishaHearthstone : LeokkHearthstone : Souffleur

Sachant que la carte « Compagnon animal » qui permet d’invoquer l’un de ces 3 compagnons coûte 3, Appel de la nature était clairement intéressant et coutait 1 mana de moins pour obtenir le même effet et être assuré d’avoir 3 compagnons différents. Blizzard a donc décidé de remonter son coût de mana à 9 cristaux de mana, rien de bien fou mais cela oblige le joueur à temporiser un tour de plus avant de la jouer.

Bien qu’Appel de la nature soit censée être une carte puissante en fin de partie, elle l’est un peu trop par rapport à son coût de 8 cristaux de mana. En portant celui-ci à 9 cristaux, nous espérons réduire quelque peu sa puissance afin qu’elle ne soit plus un choix systématique pour tous les decks de chasseur, au point de faire de l’ombre aux autres stratégies.

 

5. Yogg Saron, la fin de l’espoir

Yogg Saron est clairement un carte YOLO comme disent les jeunes. Quand t’as plus rien à perdre et que tu sais qu’au prochain tour tu vas y rester, ta seule option : Yogg Saron !

Hearthstone : Yogg-Saron, la fin de l'espoir

Et là, t’as une chance sur 5 de remporter la partie. Mais t’as 1 chance ! Et parfois (souvent si t’as de la chance) ça passe, et ça fait bien rager le mec en face… Mais la mécanique n’était pas tout à fait au point et Blizzard a décidé d’y apporter quelques modifications.

Certains ADORENT Yogg, d’autres le détestent. De notre côté, nous n’avions pas l’intention de faire de Yogg une carte jouée en tournoi. Cette carte est destinée aux joueurs qui veulent s’amuser, mais n’est pas vraiment pensée pour les tournois de haut niveau. Yogg reste relativement faible, en termes de puissance, pour toutes les classes, mais est bel et bien au-dessus de la moyenne lorsqu’il est joué dans 2 decks : le « mage Tempo » et le « druide Jeton ».

La première est logique et tout à fait normale. Souvent, Yogg se suicide ou s’envoie en l’air (dans notre deck ou notre main) et donc qui le terrain. Par conséquent, la chaine de sorts qu’il avait commencé à lancer aurait dû s’arrêter car Yogg n’était plus en mesure de les lancer. Ce n’était malheureusement pas le cas et Blizzard a donc décidé de remédier à ça. Si Yogg quitte le terrain pour une quelconque raison, la chaine de sorts s’interrompt et c’est tout à fait normal.

En revanche, je suis beaucoup moins d’accord avec la seconde modification. Jusqu’à présent, les sorts lancés par Yogg Saron et qui comportaient la mention « Surcharge X » n’affectaient pas le joueur et c’était NORMAL.

Hearthstone : NeptulonHearthstone : Savoir ancestralHearthstone : Destruction élémentaire

En effet, sur la description de Yogg Saron il est écrit « Cri de guerre : lance un sort aléatoire pour chaque sort que vous avez lancé pendant cette partie ». « Lance un sort »… On parle de Yogg là, et non du joueur ! Par conséquent, la surcharge ne devrait pas s’appliquer au joueur… Enfin c’est mon point de vue, ce n’est surement pas celui des joueurs qui jouent en compétitif et qui se font brain sur un Yogg en fin de partie…

 

Un patch qui touche donc plusieurs classes / cartes et qui ne sera surement pas du goût de certains. Pour ma part, je trouve que certains nerfs n’en sont pas vraiment et je suis assez déçu de la modification apporté à Yogg concernant la surcharge, mais il va falloir faire avec et adapter les decks en conséquence !

Sponsornot : Zéro collaboration

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